25 novembre 2024 |

Ecrit par le 25 novembre 2024

La période estivale : un défi sécuritaire pour les commerces

Si l’été rime avec festivités, cette période d’activité touristique intense est aussi synonyme de défi sécuritaire pour de nombreux commerçants. Et, cette année ne devrait pas faire exception. Afin d’aider les commerces à prévenir les vols, et donc à réduire les pertes, Veesion, deeptech à l’origine d’une solution de détection intelligente du geste, dresse une liste des techniques de vol à l’étalage les plus utilisées.

« Les grands événements sportifs comme ceux de cet été constituent une réelle opportunité pour les commerces locaux tout en représentant un risque accru de vols en rayon. Il est donc essentiel pour les professionnels de la distribution de connaître les stratagèmes utilisés par les voleurs afin de mettre en œuvre les mesures appropriées pour se protéger. L’ingéniosité des spécialistes de la sécurité est tout aussi développée que celle des voleurs et des solutions existent pour être certain d’avoir toujours le bon œil, au bon endroit, au bon moment », explique Benoît Koenig, cofondateur de Veesion.

Le sac en métal

Les voleurs à l’étalage s’équipent parfois de sacs doublés de métal pour stopper les signaux émis par les étiquettes de sécurité et les empêcher de déclencher les systèmes d’alarme. Couramment appelé « balayage », ce stratagème est généralement bien connu des membres du personnel de sécurité tout en restant difficile à déjouer. Ceci expliquant cela, aux caisses de certains magasins, des affiches invitent souvent à présenter des sacs ouverts afin que les hôtes de caisse puissent en faire un examen visuel. Cette invitation n’a cependant rien d’obligatoire.

L’aimant, l’outil numéro 1 des voleurs à l’étalage

Suivant sa puissance, un aimant peut permettre de retirer les badges antivols. En effet, la plupart des antivols utilisent un système de verrouillage magnétique basé sur l’attraction de billes métalliques dans la tête du badge. Lorsqu’elles sont attirées par une force magnétique, ces billes entraînent avec elles le système de verrouillage du badge, libérant ainsi le clou de l’antivol. Petit et facile à mettre en poche, l’aimant est aujourd’hui l’astuce la plus usitée pour déjouer les portiques de sécurité.

Le brouilleur de portiques antivols

Discrets et indétectables, les brouilleurs de portiques antivols sont des petits boîtiers électroniques en plastique qui brouillent les ondes radio des systèmes antivols. Ainsi, ils empêchent la communication entre les badges antivols textiles et les portiques de sécurité qui doivent les détecter en cas de tentative de vol. Cette nouvelle technique de vol en magasin inquiète particulièrement les commerçants, même si des solutions existent pour lutter contre ces appareils.

Cacher la marchandise sous ses vêtements

Prendre un produit, le cacher en dessous ou à l’intérieur d’un vêtement épais, voire dans un sous-vêtement, puis sortir en marchant le plus simplement du monde…. Aussi osé que cela puisse paraître, cette technique est toujours couramment employée par les voleurs à l’étalage. Parfois, un chapeau, un parapluie ou un faux ventre de femme enceinte peut même faire office de cachette ! Les cabines d’essayage sont des endroits stratégiques pour ces clients malveillants qui repartent du magasin, produit presque en main, sans faire mine de quoi que ce soit. 

Le changement d’étiquette

Ni vu, ni connu, un produit change d’étiquette et… de prix. Très courante, cette pratique occasionne un manque à gagner considérable, notamment dans les commerces d’alimentation et d’objets du quotidien. Elle est en effet très difficile à déceler pour les commerçants, surtout en période de forte fréquentation, où la vigilance est plus délicate à maintenir. La présence d’intérimaires ou de stagiaires peut également compliquer la tâche. Moins au fait des tarifs pratiqués, moins sensibilisés à ces comportements, ils sont plus faciles à duper que les employés en poste à l’année.

Le vol à deux ou à plusieurs

Les techniques les plus simples sont parfois les plus efficaces… Les voleurs entrent ensemble dans un magasin, ou séparément afin d’éviter d’éveiller tout soupçon. Généralement, l’un d’entre eux va ensuite chercher à attirer l’attention du personnel de sécurité pour que l’autre puisse dérober en toute tranquillité de la marchandise sans être repéré.


La période estivale : un défi sécuritaire pour les commerces

Après une première édition pleine de promesses, le salon international de l’art contemporain est de retour pour une seconde édition sur la ville d’Avignon, au Parc des expositions, du 4 au 6 octobre 2024. Dans le cadre de cet évènement, les organisateurs invitent les artistes du territoire vauclusiens à s’inscrire et faire découvrir leur talent.

Le SIAC (salon international de l’art contemporain) revient pour une seconde édition sur la ville d’Avignon. Après une première édition qui avait attiré un public nombreux avec plus de 7.000 visiteurs, l’évènement culturel qui avait permis à de nombreux vauclusiens de découvrir des artistes et d’échanger autour de leurs créations, reviendra au Parc des Expositions qui se trouve à Agroparc du 4 au 6 octobre 2024. 

Les inscriptions, toujours ouvertes 

Pour les artistes d’art contemporain, les inscriptions sont toujours ouvertes et en cours. Le SIAC 2024 reprendra ses valeurs et ses principes fondamentaux avec des rencontres avec les « professionnels » en direct sans passer par des galeries afin de valoriser une logique commerciale de proximité. Comme l’an dernier, un parcours de visite atypique permettra au public présent de découvrir les stands de manière originale et sereine tout en garantissant aux artistes une visibilité constante en tout points. 

Pour obtenir le dossier de participation et s’informer sur les conditions d’admission, les intéressés sont invités à prendre contact l’organisation du salon par mail, à l’adresse suivante : e.genre@galeriephocea.com ou en se connectant sur le site du salon : www.siac-avignon.com. Pour prétendre à obtenir une place, il faut néanmoins justifier d’un statut de professionnel et d’un numéro de SIRET/Nº MDA ou AGESSA ou inscription à la chambre des métiers. Toutes les candidatures, peu importe le style, sont les bienvenues afin d’offrir au public la plus grande diversité de création. 

3 jours consacrés à l’art 

Du 4 au 6 octobre 2024, de nombreux artistes sont attendus au Parc des Expositions, sur 3 000 m2 dans le hall A, pour 3 jours de salon, animés par la même passion, le même esprit et la volonté de créer un rendez-vous annuel.

S’il revendique les mêmes fondamentaux qu’à Marseille, à savoir la présence exclusive d’artistes professionnels (et non de galeries) sur des espaces d’exposition privatifs avec une pluridisciplinarité de techniques et de styles présentées, le SIAC est une plateforme d’échanges, de rencontres et de partage, d’achats et de coups de cœur entre les exposants et le public composé de professionnels (galeristes, directeurs artistiques, architectes, décorateurs, décideurs d’entreprise…), d’amateurs d’art et de visiteurs néophytes.

Infos pratiques : 2ème édition du Salon international de l’art contemporain. Du vendredi 4 au dimanche 6 octobre 2024, de 10h à 22 h le vendredi et de 10h à 19h le samedi et dimanche. Parc des expositions, chemin des felons, 84140 Avignon. Billets et informations disponibles sur le site www.siac-avignon.com. Tarif normal : 10€, tarif réduit (étudiants, handicapés, groupe) : 7€ et gratuit pour les -12 ans. 


La période estivale : un défi sécuritaire pour les commerces

L’enseigne de boulangerie et de sandwicherie Marie Blachère vient de rouvrir sa boutique du cours Jean Jaurès, à Avignon. Après avoir subi un sinistre en mars dernier, la boulangerie peut de nouveau accueillir les clients depuis ce mercredi 26 juin.

L’enseigne compte aujourd’hui près de 800 magasins, dont 3 dans le centre-ville d’Avignon. La réouverture de la boutique du cours Jean Jaurès est une bonne nouvelle pour l’enseigne qui est, selon une enquête d’UFC-Que Choisir, celle qui propose les meilleurs produits pour la santé, avec le moins de sel et d’additifs, en comparaison avec ses concurrents.

La franchise, née à Salon-de-Provence en 2004 et dont le siège est basé à Châteaurenard, enregistrait un chiffre d’affaires de plus d’un milliard d’euros en 2023, et se plaçait en troisième position des chaînes de restauration rapide, derrière McDonald’s et Burger King. L’enseigne est très appréciée de beaucoup de Français qui profitent des différentes formules proposées, comme la formule ‘Le p’tit malin’ qui permet de choisir quatre produits parmi une sélection pour 5€. Cette formule, lancée en février dernier, est notamment disponible dans la boutique du cours Jean Jaurès.


La période estivale : un défi sécuritaire pour les commerces

Le réseau de formations Negoventis et la CCI du Pays d’Arles créent une nouvelle formation Bac+2 en apprentissage ‘Gestionnaire des unités commerciales’ pour se former aux métiers du commerce, de la vente et du marketing. La formation débutera en novembre 2024.

Dès novembre 2024, il sera possible de se former aux métiers du commerce, de la vente et du marketing en apprentissage et d’obtenir un diplôme Bac+2 reconnu par l’état grâce à une nouvelle formation, accessible hors Parcoursup, basée sur un rythme de 2 jours de cours à la CCI du Pays d’Arles et 3 jours en entreprise.

Cette formation s’adresse aux futurs bacheliers et aux titulaires d’un bac+1 ou d’un titre de niveau 4. Elle va permettre d’ouvrir la voie vers divers métiers comme conseiller de vente, responsable d’univers marchands, adjoint chef de rayon, adjoint de magasin, et bien d’autres. La formation promet 90% de réussite à l’examen et 80% d’insertion après l’obtention du diplôme.

Demande d’inscription au 06 50 73 38 75 ou au 06 30 61 54 14 ou par mail à l’adresse formation@arles.cci.fr


La période estivale : un défi sécuritaire pour les commerces

Pendant deux jours, la ville d’Avignon accueille les 18e Assises nationales du centre-ville. Ces rencontres, qui se tiennent mercredi 22 et jeudi 23 mai à l’hôtel de ville ainsi qu’au centre des congrès du palais des papes, sont organisées depuis 2006 par l’association ‘Centre-ville en mouvement‘. Chaque année, des centaines d’élus venus de toute la France, mais aussi des managers de centre-ville, des représentants des chambres consulaires et les principaux acteurs du centre-ville se réunissent lors de cet événement pour échanger lors de tables rondes et d’ateliers sur l’ensemble des sujets ayant trait à l’attractivité des centres-villes. En préambule, ces assises ont débuté par la présentation du 9e baromètre du centre-ville et des commerces en présence de Cécile Helle, maire d’Avignon.  

Les 18e assises nationales du centre-ville ont débuté à Avignon, ce mardi 21 mai au soir, avec la présentation du 9e baromètre de l’association Centre-ville en mouvement. On constate avec ce baromètre un attachement aux centres-villes en hausse en 2024 : 64% des français aujourd’hui contre 61% en 2023. Un chiffre qui monte même à 78% pour les communes de 100 000 habitants, mais qui descend à 57% pour les villes de moins de 50 000 habitants.
Dans le même temps, ce baromètre initié depuis 2016 en partenariat avec l’Institut CSA, observe une fréquentation en hausse des centres-villes avec 72% des Français qui s’y rendent au moins une 1 fois par semaine en 2024 contre 70% en 2023. Là aussi, il existe notamment des disparités entre les villes de 100 000 habitants (79%) et celles de moins de 50 000 habitants (66%).
Ce sont les cadres et les jeunes qui sont plus attachés aux centres-villes. Les habitants des villes inscrites dans le dispositif Cœur de ville sont également plus attachés que le reste de la population.

Persistance d’un certain ‘déclinisme’
Si la part de ceux se rendant moins souvent dans leur centre-ville atteint son point le plus bas depuis 2016, Centre-ville en mouvement rappelle que ce sont le manque d’intérêt, les commerces peu attractifs et le manque de places de stationnement qui expliquent principalement la non-fréquentation des centres-villes.
Malgré ces bons indicateurs, le baromètre observe un certain ‘déclinisme’ puisque que 40% des personnes interrogées assurent que le centre-ville qu’ils fréquentent s’est plutôt dégradé durant les 10 dernières années. Un chiffre qui reste stable malgré une meilleure fréquentation générale des centres-villes. Ce déclinisme est plus marqué chez les retraités (49%), les 50-64 ans (45%) et les habitants des communes rurales (51%).

« Le maire et son conseil municipal sont en première ligne de l’attractivité de la ville. »

Cécile Helle, maire d’Avignon

Le maire en première ligne
Le 9e baromètre du centre-ville et des commerces fait aussi apparaître que le maire et son conseil municipal sont en première position (63%) pour agir sur la modernisation des centres-villes. Ils devancent les commerçants de proximité (44%), les citoyens (34%), les associations locales (31%) et les entreprises locales (24%).
C’est donc prioritairement à eux, que les Français  font confiance pour revitaliser les centres-villes. Pour les sondés, cela passe principalement par la dynamisation des commerces (34%), la sécurité des biens et personnes (30%) et le stationnement en centre-ville (28%).
« C’est vrai que le maire et son conseil municipal sont en première ligne de l’attractivité de la ville, confirme Cécile Helle, maire d’Avignon, confrontée à une vacances des logements en augmentation.

La cité des papes, qui est à la fois engagée dans le programme Action cœur de ville (ACV) et dans le nouveau programme de revitalisation des zones commerciales, est aussi confrontée aux difficultés que rencontrent de nombreuses enseignes nationales de prêt-à-porter et d’équipements de la maison qui ont mis la clef sous la porte les unes après les autres. Dans les villes moyennes, comme Avignon, « ces fermetures successives de franchises ne sont pas conséquence sur l’offre commerciale » reconnait d’ailleurs Cécile Helle.

« Il faut donner envie de venir en cœur de ville. Il faut proposer une expérience. »

Autre motif d’inquiétude, la prédominance du e-commerce ainsi que la multiplication des offres Airbnb qui entraîne la disparition progressive des commerces traditionnels. « Ces meublés touristiques contribuent à la pénurie de logements et sont aussi en train de ‘transformer l’armature commerciale dans les centres’ avec le changement de population qu’ils engendrent : les magasins de décoration, les fleuristes, les commerces de bouche cèdent progressivement la place à des enseignes de plats à emporter. C’est une vraie alerte », expliquait-elle tout récemment à nos confrères de Localtis, le média de la banque des territoires et de la Caisse des Dépôts.
La question environnementale devient aussi un enjeu majeur notamment avec la création d’aménagement ayant pour but de lutter contre les îlots de chaleur.

Présention du 9e baromètre du centre-ville et des commerces à la mairie d’Avignon.

« Je crois beaucoup à la requalification, insiste la maire d’Avignon. Il faut donner envie de venir en cœur de ville. Il faut proposer une expérience. C’est nous qui avons le palais de papes, mais pas que. A nous d’optimiser cette dimension patrimoniale du centre commercial qu’est le centre d’Avignon. L’attractivité passe donc par la requalification, l’accessibilité, la limitation de la place de la voiture, l’animation avec commerçants ou bien encore la transition écologique. »


La période estivale : un défi sécuritaire pour les commerces

Comme nous l’annoncions en début d’année, Carrefour va remplacer le magasin ‘historique’ Casino au sein du centre commercial Cap Sud à Avignon.

En janvier dernier, une partie du groupe Casino avait été démantelée suite aux difficultés de la société de grande distribution. Dans ce cadre, près de 300 magasins sont repris par Intermarché, Auchan et Carrefour. C’est d’ailleurs cette dernière enseigne qui a récupéré le magasin Casino situé dans le centre commercial de Cap Sud à Avignon.
Un point de vente ‘historique’ de 5 798m2, qui avait vu le jour il y a plus de 50 ans lors de la création en 1973 de ce centre alors baptisait ‘L’Autre centre-ville’.
Après plusieurs semaines d’aménagement, ce nouveau Carrefour ouvrira officiellement ses portes ce vendredi 17 mai. L’offre comprendra également un espace drive situé à l’arrière du magasin.

Quid des autres magasins d’Avignon, Orange ainsi que dans le Gard rhodanien ?
Pour les autres magasins de Casino implanté dans la région, celui de Saint-Lazare (en face de l’université) avait déjà été cédé en juin 2023. Il devrait passer sous la bannière Intermarché d’ici 2 ans.
Par ailleurs, le supermarché Casino d’Orange de l’Argensol (2 164m2) ainsi que celui de Pont-Saint-Esprit (1 017m2) devraient devenir des Intermarché. Cependant, selon nos confrères de Vaucluse matin, les responsables du magasin de la cité des princes vont rendre les clefs le jeudi 30 mai prochain sans connaître leur avenir. Un passage sous l’enseigne Intermarché contact ou celle de Netto est évoqué.
De l’autre côté du Rhône, Auchan a lui récupéré l’hypermarché Casino de Saint-Laurent-des Arbres (2 794m2) alors que le Casino Shop d’Uzès (122m2) devrait basculer en Carrefour.


La période estivale : un défi sécuritaire pour les commerces

Suite à la crise sanitaire, les recrutements ont connu une croissance significative. Une tendance qui a été perturbée par des défis environnementaux, des perturbations dans les chaînes d’approvisionnement et des tensions géopolitiques, créant une baisse du nombre de projets d’embauche de près de 14% sur un an. Selon l’enquête ‘Besoins en main d’œuvre 2024’ réalisée par France Travail, 34 060 emplois potentiels ont été recensés en Vaucluse, ce qui représente une baisse de 5 540 projets de recrutement par rapport à l’année précédente.

Près de 2 intentions de recrutement sur 3 (65%) émanent d’entreprises comptant moins de 20 salariés. Notamment dans les secteurs des services (55%), qui représentent la plus grande part de ces intentions à l’instar de la région, de l’agriculture et industrie agroalimentaire (26%), et du commerce (10%). Parmi les 34 060 projets de recrutement du département, 20 540 (soit 60%) sont jugés difficiles par les employeurs.

Au niveau de l’emploi saisonnier, il représente 1 projet de recrutement sur 2 en 2024, dépassant la moyenne régionale qui est à 40%. Les intentions d’embauche saisonnières représentent 17 170 projets de recrutement.

Les services
Le secteur des services est le plus gros recruteur du département avec 18 630 projets de recrutement (en recul de plus de 8% sur un an). Les projets sont principalement situés dans le bassin d’Avignon (40%). Les métiers les plus recherchés sont ceux de serveurs de cafés et restaurants, d’aides de cuisine et employés polyvalents de la restauration, d’agents d’entretien de locaux, d’employés de l’hôtellerie et de cuisiniers.

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L’agriculture et l’agroalimentaire
C’est le Vaucluse qui compte le plus de projets de recrutement dans le secteur de l’agriculture et l’agroalimentaire parmi tous les départements de la région avec 8 950 projets. Ils se situent majoritairement dans les bassins Nord Vaucluse (34%) et Est Carpentras (31%). 86% des projets sont saisonniers, mais seulement 54% sont jugés difficiles, soit 6 points de moins que la moyenne départementale. Les profils les plus recherchés sont ceux de viticulteurs et arboriculteurs, d’agriculteurs, de maraîchers et horticulteurs, d’ouvriers peu qualifiés des industries agroalimentaires.

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Le commerce
3 330 projets de recrutement concernent les établissements commerciaux, majoritairement situés dans les bassins d’Avignon (42%) et du Sud Vaucluse (28%). Les profils les plus recherchés sont ceux d’employés de libre-service, de manutentionnaires et déménageurs peu qualifiés, de caissiers, de vendeurs en habillement et accessoires, articles de luxe, de sport, de loisirs et culturels, de caissiers et d’ouvriers mécaniciens de véhicules.

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La construction
2 080 projets de recrutement proviennent de ce secteur, principalement situés dans le bassin Avignon (39%). 82% des projets sont jugés difficiles. Les profils les plus recherchés sont ceux de maçons qualifiés, d’ouvriers en électricité du bâtiment, de plombiers chauffagistes, d’ouvriers en travaux de façade, d’étanchéité et d’isolation.

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Les 10 métiers les plus recherchés par les employeurs sont :
1) Viticulteurs, arboriculteurs 
2) Agriculteurs 
3) Serveurs de cafés et restaurants
4) Aides de cuisine et employés polyvalents de la restauration 
5) Agents d’entretien de locaux
6) Employés de l’hôtellerie
7) Cuisiniers
8) Professionnels de l’animation socioculturelle
9) Artistes (musique, danse, spectacles)
10) Aides à domicile et auxiliaires de vie

Les 10 métiers jugés les plus difficiles à recruter sont : 
1) Agriculteurs 
2) Viticulteurs, arboriculteurs
3) Serveurs de cafés et restaurants
4) Agents d’entretien de locaux 
5) Aides de cuisine et employés polyvalents de la restauration
6) Aides à domicile et auxiliaires de vie 
7) Cuisiniers
8) Employés de l’hôtellerie 
9) Professionnels de l’animation socioculturelle
10) Aides-soignants


La période estivale : un défi sécuritaire pour les commerces

Face à un micocoulier qui trône au milieu d’une place tranquille et pavée, cette maison qui date du XVIIIe siècle est un endroit chic avec une décoration en 50 nuances d’ocres, de terracotta, de tons orangés et rosés et un mobilier d’osier et de chêne blond qui la rendent lumineuse et conviviale.

Le Grand Hôtel d’Orange a été racheté en 2021 par Franck Jaulneau, directeur général et fondateur du Groupe Elegant Properties Collection. Il est déjà propriétaire du Paradou à Sausset-les-Pins, sur la Côte Bleue, près de Carry-le-Rouet, résidence d’été de Fernandel à l’époque de ‘Don Camillo’, mais aussi du Château de Mazan dans le Vaucluse où a vécu le Marquis de Sade et enfin de L’Abbaye de l’Orangerie à Sallanches, en Haute-Savoie.

Après de longs mois de travaux de rénovation, le Grand Hôtel, dirigé par la dynamique Marianne Bianchi-Mirasole, propose 40 chambres aux normes d’un multi-étoilé, une cuisine gourmande et méditerranéenne concoctée par le jeune chef Enzo Ciccarelli qui a fait ses gammes auprès de chefs avignonnais, Bruno d’Angelis quand il était à l’Hôtel d’Europe et Mathieu Desmarest, ancien chef au Palais de l’Elysée aujourd’hui à la tête de Pollen. L’établissement propose aussi salle de séminaires, bar, centre de bien-être avec sauna, remise en forme, piscine, jacuzzi et terrasse ombragée l’été.

Le label clef verte : « C’est un cercle vertueux »
« Nous bénéficions aussi depuis le début de l’année du label ‘Clef verte’ ce qui signifie qu’avec notre équipe, on a tous fait le choix de réduire notre impact environnemental » explique Marianne Bianchi-Mirasole. « La charte est drastique avec 70 points à respecter, comme éteindre lumière, climatisation, chauffage, TV, débrancher les chargeurs quand on quitte une pièce. En cuisine, faire du tri sélectif, composter les épluchures et le marc de café, réduire les emballages et, avec leur accord bien sûr, ne pas forcément changer draps et serviettes éponge tous les jours quand les clients passent plusieurs nuitées chez nous. C’est un cercle vertueux »

©DR

Le chef, Enzo Cicarelli préconise au maximum le bio, les producteurs locaux, le poisson de Méditerranée, l’huile d’olive, l’agneau de Sisteron, les fruits et légumes de saison : « On ne sort pas de la région pour nos approvisionnements ». Il va bientôt proposer une nouvelle carte avec, par exemple, le jeudi, un simple « Steak- frites » avec une sauce béarnaise faite maison et des pommes de terre passées dans deux bains d’huile de bœuf qui les rendront moelleuses à l’intérieur et croquantes à l’extérieur. Une formule à 24€ simple avec œufs mayonnaise ou poireaux vinaigrette pour se faire plaisir. « Une semaine italienne Dolce Vita » pourrait aussi voir le jour avec des recettes comme l’osso bucco, le risotto, les lasagnes et la polenta arrosés de Chianti, de Lambrusco ou de Barolo.

Un taux d’occupation de plus de 70%
Entre les Chorégies, tous les concerts prévus cet été au Théâtre Antique (Le Festival Electro, Deep Purple, Toto, Dire Straits, Francis Cabrel), il y va y avoir un monde fou dans les rues d’Orange. « Le taux d’occupation tourne autour de 85% en juillet-août, 70% sur l’année » ajoute la directrice du Grand Hôtel.

Des stars sont déjà passées par le Grand Hôtel comme Roberto Alagna, le Prince Albert de Monaco ou David Guetta. Avec sa petite équipe volontaire et motivée, le Grand Hôtel d’Orange a de beaux jours devant lui pour accueillir avec le même sourire, clients célèbres comme anonymes.

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La période estivale : un défi sécuritaire pour les commerces

Après plus d’un an de travaux, le nouveau magasin Mr Bricolage a ouvert ses portes ce mercredi 27 mars à Monteux. Il a été inauguré par Christian Gros, président des Sorgues du Comtat et maire de Monteux, Philippe De Dapper, directeur général des Services de l’Agglomération, les élus communautaires, les élus municipaux de Monteux, le personnel ainsi que les nouveaux clients du magasin.

L’enseigne Mr Bricolage, spécialisée dans le bricolage, le jardinage, la décoration et l’aménagement de la maison et du jardin, qui disposait jusqu’à présent de cinq boutiques en Vaucluse (à Pertuis, Apt, l’Isle-sur-la-Sorgue, et deux à Avignon), en ajoute une de plus à son compteur. Situé à Monteux, le nouveau magasin a ouvert ses portes ce mercredi 27 mars, en lieu et place de l’ancien dancing, au 268 Route d’Avignon.

« Je suis très content, a affirmé Christian Gros. Anciennement, les amoureux de la danse venaient. Maintenant, ce sont les amoureux du bricolage. On n’a pas laissé faire n’importe quoi : il y avait un besoin et celui-ci devait être une nouvelle offre commerciale adressée aux particuliers. Mr Bricolage a une philosophie affirmée de magasin de proximité à l’opposé des hypers impersonnels. »

Cette installation s’inscrit dans une volonté de redynamiser le centre-ville et de booster l’attractivité du nouveau pôle commercial de Beaulieu. « Monteux est une ville en plein développement’, a déclaré Benoît Thocquenne, directeur des magasins de Monteux et de l’Isle-sur-la-Sorgue. Pour cette boutique, dix personnes issues des communes alentours ont été recrutées. D’autres emplois pourraient être créés à l’avenir, selon l’activité.

https://echodumardi.com/tag/commerce/page/2/   1/1