(Vidéo) La Ville de Sorgues lance la 4e édition du Pass’Ados
Lancé par la Ville de Sorgues, le Pass’Ados revient du lundi 21 au vendredi 25 octobre, pour une 4ᵉ édition. Durant toute la semaine, les jeunes sorguais qui se sont inscrits vont apprendre le vivre ensemble, la solidarité et la citoyenneté.
Les trois premières éditions ayant remporté un grand succès, le Pass’Ados, lancé à l’initiative de Bernard Rigeade, adjoint délégué à la politique de la ville, la jeunesse et la santé, revient durant cette première semaine des vacances de la Toussaint. Ce stage s’adresse chaque année aux collégiens des classes de 5ᵉ inscrits dans un établissement sorguais.
Du lundi 21 au vendredi 25 octobre, les jeunes suivront ce stage ludique et gratuit articulé autour de sept thématiques : le vivre ensemble, la gestion du stress et la confiance en soi, la sécurité individuelle et collective, les valeurs citoyennes, l’environnement et le développement durable, l’entraide et la solidarité ainsi que l’esprit critique.
L’objectif du Pass’Ados est pour les jeunes de développer des compétences individuelles, collectives et sociales. Ce passeport, qui explore les interactions entre l’éducation, la citoyenneté et la santé, a pour ambition l’émancipation individuelle et collective, pour que chaque jeune devienne un citoyen résilient et solidaire. Durant cinq jours, les jeunes vont pouvoir participer à divers animations et ateliers tels que : une randonnée, un théâtre-forum, une formation résilience et secourisme, un escape game, un atelier self-défense, un atelier cyber-harcèlement. À l’issue de ce stage, les jeunes se verront remettre leur passeport lors de la cérémonie de clôture.
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Depuis six ans, les Chorégies d’Orange proposent Pop the Opera, un temps unique et exceptionnel qui fait chanter des centaines de collégiens et de lycéens de toute la région Sud.
Dirigés par Jean-Marie Leau et encadrés par des musiciens professionnels, les jeunes vont, dans une ambiance festive, à la fois interpréter des grands airs d’opéra et d’opérette, faire vibrer les succès planétaires de la musique folk et même évoquer les plus grandes musiques de film.
Plusieurs scènes sollicitées
Cette restitution d’un apprentissage de toute une année se fait sur plusieurs scènes, le Théâtre antique d’Orange, certes, mais également l’Auditorium Jean-Moulin du Thor où le public est invité à découvrir des vocations naissantes ce samedi 1er juin…
Samedi 1ᵉʳ juin. 16h. 10€.Salle Jean Moulin. Auditorium. 971 Chemin des Estourans. Le Thor. 04 90 33 96 80. www.vaucluse.fr
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Pour la troisième année consécutive, Florence Guende de la Ferme agroécologique du Rouret, à Mazan, a organisé une plantation de haies fruitières dans le cadre du projet ‘Des enfants et des arbres’ auquel les élèves du collège André Malraux de Mazan ont participé.
L’association Des Enfants et des Arbres, créée par la réalisatrice Marie-France Barrier en 2020, invite les enfants de l’école élémentaire au collège, à planter en moyenne 200 arbres par classe chez un agriculteur afin de contribuer efficacement à l’effort de plantation nécessaire d’arbres champêtres sur les territoires. Le 23 janvier dernier, c’est la Ferme du Rouret, à Mazan, qui a accueilli cette initiative.
Cette journée, organisée autour du thème de l’alimentation durable, a plusieurs objectifs : soutenir le monde agricole, sensibiliser les plus jeunes aux défis de l’agriculture, aux vertus de l’arbre hors la forêt, le rôle des haies, ou de la biodiversité, ou encore susciter des vocations. Plusieurs partenaires étaient présents pour l’occasion, tels que Biocoop l’Auzonne, l’association Anatoth, l’épicerie sociale et solidaire Oxygène, le collectif ‘Les hommes qui plantent des arbres’, le Parc naturel régional du Mont-Ventoux ainsi que la Scop Agroof.
Après que les élèves ont planté 500 mètres de haies, soit 250 arbres de 10 essences différentes, tous les participants ont pu déguster un repas bio et local, préparé par les chefs Christophe Schuffenecker, de Bédoin, et Adrien Brunet, de Crillon-le-Brave, en partenariat avec l’association Fourniga.
V.A.
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Les ‘Midis des métiers’ ont été créés pour que les lycéens et collégiens découvrent divers métiers à travers des échanges informels et décontractés avec des professionnels, sur le temps de la pause méridienne. 11 dates sont prévues cette année, avec une première session ce vendredi 17 novembre.
Pour cette première rencontre de l’année scolaire 2023-2024, ce sont les métiers du droit qui sont à l’honneur. Les jeunes pourront notamment échanger avec Dominique Coujard, magistrat honoraire, ancien président de la Cour d’assises de Paris, et Maître Gaël Maritan, avocat au barreau de Carpentras.
Vendredi 17 novembre. De 12h30 à 13h30. Amphithéâtre de la Cité scolaire. Vaison-la-Romaine.
V.A.
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Denis Lamblin, pédiatre à la Réunion sillonne la métropole pour prévenir le Syndrome de l’alcoolisation fœtale (Saf). Pourquoi ? Parce que c’est la première cause de handicap mental d’origine non-génétique totalement évitable. Mais parents et enfants ne le savent pas forcément. Tout comme le monde de la santé, les acteurs sociaux, la justice, l’Education nationale, la sphère politique… Pourtant, en France, 15 000 bébés naissent chaque année avec le Saf, soit un enfant toutes les 30 minutes.
Pour creuser le sujet ? Rendez-vous est donc donné au Grand Barretta à Avignon. Autour de la table ? Denis Lamblin président de SafFrance ; Patrice Mounier, président de l’Umih 84 (Union des métiers et des industries de l’hôtellerie de Vaucluse) ; Richard Hémin patron du Grand café Barretta ; Catherine Grange, pédiatre à Orange ; Marie-Ghislaine Gateaud, ancienne assistante sociale et membre SafFrance et Elodie Goumet déléguée aux Droits des femmes et de l’égalité à la préfecture de Vaucluse.
La problématique ? Selon la dernière étude d’Opinion way, 29% des femmes enceintes en Provence-Alpes-Côte d’Azur déclarent avoir consommé de l’alcool pendant leur dernière grossesse dont 9% consomment au moins une fois par mois et 18% d’entre-elles, jusqu’au dernier trimestre. Egalement, 50% des pères déclarent avoir diminué ou arrêté les boissons alcoolisées durant la grossesse de leur compagne et un tiers à l’encourager à ne pas boire.
Face à cela ? «Le meilleur moyen d’agir reste donc la prévention, relate Denis Lamblin. Car pour les enfants atteints par le Saf il n’y a plus vraiment de moyens d’action hormis une prise en charge sociétale qui réunirait le monde de la santé, les acteurs sociaux, la justice, l’Education nationale et la sphère politique pour la reconnaissance du trouble de syndrome d’alcoolisation fœtale.»
Le soulagement de savoir et de prendre sa vie en main « Les mamans taisent leurs difficultés et même les cachent, constate Catherine Grange, pédiatre, qui comprend cet aspect du problème et ne veut surtout pas leur jeter la pierre. Nous respectons toutes les femmes et ne sommes pas là pour les juger. Après avoir été testé –car nous avons des tests très précis-, l’enfant, l’adolescent ou l’adulte est enfin en mesure de comprendre son problème d’adaptation à la société, ses difficultés personnelles et professionnelles, pouvant désormais faire face et aménager sa vie ce qui créé un réel soulagement et peut dessiner un nouvel avenir», souligne le médecin d’Orange.
Cela fait 7 ans que Denis Lamblin se bat pour que soit reconnu le syndrome de l’alcoolisation fœtale depuis son cabinet de pédiatre à la Réunion et 4 ans qu’il arpente l’hexagone pour sensibiliser la population française et parmi elle, surtout les jeunes –qui seront un jour parents- et les personnes en âge de l’être au syndrome de l’alcoolisation fœtale (Saf).
«Pourquoi ? Parce que la prise d’alcool pendant la grossesse fait plus de ravage que n’importe quoi d’autre. Oui, oui c’est pire que la cocaïne, l’héroïne, et même le cannabis. Comprenez par-là que l’alcool est tératogène. En clair ? L’alcool produit systématique une action sur l’embryon induisant des malformations directement au cerveau ou dans le tronc cérébral, » relate Denis Lamblin, de passage à Avignon lors de sa 4e tournée dans l’hexagone ponctuée de 14 dates pour convaincre tous les acteurs de la société.
Le Diable se cache dans les détails «La plupart du temps, les malformations passent inaperçues et ne peuvent être détectées que par des spécialistes qui testeront l’enfant sur la sphère de l’apprentissage, la mémoire, l’attention, les aptitudes sociales, la motricité, la santé physique, la communication et la régulation émotionnelle. Le spectre de l’alcoolisation fœtale est différent selon chaque individu et touche entre 2 et 5% de la population.
L’horreur ? «C’est que l’on ne sait pas, parfois, que son enfant en souffre, rappelle Catherine Grange. Crises d’énervements, colères, difficultés d’apprentissage, celles aussi de rentrer en contact avec les autres, l’hyper activité, sont autant de signes qui doivent alerter. Des mamans ont peut-être bu un peu pendant leur grossesse, les violences intrafamiliale, l’époux qui bat sa femme parce qu’elle boit… Autant de situations qui amènent à se poser la bonne question d’enfants puis d’adultes en difficulté parce que l’alcool a grippé leur évolution dans le sein maternel.»
Ne pas ostraciser les femmes vulnérables C’est sûr, l’alcool est la drogue du pauvre mais touche, cependant, toutes les classes sociales. «Il n’est donc pas question de discriminer les mamans fragiles, ni les enfants atteints du syndrome de l’alcoolisation fœtale (Saf) mais de les écouter et de prendre en compte leurs questionnements, leurs fragilités et de tendre vers une prise en charge de la maman – afin de réduire la consommation d’alcool, insiste Marie-Ghislaine Gateaud, ancienne assistante sociale à la Réunion et membre SafFrance.
« A la Réunion, sur ordre de notre hiérarchie, on enlevait les nourrissons aux mamans qui avaient ce problème et elles étaient à nouveau enceinte l’année suivante ou dans les deux ans parce qu’elles avaient ce désir d’enfant. Mettre les enfants en pouponnière sans elles n’avait pas de sens et n’avait pas de fin. Devant cet imbroglio administratif et social, j’ai pris sur moi de cesser ces aberrations. J’ai cessé d’obéir et d’enlever les nourrissons à leurs mères. Je ne le regrette pas. Plutôt que de séparer l’enfant de la mère, c’est la mère qu’il faut écouter, respecter et amener à comprendre et, dans la mesure où elle le souhaite, l’accompagner dans le changement et la sobriété. Et cela a tout de suite porté ses fruits.»
«Même chose pour l’enfant afin de l’accompagner vers l’indépendance et l’autonomie car, lors de son développement à l’état d’adulte, il connaîtra des difficultés d’insertion dans la société, rappelle Catherine Grange. Les prisons, les personnes en marge de la société sont des victimes, sans le savoir, de ce syndrome, parce qu’il est difficile, pour une maman, de dire qu’elle a connu des difficultés de consommation d’alcool. Egalement, la quantité d’alcool absorbée, même si elle est infime et peu répétée, peut faire de considérables dégâts sur le développement du fœtus.»
Les meilleures actions ? « Elles ont lieu au sein du collège et du lycée. Nous voulons nous adresser aux futurs parents que seront ces élèves qui se remémoreront ce que nous leur aurons dévoilé et qui reste encore peu su aujourd’hui, même si nous progressons puisque la dernière enquête Opinion Way de juillet 2023 révèle qu’en Paca 20% des habitants de la région s’estiment tout à fait informés et 72% demandent qu’une information prioritaire et urgente soit délivrée dès le collège et le lycée », insiste Denis Lamblin.
En savoir plus
Journée internationale des troubles Saf A l’occasion de la journée internationale des troubles causés par l’Alcoolisation Fœtale, SafFrance et ses partenaires organisent les 8 et 9 septembre, le Safthon pour sensibiliser et récolter des fonds. Faire un don ici. Opération Tables jaunes Plusieurs établissements de l’Umih 84 sensibiliseront leurs clients au message Zéro alcool pendant la grossesse, le 20 novembre, journée des Droits des enfants, le Saf étant la principale cause d’inégalité des enfants. Inscription Ici. Faire un don ici.
Les 17, 18 et 19 novembre Il sera question de faire progresser la connaissance des français au moyen d’opérations de communications dans toute la France métropolitaine.
Les infos pratiques Saf France œuvre pour la formation, la recherche, les soins et la prévention, ainsi que la reconnaissance et l’accompagnement des personnes porteuses de TCAF. www.saffrance.com @saffrance, @ETCAF
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‘Pop the Opéra’, opération menée depuis 2017 par le Département de Vaucluse en partenariat avec les Chorégies d’Orange et l’Education nationale, revient mettant en scène 110 jeunes artistes vauclusiens à l’Auditorium Jean-Moulin au Thor, ce 6 mai.
Cette première date de concert rassemblera 110 élèves de quatre collèges et d’un lycée : Le lycée Aubanel et les collèges Jean Brunet et Joseph Vernet à Avignon ; Denis Diderot à Sorgues et Joseph d’Arbaud à Vaison-la-Romaine. Ils présenteront une ré-interprétation créative où les grands chœurs d’opéras se marieront avec les plus fameux succès de la musique pop. Ensuite, viendront les 19 à 21h et le 22 juin à 21h30, deux représentations prévues au Théâtre antique d’Orange avec 400 élèves de collèges et lycées du Vaucluse et des Bouches-du-Rhône.
Une formation adéquate Pour mener à bien ce projet, les professeurs d’Education musicale des élèves ont bénéficié de formations afin de les accompagner. Ensemble, ils ont participé à trois jours de répétitions à l’Auditorium Jean-Moulin au Thor. Le jour du spectacle, ils seront accompagnés par un piano et plusieurs instruments électro-acoustiques.
Lundi 22 juin à 21h30 400 élèves issus de 13 établissements chanteront lors du spectacle final de ‘Pop the Opera’. Parmi les collèges participants : Jean Brunet, Saint Jean-Baptiste de La Salle et Joseph Vernet à Avignon ; Henri Boudon à Bollène ; Saint-Charles à Cavaillon ; Louis Leprince Ringuet à La Fare-les-Oliviers ; Jean Giono à Orange ; Charles Doche à Pernes-lès-Fontaines ; Denis Diderot et Voltaire à Sorgues ; Joseph d’Arbaud à Vaison-la-Romaine et le lycée Théodore Aubanel à Avignon.
Pop the opéra Pop the Opéra a été conçu d’après une idée originale de Jean-Louis Grinda, le directeur des Chorégies d’Orange. La conception et la direction artistique ont été confiées Jean-Marie Leau ; le Co-arrangement et la direction musicale à Victor Jacob. Pianiste : Lucie Favier. Sound-design et programmation : Clément Leau.
En savoir plus Depuis le succès de sa première édition en 2017, ‘Pop the Opéra’ a fait chanter ensemble plusieurs centaines de collégiens et de lycéens de la région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur sur la scène du Théâtre Antique d’Orange, lors de l’émission ‘Musiques en fête’ de France Télévisions en direct des Chorégies d’Orange.
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‘Reporters en herbe’, c’est un concours organisé par le Club de la presse Grand Avignon Vaucluse, et soutenu par le Département de Vaucluse, dans le cadre de la ‘Semaine de la presse et des médias à l’école’, une opération annuelle de l’Éducation Nationale qui a eu lieu du 27 mars au 1er avril. Cette année, quatre collèges ont présenté un projet.
Pour la seconde année consécutive, le Club de la presse Grand Avignon Vaucluse organise le concours Reporters en herbe. Si l’année dernière, il s’était adressé aux lycéens, cette année, le Club de la presse a souhaité se tourner vers les élèves des collèges vauclusiens. Si la Semaine de la presse et des médias à l’école n’a eu lieu que du 27 mars au 1er avril, le concours Reporters en herbe a, en vérité, démarré en octobre dernier.
Depuis les vacances de la Toussaint jusqu’à celles de février, les collégiens ont pu prendre le temps d’élaborer un support d’information. Durant ce temps, les membres du Club de la presse, qui compte 60 adhérents journalistes et communicants et qui est présidé par la journaliste de France 3 Provence-Alpes Frédérique Poret depuis 2022, sont intervenus dans les classes afin de présenter leurs différents métiers et la démarche d’information par les médias.
Cinq projets
Vallis Aeria à Valréas, Arausio à Orange, Saint-Michel à Avignon, Saint-Exupéry à Bédarrides, Marie Mauron à Pertuis. Ce sont les cinq établissements qui ont participé à l’opération. Malheureusement, le collège pertuisien n’a pas pu rendre de projet à cause du départ de l’adulte encadrant. Le collège Vallis Aeria, quant à lui, a présenté deux projets.
En tout, une cinquantaine d’élèves ont pu devenir reporters en herbe. Que ce soit au niveau du format choisi pour le support d’information ou de son contenu, les élèves étaient plutôt libres de faire comme ils le sentaient. Ainsi, chaque établissement participant a rendu un support différent.
Le collège Vallis Aeria à Valréas
Les élèves du Club Biodiv de l’établissement valréassien ont présenté un reportage radio sur le cross du collège, organisé contre le harcèlement, avec une suite d’interviews, ainsi qu’une vidéo TikTok sur le sujet de la biodiversité. D’ailleurs, le Club Biodiv alimente assez régulièrement son compte Tiktok ‘clubiodivallisaeria‘ depuis sa création en novembre dernier. Sur ce compte, on peut trouver diverses vidéos expliquant ce que fait le club, et plus largement l’établissement, pour favoriser la biodiversité dans l’enceinte du collège et ses alentours. Le collège a d’ailleurs une mare pédagogique afin que les élèves puissent y faire des prélèvements et les analyser.
Le collège Arausio à Orange
En ce qui concerne l’établissement orangeois, ce sont les élèves de la classe médias 5ᵉ qui ont présenté un projet. Ensemble, ils ont élaboré un podcast sur un sujet dans l’ère du temps : les dangers du numérique. À travers ce format, ils ont révélé plusieurs conseils à suivre pour se protéger de ces dangers.
Le collège Saint-Michel à Avignon
Les élèves de 6ᵉ du collège avignonnais Saint-Michel ont proposé un journal qu’ils ont intitulé ‘L’éco de Saint-Michel’. Ce dernier se compose de plusieurs articles, mais aussi des interviews, des jeux ou encore des recettes, le tout sur le thème de l’environnement.
Le collège Saint-Exupéry à Bédarrides
Au collège Saint-Exupéry, les élèves du Club journal, et ceux de la 5ᵉ à la 3ᵉ se sont rassemblés et ont imaginé un dossier-reportage écrit sur une visite au Camp des Milles à Aix-en-Provence. Ce travail comporte divers reportages sur l’histoire du lieu, mais aussi des définitions.
Remise des prix
La remise des prix du concours a eu lieu le 30 mars dernier. Christelle Jablonski-Castanier, vice-présidente du Département chargée des Sports, de la Vie associative et des Collèges, s’est rendue au collège Saint-Michel à Avignon pour remettre aux élèves le Prix spécial du jury. Ces élèves se sont particulièrement distingués grâce à la qualité de leurs interviews, mais aussi la mise en forme de leur journal. En plus du prix, les élèves ont remporté le droit d’assister prochainement au tournage d’une émission en direct dans les studios de France 3, à Marseille. Les élèves de l’établissement avignonnais ont eux-mêmes fait l’objet d’un reportage par France 3 Provence-Alpes.
Quant aux élèves des établissements de Valréas, Orange et Bédarrides, ils ont tout de même obtenu les encouragements du jury à travers un diplôme, valorisant le travail et l’implication de chaque élève dans les différents projets.
(Vidéo) La Ville de Sorgues lance la 4e édition du Pass’Ados
Jeudi 19 janvier, 315 élèves de classes Ulis de 23 collèges vauclusiens, publics et privés, ont été accueillis au salon Cheval Passion, lors d’une journée pédagogique mise en place dans le cadre d’un partenariat entre le département de Vaucluse et les organisateurs de la manifestation.
Les unités localisées pour l’inclusion scolaire (classes Ulis) sont composées d’élèves en situation de handicap. Les élèves orientés en Ulis sont ceux qui, en plus des aménagements et adaptations pédagogiques et des mesures de compensation mis en œuvre par les équipes éducatives, ont besoin d’un enseignement adapté dans le cadre de regroupements et dont le handicap ne permet pas d’envisager une scolarisation individuelle continue dans une classe ordinaire.
Depuis quatre ans, un partenariat entre le département de Vaucluse et les organisateurs de la manifestation d’envergure internationale permet à ces élèves de découvrir le monde du cheval et de l’équitation grâce à des ateliers et des animations. Les collégiens peuvent approcher les animaux, les caresser et les brosser. Ils découvrent l’animal, ses goûts, ce qu’il aime ou déteste ainsi que les métiers associés et les différentes activités sportives.
Cette journée pédagogique présente plusieurs avantages. La relation avec le cheval incite l’adolescent à se poser, à rester calmer, à développer ses sens et à respecter les règles, notamment de sécurité. Cela l’incite à accepter et respecter l’autre dans sa différence. S’il est respecté, le cheval s’ouvre et les interactions avec lui sont particulièrement riches. Approcher cet animal impressionnant et établir une bonne relation avec lui est gratifiant et permet de gagner confiance en soi.
Cette expérience, possible grâce à la mobilisation du département et de sa vice-présidente en charge des sports, de la vie associative et des collèges, christelle Jablonsky-Castanier, qui accompagne et finance depuis 2019 des projets pédagogiques proposés par les collégiens eux-mêmes, contribue à améliorer les capacités relationnelles.
J.R.
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La difficulté de trouver un lieu de stage, notamment pour les élèves vivant dans des familles en difficulté et ne disposant pas d’un réseau social à activer dans ce cadre, est un constat partagé par la CoVe et ses partenaires, l’Etat, l’Education nationale et la ville de Carpentras. De ce constat est né le projet d’un accueil collectif de stagiaires à la CoVe.
Un des stages scolaires pour lequel la CoVe est le plus sollicitée est celui de 3e dans le cadre du stage d’observation obligatoire à accomplir pour le cursus pédagogique. Si pour bon nombre d’élèves trouver un lieu de stage ne pose pas de problème, pour d’autres la recherche d’une entreprise d’accueil est plus compliquée et relève parfois du parcours du combattant.
Le projet mit en place par la CoVe cible trois collèges de la cité éducative de Carpentras : Raspail, Daudet et Fabre. Les établissements scolaires sont chargés de repérer les élèves en difficulté dans leur recherche de stage et de constituer les groupes. Comme pour tout stage, des conventions sont signées par la CoVe avec les collèges concernés.
3 sessions d’accueil collectif
Trois sessions ont été définies pour cette première expérimentation d’accueil collectif de stagiaires :
du 28 novembre au 4 décembre 2022 pour les élèves du collège Raspail.
du 12 au 18 décembre 2022 pour les élèves du collège Daudet.
du 23 au 29 janvier 2023 pour les élèves du collège Fabre.
Pour chaque période de stage, la CoVe accueillera deux groupes de quatre élèves maximum, soit au total une offre de stage collectif pour 24 élèves. La semaine de stage consistera en un parcours de découverte dans différents services de la CoVe à raison d’un demi-journée dans chaque service.
Au sein de chaque groupe sera désigné sur la base du volontariat un élève « reporter » pour réaliser des photos de leur parcours de découverte des métiers. Des éléments qu’ils partageront pour le rapport de stage qu’ils pourront travailler lors de la dernière demi-journée à la CoVe.