Pass sanitaire : mode d’emploi à destination des professionnels
Dès ce mercredi 21 juillet, le pass sanitaire est obligatoire pour tous les événements et lieux recevant plus de 50 personnes. Ceci concerne les activités culturelles, sportives, ludiques ou festives, les foires et salons professionnels. Le taux d’incidence grimpe en flèche en Vaucluse. Après avoir atteint 22 en juin, puis 54 la semaine dernière, le voici désormais à 79 pour 100 000 habitants.
Le pass sanitaire consiste en la présentation, numérique ou papier, d’une preuve sanitaire :
soit d’un certificat de vaccination, à la condition que les personnes disposent d’un schéma vaccinal complet. Le schéma vaccinal est désormais considéré complet après la deuxième injection de Pfizer ou Astrazeneca et une période de 7 jours, contre 14 jours précédemment. Pour le vaccin monodose, Janssen, le schéma vaccinal est complet après une période de 28 jours;
soit la preuve d’un test RT-PCR ou antigénique négatif de moins de 48h;
soit le résultat d’un test RT-PCR ou antigénique positif attestant du rétablissement de la Covid- 19, datant d’au moins 11 jours et moins de 6 mois.
Peine encourue
Les patrons des établissements ou les organisateurs d’événements devront contrôler le pass sanitaire. L’amende en cas de non-respect a été revue à la baisse, a annoncé le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, lundi. Initialement d’un an de prison et 45.000 € d’amende, les contrevenants seront punis d’une amende jusqu’à 1 500 €, 9 000 € et un an de prison en cas de récidive.
Modalités du calcul du seuil de 50 personnes
Le seuil de 50 personnes ne se calcule pas en fonction de la capacité d’accueil théorique de la salle ou de l’établissement, mais en fonction du nombre de personnes que l’organisateur a prévu d’accueillir lors de l’événement ou de la manifestation. Ainsi, tout organisateur qui prévoit d’accueillir 50 personnes et plus, par exemple par la mise en vente de 50 billets, lors d’un événement, doit exiger la présentation du passe sanitaire à l’entrée de l’événement. Par ailleurs, à titre de précisions, dès lors que 50 billets et plus sont mis à la vente pour un événement, il convient d’appliquer le ‘passe’, même si dans les faits, seules 40 personnes se présentent à l’événement.
Les professionnels doivent dans un premier temps télécharger l’application ‘Tous anti Covid verif‘, disponible sur Apple Store ou Google Playstore. Pour les appareils IOS, il est nécessaire d’avoir une version IOS 13.0 ou ultérieure. Découvrez ci-dessous des illustrations sur les démarches à suivre par la suite :
L.M.
Pass sanitaire : mode d’emploi à destination des professionnels
Vous en rêviez ? L’équipe Devarchi technologies l’a fait. L’application ‘En place’ a vu le jour à Avignon en mars 2021, et promet déjà de révolutionner la gestion des parkings, véritable levier pour redynamiser les centres-villes du Vaucluse. Trouver une place de stationnement ne sera bientôt plus une épopée.
« Il n’existe aucune solution de ce type sur le marché, combinant toutes les problématiques des usagers. La plateforme ‘En place’ a ceci d’unique qu’elle rassemble toutes les fonctionnalités et permet de faire bénéficier tout le monde », explique Adil Cherkaoui, ingénieur de 33 ans à la tête de Devarchi technologies. A l’heure de la ‘smart city’, ou ville intelligente, l’application ‘En place’ ambitionne de faire du Vaucluse le chef de file de l’intelligence connectée. L’objectif ? améliorer l’attractivité des centres-villes par le biais d’une plateforme dédiée à tous : collectivités, automobilistes et commerçants.
La solution ‘En place’ est une plateforme numérique reliée à un capteur sous la forme d’un boitier compact installé sur une place de stationnement. Les données peuvent transiter, la magie peut opérer. L’application permet alors aux commerçants d’attirer les clients qui fuient les centres-villes en faveur des centres commerciaux. Une application mobile pour les automobilistes est disponible pour trouver une place libre et pour faire le paiement au temps réel. Cette plateforme permet également de faire des économies de gestion car les contrôles par les agents municipaux seront ciblés et peuvent se faire sur notification en cas de dépassement par exemple. Une solution 3 en 1.
La ‘smart city’, un concept désormais bien répandu
‘En place’ s’inscrit pleinement dans le concept de ‘smart city’ né aux Etats-Unis, qui s’est rapidement imposé pour désigner les stratégies d’innovation urbaine partout dans le monde. Adopté par les élus comme par les entreprises, le concept se présente comme une réponse aux défis de l’urbanisation. Adil Cherkaoui a très tôt saisi les enjeux de notre ère et le besoin criant des commerçants de retrouver leur clientèle après une année d’hibernation. Pour construire collectivement des territoires plus connectés et attractifs, l’innovation joue un rôle clef. Qu’il s’agisse d’innovations technologiques, – souvent basées sur l’utilisation du numérique et des données comme en l’espèce – ou d’innovation sociales ou environnementales, de multiples solutions peuvent contribuer à rendre les territoires plus intelligents et améliorer la vie citadine. A commencer par la gestion du stationnement, enjeu majeur en hypercentre.
Optimiser les ressources humaines des collectivités
« La gestion manuelle à travers les agents asvp qui contrôlent véhicule par véhicule nécessite beaucoup de ressources humaines et de temps. L’application que nous avons créée permet de remobiliser 75 à 80% de ces ressources grâce à l’automatisation des contrôles », poursuit le fondateur. Outre le fait de mobiliser beaucoup d’agents, la municipalité est très souvent confrontée au stationnement abusif et à son lot d’incivilités : voiture ventouse occupant une place de manière prolongée, arrêt en double file ou dans une zone dangereuse, stationnement illégal sur un emplacement réservé… Avec ‘En place’, les agents seront alertés en temps réel via une notification leur informant d’une incivilité, d’un dépassement d’horaire, etc. Action, réaction.
« A un instant T, un agent se trouve à un seul endroit et contrôle un seul véhicule. Avec la solution « En place », à un instant T, ce sont toutes les places qui sont contrôlées et tout le temps », souligne le chef d’entreprise. Cette prouesse est réalisée grâce aux nouvelles technologies que la société a mis en œuvre. Par ailleurs, la solution « En place » est une plateforme numérique couplée à des capteurs de stationnement de dernière génération bi-technologies assurant une fiabilité à plus de 99%. Plus besoin de prévoir le génie civil. Plus besoin non plus de prévoir les alimentations électriques ou le réseau. Les dispositifs sont entièrement autonomes et s’installent facilement.
Tableau de bord intégré pour l’aide à la décision
Non content de permettre les contrôles automatisés, rationnaliser les ressources humaines et engendrer des économies, ‘En place’ ajoute une corde à son arc : le tableau de bord intégré, véritable outil d’aide à la décision. « On va pouvoir remonter des années en arrière, collecter, croiser et analyser les données. Les décisionnaires pourront ainsi voir quelle zone est plus saturée qu’une autre et quel stationnement est surexploité ou sous-exploité », explique Adil Cherkaoui.
Fluidifier la circulation
« Grace à un partenariat avec Michat électronique, nous pilotons également les panneaux de jalonnement. Nos deux équipes techniques se sont rapprochées, et nous avons implémenté leur protocole pour intégrer leur système dans notre plateforme. Après quelques tests en temps réel et quelques ajustements, tout est absolument opérationnel », explique celui qui a étudié sur les bancs du Ceri à Avignon.
L’objectif ? Aiguiller les automobilistes et fluidifier la circulation. Le système de jalonnement dynamique est une mesure simple qui a des répercussions extrêmement positives pour la qualité de vie des résidents et des nombreux visiteurs. La signalisation indique en temps réel aux automobilistes l’état d’occupation des différents parcs. En cas de saturation, l’automobiliste peut alors organiser son déplacement de façon à stationner là où il y a encore des places disponibles. La collectivité pourra également profiter de cette solution pour communiquer davantage à destination des administrés et les inviter à venir en centre-ville par exemple.
L’automobiliste accède directement aux places libres
Vos rondes interminables dans les rues du centre-ville, les klaxons oppressants qui résonnent lourdement à l’arrière, votre profonde désillusion à la vue de la cacahouète sournoisement cachée au fond de l’emplacement, et les minutes qui passent… Un parcours du combattant qui ne sera plus que l’ombre d’un mauvais souvenir avec ‘En place’. Depuis l’application, les automobilistes accèdent directement aux places libres à proximité de leur destination. À tout moment, les conducteurs accèdent aux informations en temps réel de chaque place connectée. Les automobilistes pourront régler leur stationnement au temps réel, de leur arrivée jusqu’à leur départ, plus besoin de choisir la durée de stationnement. L’automobiliste peut ainsi configurer le temps limité et être alerté par notification push, sms, mail de tout dépassement. De quoi oublier la douloureuse expérience de la contravention de stationnement placardée sur le pare-brise.
Un crédit temps accordé par les commerçants
Pour les commerçants, l’outils ‘En place’ deviendra à n’en point douter le meilleur allié de la boutique. Les commerçants auront la possibilité de générer des coupons de stationnement à chaque passage en caisse (crédit de stationnement) et diffuser des offres commerciales vers les automobilistes qui stationneront à proximité de leur commerce.
« Ils vont pouvoir se servir de la plateforme comme un outils commercial et marketing. Evidemment, l’utilisateur a le choix ou non d’accepter de recevoir les offres », précise-t-il. Restaurateur, magasin de prêt-à-porter, tout type de commerce peut adhérer au projet et devenir partenaire de l’application. « Cela leur apporte de la visibilité et leur permet d’attirer la clientèle en centre, surtout en post-confinement. Les centres-villes ont perdu de leur attractivité, les fermetures se sont succédées, l’inactivité a été fatale pour beaucoup, ou du moins les a fragilisés », explique Adil Cherkaoui. ‘En place’ sonne comme l’une des solutions contribuant au rebond économique, si cher au gouvernement.
Pourquoi l’application est unique ?
« Avec un seul objet connecté, on va pouvoir donner des bénéfices à plusieurs acteurs. Les solutions sur le marché sont pour la plupart incomplètes et ne proposent qu’une seule fonctionnalité, pointe le fondateur. Elles vont par exemple permettre de voir l’état d’occupation d’un parking, ou bien aider au guidage à la place, ou alors permettre le paiement en ligne. Les solutions gravitent autour de notre produit mais aucune plateforme ne conjugue toutes les problématiques pour offrir un service complet. » Le prélèvement au réel qui réduit le risque d’amende, la gestion des ressources humaines optimisées, le soutien à l’économie locale et a l’attractivité en hyper centre, le guidage et la fluidité de la circulation, les deux ingénieurs ont tout analysé afin de répondre aux principales problématiques de la vie locale.
Une invention Made in Avignon soutenue par la French Tech
Cette plateforme couplée avec des capteurs IoT (Internet of things, l’Internet des objets connectés) installé par l’équipe Devarchi technologies est le fruit d’un cocktail technologique de dernière génération, conçu et développé à Avignon en ZFU (rocade) et soutenu par la French Tech Grande Provence.
La French Tech grande Provence a permis au duo de présenter leur projet dans le cadre d’un afterwork, « j’ai bénéficié d’un tas de conseils et de mises en relation essentielles avec le réseau. » Le réseau, voila définitivement le nerf de la guerre. Les deux fondateurs, ingénieurs de métier, sont seuls aux commandes de la machine. Des petites mains qui s’affairent à l’ensemble du projet : technique, développement, production, prospection… « Quand on communique, la technique avance moins derrière », l’équipe s’enrichit donc bientôt d’une nouvelle recrue en communication et d’un commercial afin de présenter la solution aux collectivités.
Pour le financement, Adil et Mohamed ont misé sur leurs fonds propres, aucune aide financière ni prêt bancaire n’est venu à la rescousse du projet. « Je me suis concentré sur le développement des produits internes, par contre Mohamed fait de la prestation pour ses clients, ce sont ses ressources financières que l’on injecte dans le produit, gages de notre indépendance. On s’appuie sur des choses que l’on a déjà fait dans d’autres projets. On a su capitaliser sur notre expérience et nos solutions et développer à moindre coût par rapport à une entreprise qui serait partie de zéro », explique-t-il.
Les collectivités s’y intéressent
« Beaucoup de communes sont intéressées par cette solution. La modernité et l’innovation ne leur fait pas peur, bien au contraire, souligne Adil Cherkaoui. Ils sont friands lorsqu’on leur propose une solution pour donner un nouvel élan et une dynamique dans leur ville, ils sont plutôt preneurs. » La puissance de la solution réside dans le développement du logiciel, un produit qui ne représente pas un coût excessif lorsque l’on considère les économies qui en découlent. Le fondateur tient à le préciser, si l’un des boitiers présente des caractéristiques de dégradation physique, les techniciens de Devarchi technologies interviennent aussitôt sur place pour faire une vérification et changer le boitier si nécessaire.
Les collectivités locales sont la porte d’entrée de cette révolution numérique, sans lesquelles les boitiers ne pourront être positionnés sur les emplacements et la solution ne pourra être déployée. Les fondateurs sont confiants quant à la prise de conscience des élus du terrain, en lien constant avec le territoire vauclusien et les préoccupations des acteurs économiques. La frontière entre la ville physique et la ville numérique de demain tend à devenir de plus en plus ténue. Dans cette mutation vers un monde toujours plus digital, ‘En place’ permet avant tout aux villes du Vaucluse de maîtriser leurs données pour améliorer leur efficacité au quotidien.
Pass sanitaire : mode d’emploi à destination des professionnels
La pratique de la fraude aux notes de frais n’est pas une exception. Selon une étude du cabinet Pwc, 71% des entreprises françaises sont touchées par cette fraude. Le coût massif qu’elle engendre mérite une réponse forte mais les TPE et PME ne sont pas toujours dotées d’une politique structurée de gestion des notes de frais et restent très exposées à ce risque. Jenji*, le spécialiste de la gestion des dépenses professionnelles, revient sur les techniques de fraude les plus courantes et quelques conseils pour y mettre fin.
Les fraudes les plus courantes
Inviter une personne au restaurant en prétendant qu’il s’agit d’un client.
Se faire rembourser une note de frais deux fois en fournissant un duplicata ou une dépense personnelle en la faisant passer pour une dépense professionnelle.
Présenter un reçu écrit en langue étrangère ou dans un alphabet non latin en mentant sur la dépense qu’il représente.
Réaliser une fraude aux fournisseurs.
Les manières de combattre les fraudes Il est important, dans un premier temps, de prendre conscience de l’ampleur du problème et de mettre en place, dans un second temps, des outils qui permettent de lutter efficacement contre ce phénomène. La solution réside dans un outil de digitalisation des notes de frais, qui permet un contrôle beaucoup plus strict des dépenses professionnelles, tout en simplifiant les processus de gestion de l’entreprise.
Il existe notamment 3 manières de lutter contre cette fraude :
Définir une politique de dépenses professionnelles structurée avec des flux de validation précis et des contrôles réguliers.
Utiliser un outil dédié à la gestion des notes de frais pour automatiser le processus.
Mettre en place une politique de dissuasion et de sanction.
*Fondé en 2015, Jenji est l’un des leaders sur le marché des solutions de ‘l’expense management’ et de la dématérialisation pour les entreprises. Aujourd’hui, la start-up compte plus de 1 000 clients dans tous les secteurs d’activité comme Man Truck & Bus, Matmut, l’Assemblée Nationale et GRT gaz.
Pass sanitaire : mode d’emploi à destination des professionnels
La direction générale du travail vient d’adresser de nouvelles instructions aux services de l’inspection du travail pour renforcer l’accompagnement et le contrôle sur la mise en œuvre du télétravail dans les entreprises et le respect des mesures de prévention face au Covid.
Ces instructions rappellent que lorsque les tâches sont ‘télétravaillables’», elles doivent être ‘télétravaillées’ pour éviter les interactions et l’exposition des salariés au risque de contamination. Le recours au télétravail peut être total si la nature des tâches le permet ou partiel si seules certaines tâches peuvent être réalisées à distance. Par ailleurs, la possibilité de permettre aux salariés d’être présents en entreprise une journée par semaine demeure. Cependant, elle est soumise à la demande individuelle de chaque salarié afin de prévenir le risque d’isolement.
Il est ainsi demandé aux agents de contrôle de l’inspection :
de vérifier systématiquement les mesures prises pour lutter contre le risque de contamination et la mise en œuvre du télétravail lors de tout contrôle dans une entreprise. Cette vérification portera, en premier lieu, sur les conditions d’information et de consultation du CSE (Comité social et économique), sur la définition des tâches ‘télétravaillables’» et les modalités pratiques de mise en œuvre du télétravail.
de contacter en particulier les entreprises des secteurs où le télétravail est facilement applicable mais a été moins pratiqué ces dernières semaines, pour s’assurer que les recommandations du protocole national sont bien respectées.
de mobiliser sur ce sujet les partenaires sociaux tant au niveau régional que départemental, afin d’insister d’une part sur l’enjeu que constitue le recours au télétravail pour éviter un nouveau confinement, et, d’autre part, sur l’importance d’associer les représentants du personnel dans sa mise en œuvre.
de rappeler aux PME l’appui que peut leur fournir l’Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail et son réseau régional (Anact-Aract) pour faciliter le déploiement du télétravail.
de rappeler aux entreprises l’aide que peut leur apporter leur service de santé au travail pour la mise en place du télétravail et la prévention des risques professionnels qui y sont liés (isolement, lombalgies, RPS…).
de faire connaître le numéro vert mis en place par le ministère du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion pour répondre aux difficultés rencontrées par les télétravailleurs.
S’agissant des salariés dont les tâches ne peuvent être totalement télétravaillées, les agents de contrôle de l’inspection du travail vérifieront la bonne mise en œuvre des mesures de prévention prescrites par les autorités sanitaires. Ils cibleront les secteurs et entreprises où des situations dangereuses ont été signalées par les salariés et leurs représentants ainsi que dans les clusters déjà identifiés.
Quels secteurs seront ciblés prioritairement ?
Une attention particulière sera accordée au secteur du BTP et au travail saisonnier dans les exploitations agricoles ainsi qu’au commerce de détail, au secteur médico-social, aux plateformes logistiques et aux abattoirs. Les points de vigilance porteront notamment sur les locaux collectifs, les modalités de transports collectifs mises en place par les entreprises, les espaces collectifs de travail et les locaux d’hébergement et de restauration collectifs. En France, depuis le début de la crise sanitaire les agents de l’inspection du travail ont effectué 64 000 interventions liées à l’épidémie de Covid. Près de 400 mises en demeure ont été adressées aux entreprises qui ne respectaient pas leurs obligations de prévention (dont 35 spécifiquement sur le télétravail pour les mois de novembre et décembre 2020). Dans 93% des cas, ces mises en demeure ont été suivies d’effets.