25 août 2024 |

Ecrit par le 25 août 2024

Marketing territorial : le Vaucluse ‘affiche’ ses ambitions

A partir du 1er juin prochain, le Conseil départemental de Vaucluse va lancer une grande campagne publicitaire de notoriété afin de faire la promotion de son territoire. Confiée à VPA (Vaucluse Provence attractivité), son agence de développement, cette campagne vise à mettre en avant le Vaucluse à la fois comme destination touristique et comme territoire d’accueil des particuliers et des entreprises.
Réalisée par l’agence de communication marseillaise Billy, elle décline les lieux ‘mythiques’ du Vaucluse en utilisant les codes des affiches de cinéma.
En tout, 5 affiches empruntent au 7e art tout en faisant un clin d’œil à la volonté du Département de mettre en place une filière économique autour du cinéma et de l’audiovisuel en Vaucluse.
« D’Avignon au Luberon et d’Orange au Mont-Ventoux, beaucoup de pépites et de paysages vauclusiens sont mondialement connus pour eux-mêmes mais leur appartenance au département n’est pas toujours évidente, explique VPA. C’est un constat, le Vaucluse regorge de lieux exceptionnels, de nombreuses richesses et d’une position géographique idéale mais il peine à être facilement identifié. »

La Vaucluse fait son cinéma à l’échelle nationale
Durant 3 semaines, la campagne sera déployée dans la presse écrite et sur des supports digitaux, dans les gares des agglomérations de l’axe rhodanien, de la région Ile-de-France et jusqu’à Lille.
Dans le détail, le plan média comprend un spot de 10 secondes en affichage digital (1 100 écrans) sur les réseaux des gares, des centres commerciaux Île de France (Monoprix, Carrefour city…), dans les métros de Paris et petite couronne, des achats d’espaces publicitaires sur les plateformes de replay TV, des bannières digitales (mobiles, tablettes, PC) sur des sites web et les réseaux sociaux ainsi que des insertions dans les magazines Première, Côté Sud et Côté Ouest.
« Cette campagne a pour objectif d’accroître la notoriété du Vaucluse auprès d’une large audience, poursuit VPA. Elle cible en priorité les actifs en quête d’opportunités professionnelles ou d’un endroit agréable où s’installer (entrepreneurs, start-up, free-lance, employés) et les familles. Elle vise dans un second temps, les étudiants et seniors. »
Au final, l’objectif de l’opération est « de rattacher des lieux emblématiques du territoire à leur terre mère, le Vaucluse, afin de mieux appréhender les contours du département et ses nombreux atouts ».

Voir les 5 spots ci-dessous :

© Vaucluse Provence Attractivité
© Vaucluse Provence Attractivité
© Vaucluse Provence Attractivité
© Vaucluse Provence Attractivité
© Vaucluse Provence Attractivité

Marketing territorial : le Vaucluse ‘affiche’ ses ambitions

Le film sera projeté en avant-première, ce jeudi 1er juin au cinéma Capitole-My cinewest du Pontet, en présence du réalisateur,

La trame de ce documentaire de 95 minutes est basée sur une histoire vraie. Au printemps 2020, la France est confinée, paralysée. Libero Mazzone, chef d’entreprise des bords du Bassin d’Arcachon a dû mettre entre parenthèses sa société. A la TV, à la radio, on parle de manque de masques pour protéger la population du Covid. Un ami, adjoint à la mairie de Bordeaux, lui demande s’il connaît une usine qui en fabrique, il a besoin de 800 000 masques. Libero Mazzone cherche, il n’en trouve pas. « Mais chaque problème a sa solution » martèle cet homme pragmatique. Il imagine alors d’en faire lui-même pour les agents qui travaillent dans les hôpitaux, dans les services publics de l’agglomération bordelaise. « Je ne suis pas couturier, je ne sais pas où on trouve des mètres de tissus, d’élastiques » confie-t-il.

Il fonce sur Lyon, pour acheter du tissu, il achète une cinquantaine de machines à coudre, rentre dans la nuit à La Teste-de-Buch, poste une annonce sur les réseaux sociaux pour recruter des « petites mains ». En quelques heures, la machine est lancée, l’aventure humaine aussi. L’entrepreneur voit les choses en grand. Il loue le parc des expositions, installe les premières machines à coudre, il obtient des centaines de réponses sur internet, avec Pôle-Emploi, plus de 250 personnes sont recrutées et formées en quelques heures. « Des retraités, des SDF, des personnes en recherche d’emplois, des commerçants, des comptables, surtout des femmes » commente-t-il.

De fil en aiguille, la maison Singer, touchée par ce projet hors du commun lui offre une centaine de machines supplémentaires pour faire face à la demande. « C’était fou, une telle motivation, une telle envie d’être utiles, solidaires pour sauver des vies, elles étaient tellement investies dans cette mission, toutes ces femmes, de vraies lionnes, des combattantes » commente-t-il, enthousiaste.

Cette force, cet esprit d’équipe, c’est le fil d’Ariane du film réalisé par Florent Lacaze qui met en valeur ces ‘lionnes’ qui pour une fois sont visibles, mises en lumière. « En tout, elles ont été 473 exactement à participer à ce moment unique, 1,2 million de masques ont été confectionnées et j’ai versé 2,3M€ de salaires. Mais le plus important, ce sont surtout les liens qui ont été tissés entre elles, comme avec les gars de l’équipe de rugby qui nous ont aidés à emballer les masques pour les expédier » conclut Libero Mazzone.

Il sera jeudi soir 1er juin à 19h 30 au cinéma Capitole – My Cinewest du Pontet avec le réalisateur pour échanger avec les spectateurs, répondre à leurs questions et leur faire vivre ce moment rare d’émotion, de solidarité et de partage pendant le confinement de 20.


Marketing territorial : le Vaucluse ‘affiche’ ses ambitions

A l’occasion du Festival de Cannes, qui a débuté le 16 mai et s’achèvera le 27 mai, la ministre de la Culture Rima Abdul-Malak et le Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC) ont annoncé les 68 projets retenus pour l’appel à projet ‘France 2030 – La grande fabrique de l’image. Parmi eux, 34 sont des organismes de formation, dont l’Ecole des Nouvelles Images, implantée à Avignon et Carpentras.

« Quelle joie d’être reconnu par l’État français comme un acteur majeur de la formation en Cinéma d’animation & Jeu vidéo, a déclaré l’établissement sur ses réseaux sociaux. C’est une page importante qui s’écrit pour notre école et ses étudiants. »

Le dossier de l’école avignonnaise pour l’appel à projet ‘La grande fabrique de l’image’ liste plusieurs objectifs : structurer l’éco-responsbilité dans la création des images de synthèse, développer nos filières de formation, ou encore favoriser l’accès au plus grand nombre. Dans sa démarche, l’établissement a été soutenu par la Région Sud, l’agence RisingSud et le Cabinet EY.

350 millions d’euros

Le projet ‘La grande fabrique de l’image’ de France 2030 a pour ambition de faire de l’Hexagone un leader des tournages, de la production de films, séries et jeux vidéo, de la post production (effets spéciaux notamment) et de la formation aux métiers du cinéma et de l’audiovisuel. Pour se faire, l’Etat a prévu un budget de 350 millions d’euros. Ce projet n’a pas seulement un enjeu économique et industriel mais il s’agit surtout de défendre le modèle d’indépendance, de diversité, de liberté de création et de souveraineté culturelle du pays.

En 2022, 2,4 milliards d’euros ont été investis dans la production (cinéma et audiovisuel). D’ici 2030, le volume des productions culturelles pourrait doubler. Aujourd’hui, la France manque tout de même d’infrastructures de tournages. « Notre ambition est d’élargir et de diversifier le vivier de talents, aussi bien créatifs que techniques, de développer les compétences de la filière et d’offrir à la jeunesse l’opportunité de porter de nouveaux récits pour nourrir nos imaginaires », a affirmé Rima Abdul Malak.

Loic Etienne (directeur du studio Circus Avignon), Alexandre Manzanares (responsable des effets visuels chez TNZPV Productions & Studio) et Julien DEPARIS (directeur de l’Ecole des Nouvelles Images) avec la Ministre de la Culture Rima Abdul Malak (© Ecole des Nouvelles Images)

68 projets retenus dans 12 régions

Sur 175 dossiers de candidature déposés, 68 projets ont été retenus dans 12 régions : 11 studios de tournage, 12 studios d’animation, 6 studios de jeu vidéo, 5 studios d’effets spéciaux et post-production, ainsi que 34 organismes de formation. Les deux tiers des projets sont implantés en dehors de l’Ile-de-France et certains sont dans des territoires d’outre mer (La Réunion, Martinique, Guadeloupe).

Les projets sélectionnés devraient permettre de doubler la surface de plateaux de tournage pour atteindre 153 000m² et quasi-quadrupler la surface de décors extérieurs permanents pour atteindre 187 000 m², ce qui placera la France en tête de l’Europe continentale. Ils devraient également garantir une accélération et une ouverture nouvelle sur la formation, une réduction de l’empreinte carbone de la filière et le développement d’activités écoresponsables, une consolidation territoriale autour de pôles d’excellence réunissant le meilleur des studios et le meilleur de la formation, ainsi qu’un développement des créations d’emplois, des retombées économiques et de l’attractivité touristique des territoires.


Marketing territorial : le Vaucluse ‘affiche’ ses ambitions

Comme un air de déjà vu ? L’une des critiques revenant souvent à propos du Festival de Cannes est qu’il fait souvent la part belle aux mêmes cinéastes, tandis que les réalisatrices sélectionnées, elles, se font plutôt rares.

L’édition 2023, qui se déroule du 16 au 27 mai, semble toutefois amorcer un changement. Cette année, la sélection officielle présente un nombre record de films réalisés par des femmes : six sur dix-neuf en compétition, soit environ le tiers (31,6 %). Les films et cinéastes sélectionnés sont « La Chimère » (Alice Rohrwacher), « Club Zero » (Jessica Hausner), « L’Été dernier » (Catherine Breillat), « Anatomie d’une chute » (Justine Triet), « Banel & Adama » (Ramata-Toulaye Sy), et « Les Filles d’Olfa » (Kaouther Ben Hania).

Comme le montre notre graphique, qui revient sur la présence féminine au Festival de Cannes de 1946 à 2023, il a fallu attendre le début des années 2000 pour que les femmes se voient garantir au moins quatre des neuf places au sein du jury. Depuis, la parité est globalement respectée pour les jurés du festival, mais ce n’est pas encore le cas concernant les films et cinéastes sélectionnés. Malgré les progrès récents, la présence de réalisatrices dans la sélection officielle est restée ultra-minoritaire : seuls 12 % des films sélectionnés de 2003 à 2023.

Le nombre de réalisatrices reparties de Cannes avec une Palme d’or se compte quant à lui toujours sur les doigts d’une main : deux en près de 80 ans. Il s’agit de la Française Julia Ducournau pour « Titane » en 2021 et de la Néo-Zélandaise Jane Campion pour « La Leçon de piano » en 1993.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Marketing territorial : le Vaucluse ‘affiche’ ses ambitions

L’association ‘Ma ville fait son cinéma’, présidée par le journaliste-vigneron Patrick Chêne, organise la 4ᵉ édition du festival ‘Carpentras fait son cinéma’ du mardi 9 au samedi 13 mai. L’événement a pour objectif d’animer la cité, de faire parler de Carpentras et de favoriser la création cinématographique.

Durant toute la durée du festival, la ville va devenir un véritable décor de cinéma dans le cadre d’un grand concours de courts-métrages. Cinq équipes de tournages, qui ont été sélectionnées via un appel à candidatures, relèveront le défi de réaliser une fiction de 8’40 en 84 heures. Pour l’occasion, les habitants deviendront supporters des équipes de tournage mais aussi figurants, acteurs, ou encore techniciens bénévoles.

Le programme

Le mardi 9 mai, il sera possible de rencontrer les équipes de tournage dès 17h sur la place des Maréchaux où la compétition sera officiellement lancée à 20h.

Le mercredi 10 mai, le public pourra assister gratuitement (dans la limite des places disponibles) à la projection du film ‘Ernest et Célestine, Voyage en Charabie’ à 14h au cinéma Le Rivoli.

Le samedi 13 mai, le film ‘Tu choisiras la vie’ de Stéphane Freiss sera diffusé et présenté par Patrick Chêne à 16h30 au cinéma Le Rivoli. Puis Le Cabaret accueillera la cérémonie de clôture du festival durant laquelle les films en compétition seront projetés dès 20h. Cette cérémonie est ouverte à tous dans la limite des places disponibles.

V.A.


Marketing territorial : le Vaucluse ‘affiche’ ses ambitions

Le lundi 10 avril, le cinéma Capitole MyCinewest diffusera en avant-première le film d’aventure fantastique Donjons & Dragons : l’honneur des voleurs, qui sortira officiellement le 12 avril dans toutes les salles de cinéma.

À l’affiche du film : Chris Pine, Michelle Rodriguez, Rege-Jean Page, Justice Smith, ou encore Sophia Lillis. Le synopsis tourne autour d’un voleur et d’une bande d’aventuriers improbables qui entreprennent un casse épique pour récupérer une relique perdue. Mais les choses vont mal tourner pour eux lorsqu’ils vont s’attirer les foudres des mauvaises personnes.

À l’occasion de cette avant-première, diverses animations seront organisées comme du tir à l’arc animé par Bifrost, un photocall sur le thème du film, une démonstration de combat proposé par CréArtif, ou encore des jeux en réalité virtuelle avec Ready. De nombreux cadeaux seront également à gagner lors de cette soirée. Il est d’ores et déjà possible de réserver sa place en ligne.

Lundi 10 avril. 20h. Cinéma Capitole. 161 Avenue de Saint-Tronquet. Le Pontet.

V.A.


Marketing territorial : le Vaucluse ‘affiche’ ses ambitions

Alors que la dernière édition des Rencontres du Sud 2023 a été un véritable succès, le Capitole my Cinéwest, partenaire de l’événement, a accueilli 220 élèves et leurs professeurs venant de différents établissements du Vaucluse, pour assister à la journée Collèges et Lycées dans le cadre du Petit Festival.

« Ce Petit Festival fait la part belle à l’éducation à l’image car il est indispensable de partager et de proposer des dispositifs pédagogiques pour accompagner l’enseignement artistique notamment dans le domaine du cinéma et pourquoi pas, in fine, de révéler des vocations », se félicitent les organisateurs des Rencontres du Sud.
C’est pour cela qu’à l’occasion de cette 10e édition, la manifestation a accueilli une journée spéciale consacrée aux collèges et lycées de Vaucluse : ‘Le Petit Festival’.
Dans ce cadre, une programmation spécifique et adaptée a rythmé cette journée riche en rencontres, en échanges et en découvertes du monde de l’industrie cinématographique française. Les formations et les métiers du cinéma ont été mis à l’honneur pour le plus grand plaisir des élèves.

Ce moment d’échange a ainsi permis à plus de 220 élèves et leurs professeurs d’assister à la projection de plusieurs courts-métrages* ainsi que d’un long métrage traitant des différentes formes de harcèlement que peuvent subir les jeunes. Les élèves vauclusiens ont ensuite pu rencontrer Florent Parisi, réalisateur du court-métrage La Couleur du Roi ainsi que Chad Chenouga, réalisateur du long métrage Le Principal.

Le reste de la journée a ensuite été consacré à la présentation du secteur du cinéma et de ses métiers avec rencontre et échange avec Adrien Denouette, critique de cinéma, enseignant et conférencier. Focus sur le métier de distributeur et programmateur de film : rencontre et échange avec Hugo Fournier, programmateur et responsable projections privées, société Warner Bros. Présentation de la section SN AVP du Campus des sciences et techniques d’Avignon : Rencontre avec Nicolas Dion, professeur au lycée Robert Schuman.
Présentation de L’École des Nouvelles Images d’Avignon : Rencontre avec Florence Maille, responsable communication et partenariat et Maud Dufour, assistante de direction.

L.G.

*Liste des courts-métrages : Nightout, Amis que vent emporte, Précieux, Trop de bruits qui courent, Aspirational, Mademoiselle, Une différence pas une souffrance ainsi que La Couleur du Roi.


Marketing territorial : le Vaucluse ‘affiche’ ses ambitions

Dans le cadre des Journées Arts et Culture dans l’Enseignement Supérieur, qui auront lieu les 3, 4 et 5 avril prochains, l’association étudiante Culture.com, gérée par les étudiants en Master Culture et Communication de l’Université d’Avignon, organisent une soirée sur le thème ‘La place de l’anthropomorphisme dans l’animation’ au cinéma Le Vox. Le ciné-débat aura lieu le mardi 4 avril.

Pour l’occasion, les réalisations des étudiants de l’École des Nouvelles Images et de l’école Motion Pictures in Arles seront diffusées. Plusieurs personnes spécialisées dans les métiers de l’image seront présentes pour aborder la place des animaux dans le milieu de l’animation, les débats de société que cela permet de créer, et comment les professionnels de l’audiovisuel produisent techniquement ces films.

L’entrée est au prix de 2€. Il est impératif de réserver sa place en ligne.

Mardi 4 avril. De 20h à 22h. Le Vox. 22 Place de l’Horloge. Avignon.

V.A.


Marketing territorial : le Vaucluse ‘affiche’ ses ambitions

Ce samedi 1er avril, le cinéma Capitole MyCinewest diffusera en avant-première la comédie française ’10 jours encore sans maman’. Le film sortira officiellement dans toutes les salles de cinéma le 12 avril prochain. Pour l’occasion, l’équipe du film sera présente, dont les deux acteurs principaux, Franck Dubosc et Aure Atika

Dans cette suite de ’10 jours sans maman’, on suit Antoine (Franck Dubosc), qui, après son licenciement, choisit de rester à la maison pour s’occuper de ses quatre enfants alors que sa femme Isabelle (Aure Atika) est très occupée par sa nouvelle activité d’avocate. Antoine commence à de moins en moins tenir le coup face à l’énergie que lui demande sa famille. Des vacances s’imposent ! Mais voilà qu’Isabelle ne peut pas partir avec eux à cause de son travail. Antoine se retrouve donc au ski seul avec les 4 enfants pendant 10 jours, et surtout : sans maman !

Il est d’ores et déjà possible de réserver sa place sur le site du cinéma.

Samedi 1er avril. 17h30. Cinéma Capitole. 161 Avenue de Saint-Tronquet. Le Pontet.

V.A.

https://echodumardi.com/tag/cinema/page/6/   1/1