3 juillet 2024 |

Ecrit par le 3 juillet 2024

Les fromages les plus consommés en France

C’est une petite révolution au pays des mille fromages. Pour la première fois, les ventes de mozzarella ont dépassé celles du plus emblématique des fromages français, le camembert. « Depuis le début de l’année jusqu’au 11 septembre on a vendu 29 230 tonnes de camemberts en France contre 33 170 tonnes de mozzarella », détaille le président du Syndicat normand des fabricants de camemberts, Fabrice Collier, interrogé dans les colonnes du Figaro.

Comme le met en évidence notre graphique, basé sur les données de FranceAgrimer, cela fait déjà plusieurs années que les ventes de camembert sont sur le déclin, tandis que celles du célèbre fromage italien à pâte filée ne cessent d’augmenter. Parmi les fromages les plus consommés par les Français, le camembert est le seul à avoir connu une baisse des ventes au cours des cinq dernières années (-11 % en volume). De son côté, la mozzarella est le fromage qui a le plus progressé depuis 2015, avec une hausse de plus de 60 % des volumes écoulés, devant les buchettes de chèvre affinées (+33 %) et la raclette (+30 %). Mais c’est l’emmental qui reste de loin le fromage le plus consommé : plus de 160 000 tonnes se sont vendues en France l’année dernière.

Bien entendu, ces chiffres de ventes s’expliquent également par la façon de consommer ces différents fromages. Le camembert et le comté sont par exemple plutôt des fromages de plateau, davantage consommé au restaurant ou avant le dessert, alors que la mozzarella et l’emmental sont beaucoup plus utilisés en cuisine, trouvant leur place dans de nombreuses recettes.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Les fromages les plus consommés en France

Alexandre Davoust a repris la Brasserie du conservatoire en 2013, rue Saint Jean Le Vieux , Place Pie à Avignon. Il évoque la reprise d’activité de son établissement depuis le 19 mai où il emploie 8 personnes à l’année et jusqu’à 25 personnes en saison. L’établissement est ouvert tous les jours sauf le 25 décembre et le 1er janvier de 7h30 à minuit 30, avec une moyenne de 120 couverts par jour et une fréquentation élevée de la clientèle locale et touristique au déjeuner.

« Nous avons passé tous les mois d’hiver à la maison, sans activité, en étant aidés plus particulièrement en début d’année et jusqu’au mois de mai car notre structure engage de nombreux frais fixes. Nous disposons de 77 places en intérieur et de 130 en extérieur. En temps ordinaires nous réalisons un chiffre d’affaires annuel de 950 000€ hors taxes. Nous avons ré-attaqué la saison avec 70% de limonade (partie boisson de l’activité) et 30% de restauration, alors qu’auparavant nous faisions 60% de restauration et 40% de limonade. La tendance s’est donc vraiment inversée.»

En juillet

« Nous avons retrouvé nos habitudes avec l’arrivée des touristes et les festivaliers en juillet, même si nous accusions une baisse de l’activité de 20%. Le mois d’août a attaqué très très fort avec une hausse de fréquentation de la clientèle de 17% environ jusqu’au 9 août, chiffre qui s’est inversé avec la promulgation du pass-sanitaire dès le 10 août. Des personnes ne sont plus venues d’elles-mêmes, nous avons dû en refuser d’autres, ce qui a minoré la fréquentation de notre établissement à nouveau. Ce que nous avions gagné en clientèle début août s’évanouissait instantanément. Nous avons perdu notre clientèle locale du petit café du matin et du déjeuner. En cause ? Plusieurs facteurs : des personnes ne voulant pas se faire vacciner et d’autres pas encore à jour de leur vaccin. Ce que l’on espère ? Qu’il n’y aura plus de couvre-feu ni de confinements dans les mois à venir. Nous avons surtout ressenti une baisse de la restauration et de la limonade le soir. L’effet de la rentrée de septembre a sans doute également impacté notre commerce. »

Au plan personnel

« Avec le confinement j’ai pu vivre pour la 1re fois de ma vie du matin au soir avec mon épouse et mes enfants ce qui n’était auparavant possible que durant de courtes vacances. Puis, lorsque l’école a repris, j’ai pu les accompagner, aller les chercher, faire des activités périscolaires quand s’en présentait l’occasion, de même que s’adonner à des activités le week-end. Nous profitions enfin d’être ensemble, alors oui, ça a changé ma façon d’aborder la vie. J’ai complètement réorienté ma façon de travailler. Pour cela j’ai embauché un directeur de restaurant pour créer une importante équipe d’arrière-saison et d’hiver afin de pouvoir me libérer et être plus disponible sur le plan personnel et également professionnel pour travailler avec des fournisseurs locauxdont notamment les vignerons car j’adore le vin, enfant j’ai planté des vignes chez mes parents et plus tard j’ai essayé de faire du vin (rires). »

Recruter

« Est-ce que recruter reste un exercice difficile ? Cette difficulté est installée depuis plusieurs années. J’ai perdu des salariés qui étaient en CDI (Contrat à durée indéterminée) juste avant la réouverture. Ils avaient choisi de se réorienter, de changer de métier. Je propose des CDI et des CDD (Contrat à durée déterminée) transformables en CDI. Je vais me retrouver avec 7 serveurs en salle, plusieurs apprentis en salle et en cuisine. J’ai également embauché deux chefs de cuisine. »


Les fromages les plus consommés en France

Il s’agit d’une évolution majeure dans nos sociétés : les Français boivent de moins en moins d’alcool. Si la tendance est connue et observée depuis plusieurs décennies, les données de l’Insee permettent d’en mesurer l’ampleur et de visualiser plus en détail les changements de consommation.

Ainsi entre 1960 et 2018, la consommation de boissons alcoolisées a été divisée par plus de deux. Un Français buvait en moyenne 200 litres d’alcool par an à l’époque, il n’en boit aujourd’hui plus que 80 litres. Ce déclin s’est principalement produit entre les années 1960 et la fin des années 1990, avec la mise en place des politiques publiques de lutte contre l’alcoolisme (loi Évin par exemple). Mais la tendance perdure encore de nos jours : entre 2010 et 2018, la consommation annuelle de boissons alcoolisées a ainsi diminué de 4 litres par personne.

Dans le détail, on remarque que si les Français boivent moins d’alcool, c’est essentiellement parce qu’ils se sont détournés du vin. De 128 litres en moyenne en 1960, la consommation de vin par habitant a chuté à 36 litres en 2018. Pour se donner une idée, cela signifie qu’un Français boit aujourd’hui en moyenne un verre de vin par jour, alors qu’il en buvait entre trois et quatre en 1960. Si la consommation de nos aînés à de quoi impressionner, il faut savoir qu’il était courant de voir des enfants consommer du vin à l’époque. Il faudra en effet attendre 1956 pour que l’État interdise la distribution d’alcool dans les cantines, et seulement pour les moins de 14 ans à cette date.

Comme l’indique notre graphique, la baisse de la consommation de vin concerne ainsi exclusivement les vins dits de « consommation courante », c’est à dire les vins de table. Car dans le même temps, la consommation s’est davantage orientée vers les vins de qualité (IGP, AOP), notamment à partir des années 1980. Avec le champagne, les vins de qualité sont ainsi la seule catégorie de boissons dont la consommation a augmenté depuis 1960. Concernant les autres boissons alcoolisées, on constate que la consommation de bière et de spiritueux est restée à peu près stable au cours des dernières décennies, tandis que celle de cidre a connu un fort déclin entre 1960 et 1980.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Les fromages les plus consommés en France

Avec 89 millions d’unités vendues depuis son lancement en 2017, la Nintendo Switch, dont les ventes ont explosé avec la pandémie de coronavirus, est en passe de devenir la console de salon la plus populaire produite par Nintendo. Alors qu’elle dépasse déjà les ventes de la PlayStation 3 et de la Xbox 360, elle est en passe de passer devant la Wii et la première PlayStation, ce qui en ferait la troisième console la plus vendue de tous les temps.

Toutefois, la Nintendo Switch a encore un long chemin à parcourir pour dépasser la PlayStation 2, qui reste la console de salon la mieux vendue de l’histoire. La légendaire console de Sony, lancée en mars 2000, s’est vendue à plus de 155 millions d’exemplaires depuis lors. Le fabricant japonais domine le marché des consoles de salon depuis deux décennies et demi : trois de ses PlayStation figurent en tête du classement des plus grands succès commerciaux. Outre Sony, seul Nintendo, avec sa célèbre Wii, a réussi à dépasser le seuil des 100 millions d’unités vendues pour une console de salon.

Lancées en novembre 2020, les dernières générations de consoles commercialisées par Sony et Microsoft, la PlayStation 5 et la Xbox Series X/S, ont réalisé le meilleur démarrage pour une console créée par les deux constructeurs. Mais il faudra patienter encore un peu avant de les voir apparaître dans le top 10 des ventes. En juillet 2021, Sony a annoncé que sa dernière console avait passé le cap des 10 millions d’unités vendues, confirmant son objectif de vendre au moins 15 millions d’exemplaires sur l’année fiscale en cours.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Les fromages les plus consommés en France

Avec la chaleur qui s’installe un peu partout en France, plusieurs appareils risquent de tourner à plein régime dans les foyers, comme le climatiseur ou le réfrigérateur. Grâce à quelques astuces, il est possible d’éviter les mauvaises surprises sur la facture d’électricité, tout en adoptant une consommation éco-responsable. Le comparateur Selectra a ainsi compilé 7 conseils simples à appliquer chez soi.

1 – Privilégier le ventilateur au climatiseur
La consommation électrique d’un climatiseur est jusqu’à 62 fois plus importante que celle d’un ventilateur. Dans l’idéal, en cas de forte chaleur, il vaut ainsi mieux privilégier l’utilisation d’un ventilateur, à la fois plus économique et plus écologique. Cependant, si l’on possède un climatiseur, deux conseils pour en optimiser sa consommation : l’entretenir régulièrement pour éviter que les filtres sales n’engendrent une surconsommation inutile ; placer les blocs de façon stratégique : dans les pièces les plus fréquentées, en hauteur et sans aucun obstacle autour, afin que le froid circule au mieux.

2 – Faire attention à l’usage et à l’entretien du réfrigérateur
Un réfrigérateur consomme presque 400 kWh par an en moyenne, tandis que le congélateur en consomme en moyenne 550 kWh. Pendant l’été, le réfrigérateur et le congélateur tournent à plein régime, il est important de penser à effectuer un entretien périodique qui permettra d’éviter d’utiliser de l’énergie inutilement. En plus de vérifier l’état des joints, il est utile de dégivrer la partie freezer tous les 3 mois pour éviter la création d’une couche de glace. Ce dernier réflexe permet de réduire la consommation d’un appareil combiné (réfrigérateur et congélateur) jusqu’à 30%. 

3 – Minimiser l’usage des luminaires

Pour réduire le coût de la facture d’électricité pendant la saison estivale, il est préférable de profiter de la lumière naturelle, en minimisant l’usage des luminaires. Il est également conseillé d’utiliser des LED pour l’éclairage, qui consomment environ 90% de moins que les lampes halogènes et environ 66% de moins que les lampes fluorescentes. Malgré un coût d’achat plus important, les LED sont ainsi vite rentabilisées, d’autant qu’elles ont une durée de vie bien plus longue que les ampoules classiques.

4 – Eviter d’utiliser le sèche-linge
Profiter du soleil et de la chaleur estivale pour étendre le linge à l’extérieur, évitant ainsi d’utiliser le sèche-linge. C’est une bonne habitude à prendre, car le sèche-linge fait partie des appareils les plus énergivores dans un logement, avec une consommation moyenne de 350 kWh/an. En plus d’importantes économies d’énergie, le linge sèche mieux au soleil : ce séchage naturel permet de garder le linge plus blanc et a un effet assainissant.  

5 – Optimiser l’usage du lave-linge et du lave-vaisselle
Pendant la saison estivale, il est important de limiter la consommation d’eau, compte tenu de la faible pluviométrie : il est donc conseillé de démarrer la machine à laver et le lave-vaisselle uniquement à pleine charge, et réglés sur basse température. Ainsi, pour un lave-linge, un cycle à 40°C permet d’économiser 25% d’énergie par rapport au cycle à 60°C. Les lave-vaisselles les plus récents disposent d’une touche « éco » qui peut réduire jusqu’à 45% les consommations d’électricité selon les modèles. De plus, pour économiser davantage, Selectra suggère d’éviter les options prélavage et séchage : il suffit de laisser sécher la vaisselle ou le linge à l’air naturel.

6 – Ne pas oublier les appareils en veille

Selon l’Ademe, 15 à 50 équipements par foyer sont en veille. Si ceux de dernière génération ont désormais réduit leur consommation, appareils divers et consoles de jeux consomment toujours de l’électricité s’ils restent en veille sur leurs prises. C’est ce que l’on appelle la consommation cachée des appareils. On estime que cette consommation représente environ 10% d’une facture d’électricité en moyenne. Il est recommandé de connecter ces équipements à une prise multiple équipée d’un interrupteur qui, une fois éteinte, coupe complètement l’alimentation de tous les appareils qui y sont attachés. Cette solution est utile et rapide surtout lorsque l’on quitte son domicile tout un week-end ou durant les vacances estivales.

7 – Participer à un achat groupé d’énergie renouvelable
En partenariat avec le WWF France, Selectra a lancé sa seconde édition d’achat groupé d’énergie 100% renouvelable. Le principe : jouer sur la force du nombre pour négocier des tarifs de groupe sur une offre d’électricité et de gaz répondant à des critères de développement durable. Plus les participants seront nombreux, plus la force de négociation sera grande ! Préinscription gratuite et sans engagement sur club.selectra.info/wwffrance

L.M.


Les fromages les plus consommés en France

Pixpay, la carte de paiement destinée aux 10-18 ans vient de publier son baromètre 2021 sur ‘Les habitudes de consommation des adolescents’. Cette étude, réalisée auprès de 50 000 de ses utilisateurs du 1er janvier 2020 au 15 mars 2021, dresse notamment le palmarès des marques faisant le plus l’objet de transaction de la part des ados dans l’Hexagone.
Ainsi, en Provence-Alpes-Côte d’Azur c’est l’enseigne McDonald’s qui arrive en tête avec 4,1% des transactions des 10-18 ans. Arrivent ensuite Apple (2,9%), Amazon (2,4%), Casino (2,4%) et Monoprix (2,4%). Ce top 10 régional est ensuite complété par Playstation* (1,9%), Google (1,7%), Intermarché (1,5%), Ali express (1,5%) et Playstation* (1,5%).
Cependant, il existe quelques disparités au sein même de la région. Ainsi, à Marseille, c’est Casino (2,8%) qui arrive en 2e position devant Apple alors qu’à Nice les 2 premières places sont occupées respectivement par Monoprix (4,5%) et le réseau de transport Lignes d’Azur (3,4%). A Montpellier, Casino (5,1%), McDonald’s (4,7%) et Monoprix (3,3%) constituent le trio de tête.
Au niveau national, le podium est constitué de McDonald’s, Apple et Playstation. Suivis après d’Amazon, Ali express, Monoprix, Google, Vinted, Shein et Carrefour city.

Habitudes de consommation
Le système de paiement copiloté par les parents Pixpay constate que le montant moyen de transaction des ados en France se monte à 12,2€ pour des fréquences de dépense par mois de l’ordre de 4 utilisations. Par ailleurs, le montant mensuel versé sur les cartes s’élève à 56€.
Les dépenses des ados sont regroupées autour de quatre catégories phares : les supermarchés et l’alimentation (29%), les fastfoods (13%), les vêtements et accessoires (9%) et le ‘gaming’ (jeux vidéo ou en ligne – 6%).
Des ados qui utilisent principalement leur carte de paiement entre 13h et 15h et 17h et 19h ainsi que le mercredi et le vendredi pour les dépenses dans la restauration rapide et le samedi pour le ‘gaming’. A noter que 7% des transactions sont déjà réalisées via les applications Apple pay (qui représente 91% de ces transactions) et Google pay (9%).

*Playstation apparaît deux fois dans ce classement, une fois au titre de son service de paiement en ligne et une autre au titre de Playstation store.


Les fromages les plus consommés en France

Vacances, soleil et levée progressive des restrictions en France et dans de nombreux pays du monde… en été, tous les ingrédients sont à priori réunis pour se faire quelques petits plaisirs et craquer pour une glace.

Les données du Statista Consumer Market Outlook révèlent que le monde aime la crème glacée, néanmoins de grandes différences s’observent aux quatre coins de la planète. Si les Belges en sont les plus friands, avec une consommation annuelle moyenne estimée à presque 17 kilos par habitant en 2021, les Indiens se contentent quant à eux d’un peu moins d’un kilo par an, soit juste un peu moins que les Chinois (1,7 kg par an en moyenne).

En France, chaque habitant déguste en moyenne 4,9 kilos de glace chaque année – soit environ la moitié de ce que consomment nos voisins espagnols (9 kilos par an).

De claire Jenik pour Statista


Les fromages les plus consommés en France

Encore considéré comme une niche il y a une dizaine d’années, le secteur de l’alimentation biologique a véritablement pris son envol en France au cours de la dernière décennie, comme le mettent en évidence les chiffres de l’Agence Bio. En 2010, 4 % des exploitations agricoles et environ 3 % des terres cultivées étaient engagées dans une production biologique, alors que le chiffre d’affaires national de la filière s’élevait à 3,7 milliards d’euros. Aujourd’hui, l’agriculture biologique concerne plus d’une exploitation agricole sur dix et plus de 8 % de la surface agricole utile, tandis que le chiffre d’affaires du secteur a été multiplié par trois pour atteindre près de 12 milliards d’euros en 2019.

En parallèle, la consommation de produits biologiques s’est largement démocratisée au sein de la population française. Il y a dix ans, environ le quart des Français consommaient des produits biologiques au moins une fois par semaine, pour une dépense annuelle moyenne de 57 € par habitant. De nos jours, la proportion de consommateurs hebdomadaires s’élève à environ la moitié de la population et les Français consacrent en moyenne trois fois plus d’argent à l’alimentation bio.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Les fromages les plus consommés en France

Depuis quelques années, les néobanques se multiplient et gagnent du terrain. Là où les acteurs historiques, tel la Caisse d’Épargne ou la Société Générale, reposent principalement sur une structure constituée d’agences, les néobanques, issues des fintechs, jouent à 100 % la carte du numérique. Les banques mobiles permettent notamment de gérer ses économies depuis un smartphone, grâce à des applications. En proposant des tarifs relativement bas et en ciblant plus spécifiquement les « digital natives », ces dernières concurrencent de plus en plus les banques traditionnelles, qui ont elles aussi été amenées à développer leurs propres interfaces mobiles ces dernières années. Trois néobanques dominent actuellement ce marché prometteur en France : N26, Revolut et Orange Bank, des services qui comptent déjà chacun entre un et deux millions de clients dans l’Hexagone.

Comme le montrent les dernières données issues du Statista Global Consumer Survey, l’adoption des services bancaires mobiles est déjà très avancée en Chine et au Royaume-Uni. Dans ces deux pays, la part des répondants déclarant utiliser ce genre de service s’élève respectivement à 70 % et 63 %, soit parmi les taux les plus élevés enregistrés dans l’étude. En comparaison, un peu moins de la moitié des Français titulaires d’un compte bancaire affirmait utiliser une application mobile pour gérer son argent cette année, tandis que les Japonais font partie des plus sceptiques à cet égard (seulement 22 % d’utilisateurs).

De Tristan Gaudiaut pour Statista

https://echodumardi.com/tag/consommation/page/4/   1/1