25 août 2024 |

Ecrit par le 25 août 2024

Où les films d’horreur ont la cote

Alors que l’on vient de fêter Halloween, les contenus d’horreur et d’épouvante se multiplient sur les plateformes de streaming. Et, d’après les données compilées dans le cadre des Consumer Insights de Statista, ceux-ci sont particulièrement populaires dans certains pays. C’est par exemple le cas du Mexique, pays du réalisateur Guillermo del Toro, dont l’œuvre compte des classiques du genre : 57 % des personnes interrogées dans le pays déclaraient aimer regarder des films et séries d’horreur. Le genre est également assez populaire en Espagne, où la part des répondants disant apprécier ces films et séries était de 46 %.

Si les Français étaient en général moins enthousiastes vis-à-vis de l’horreur, près d’un tiers (32 %) des personnes interrogées en France disaient tout de même regarder des films et séries d’épouvante.

Valentine Fourreau pour Statista


Où les films d’horreur ont la cote

Fini l’écran de télévision trop petit pour suivre la Coupe du monde de rugby ! Le cinéma Capitole MyCinewest, situé au Pontet, va diffuser gratuitement et en direct les prochains matchs du tournoi sur grand écran, à partir de ce samedi 14 octobre. Vous aurez presque l’impression d’être dans les gradins.

Dès ce samedi 14 octobre, il sera possible de voir l’Argentine affronter le Pays de Galle à 17h, et de voir l’Irlande contre la Nouvelle-Zélande à 21h. L’Angleterre jouera contre Fidji ce dimanche 15 octobre à 17h. Enfin, il sera possible d’admirer le très attendu match France – Afrique du Sud ce dimanche 15 octobre à 21h.

Après les quarts de finale, il sera également possible de se rendre au cinéma pour visionner les demi-finales les vendredi 20 et samedi 21 octobre à 21h, la petite finale le vendredi 27 octobre à 21h et la finale de la Coupe du monde de rugby 2023 le samedi 28 octobre à 21h.

Il est possible de réserver sa place gratuite sur internet, ou de la demander directement au guichet.

V.A.


Où les films d’horreur ont la cote

Ce mercredi 11 octobre, Skye, Stella, Chase, ou encore Rocky vous donnent rendez-vous au cinéma Capitole MyCinewest au Pontet. Si ces noms ne vous disent rien, peut-être que vos enfants pourront vous en dire plus puisqu’il s’agit des personnages de la célèbre Pat’ Patrouille qui fait l’objet d’un film ‘La Pat’ Patrouille : La Super Patrouille Le Film’.

En plus de la projection, les enfants pourront profiter de diverses animations, notamment d’un stand vente de ballons à l’effigie des personnages ou encore d’un photocall avec Stella et Chase. Plein de cadeaux seront également à gagner dans l’après-midi.

Mercredi 11 octobre. 15h. Cinéma Capitole MyCinewest. 161 Avenue de Saint-Tronquet. Le Pontet.

V.A.


Où les films d’horreur ont la cote

Alors que ‘Le 8e jour’ ressort sur les écrans au cinéma Capitole myCinewest à Avignon-Le Pontet, Henriette et Alain témoignent de leur vie autour de Matieu. En effet, La radio RCF 84 et Cinéma Capitole myCinewest proposent la rediffusion du ‘Huitième jour’ du réalisateur Jaco van Dormael avec les comédiens Daniel Auteuil et Pascal Duquenne dimanche prochain, 15 octobre, à 16h (6€). A l’issue de la projection, à 18h, RCF entamera le débat sur ‘La différence est-elle acceptable en société ?’ avec Emilie Bourdellot directrice de la Radio RCF Vaucluse et Marc Chabaud, producteur. Exclusion, marginalité, culture et handicaps, où en sommes-nous dans notre société ? L’Echo du mardi, partenaire de cet événement propose, pour l’occasion, de donner la parole à des parents et des accompagnants de personnes en situation de handicap. Que vivent-ils ? Qu’est-ce qui a changé en 28 ans ? Témoignages.

Henriette, Alain et leur fils Matieu vivent à Avignon. Matieu est une personne trisomique 21. A 44 ans, il est agent de service dans un collège de la cité papale et vit dans son propre appartement. Il nourrit de nombreuses relations avec son environnement, voyage, adore le vélo la randonnée en montagne et les voyages. Mais sa vie n’aurait pas été celle-ci sans la pugnacité de ses parents et des associations qui font, au quotidien, bouger les lignes.

Henriette
Première grossesse

«Nous étions en 1979 et c’était ma première grossesse, commence Henriette. A l’époque on ne passait qu’une échographie. J’étais sportive et je me rappelle avoir fait de la randonnée en montagne jusqu’à 15 jours avant d’accoucher. Puis a eu lieu l’accouchement qui s’est révélé très difficile. Notre enfant n’a pas crié tout de suite, il est donc parti en néonatologie, et je ne l’ai découvert que deux jours après. J’ai tout de suite reconnu les traits d’un mongolien, c’est ainsi qu’on les appelait à l’époque.»

Matieu travaille comme agent de restauration dans un collège d’Avignon, ici lors de sa formation en apprentissage

Alain
Une différence dure à exprimer
«J’avais assisté à l’accouchement. Dans un premier temps c’était le bonheur, j’avais un fils. Puis j’ai été convoqué dans un service de la maternité de Sainte Marthe à Avignon. Je me suis retrouvé face à un mur de blouses blanches, tous avec le regard fuyant. Une personne, d’emblée, m’a demandé si je savais ce qu’était le mongolisme. Le trouble s’est emparé de moi. Une sage-femme ou une infirmière m’a tout de suite dit que je pouvais l’abandonner. Puis tout le monde est parti. Je me revois dévaler les escaliers à la poursuite du médecin qui accélérait. Il me fuyait. Le monde du handicap nous était totalement inconnu et nous tombait dessus.»

Henriette
La galerie des horreurs

«Moi, je l’ai vécu différemment parce que j’avais une formation de biologiste et je savais de quoi il s’agissait. Lors de mon adolescence, j’avais visité un établissement pour handicapés et là c’avait été la galerie des horreurs. Quant à l’annonce du handicap ? On me l’a faite deux jours après l’accouchement, avec mon enfant dans son petit berceau, dans l’étroit vestiaire du personnel.»

Un peu d’humanité
«Nous avons eu la chance de connaître le chef de service de pédiatrie qui nous a parlé humainement et sans langue de bois. Il nous a dit qu’il n’y avait pas de comparaison possible entre un enfant placé en institut et un autre grandissant en famille. Ses paroles ont été détrminantes. Au moment où l’on disait qu’un mongolien était inéducable, lui tenait un tout autre discours. Pour autant, il ne nous a pas dressé un tableau idyllique. Nous, nous avons retenu que cet enfant pouvait apprendre et que nous pouvions avoir des relations et une vie avec lui. Une autre personne, une kiné, spécialisée dans les enfants handicapés, nous a également beaucoup aidés.»

Alain
Un moment dramatique
«Il y a eu ce moment dramatique et douloureux gravé dans notre mémoire qui a conditionné notre vie. Nous sommes repartis, tous les deux, Henriette et moi, dans la montagne –Matieu était en couveuse et devait reprendre du poids avant de regagner notre foyer-. Nous sommes restés quelques jours en réflexion. En tant que père, cela a été une 2e naissance. C’est là que j’ai accepté Matieu, cet enfant différent.»

Matieu A

Henriette
Un nouveau départ
«Un jour, alors que je venais le voir à l’hôpital, on m’a dit que je pouvais le ramener à la maison. Je suis repartie avec lui sans y être préparée et sans conseils. C’était mon premier enfant, il était en souffrance, et je devais me débrouiller seule. Très vite nous avons été entourés de nos amis et de notre famille, même éloignée, celle-ci a accepté la situation, ce qui n’était pas le cas de toutes les familles.»

L’acceptation

«Ensuite Matieu a été accepté dans une crèche communale parce que la directrice avait mobilisé, spontanément, son équipe. Notre enfant y était, vraiment, le bienvenu. Nous avons repris nos travails respectifs. Henriette dans un laboratoire d’analyses et moi à l’imprimerie où j’étais maquettiste. En rencontrant d’autres enfants handicapés chez notre kiné, nous avons eu l’idée de créer le Geist 21, association que nous avons portée pendant plus de 33 ans.»

La sociabilisation
«La maternelle a été un peu difficile et l’équipe pédagogique un peu perdue. Tout le monde tâtonnait, y compris nous. Nous étions tous démunis parce que la société considérait les trisomiques comme des débiles profonds qui, la plupart du temps, étaient confiés aux instituts. Dans le même temps, les professionnels exerçant dans ces instituts, commençaient à remarquer le potentiel de ces enfants et jeunes adultes. Nous étions aux prémices de cette dynamique, mais nous partions tous de zéro.»

De mongolien à trisomique
«Il y a eu l’association Geist 21 mais aussi l’appellation quand on est passé de mongolien –qui fermait le regard et le dialogue- à des personnes trisomique 21 et aussi cet ouvrage ‘les trisomiques parmi nous ou les mongoliens ne sont plus’. On s’est beaucoup appuyé sur ce livre qui prônait l’intégration et la considération de ces enfants avec des exigences éducatives. Tout cela a amené à la scolarité et à la vie sociale.»

Alain
Les professionnels changent de paradigme
«Nous, les parents avec les professionnels, avons changé l’image de ces enfants qui n’étaient plus laissés mal vêtus, les cheveux ébouriffés et la langue pendante comme les dessinait Claire Bretécher. Ils n’étaient plus cela ni dans la réalité, ni dans notre imaginaire. Nous avons défendus leurs droits. La fréquentation de l’école Maternelle puis primaire – Matieu a été 3 ans à l’école maternelle et 4 ans à l’école primaire-  les a ouverts à la sociabilisation.»

Une famille éprise de la montagne

Le réseau
«Par notre réseau de parents et de professionnels d’enfants handicapés, nous avons rencontré le Directeur de l’Education nationale qui a évoqué l’ouverture d’une classe spécialisée dite intégrée, -la 2e en France après Saint-Etienne- à l’école Stuart Mill, en 1987, à Avignon. Des classes dactuellement appelées Ulis (Unités localisées pour l’inclusion scolaire). 

Henriette
Ouverture d’esprit
«Pour que ça marche il faut pouvoir être en contact avec des gens ouverts, engagés et motivés sur le handicap. Les institutrices de maternelle comme de primaire l’étaient. Les enfants étaient vraiment intégrés dans l’école. Et les parents étaient très présents et proactifs.» 

Alain
La force d’être plusieurs
«Quand on est seul, on entrouvre les portes. Quand on est tous ensemble, on peut entrer. La semaine il y avait l’école et le mercredi le centre de loisirs. Mathieu, comme les autres enfants handicapés, a pris le train pour aller à Châteauneuf de Gadagne avec les autres élèves, puis s’est mis à voyager avec nous à travers le monde. Tout cela a été rendu possible grâce à l’émulation qu’entretenait l’association.» 

Henriette
Maternelle, primaire, collège, apprentissage
«Mathieu a ensuite été au collège puis au centre de formation des apprentis via les ateliers pédagogiques personnalisés. Il a fait ses stages dans une maison de retraite, dans le cadre du service en restauration. La direction du travail ne connaissait pas la formule. C’est dire à quel point l’administration méconnaissait le système du contrat d’apprentissage pour personne handicapée, tout comme la société en général.»

A chaque porte poussée…
«A chaque porte poussée, il fallait trouver des solutions et décrypter les arcanes administratives : contrat d’apprentissage, emploi jeune… après nous nous sommes trouvés démunis et sans aide. Nous nous sommes alors tournés vers l’Agefiph pour l’accompagnement professionnel adulte et le maintien des acquis. C’est un combat permanent où vous êtes toujours à anticiper la prochaine étape. Après le milieu du travail, plus ou moins investi, il fallait penser à l’hébergement. Ces jeunes adultes devaient-ils rester chez leurs parents ou fallait-il penser à autre chose ?»

En voyage au Portugal

Le regard insistant
«Nous avons mis en place un appartement-formation avec la Fondation de France puis un service SAVS (Service d’accompagnement à la vie sociale) avec le Département. Aujourd’hui de nombreux adultes ont un travail, plus ou moins intéressant, un appartement où ils sont plus ou moins autonomes, car leur vie ne l’est jamais totalement, tout comme nous qui dépendons des autres. Il y aura toujours ce besoin d’encadrement, d’accompagnement et de suivi. La vision du handicap a complètement changé. Quand on se promène dans la rue, on n’a plus droit à ce regard insistant. Le seul regard ? Il émane de jeunes très enfants qui s’interrogent en se disant ‘tiens, celui-là est différent.’ Plus d’une fois j’ai entendu des mamans expliquer gentiment aux enfants cette différence. Le handicapé est banalisé. La personne n’est plus considérée que sur l’angle de son handicap.»

Alain et Henriette
‘15 ans auparavant, nous avions anticipé la loi de 2005’
«La très importante loi de 2005 a instauré la compensation du handicap en partant du principe que tout citoyen avait des droits et que la personne en situation de handicap ne pouvait y parvenir sans aide matérielle ou humaine. La loi a entériné le fait que cette personne avait droit à l’accès à l’éducation, à la formation, au travail et, donc, à faire partie de la société. C’est ce que nous avions anticipé 15 ans auparavant. L’État a pris en compte toutes ces évolutions menées par les actions des associations de la sphère du handicap, et a donc légiféré de manière à donner un cadre et à assurer la pérennité de ces changements.»

Alain
Aujourd’hui
«La loi de 2005 a fixé un cadre dont nous nous apercevons qu’elle a ouvert beaucoup de droits. Paradoxalement elle exerce un effet inverse par rapport aux parents, car ceux-ci, avant qu’elle ne soit inscrite, inventaient des solutions, étaient combatifs et très actifs. Aujourd’hui, on s’aperçoit que beaucoup de parents demandent l’application des droits. Un exemple ? Même si la loi dit que tout enfant doit être scolarisé, ça n’est pas aussi simple que cela, parce que certains types de handicaps sont complexes à prendre en compte et, parfois, la présence à l’école de l’enfant peut apporter plus de problèmes qu’elle ne génère de bonnes réponses. Il y a également une question de moyens –car la présence d’un enfant différent suppose de nombreux moyens comme un auxiliaire de vie scolaire. Aussi, l’on détecte de plus en plus d’enfants souffrant de handicaps sociaux. C’est la raison pour laquelle les enseignants sont démunis dans une classe de 25 à 30 gamins, dont 10 sont hyper actifs. Et là, il faut reconnaître que c’est compliqué.»

Matieu, passionné de vélo

Un autre phénomène ?
«L’action collective a du mal, aujourd’hui, à s’exprimer. On voit que beaucoup d’associations ont du mal à exister. Ca été le cas du Geist 21. On défend son cas personnel, sa situation ce qui est tout à fait normal, mais sans s’occuper de faire avancer le collectif. Le Geist 21, c’était une réponse individuelle dans une dynamique collective. Je suis convaincu que si Matieu est arrivé à cette autonomie, c’est grâce à cette dimension collective. Sans celle-ci, on ne s’inscrit pas dans la durée. Quand nous allions voir un responsable pour lui soumettre une demande, nous disions toujours, derrière nous, nous avons 15 familles. Lorsque l’on porte la parole d’un groupe, c’est forcément plus porteur.»

Henriette
Faire face aux difficultés
«Également, l’avantage d’être plusieurs c’était de porter une famille si celle-ci se trouvait en difficulté, on ne la lâchait pas. Il y avait cette solidarité. Quels genres de difficultés ? Des familles qui n’avaient pas la capacité à gérer cette situation de handicap, perdues dans les démarches administratives. On leur indiquait quelles aides demander. L’association était représentée dans différentes instances qui pouvaient être des leviers pour accéder à l’école, à la création de services –SAVS, Service d’accompagnement à la vie sociale, comme la MDPH (Maison départementale pour les personnes handicapées). Nous avions créé un réseau avec nos entrées. Nous avions convaincus des élus. Ce n’était pas du favoritisme mais nous étions convaincants et avec des projets collectifs et réfléchis. C’était un labourage permanent.»

Alain
Le parcours, pour nous, n’est pas fini.
«Maintenant, Matieu a 44 ans. Nous avons passé les 70 ans. La question est comment Matieu va-t-il nous survivre ? Car le vieillissement des personnes trisomiques est un phénomène nouveau. Désormais, ils survivent à leurs parents, alors, comme d’habitude, il faut anticiper. Les moyens existent comme avec le Mandat de protection future, les tuteurs-curateurs mais la difficulté est de trouver la bonne personne. Il est vrai que nous sommes très exigeants pour notre enfant, ce qui a toujours été notre moteur. On n’avance pas avec des solutions médiocres.»

On commence à passer le relais
On commence à passer un peu le relais avec la PCH (Prestation de compensation du handicap), nous faisons appel à un service d’aide à la personne. Après nous devrons prendre une personne pour régler les affaires plus intimes comme l’accompagnement à la santé, à la solitude… Les services d’aide à la personne ne sont pas formés pour cela. Matériellement, on s’est organisés car Matieu est notre fils unique. Nous avons préparé la succession. Matieu est propriétaire de son logement. Il dispose de suffisamment de biens pour vivre, mais c’est l’accompagnement humain qui sera compliqué car il faut quelque chose de plus qu’un tuteur ou curateur –qui gère de très nombreux dossiers) tel qu’il fonctionne actuellement.»

Alain et Henriette, les parents de Matieu

Où les films d’horreur ont la cote

Dans le cadre des Festiv’été 2023 de la ville de Sorgues, le film La petite bande sera projeté ce mercredi 30 août. Si la séance devait initialement se faire en plein air, la Ville a décidé de la déplacer à l’intérieur du Pôle culturel Camille Claudel en raisons des prévisions météorologiques qui annoncent de fortes rafales.

Pas question de laisser la météo gâcher cet événement qui clôture la programmation estivale de la Ville. Attendre la tombée de la nuit n’étant donc pas nécessaire, la séance est avancée à 20h45 au lieu d’être projetée à 21h30. Alors, préparez votre popcorn !

Mercredi 30 août. 20h45. Gratuit. Pôle culturel Camille Claudel. 285 Avenue d’Avignon. Sorgues.

V.A.


Où les films d’horreur ont la cote

Si vous consultez régulièrement Internet, il est probable que vous ayez entendu parler du phénomène Barbenheimer : alors que Barbie, de Greta Gerwig, et Oppenheimer, de Christopher Nolan, allaient sortir simultanément au cinéma (le 19 juillet en France, le 21 juillet aux États-Unis), des internautes commencèrent à suggérer que les films devaient être vus l’un après l’autre en séance double. Les deux films ont des thèmes diamétralement opposés : Barbie est un film de fantasy basé sur la célèbre poupée de Mattel, alors qu’Oppenheimer retrace l’histoire du Projet Manhattan, et le développement de la première bombe atomique.

Le 16 août, ayant passé près d’un mois dans les salles, Barbie était le deuxième film le plus rentable de l’année, avec des recettes atteignant 1.192 millions de dollars à l’échelle mondiale, selon Box Office Mojo. Oppenheimer, quant à lui, était alors sixième au classement, ayant généré 651 millions de dollars, soit un peu plus de la moitié des revenus du film de Greta Gerwig.

Cliquez sur l’image pour l’agrandir.

Valentine Fourreau, Statista.


Où les films d’horreur ont la cote

Le festival Ciné’Vignes, organisé par les vignobles de la Vallée du Rhône, est de retour depuis le 27 juillet pour une troisième édition. Profitez d’une séance de cinéma au milieu des vignes, ainsi qu’une dégustation de vin, tous les soirs jusqu’au mercredi 9 août.

Chaque soir, vous avez rendez-vous chez un vigneron de la Vallée du Rhône pour assister à une séance de cinéma, tout en profitant d’une dégustation de ses cuvées. Des food-trucks de spécialités locales sont également sur place afin de se restaurer. Le tout dans une ambiance conviviale.

Les participants peuvent se rendre chez le vigneron dès 19h30. La séance de cinéma, quant à elle, commence à la tombée de la nuit, à 21h45. La soirée est au prix de 15€ et gratuite pour les moins de 18 ans. Pour assister à l’une ou plusieurs d’entre elles, il faut réserver sa place sur la billetterie en ligne.

Les projections

  • Ce lundi 31 juillet le Domaine de Lucéna, situé à Visan, projettera la comédie Alibi.com
  • Le mardi 1er août, le Château Boucarut, situé à Roquemaure, projettera En corps
  • Le mercredi 2 août, le Château de Mille, situé à Apt, projettera le film primé aux Oscars The Artist
  • Le jeudi 3 août, le Mas Carlot, situé à Bellegarde, projettera OSS 117 : Alerte Rouge en Afrique Noire
  • Le vendredi 4 août, le Château Juvenal, situé à Saint-Hyppolyte-le-Graveyron, projettera Le Prénom
  • Le samedi 5 août, le Domaine de Couron, situé à Saint-Marcel-d’Ardèche, projettera La Vache
  • Le dimanche 6 août, le Domaine de Chantegut, situé à Sarrians, projettera Prête-moi ta main
  • Le lundi 7 août, le Domaine Deleuze Rochetin, situé à Arpaillargues, projettera La Belle Epoque
  • Le mardi 8 août, le Domaine de Roquevignan, situé à Rochegude, projettera 9 mois ferme
  • Le mercredi 9 août, le Domaine de Laurens, situé à Roaix, projettera En attendant Bojangles

V.A.


Où les films d’horreur ont la cote

Dans le cadre des Rendez-vous du Lac de Monteux, ce dernier va accueillir le groupe Les Tambours du Rock pour un cinéma-concert ce samedi 22 juillet. Cet événement retracera toute l’histoire du rock revisitée en 50 années de tubes, des années 1950 aux années 2000.

Pendant trois heures, l’image s’alliera aux sons des percussions et à la lumière des éclairages. Hervé Vernhes et ses batteurs vous plongeront dans un voyage dans le passé avec les plus grands succès musicaux qui ont marqué chaque époque.

Samedi 22 juillet. 21h30. Gratuit. Amphitéâtre de la Dune. Lac de Monteux.

V.A.


Où les films d’horreur ont la cote

La commune de Vaugines va accueillir la première édition de Cinéclika, les rencontres du film collectif, ces vendredi 9, samedi 10 et dimanche 11 juin. Ciné-concert, courts-métrages ou atelier d’apprentissage des codes de fabrication d’un film, cet événement prévoit un vaste programme. Il y en aura pour tous les goûts.

L’association Audiovisocial a pour objectif principal de faire un travail au carrefour entre la création audiovisuelle et les actions à impact social. C’est dans ce cadre que s’inscrit l’événement Cinéclika, dont la première édition aura lieu ce week-end. L’association a choisi la commune dans laquelle a eu lieu le tournage du film culte Manon des Sources : Vaugines.

L’objectif de l’événement est de faire découvrir au grand public des films de qualité réalisés par des associations d’éducation populaire ou par des collectifs artistiques confirmés, mais aussi de sensibiliser le public aux métiers de l’audiovisuel, en particulier les jeunes.

Le programme

Le festival débutera le soir du vendredi 9 juin. Une buvette sera en place dès 18h pour vous servir des boissons et des snacks. Il sera possible de prendre un repas bio provençal de 19h à 21h au boulodrome, proposé par le Café villageois et avec les produits du magasin La Bardane, sur réservation par mail à l’adresse contact@audiovisocial.com. L’événement sera présenté par les organisateurs et les partenaires à 20h30 sur le parvis de l’église. Ils lanceront également le marathon vidéo, dédié aux jeunes de 14 et 20 ans qui réaliseront un court-métrage avec l’aide de l’association Vatos Locos Vidéo, basée à Vitrolles. Les inscriptions pour ce marathon se font en ligne ou par SMS au 06 25 64 03 08. S’ensuivra un ciné-concert proposé par l’association Cinémémoire et le musicien Pierre-Laurent Bertolino, avec la projection du film L’agriculture en Provence, réalisé par et monté par Claude Bossion à partir d’archives récoltées depuis les années 30.

Le samedi 10 juin, l’association Vatos Locos Vidéo proposera une projection de courts-métrages dans la salle communale à 10h, suivie d’une rencontre avec Ludovic Piette, directeur de l’association. Deux ateliers seront proposés dans l’après-midi. Un premier de 15h à 18h au boulodrome durant lequel les jeunes entre 5 et 18 ans pourront apprendre tous les codes de fabrication d’un film. Puis un second atelier de peinture participative et de réparations de vélo, toujours au boulodrome, à 16h. Les inscriptions aux ateliers se font en ligne ou par SMS au 06 25 64 03 08. Une buvette et petite restauration seront ouvertes de 11h à 14h et de 18h à 00h. Il sera possible de prendre un repas bio de 19h à 21h au boulodrome, proposé par la Cantine métissée avec les produits de La Bardane. Il est conseillé de réserver par mail à l’adresse contact@audiovisocial.com. À 21h30, le film One Day on Earth, premier film réalisé le même jour dans le monde entier, sera projeté sur le parvis de l’église. La soirée se terminera avec un DJ Set de 23h à 1h au boulodrome avec Walkabout Sound System.

Le dimanche 11 juin, la journée débutera avec une table ronde en accès libre à 10h dans le jardin de l’église, autour de l’audiovisuel collectif et social. Un atelier sur le film d’animation sera proposé par Emma Zwickert au boulodrome de 10h à 12h et de 15h à 18h pour les enfants de 5 à 12 ans. Les inscriptions à l’atelier se font en ligne ou par SMS au 06 25 64 03 08. Une buvette et petite restauration seront ouvertes de 11h à 18h. À 15h, le film Circo sera projeté dans la salle communale, suivi d’un échange en visioconférence avec le réalisateur Javier Fernández. Il y aura de nouveau des échanges autour de l‘audiovisuel collectif et social sur le parvis de l’église de 16h à 17h. Des livres et poèmes seront proposés au public au boulodrome de 16h à 19h grâce aux librairies La Rumeur des crêtes et La pharmacie poétique. Le court métrage Dakar, Marseille, Paris, de l’école Koutrajmé, sera projeté dans la salle communale à 17h. S’ensuivra la clôture du festival avec la projection des films réalisés par les participants durant le marathon et les ateliers à 18h30 dans la salle communale.

Pour en savoir plus sur l’événement, cliquez ici.

V.A.

https://echodumardi.com/tag/cinema/page/5/   1/1