19 décembre 2024 |

Ecrit par le 19 décembre 2024

Etat-major : RES

Dirigé en France par son directeur général Jean-François Petit (58 ans – ESTACA, HEC Paris) depuis 2018, le groupe britannique RES (Renewable energy systems Ltd) est la plus grande entreprise indépendante d’énergies renouvelables au monde spécialisée dans l’éolien terrestre et offshore, le solaire, le stockage et la transmission et distribution d’électricité (plus de 20 GW de projets à travers le monde pour un portefeuille d’actifs opérationnels de 7 GW). Présent sur le marché français depuis 1999, la division hexagonale est issue de la co-entreprise française Eole-Technologie et de RES. Implantée dans la zone de Courtine à Avignon, la société s’est longtemps appelée Eole-Res avant de devenir définitivement RES en 2015.

Au sein de son siège social (modèle d’environnement durable avec ses ombrières photovoltaïques, ses terrasses végétalisées, ses nombreux dispositifs de recyclage et même son potager !), le directeur général peut notamment s’appuyer sur son directeur financier & IT, Yann Bardet (37 ans – DSCG, ESARC Montpellier), son directeur des affaires publiques, Pascal Craplet (59 ans – ENA, INHES) ainsi que sa directrice juridique, Clémentine Huber (40 ans – HEC/ESCP-EAP, Barreau de Paris).

L’équipe de direction de cette entreprise ayant développé plus de 1,5 GW de projets éoliens et solaires depuis plus de 20 ans France (soit les besoins annuels en électricité de près de 2 million de personnes évitant l’émission de 1,7 million de tonnes de CO2), compte également dans ses rangs Martin Lemaistre (49 ans – Diplôme d’Etude Supérieures Comptables et Financières, DESS IAE d’Aix en Provence), en charge de la direction ‘Gestion d’actifs’, Jean-Luc Lopez (46 ans – Ecole nationale supérieur d’Arts et Métiers Paris tech) à la tête de la direction ‘Ingénierie & construction’ et Sébastien Mellinger (44 ans – Ecole d’ingénieurs du CESI Nantes, Master Spécialisé Management QSE) responsable HSE.

Julie Moreau (43 ans – Maîtrise LEA & commerce international Nantes, Master RH Avignon, Master Coaching professionnel Aix), directrice ‘RH, amélioration continue et innovation’, Céline Spitzhorn (46 ans – DESS, Université de Toulouse), directrice ‘Solaire’ et Francisco Varela (41 ans – Instituto tecnológico Buenos Aires, EUREC), directeur ‘Eolien & stockage’ et Ludovic Ferrer (39 ans – Mines Nancy/IFP School, IEP de Paris), nouveau responsable commercial complètent cette équipe de direction comptant 240 collaborateurs en France pour un chiffre d’affaires 2019 de 74,63M€.


Etat-major : RES

Avec sa société AMC Conseil, Patrick Moulard a très vite saisi la nécessité, pour les entreprises, de retrouver tous les documents dont ont besoin leurs collaborateurs au sein d’un seul et même espace. En misant sur une GED (Gestion électronique des documents) collaborative, la société s’implante aujourd’hui dans le Vaucluse.

Comment gagner en productivité et en agilité dans le domaine de la gestion documentaire ? C’est la question que se posent de plus en plus d’entreprises aujourd’hui. A l’heure du tout dématérialisé, la GED apparaît comme ‘la’ solution logicielle pour gérer le cycle de vie d’un document électronique, permettant à l’entreprise de constituer une réelle organisation documentaire en recourant à la numérisation des documents. C’est justement le cœur de métier de la société AMC Conseil qui propose d’accompagner les entreprises et les collectivités dans l’optimisation de leur gestion documentaire afin de leur faire gagner un temps précieux. « Je travaille avec Ezged, un logiciel Français évolutif qui garantit un très haut niveau de sécurité, de confidentialité et de disponibilité des données, explique Patrick Moulard, gérant d’AMC Conseil. 80 % des chefs d’entreprises n’ont pas encore pris conscience des gains de productivité réalisables avec leur gestion documentaire. »

« Le document, véritable patrimoine de l’entreprise »
Factures clients, bulletins de salaires, gestion des messages… Tous les services de l’entreprise sont couverts, permettant ainsi une plus grande flexibilité entre les collaborateurs. « Nous ne sommes pas revendeurs mais intégrateurs de solutions, précise Patrick Moulard. Considérant que le document représente le véritable patrimoine de l’entreprise, nous proposons une collaboration personnalisée, propre à chaque structure et basée sur une confiance mutuelle, qui débute toujours par un diagnostic sur la façon dont est géré le flux documentaire au sein de l’entreprise. Au terme du diagnostic, nous définissons ensemble les actions prioritaires à mener pour optimiser l’efficacité, la productivité et les économies directes qui peuvent être réalisées. » Les entreprises peuvent ainsi choisir les applications qui les intéressent (gestion intelligente des documents, gestion des flux de travail, comptes de dépenses, etc.). Une méthode qui s’accompagne d’un volet formation pour l’ensemble des collaborateurs dans l’appropriation des solutions mises en place par AMC Conseil.

Cap sur le Vaucluse
Avec des clients aussi importants que l’Université Aix-Marseille, Erudis Formation et Marie Blachère, la société prend aujourd’hui ses quartiers à Avignon afin de se développer dans le Vaucluse. « Il y a un réel potentiel dans le département qui regorge de TPE et PME, souligne Anthony Collard, responsable commercial sur le Vaucluse. L’enjeu va être de faire prendre conscience aux entrepreneurs du territoire toutes les économies qui peuvent être réalisées en supprimant des tâches sans valeur ajoutée. » Une prise de conscience qui va de pair avec l’arrivée du Coronavirus en France et les deux confinements qui ont bouleversé les habitudes de travail de bon nombre d’entreprises et accéléré le processus de numérisation des données et des documents. En attendant, AMC Conseil compte doubler ses effectifs pour 2022 et vise les 1 M€ de chiffre d’affaires d’ici 2023.

AMC Conseil. 27 rue du Petit Gigognan – ZI de Courtine. Avignon. 09 72 54 50 29. www.amcconseil.fr


Etat-major : RES

Société prestataire de services informatiques en direction des petites et moyennes entreprises, Xefi fait de l’hébergement des données l’une de ses priorités. L’entreprise avignonnaise, qui vient d’acquérir 400 m² de bureaux en Courtine, connaît un chiffre d’affaires en hausse de 34 % en seulement un an.

A l’heure du reconfinement et du développement du télétravail, la question du flux et de la gestion des données informatiques n’a jamais semblé si importante. Un domaine que maitrise bien la société Xefi. Tournée à l’origine vers la vente de matériel bureautique et informatique, la société s’est spécialisée ces dernières années dans l’hébergement et la protection des données informatiques. « Aujourd’hui, il faut savoir que 80 % des entreprises qui perdent leurs données informatiques font faillite dans l’année, souligne Patrice Corso, dirigeant de Xefi à Avignon. Aujourd’hui, toutes les TPE et PME sont concernées par des bugs, pannes ou actes de malveillance, mais ces dernières n’accordent malheureusement pas assez d’importance ni de temps à la protection de leurs données malgré la mise en place du RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données N.D.L.R.). »

Des data centers pour sécuriser les données
Faisant partie intégrante d’un réseau fondé en 1997 qui compte aujourd’hui 1 000 collaborateurs et une centaine d’agences réparties dans l’Hexagone, Xefi offre des services intégrés à 100 %, jusqu’à l’hébergement et la sauvegarde sur ‘cloud’. « La valeur d’une entreprise étant fortement liée à la conservation de son système d’informations, nous avons mis en place des sauvegardes sécurisées à distance via nos data centers, des bâtiments haute sécurité où chaque donnée est vérifiée quotidiennement et humainement ce qui permet de garantir une restauration et un accès sécurisé aux données », précise le dirigeant qui accompagne à ce jour 200 entreprises dans le Vaucluse, les Nord Bouches-du-Rhône et le Gard Rhodanien.

2 M€ de chiffre d’affaires en vue d’ici 2 ans
Comptant dans ses rangs 4 techniciens informatique, une assistante commerciale et un commercial, Xefi Avignon affiche un chiffre d’affaires en hausse qui lui permet notamment d’investir de nouveaux locaux en Courtine cette année. « Nous avons clôturé l’exercice de l’année 2019 autour de 600 000 €, on se dirige sur les 800 000 € cette année et dans les 2 ans on espère atteindre les 2 M€, » détaille Patrice Corso. Une belle croissance que n’aura pas freiné l’arrivée de la Covid-19 cette année. « Lors des deux premières semaines de confinement en mars dernier, nous avons été surchargés de demandes et de questions liées notamment à la mise en place du télétravail qui complexifie davantage le contrôle des bonnes pratiques en matière de sécurité numérique dans les entreprises. »

Une nouvelle pratique qui, crise sanitaire oblige, tend à perdurer et pour laquelle Xefi entend sensibiliser et accompagner les TPE et PME du territoire dans la mise en œuvre de solutions adaptées destinées à pérenniser leurs données, si essentielles à la survie de leur entreprise.


Etat-major : RES

Fermée depuis janvier 2019, le parking ‘tarif réduit P7’ de la gare TGV d’Avignon en Courtine devrait rouvrir ses portes début 2021. Ce dernier, réalisé par la Grand Avignon pour un montant de 1,9 M€ et dont la gestion a été confiée à Effia, avait vu plusieurs modules de toiture en tôle supportant des panneaux photovoltaïques être emportés par le Mistral (lors de cette épisode des rafales avaient été enregistré jusqu’à 162 km/heure au sommet du mont Ventoux et le département de Vaucluse avait alors été classé en ‘vigilance jaune vent violent’). Cet effondrement avait menacé une douzaine de voiture et le parking avait été alors fermé jusqu’à nouvel ordre.

Lutter contre le stationnement anarchique

D’une capacité de 835, cet espace de stationnement inauguré en mars 2016 avait pris le relais du parking provisoire du Clos des Crillones situé juste devant la gare. Destiné à lutter contre le stationnement anarchique autour de la cette gare accueillant 3,6 millions de voyageurs par an, le parking P7 était le moins cher de la zone puisque les tarifs avaient été aligné sur ceux du Clos des Crillones. Si les abonnés ont pu être à nouveau accueillis provisoirement sur l’ancien parking d’une capacité de 300 places, la fermeture du P7, idéalement situé au droit de l’échangeur de la LEO (Liaison Est-Ouest), a cependant engendré des difficultés pour les usagers ainsi que le retour du stationnement anarchique.

Plus grande offre de stationnement pour une gare en France

Bloqué durant tout ce temps par la sécurisation des installations existantes et les nombreuses expertises à réaliser suite au sinistre, le Grand Avignon va donc pouvoir enfin rouvrir le parking d’ici moins de 3 mois. Pour l’occasion, l’agglomération en a profité pour augmenter sa capacité de 365 places supplémentaires. De quoi renforcer la capacité totale de stationnement de la gare TGV d’Avignon, qui avec près de 5 000 places, dispose du plus important parc de stationnement pour une gare TGV en France.

https://echodumardi.com/tag/courtine/page/4/   1/1