5 décembre 2024 |

Ecrit par le 5 décembre 2024

Black Friday, 91% des français comptent bien en profiter

La carte bleue va chauffer. Les Français vont être très nombreux à vouloir profiter du black Friday pour faire de bonnes affaires face à la vie de plus en chère. Ils sont aussi très nombreux à vouloir profiter du black Friday pour leurs achats de Noël.  Et parmi ces cadeaux, un vrai engouement pour la mobilité douce et l’achat de vélo et trottinette …

Le Black Friday fait partie de ce qu’on appelle en anglais le ‘golden quarter’ (le trimestre doré). Ce terme désigne le quatrième trimestre de l’année, le plus lucratif pour le e-commerce avec ses nombreux temps forts dans le calendrier marketing comme Halloween, le Singles Day, le Black Friday, le Cyber Monday, Noël et le Nouvel An.

Ce que représente le Black friday
Le e-commerce représente désormais 13,4 % du commerce de détail en France. En 2020, il a entraîné un pic de ventes de + 127 % ; 62 % des Français font des achats chaque année à l’occasion du Black Friday. 1 Français sur 3 considère le Black Friday comme un bon moyen de faire des économies et de faire ses achats de Noël en avance. Les produits tech, mode et beauté font partie des plus vendus lors du Black Friday. 46 % des consommateurs prévoient d’acheter auprès des petits commerçants. Enfin, 33 % des consommateurs pensent que le Covid-19 a définitivement changé les habitudes de consommation.

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Montée en puissance du Black friday
Le Black Friday illustre la montée en puissance du e-commerce en France et à travers le monde. Les estimations de Deloitte, prévoyaient une augmentation des ventes en ligne entre 11 et 15 %  en fin d’année 2021 par rapport à la fin de l’année 2020. Face à l’inflation qui touche tous les secteurs et tous les consommateurs, Channable, société spécialisée dans la gestion de flux et l’automatisation SEA (Shopping …), a enquêté sur le comportement des internautes face au Black Friday 2022 qui aura lieu du vendredi 25 novembre jusqu’au Cyber Monday, le lundi 28 novembre, même si certaines promotions seront proposées dès lundi 21 novembre.

Ce qui résulte de ce sondage
91 % des Français vont profiter du Black Friday ; 81 % des répondants comptent sur le Black Friday pour compenser leur baisse de pouvoir d’achat due à l’inflation ; 83 % vont profiter du Black Friday pour faire leurs achats de Noël ; 79 % iront sur des sites e-commerce pure-players ; 52 % iront directement sur le site e-commerce de la marque recherchée ; 23 % dans un grand magasin et 20% dans un commerce de proximité.

Les dépenses envisagées
Pour le Black Friday, 33 % devraient dépenser de 150 à 300€ et 28 % entre 300 et 600€. Pour les achats de Noël, 30% envisagent de dépenser de 150 à 300€ s et 30% entre 300 et 600€. 35 % disposeraient d’un budget supérieur à l’an dernier pour le Black Friday. 33 % auront peut-être un budget inférieur à l’an dernier. 32 % auront peut-être un budget égal à l’an dernier.

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Les achats de Noël
Pour leurs achats de Noël, 65 % prévoient d’acheter des produits de mode. 49% des produits High Tech, 45 % des jouets et 10 % vont acheter des produits pour la mobilité douce : vélo électrique, trottinette … Pour le Black Friday, 78 % vont acheter des produits de mode ; 52 % des produits High Tech …

Famille, amis, proches et publicité
51 % des répondants reconnaissent être influencés par leurs amis, leur famille et leurs proches pour l’achat d’un produit 36 % par une publicité sur les réseaux sociaux et 29% par des avis en ligne 35 % de la publicité ciblée que reçoivent les consommateurs correspond parfois à leurs attentes, 34% souvent. 52 % des répondants déclarent recevoir beaucoup trop de publicités ciblées 35 % les trouvent trop intrusives. 72 % des répondants vont directement sur des sites qu’ils connaissent déjà 83 % des internautes comparent les prix avant d’acheter 42% regardent si les modes de livraison sont gratuits ou payants.
MH

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Black Friday, 91% des français comptent bien en profiter

Environ deux tiers des Français consomment régulièrement des produits laitiers, selon la dernière enquête du Global Consumer Survey. Mais cette tendance est à la baisse chez les plus jeunes : seuls 40 % des représentants de la génération Z (18-27 ans) consomment du lait, yaourt ou fromage de façon régulière. Comme le montre notre infographie, une nette évolution des habitudes alimentaires est également visible pour d’autres produits, comme la viande, le café ou le vin.

Pour la viande, par exemple, près de 20 % des jeunes de la génération Z déclarent s’en passer complétement. En comparaison, la part de ceux qui suivent un régime pescatarien, végétarien ou végan s’élève à 11 % chez les milléniaux (28-42 ans) et autour de 5 % pour les catégories d’âge suivantes (génération X et baby boomers).

Même trajectoire à la baisse pour le café : 68 % des Français en consomment régulièrement (dont plus de 80 % au-delà de 42 ans), mais seulement 43 % des 18-27 ans. Une partie des consommateurs de cette classe d’âge semble avoir remplacé le café par les boissons énergisantes : 20 % des 18-27 ans en boivent de manière régulière, contre une moyenne de 12 % pour l’ensemble de la population interrogée.

Autre tendance : les Français consomment de moins en moins d’alcool, et notamment de vin. Alors que près d’un baby boomer sur deux en boit régulièrement (46 %), ce chiffre est de 39 % pour la génération X, puis tombe à 28 % pour les milléniaux et 18 % pour les jeunes adultes de la génération Z.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Black Friday, 91% des français comptent bien en profiter

Alors que le conflit entre la Russie et l’Ukraine ne cesse de faire grimper les prix de l’énergie et pourrait même aboutir à des pénuries cet automne, le sujet de la sobriété énergétique occupe plus que jamais le devant de la scène.

Selon les données de l’Insee, autour de 10 % du budget annuel des Français est consacré à la consommation d’énergie, dont les principales sources sont le chauffage et l’électroménager. Si les appareils domestiques sont de plus en plus économes, les foyers ont parallèlement tendance à être de plus en plus équipés. Portée par l’essor de l’informatique et de l’électronique grand public, la consommation en électricité des ménages a ainsi augmenté en moyenne de 2 % par an au cours des trente dernières années.

De nos jours, chaque foyer possède en moyenne près d’une centaine d’appareils électriques ou électroniques. Et certains sont beaucoup plus énergivores que d’autres. Basé sur les chiffres de l’Ademe, notre graphique donne un aperçu de la consommation annuelle d’électricité d’une sélection d’équipements domestiques pour un niveau d’usage standard. Il montre également les économies que l’on peut réaliser en fonction de l’efficacité des appareils actuellement disponibles sur le marché.

Ce n’est pas parce qu’un équipement est peu utilisé qu’il ne pèse pas lourd sur les factures d’énergie. Si l’on prend l’exemple du sèche-linge, utilisé pour seulement quelques cycles d’une à deux heures par semaine, il fait partie des appareils électroménagers les plus énergivores. Avec en moyenne plus de 300 kWh d’électricité consommée par an (variable selon le modèle et l’usage), un sèche-linge est environ deux fois plus gourmand qu’un réfrigérateur-congélateur, et trois fois plus qu’une télévision.

Outre l’éclairage du logement, où les LED permettent d’importantes économies par rapport aux ampoules plus anciennes, le réfrigérateur, la TV et le sèche-linge sont des exemples d’équipements pour lesquels les modèles les plus sobres en énergie ont le plus d’impact sur la consommation d’un foyer. Ramenée à la durée de vie des différents appareils (en moyenne autour de dix ans), l’économie sur les factures d’électricité peut se chiffrer à plusieurs milliers d’euros.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Black Friday, 91% des français comptent bien en profiter

L’étude 2021 de Booking.com sur le développement durable a interrogé près de 30 000 voyageurs dans 30 pays sur leur attitude à l’égard du tourisme durable. Les résultats ont montré qu’il existe un intérêt significatif pour les pratiques durables chez les consommateurs, leurs principales priorités étant la réduction des déchets (84 %) et la consommation d’énergie (83 %). Cette étude est menée chaque année depuis 2016 et rend compte d’une tendance croissante de l’intérêt pour les voyages et les logements durables, non seulement en matière de protection de l’environnement, mais aussi à travers le choix de formes de transport et d’hébergement ayant un impact positif sur les communautés locales et les émissions de CO2.

De Thomas Hinton pour Statista


Black Friday, 91% des français comptent bien en profiter

Au vue des dernière analyses réalisées sur les poissons provenant du tronçon du Rhône traversant le Vaucluse, il est fortement déconseillé de consommer des silures péchés dans ce dernier, car ils contiennent un taux trop élevé de polluants polychlorobiphényles (PCB).

En 2005, des analyses avaient révélé la présence de PCB dans certains poissons évoluant dans le Rhône. La consommation de ces derniers avait donc été interdite, puis modérée. L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) avait classé le tronçon du Rhône traversant le département de Vaucluse en zone de contamination moyenne. La consommation des poissons fortement bio-accumulateurs provenant de ce tronçon du Rhône était donc autorisée de façon exceptionnelle, une fois tous les deux mois pour les enfants et les femmes en âge de procréer, et deux fois par mois pour le reste de la population.

Afin de suivre l’état de cette contamination, la fédération des pêcheurs de Vaucluse vient de réaliser une campagne d’analyse de polluants sur différents poissons et a transmis aux services de l’État ces résultats d’analyse. Ces derniers révèlent la présence de PCB et de mercure à des concentrations élevées dans des silures pêchés dans le Rhône. En attendant d’avoir des consignes précises concernant leur consommation, celle-ci est fortement déconseillée.

V.A.


Black Friday, 91% des français comptent bien en profiter

Au 22 juillet 2022, 12 cas de syndrome hémolytique et urémique (SHU) ont été signalés en PACA et Occitanie depuis le 4 juin 2022. Les 12 cas sont âgés de 11 mois à 9 ans. Il s’agit de 5 filles et 7 garçons, qui ont présenté des symptômes entre le 4 juin et le 18 juillet 2022.

Santé publique France, en lien avec le Centre National de Référence des Escherichia coli (Institut Pasteur – Paris) et son laboratoire associé (Laboratoire de microbiologie de l’hôpital Robert Debré – Paris), la Direction générale de l’Alimentation, et en coordination avec la Direction générale de la Santé, ont immédiatement lancé les investigations sur les cas de SHU pédiatriques signalés depuis le mois de juin 2022 dans ces 2 régions afin d’identifier une éventuelle source de contamination commune et de mettre en place les mesures appropriées.

Le CNR et son laboratoire associé ont confirmé que 5 de ces enfants étaient infectés par une bactérie Escherichia coli (E. coli) O26 ayant les mêmes caractéristiques. Cette même bactérie a été détectée dans un fromage frais produit par la Fromagerie de l’Aupillon située à Trets (Bouches-du-Rhône).
Suite à ces résultats, les autorités sanitaires en lien avec le producteur ont décidé le retrait et rappel de toutes les denrées commercialisées ou produites par cette ferme, quelle que soit leur date de fabrication : lait, yaourts, fromages frais ou affinés (brousse, ricotta, pecorino, tomme…). Sur la période à risque, les produits vendus par la ferme de l’Aupillon ont essentiellement été distribués dans le Var et les Bouches-du-Rhône, dans des commerces de détail et des restaurants.

Les points de vente concernés par la distribution des produits suspects procèdent à leur retrait et à l’information des consommateurs grâce à des affichettes mises sur les lieux de vente concernés.
Il est demandé aux personnes qui détiendraient ces produits de ne pas les consommer et de les détruire. Une attention particulière est recommandée aux personnes qui auraient visité la Ferme de l’Aupillon située à Trets (Bouches-du-Rhône) ou acheté des produits laitiers non pasteurisés issus de cette ferme.
Les personnes qui dans les 3-4 jours après la consommation des produits issus de la ferme ou de la visite de la ferme (10 jours maximum) présenteraient de la diarrhée, des douleurs abdominales ou des vomissements, sont invitées à consulter rapidement leur médecin traitant en lui signalant cette consommation et le rappel des produits par l’entreprise et à conserver l’emballage du produit.
En l’absence de symptômes il n’y a pas lieu de s’inquiéter.

Pour plus d’informations :
1. Syndrome hémolytique et urémique (Santé Publique France)
Les Escherichia coli entérohémorragiques (EHEC) – Connaître la bactérie pour éviter les intoxications (Anses)
2. Conseils d’hygiène dans la cuisine | Anses – Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail


Black Friday, 91% des français comptent bien en profiter

Boire une bière peut être très bon marché ou très cher, selon la ville où l’on se trouve quand la soif pour ce breuvage houblonné se fait sentir. Comme le met en évidence notre graphique, rien qu’en Europe, le prix d’une bière peut varier du simple au quadruple.

Les villes scandinaves sont parmi les plus chères du monde. À Oslo, en Norvège, il faut par exemple débourser entre 8 et 9€ pour boire une bière de 0,5L dans un bar ou restaurant. Dans les supermarchés, la note est également plutôt salée, puisqu’une bouteille d’un demi-litre y coûte un peu plus de 3€. Pour comparer avec la ville la plus chère de France, Paris, le prix moyen dans la capitale française est de 6€ dans un débit de boisson et d’un peu moins de 2€ en magasin.

Une soirée au bar revient nettement moins chère à Berlin, où la pinte coûte en moyenne 4€. Mais les prix les plus avantageux se trouvent au Sud et à l’Est du continent. À Madrid, une bière de 0,5L en terrasse revient en moyenne à 4€ et le prix descend même autour de 2€ à Lisbonne et à Prague.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Black Friday, 91% des français comptent bien en profiter

La pandémie et la guerre en Ukraine perturbent les chaînes d’approvisionnement dans le monde entier et participent à la hausse des prix constatée ces derniers mois, en particulier ceux de l’énergie et de l’alimentation.

Selon les chiffres publiés par l’Insee, le prix des produits alimentaires a augmenté de 3,4 % sur un an en France (données de mars 2022). Mais cette valeur représente une moyenne et certains aliments sont devenus beaucoup plus chers. C’est le cas de produits couramment consommés comme le poisson, la viande, les produits à base de blé dur (pâtes, couscous) et les fruits et légumes, avec des hausses allant de 6 % à plus de 20 %.

Les principaux facteurs contribuant à cette évolution des prix sont le coût des matières premières énergétiques et des engrais. Les cultures sous serre, plutôt énergivores, sont ainsi particulièrement impactées par la flambée du gaz. Cela s’observe avec les tomates, par exemple, dont le prix a augmenté de près de 24 % par rapport à l’année dernière (9 % depuis janvier 2022).

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Black Friday, 91% des français comptent bien en profiter

La coopérative culturelle Akwaba* a ouvert depuis le 15 avril et jusqu’au 17 juin un marché artisanal de produits 100% locaux et éco-responsables. Tous les vendredis à 17h30, le marché s‘installe sur le tiers-lieu culturel à Châteauneuf-de-Gadagne en ‘before’ des soirées Lokaaal (19h) qui proposent des concerts d’artistes locaux.

Proposer une vision différente de la consommation
C’est la première fois que la coopérative met en place un marché de ce type sur une longue période, eux qui organisent déjà deux marchés par an (à Noël et au printemps).
Pour Akwaba, proposer ce rendez-vous hebdomadaire permet d’apporter une vision différente de la consommation, privilégie le circuit court et le développement des producteurs, créateurs, artisans et artistes locaux. C’est un projet citoyen, avec une traçabilité des produits assurée, une éco-responsabilité exigée et des produits issus d’un rayon de 50 kilomètres maximum.
Le but : créer une dynamique entre les acteurs des communes, leurs habitants et participer au développement intercommunal tout en proposant des alternatives à la consommation actuelle pour un meilleur respect de l’environnement.

Tiers-lieu culturel
En plus du marché, le tiers-lieu culturel propose d’autres événements comme des expositions, des scènes ouvertes, des journées professionnelles, des soirées cinéma ou encore des dégustations.
Il regroupe quatre structures qui répondent à des besoins complémentaires sur le territoire de la communauté des communes du Pays des Sorgues, Monts de Vaucluse et sur le département de Vaucluse. Freesson, Musical’isle et Natura’live en font partie, en plus d’Akwaba.
Bar et ‘petite restauration’ disponibles sur place, avec des produits frais, locaux et biologiques.

Alice Durand

Plus d’information sur www.akwaba.coop

Akwaba. 500 chemin des Matouses. Châteauneuf de Gadagne. A partir de 17h30 le vendredi.

* Akwaba signifie  ‘bienvenue’ ou plus précisément ‘bonne arrivée’ dans la langue des Akan, peuple vivant en Côte-d’Ivoire et au Ghana.

https://echodumardi.com/tag/consommation/page/3/   1/1