Le Pontet/Sorgues : La rénovation du pont enjambant la voie rapide d’Avignon-Nord est terminée
Débutés en mars dernier, les travaux de rénovation du pont surplombant la RD 907n entre Le Pontet et Sorgues viennent de s’achever. Cette très lourde intervention menée par le Conseil départemental de Vaucluse a notamment nécessité la limitation et même parfois l’interruption du trafic routier sur cette voie rapide parmi les plus fréquentée du département. Des fermetures réalisées plutôt le week-end et la nuit afin d’en minimiser au maximum l’impact sur cet axe desservant Avignon ainsi que la zone commerciale d’Auchan-Le Pontet.
L’opération, d’un coût total de 1,7M€, a notamment nécessité la surélévation temporaire de l’ouvrage construit en 1974. En effet, le tablier de la structure en béton présentait une fissure longitudinale importante due à la variation de température dans la dalle et au trafic élevé supporté par l’ouvrage.
1 317 ponts à gérer En tout, le Département a en charge 1 317 ponts dont la moitié a une portée supérieure à 10 mètres. Environ 10 % présentent un problème sur la structure mais sans caractère d’urgence à l’exception du pont roman de Bédarrides (ex RD16) et du pont sur le Calavon sur la RD 900 à Saint-Martin-de-Castillon qui seront menés rénovés en 2025. Des études ont été aussi engagées pour connaître l’état du pont sur le canal de Donzère-Mondragon sur la RD 907 que la Département a récupéré des services de l’État (Dirmed).
Des murs, des tunnels et même des filets de protection Le Département a également en charge la gestion de 1 302 murs de soutènement supérieurs à 2 mètres de hauteur (dont 3 % doivent faire l’objet de travaux d’urgence), 5 tunnels (dont celui du Barroux -24 mètres- est le plus long), 83 PPHM (Portiques, potences et hauts mâts) ainsi que 32 sites équipés de dispositifs de protection contre les chutes de pierre. Pour ces derniers, les sites les plus importants se trouvent sur la falaise Saint-Eucher à Beaumont-de-Pertuis (RD996) où 1 km de falaises sont équipés ainsi que le long du chemin piétonnier menant à la source de Fontaine de Vaucluse.
Le Pontet/Sorgues : La rénovation du pont enjambant la voie rapide d’Avignon-Nord est terminée
Organisée le samedi 29 juin prochain, cette matinée ‘portes ouvertes’ s’inscrit dans la campagne de promotion du métier que le Département a lancée, l’an dernier, visant à embaucher 100 assistants familiaux. « La profession est en effet confrontée à de nombreux départs en retraite mais aussi à une insuffisance de nouveaux candidats, malgré des besoins croissants », explique le Département.
Salarié du département, l’assistant familial accueille jour et nuit à son domicile des mineurs de tous les âges ou des jeunes de moins de 21 ans. Sa mission principale est d’accompagner les enfants vers l’autonomie, en veillant à leur offrir un environnement favorable à leur épanouissement. Les assistants familiaux bénéficient d’une formation continue et d’un accompagnement professionnel en lien avec les services du Département. Lors ce cette matinée de nombreuses questions seront abordées, comme la rémunération (environ 2 000€ nets pour l’accueil d’un enfant), l’agrément, la formation et tous les aspects du métier et de la vie quotidienne…
Matinée d’information sur les métiers d’assistant familial. Samedi 29 juin. 10h à 13h. Salle des fêtes. Avenue Napoléon Bonaparte. L’Isle-sur-la-Sorgue. Renseignements au 06 42 97 18 48. www.vaucluse.fr
Chayma Ajel-stagiaire
Le Pontet/Sorgues : La rénovation du pont enjambant la voie rapide d’Avignon-Nord est terminée
Vaucluse Provence Attractivité, l’agence de développement économique et touristique du conseil départemental de Vaucluse, vient de lancer Vaucluse santé attractivité. La démarche, menée en partenariat avec les institutions phares du secteur de la santé, vise à faciliter l’installation de médecins généralistes dans le département. Une initiative inédite dans la région qui s’inscrit dans la dynamique déjà engagée par le Conseil départemental dans le secteur de la santé.
« La santé ce n’est peut-être pas une compétence du Département, mais c’est une préoccupation des Vauclusiens. Aujourd’hui, c’est même un sujet qui est passé devant les problèmes de sécurité », a insisté Dominique Santoni, présidente du Conseil départementale de Vaucluse lors du lancement de Vaucluse santé attractivité. Ce nouvel outil est destiné a attiré des médecins généralistes dans le département afin d’anticiper l’accélération de la baisse du nombre de médecins sur l’ensemble du territoire français. Une pénurie de praticiens qui s’explique par le non-remplacement de médecins souvent isolés, la dureté de la profession, la disponibilité qu’elle exige et le numérus clausus qui, jusqu’en 2021, a limité le nombre de médecins diplômés. Si la situation n’est pas plus mauvaise en Vaucluse (avec plus de 80 médecins pour 1 000 habitants, le nombre de généralistes est équivalent à la moyenne nationale), il faut notamment anticiper les changements démographiques à venir. « La population des plus de 75 ans devrait augmenter de 30% d’ici 2050, rappelle Loïc Souriau, directeur de départemental de l’ARS (Agence régionale de santé). Il y aura donc de fort besoins en matière de santé. »
Plus de 5 000 Vauclusiens ont déjà retrouvé un médecin-traitant Une réalité que le Département a anticipée avec le lancement d’un Plan santé qui fait notamment du Vaucluse un pionnier en matière de télémédecine, comme à Apt notamment. Ce plan ce décline également par l’embauche, directement par le Conseil départemental de Vaucluse, de médecins qui, ainsi déchargés des fonctions administratives, peuvent se consacrer exclusivement à la patientèle dans des lieux spécifiquement dédiés. Le déploiement de ces centres du réseau départemental de santé a débuté sur Avignon avec l’ouverture d’un cabinet en haut de la place de l’Horloge début 2023. L’opération s’est poursuivie avec la création d’un centre à Cadenet. Pour l’instant, l’initiative a permis le recrutement de 9 médecins généralistes dont le dernier est implanté dans l’Edes (Espace départemental des solidarités) d’Apt depuis décembre dernier. De quoi déjà permettre à plus de 5 000 Vauclusiens de retrouver un médecin traitant durant l’année écoulée. « Nous sommes en phase d’embauche de deux généralistes supplémentaires, annonce Dominique Santoni. Nous allons aussi bientôt mettre en service un cabinet médical itinérant dans un bus sur le plateau de Sault. »
Cibler les généralistes libéraux Prochaine étape de ce plan santé : renforcer l’attractivité du Vaucluse auprès des médecins généralistes exerçant exclusivement en libéral. Une ‘espèce’ rattrapée par l’âge qui a tendance à se raréfier puisque 40% d’entre eux avait plus de 60 ans en 2022 en Vaucluse. Pour autant chaque année, quelques milliers de médecins fraîchement diplômés cherchent à s’établir et privilégient de plus en plus le besoin de trouver un équilibre entre vie professionnelle et personnelle. Parmi eux, ils sont nombreux à vouloir opter pour un rythme de travail allégé, différent de celui de leurs ainés. Disposant de nombreux atouts pour les accueillir (qualité de vie, accessibilité, territoire à taille humaine), le Département entend donc capitaliser sur le savoir-faire de Vaucluse Provence attractivité (VPA) dans l’accueil des entreprises sur notre territoire. Objectif : dupliquer ce modèle sur celui de la santé.
« Cela raisonne effectivement avec tout ce que nous faisons », complète Cathy Fermanian, directrice générale de VPA a qui les différents partenaires (ARS Paca, Région Sud, Département de Vaucluse, Ordre des médecins de Vaucluse, CPAM 84 et MSA Alpes-Vaucluse) ont confié le pilotage de cette structure dotée dans un premier temps d’un budget de 100 000€. Une mission prise en charge par Charlotte Reungoat, cheffe de projet de Vaucluse santé attractivité, qui sera l’interlocutrice référente du dispositif. Cette dernière interagira ainsi avec les membres pour définir les cibles, et mettre en place des actions votées par les partenaires.
Un guichet unique pour la santé « Il manquait quelqu’un qui soit à la croisée des chemins, reconnaît Isabelle Gueroult, vice-présidente du Conseil de l’ordre des médecins de Vaucluse. Car nous avons beaucoup de remplaçants qu’il faut aider à s’installer définitivement dans notre département. Nous avons aussi des médecins retraités qui ne veulent pas abandonner leur patientèle. Enfin, nous ne sommes pas un département universitaire, mais nous devons aussi trouver des MSU (Maîtres de stage universitaire) habilités à encadrer le plus grand nombre d’internes pour, pourquoi pas, les inciter ensuite à s’implanter chez nous. L’essentiel c’est que nous ayons suffisamment de praticiens pour éviter au maximum les renoncements aux soins. »
Même soucis d’attractivité pour Catherine Surroca, médecin coordonnateur régional et médecin conseil chef à la MSA Alpes-Vaucluse dont les deux tiers des adhérents sont Vauclusiens : « Il faut venir nos jeunes médecins dans nos campagnes. » « Il y a des aides et Vaucluse santé attractivité devrait permettre d’y voir plus clair », complète le directeur départemental de l’ARS qui finance notamment actuellement les bourses mensuelles de 6 internes en Vaucluse.
Financement : la CPAM 84 en première ligne Et des dispositifs d’aides il n’en manque pas rappelle Sophie de Nicolaï, directrice de la CPAM (Caisse primaire d’assurance maladie) de Vaucluse qui remboursé 172M€ d’actes médicaux l’an dernier : « Il y a des aides pour dégager du temps d’expertise médicale en finançant les postes permettant de décharger les médecins des tâches administratives pour qu’ils se consacrent à leurs patients. Cela concerne 70 postes en Vaucluse. Il y a aussi des aides à l’installation dans les zones moins dotées pouvant aller jusqu’à 50 000€ (16 médecins en ont bénéficié). »
La CPAM 84 participe aussi à la formation des praticiens à hauteur de 5 000€. Elle met aussi en place un contrat de transition destiné à soutenir (jusqu’à 10% des honoraires annuels) les médecins qui préparent leur cessation d’activité en accueillant et accompagnant un médecin nouvellement installé dans leur cabinet (1 médecin actuellement en Vaucluse). Dans cette logique, la CPAM apporte aussi une aide aux médecins qui interviennent hors du périmètre de leur cabinet (jusqu’à 25% des honoraires réalisés hors secteur). Enfin, la Caisse vauclusienne a soutenu les structures constituée de plusieurs professionnels de santé à hauteur de 2M€ pour les CTPS (Communauté professionnelle territoriale de santé) et 2M€ pour les MSP (Maison de santé pluriprofessionnelle)
Des délais de plus en long Tout cela, ne doit pas faire oublier que les délais d’accès aux plateaux techniques médicaux sont de plus en plus longs. « Radio, imagerie médicale, rendez-vous avec des spécialistes… cela se tend », constate la directrice de la CPAM. L’ouverture prochaine d’un Centre médical de soins non programmés à Carpentras et l’Isle-sur-la-Sorgue devrait apporter une partie de solution. Ces structures intermédiaires, entre la médecine générale et des services d’urgence surchargés, doivent permettent la prise en charge de pathologies nécessitant un plateau technique (matériel de suture et d’immobilisation, biologie, imagerie médicale, médecine de spécialité). Dans tous les cas, pour faire face aux enjeux des nombreux départs en retraite, aux déserts médicaux, à la sédentarisation des remplaçants ou bien encore à l’accueil des internes il n’existe pas de recette miracle. Seule la multiplication des solutions devrait être en mesure de lutter contre une pénurie de médecin. « C’est pour cela que nous sommes ravis de cette initiative collective au service de la santé des Vauclusiens, se félicite Isabelle Gueroult, la représentante du Conseil de l’ordre des médecins de Vaucluse.
Une démarche collective inédite « Nous ne sommes pas en concurrence avec les autres acteurs de la santé, insiste Dominique Santoni. Au contraire, nous sommes complémentaires afin de renforcer l’offre de santé dans notre département. » « Il s’agit effectivement d’une démarche combinée inédite sur un sujet majeur concernant tous les territoires de l’Hexagone, confirme Pierre Gonzalvez, président de VPA, vice-président du Conseil départemental et maire de l’Isle-sur-la-Sorgue.
Même enthousiasme pour Gilles Ripert, conseiller régional de la Région Sud et président de la CCPAL (Communauté de communes Pays d’Apt-Luberon), qui souligne « la mise en place de cette stratégie collective qui permet aux Vaucluse d’être un département-pilote en la matière dans la Région Sud.
« La Région veut d’ailleurs être un des chefs de file dans la mise en place des politiques de santé, poursuit Gilles Ripert. Pour cela, nous voulons nous appuyer tout particulièrement sur les collectivités locales. C’est dans ce cadre que nous avons mis en place une enveloppe régional d’un montant de 295M€ destinée, entre autres, à lutter contre les déserts médicaux ainsi qu’à moderniser les établissements de santé. » Dans ce cadre, le Conseil régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur a ainsi consacré 4M€ afin de participer aux financements de 22 maisons de santé en Vaucluse ainsi que 635 000€ en aides aux généralistes du département.
Les généralistes avant les spécialistes ? « Dans un premier temps, nous devons montrer que nous sommes tous des facilitateurs, précise la cheffe de projet de Vaucluse santé attractivité. Pour cela, nous allons structurer l’offre du territoire et promouvoir les postes vacants aux niveaux régional et national via différents outils de communication (plaquette et portail web), aller à la rencontre de prospects lors d’évènements dédiés au recrutement et d’accompagner les professionnels dans leur installation. »
« Nous allons nous concentrer sur les généralistes dans un premier temps, mais nous pourrons aussi accompagner des spécialistes si l’occasion se présente », poursuit Charlotte Reungoat. Cependant, vu les défis à relever en raison du nombre de médecins ‘sur le marché’, l’objectif de l’ensemble des partenaires sera déjà d’essayer de maintenir le maillage actuel en Vaucluse plutôt que de le densifier.
Laurent Garcia
Le Pontet/Sorgues : La rénovation du pont enjambant la voie rapide d’Avignon-Nord est terminée
Dès ce mois de mai et jusqu’à fin novembre, le Conseil départemental de Vaucluse invite petits et grands à participer à des animations gratuites de découverte de la nature, au gré de rendez-vous en ville ou lors de balades sportives.Les rendez-vous dans les Espaces naturels et les Espaces Naturels Sensibles (ENS) sont tous gratuits et sont encadrés par des éco-animateurs passionnés qui sauront faire partager leur passion de la nature, leurs connaissances des sites et leurs astuces pour observer, avec respect, la faune et la flore.
Sur réservation
Pour chaque animation, l’inscription auprès de l’organisateur est obligatoire par téléphone (numéro indiqué sur le programme un peu plus loin dans cet article), au plus tard 48 heures avant la date de la sortie. Le lieu précis de rendez-vous, la durée de l’animation et les informations pratiques (accès, équipement, etc…) seront indiqués au moment de l’inscription.
Conditions sanitaires
Lors de chaque rendez-vous, le respect des gestes barrières est impératif : port du masque, distanciation physique entre les participants. Bien sûr, l’agenda des sorties est susceptible d’évoluer en fonction de la situation sanitaire. Il faut prévoir, selon la météo, des vêtements chauds et imperméables ou légers avec une protection contre le soleil (de couleur neutre de préférence pour augmenter vos chances d’observer la faune sauvage). Équipez-vous de chaussures de marche ou de bottes. Munissez-vous, si possible, d’une paire de jumelles et d’une lampe frontale pour les soirées d’observation. Pensez à emporter de l’eau en quantité suffisante et un pique-nique pour les sorties plus longues.
Focus sur les Espaces Naturels Sensibles
Le Vaucluse, héritier d’un patrimoine naturel exceptionnel et d’une grande diversité de paysages, possède 22 sites labellisés Espaces Naturels Sensibles (ENS), sur près de 2 000 hectares. Un Espace Naturel Sensible est un site qui, en raison de la qualité du lieu, de sa faune et/ou de sa flore, mérite d’être sauvegardé.
Les 22 Espaces
Ils se trouvent à Aubignan : Belle-Ile ; à Bonnieux, Lacoste, Ménerbes, Puget-sur-Durance : la forêt des cèdres du Petit Luberon ; à Buoux : le vallon de l’Aiguebrun ; à Caromb : les collines et le lac du Paty ; à Caumont-sur-Durance : la colline de Piécaud ; à Courthézon : l’Etang Salé ; à Goult, Oppède, Ménerbes, Bonnieux : les zones humides du Calavon ; à Jonquières : l’arboretum de Beauregard ; à L’Isle-sur-la-Sorgue, à La Roque-sur-Pernes, à Pernes-les-Fontaines : les anciennes carrières des Platrières ; à Lagarde d’Apt : la forêt de la Plate ; à Malaucène : la forêt départementale du Groseau ; à Mérindol : la Garrigue ; à Mondragon : le marais de l’Ile Vieille ; à Monteux : les Confines ; à Mormoiron : les Salettes et le vallat de Marquetton ; à Mormoiron : les mares de la Pavouyère ; à Oppède : les Prés des Poulivets ; à Saint-Saturnin-les-Apt : les marnes Aptiennes de la Tullière ; à Saint-Didier : la forêt départementale de Venasque ; à Sivergues : la forêt départementale de Sivergues ; Venasque : la forêt de la Pérégrine et le ravin du Défend.
M.H.
Le Pontet/Sorgues : La rénovation du pont enjambant la voie rapide d’Avignon-Nord est terminée
Emilie Blondel de la direction Enedis Vaucluse a convié plusieurs élus à la réception des travaux de sécurisation des réseaux électriques souterrains de Malaucène. En effet, alors que se profile le Tour de France prévu en juillet prochain, les routes du secteur font peau neuve. Pour l’occasion Enedis et le Conseil départemental de Vaucluse ont coordonné, en amont, la réalisation des travaux. Thierry Lagneau, vice-président du Conseil départemental de Vaucluse en charge des travaux, de l’aménagement, du territoire et de la sécurité ; Frédéric Tenon, maire de Malaucène et Max Raspail, président du SEV 84 (Syndicat d’énergie Vauclusien) se sont rendu sur place.
Le Pontet/Sorgues : La rénovation du pont enjambant la voie rapide d’Avignon-Nord est terminée
Que fait l’Europe en Vaucluse ? C’est tout l’objet de cette conférence qui présentera la politique régionale de l’Union européenne et les projets de territoire cofinancés par l’Europe à travers des projets concrets. Les intervenants sont : Anne Leymat, directrice adjointe de l’association Le Village, Carole Toutain, du Conseil départemental du Vaucluse, pour un projet de réhabilitation du sommet du Mont Ventoux et aussi Nathalie Carpentras, Colis Cyclette, Franck Arnaud, expert Team Europe qui évoquera, en préambule, la politique régionale de l’Union Européenne.
Conférence en ligne : ‘L’Europe est mon territoire, quelle politique Européenne dans le Vaucluse ?’ Mercredi 24 mars à 18h. Inscription ici.
Les travaux de réhabilitation du Mont Ventoux Emblème du département de Vaucluse, mondialement connu, le Mont Ventoux se dégrade d’année en année. Victime de son succès, il accueille quelque 700 000 visiteurs par an, entre le printemps et l’automne. Pour lui rendre toutes ses qualités paysagères et environnementales, le Département de Vaucluse met en œuvre un ambitieux projet de réhabilitation de son sommet, dont les travaux d’amélioration de la fonctionnalité du site et de la gestion des flux ont démarré fin avril 2020 tandis que les travaux de requalification écologique et paysagère vont démarrer au printemps de 2021 jusqu’à cet automne.