(Vidéo) Une soirée autour du nouveau volet de la saga Bridget Jones au Capitole
À l’approche de la Saint-Valentin, l’amour est au rendez-vous. Il est d’ailleurs au cœur du 4e volet de la saga Bridget Jones qui sortira dans les salles de cinéma ce mercredi 12 février et sera à l’honneur lors d’une soirée événement au cinéma Capitole MyCinewest au Pontet ce jeudi 13 février.
Ce jeudi 13 février, à l’approche de la fête des amoureux, le cinéma Capitole MyCinewest propose une soirée spécial Bridget Jones avec plein de jolies surprises pour le public. Des popcorns saveur pomme d’amour seront distribués avec des packs surprises, une borne à selfie sera installée par Dylan FB, Kookabarra tiendra un stand de jus, et La Maison de l’Ourson proposera des oursons à la guimauve.
Et bien évidemment, le film que beaucoup attendent, Bridget Jones : Folle de lui, le 4e et dernier volet de la saga sera projeté. Un quiz autour de la saga sera proposé et de nombreux cadeaux seront à gagner. Dans ce nouvel opus, qui sort huit ans après Bridget Jones Baby, l’héroine londonienne a 52 ans et deux enfants. Après le décès de Mark Darcy, avec qui elle a vécu dix ans de bonheur, elle est à nouveau en quête de l’homme idéal. Mais ce n’est pas si facile de se remettre sur le marché du célibat.
Jeudi 13 février. 19h45. Cinéma Capitole MyCinewest. 161 Avenue de Saint-Tronquet. Le Pontet.
(Vidéo) Une soirée autour du nouveau volet de la saga Bridget Jones au Capitole
Ce samedi 25 janvier, le cinéma Capitole MyCinewest, situé au Pontet, diffusera la comédie Avec ou sans enfants ? d’Elsa Blayau en présence de l’équipe du film.
Quand Pio et Anaïs annoncent leur mariage à leurs amis, c’est clair : ce sera SANS enfants. Trois jours de fête en perspective ! Mais quand leur bande de potes débarque AVEC les enfants, pensant pouvoir les cacher aux mariés, les catastrophes vont vite arriver…
Tel est le synopsis de la nouvelle comédie Avec ou Sans enfants ? qui sera projetée en avant-première ce week-end au cinéma Capitole MyCinewest. Le film d’Elsa Blayau, avec les acteurs Bertrand Usclat, Rayane Bensetti, ou encore Tiphaine Daviot, sera dans toutes les salles de cinéma françaises à partir du mercredi 19 février. Des peluches seront à gagner lors de l’avant-première durant laquelle sera également organisé un lancer de bouquet, comme le veut la tradition lors d’un mariage.
Réservation en ligne ou sur place. Samedi 25 janvier. 16h. Capitole MyCinewest. 161 Avenue de Saint-Tronquet. Le Pontet.
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Couronné du Grand prix du jury, de celui des abonnés de Canal+ ainsi que celui de la région Auvergne-Rhône-Alpes, la comédie de Johann Dionnet a été notamment soutenue par le Conseil départemental de Vaucluse.
‘Avignon’, le long métrage réalisé par Johann Dionnet et produit par Nolita vient de remporter le Grand Prix du jury de l’édition 2025 du festival de comédie de l’Alpe d’Huez. Ce film réunissant notamment Baptiste Lecaplain, Elisa Erka et Alison Wheeler raconte l’histoire de Stéphane et de sa troupe débarquent au Festival d’Avignon pour jouer ‘Ma sœur s’incruste’, une pièce de boulevard. Il y croise Fanny, une comédienne montante qui joue dans un classique de Victor Hugo, et tombe sous son charme. Sur un malentendu, elle l’imagine être l’interprète de Rodrigue, le rôle principal du prestigieux ‘Cid’ de Corneille. Pour la séduire, Stéphane s’enfonce dans un mensonge qu’il va devoir faire durer le temps du festival…mais qui va très vite le dépasser. Egalement prix coup de cœur des Alpes de la région Auvergne-Rhône-Alpes et prix des abonnés Canal+ du meilleur film, ‘Avignon’, dont le scénario a été écrit par Johann Dionnet et Benoit Graffin, sortira en salle en mai 2025.
Le réalisateur Johann Dionnet avec ses trois prix reçus lors de l’édition 2025 du festival de comédie de l’Alpe d’Huez. Crédit : Nolita/DR/Facebook
Tout récemment, c’est le Conseil départemental de Vaucluse qui a attribué ses premières aides pour des tournages et des productions réalisées dans le département. Ces soutiens, d’un montant total de 200 000€, s’inscrivent dans son fonds de soutien au cinéma et à l’image animée qui vise à développer la filière sur son territoire. Parmi les bénéficiaires justement, le film Avignon, dont le tournage a presque intégralement eu lieu dans la cité papes, qui s’est vu octroyé une aide de 20 000€.
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Après son premier court-métrage Marianne, inspiré de la légende de Robin des Bois, la production avignonnaise MarieCyrielle dévoile la bande-annonce de son nouveau court-métrage, Reeves, un western tourné en Provence avec une équipe 100% locale. Aux commandes de ce projet, la Vauclusienne Marie Bertrand, fondatrice de MarieCyrielle Production, qui lance une cagnotte de financement participatif afin de concrétiser le film en 2025.
« Après la mort de leur père, les frères Reeves, accablés par les dettes du ranch familial, décident de tenter leur chance à la ville. Guidés par le plan rocambolesque de l’aîné, Cole, ils s’embarquent dans une aventure qui promet plus de surprises que prévu, surtout lorsque Charlie, le cadet rêveur, croise la route de Louise, une fille de saloon en quête de liberté. De cowboys à hors-la-loi, embarquez avec ce trio unique dans une épopée pleine d’humour et d’émotion ! »
Tel est le synopsis du court-métrage Reeves qui ne demande qu’à voir le jour en 2025. Coécrit par Marie Bertrand et Dorian Coppola, le projet ne dispose pour l’instant que d’un synopsis prometteur et d’une bande-annonce alléchante.
« Ensemble, donnons vie à ce western provençal unique. »
MarieCyrielle Production
Après avoir auto-financé le tournage de la bande-annonce réalisé avec 1000€, et afin que ce film se concrétise, la production avignonnaise MarieCyrielle fait appel à la générosité de tous en lançant une cagnotte de financement participatif. Le budget pour le tournage du court-métrage a été estimé à 4000€, une somme que l’équipe souhaite réunir d’ici le samedi 28 décembre. « Si ce palier n’est pas atteint avant cette date, le projet ne pourra malheureusement pas voir le jour, et chaque contributeur sera intégralement remboursé », explique-t-elle.
Un film qui met en valeur le territoire et les talents locaux
Comme à son habitude, Marie Bertrand, au travers de ses productions, souhaite mettre l’accent sur le local. « Pour la bande-annonce, nous avons déjà eu la chance de collaborer avec des partenaires régionaux », affirme-t-elle. La Ferme du Vieux Mas à Beaucaire ou encore l’Escape Game TimeXperience Avignon ont servi de décors pour la bande-annonce de ce court-métrage qui se veut un mélange entre Les 7 Mercenaires et Dr Quinn, Femme Médecin. Et c’est sans oublier les paysages magnifiques du Vaucluse, du Ventoux au Luberon, notamment le Colorado Provençal, qui ont permis une immersion totale dans le Far West. Qui a dit qu’il fallait se déplacer aux États-Unis pour filmer un western ?
‘Notre ambition est de marier le charme brut et évocateur du western avec la beauté intemporelle des paysages provençaux.’
MarieCyrielle Production
L’équipe de tournage, elle aussi, est 100% locale. MarieCyrielle Production invite également les entreprises locales à prendre part au projet. « Participer à cette aventure est l’opportunité unique de s’associer à un film qui célèbre la créativité, l’audace et les paysages emblématiques de la Provence, conclut-elle. Rejoindre l’aventure Reeves n’est pas seulement soutenir un film, c’est devenir acteur d’un projet régional ambitieux et porteur de sens. Nous sommes convaincus que le cinéma est un vecteur puissant pour créer du lien et valoriser les marques qui nous accompagnent. »
Pour le moment, l’équipe de tournage a réussi à réunir plus de 1 700€. Il reste donc moins de deux semaines pour réunir la somme restante. Pour participer à la cagnotte de financement participatif, cliquez ici.
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De Marcel Pagnol à Cédric Jimenez, en passant par Henri Verneuil ou encore Georges Lautner, le 7e art français a toujours compté dans ses rangs des cinéastes profondément enracinés dans le Midi. Quant au bassin méditerranéen, il a souvent attiré les caméras du monde entier pour y filmer des histoires ancrées dans la culture, les décors et l’âme si singulière du Sud.
La société d’Histoire et d’archéologie de Saint-Rémy-de-Provence propose une rencontre sur le thème ’Conservation autour du cinéma méridional’. Un voyage cinéphilique d’un peu plus d’une heure sous le soleil et les ombres de la Méditerranée animé par Vincent Fernandel conteur et ancien journaliste du cinéma. Pourquoi cette région est ainsi devenue un personnage à part entière ? De quelle façon les réalisateurs nationaux et internationaux s’en sont-ils emparés ? Comment le cinéma français dit ‘méridional’ et un certain cinéma italien se sont-ils mutuellement influencés pendant des décennies ? Autant de questions qui alimenteront la conversation entre le public et Vincent Fernandel lors de ce voyage cinéphile sous le soleil et les ombres de la Méditerranée.
Du journalisme au conteur en passant par la musique Formé aux métiers de l’image, à la direction d’acteur ainsi qu’à l’écriture scénaristique, Vincent Fernandel a débuté sa carrière dans les médias, comme animateur télé et journaliste spécialisé dans le cinéma. Il se consacre ensuite au théâtre pendant 10 ans en tant que professeur d’art dramatique. Auteur, il signe notamment le livre Au cœur de la fougère aux Editions Au Vent des Iles, en collaboration avec le journaliste sportif Ian Borthwick, sur la Nouvelle-Zélande et la mythique équipe des All Blacks. Vincent devient également producteur musical : il fonde Vincent Fernandel Production et accompagne des artistes de tous horizons. Depuis 2019, Vincent a placé son métier de conteur au cœur de ses activités : il enregistre les œuvres de Jean de La Fontaine, Alphonse Daudet ou encore Marcel Pagnol, en version livre-CD, pour la jeunesse aux Éditions Fleurus, et pour tout public chez Wagram Music et Audiolib. Il donne régulièrement des lectures en milieu scolaire et dans le cadre d’événements culturels. En 2024, Nicolas Pagnol imagine une lecture musicale autour des plus beaux textes de son grand-père, intitulée Marcel Pagnol, variations d’amour. Il en confie l’interprétation à Vincent, accompagné sur scène par le pianiste et compositeur Franck Ciup. ‘Marcel Pagnol, variations d’amour’ est actuellement en tournée.
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Attention, chef-d’œuvre ! Sarah Bernhardt, la Divine, avec Sandrine Kiberlain et Laurent Lafitte, sort ce mercredi 18 décembre au cinéma Capitole MyCinewest au Pontet.
Féroce, fragile, fascinante, farouche, flamboyante, frivole… Les qualificatifs manquent pour définir Sarah Bernhardt. Celle pour qui Jean Cocteau a inventé l’expression « Monstre sacré », celle que Victor Hugo qualifiait de « Voix d’or », celle qui a été la première à signer des autographes, celle dont Tchékhov disait : « Elle a visité les deux pôles. De sa traîne elle a balayé les cinq continents, elle qui plus d’une fois s’est élevée jusqu’aux cieux. » Ou encore, elle dont les obsèques ont attiré un million d’admirateurs éplorés, davantage que Johnny Halliday en 2017. Elle qui avait comme amis Rostand, Zola, Jules Renard, Freud, Oscar Wilde, les Guitry père et fils, Lucien et Sacha.
Cette légende qui a été la première star mondiale est interprétée par Sandrine Kiberlain que nous avons rencontrée en avant-première. « C’est une chance de jouer ce rôle. C’était une citoyenne engagée contre la peine de mort, l’antisémitisme, féministe, libre et libertine, pleine d’humour, une personnalité hors norme, moderne, excentrique, qui se mettait dans la peau de l’Aiglon comme de Cyrano, qui vivait entourée d’animaux sauvages. »
Elle poursuit : « Avant de tourner, pendant des heures, je devais être maquillée puisque je joue trois tranches d’âge dans le film, porter une longue perruque, des jupons qui se superposaient, d’épais costumes, des bas, bottines, colliers, une prothèse de la jambe droite, des froufrous et vieilles dentelles. Les habilleuses m’ont vraiment aidée à entrer dans ce rôle. Il y aura un avant et un après dans ma vie d’actrice. »
« Quand j’ai lu le scénario, j’ai dû travailler le texte et surtout la voix rocailleuse et les intonations de cette tragédienne trois heures par jour pendant deux mois pour être à la hauteur » ajoute Sandrine Kiberlain. « Et puis je me suis lancée sur le plateau, comme au théâtre. Petit à petit, j’ai découvert sa fougue, sa passion, son énergie, sa sincérité, son insolence, sa démesure, elle y va à fond, elle n’a peur de rien, elle va jouer pour les soldats dans les tranchées, elle fait des tournées aux États-Unis et en Australie qui durent des mois. »
Intarissable, Sandrine Kiberlain poursuit : « Sarah Bernhardt était rebelle et révoltée. Elle demande à Émile Zola, qui est son ami et l’une des plus belles plumes de l’époque, d’écrire pour défendre le capitaine Dreyfus. Elle bouleverse les spectateurs, elle les fait passer du rire aux larmes en un battement de cils. » L’actrice résume : « Aujourd’hui, elle serait à elle seule un cocktail de Coluche le généreux, Mylène Farmer la mystérieuse et iconique, Joséphine Baker la résistante et Angela Davis la militante anti-raciste. »
Dans ce film où le réalisateur Guillaume Nicloux a minutieusement sélectionné les musiques, des partitions pour piano, de Debussy, Ravel, Chopin, Fauré, Grieg et Schubert, Sandrine Kiberlain incarne cette tornade, ce tourbillon de la vie. Elle a été applaudie à tout rompre par le public, à l’issue de la projection en avant-première au Capitole. « Vous êtes un vrai cadeau de Noël », lui dira une spectatrice pour saluer sa performance d’actrice dans le rôle de Sarah Bernhardt. Ça tombe bien, à une semaine pile du 25 décembre.
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Le Conseil départemental de Vaucluse vient d’attribuer ses premières aides pour des tournages et des productions réalisées dans le département. Ces soutiens, d’un montant total de 200 000€, s’inscrivent dans son fonds de soutien au cinéma et à l’image animée. Pour débuter, 5 dossiers sont donc retenus dans le cadre du premier appel à projet qui s’est clôturé le 8 septembre dernier et qui a été validé après un vote de l’assemblée départementale en novembre. Ce fonds est complémentaire aux fonds de la Région Sud ainsi qu’au fonds du Grand Avignon.
Alors que le prochain appel à projets pour le fonds de soutien du Département débutera le vendredi 10 janvier 2025, voici déjà les 5 projets qui vont bénéficier des premières aides du Conseil général de Vaucluse. Il s’agit :
▪ De la Série Les gouttes de Dieu saison 2 dont la première saison avait recueilli une audience moyenne de 2 millions de spectateurs. Production Dynamic. Tournage en partie à Jonquières (40 000€). ▪ Le long-métrage ‘Au temps pour nous’. Les Films du Kiosque. Scénario et réalisation : Agnès Jaoui. Tournage en partie à Lacoste, au Château du Marquis de Sade (50 000€). ▪ Le long-métrage ‘Inspecteur croquettes’ (film d’animation) réalisé par Benoît Delépine et Antoine Robert avec notamment les voix de Philippe Katerine et Vincent Dedienne. La Station animation. Travail en partie dans les studios à Avignon (45 000€). ▪ Le long-métrage ‘Mu Yi et le beau général’ (film d’animation) du Studio La Cachette, réalisé par Julien Cheng. Travail en partie dans les studios Duetto à Avignon (45 000€). ▪ Le long-métrage ‘Avignon’. Nolita cinéma avec Alison Wheeler et Baptiste Lecaplain. Tournage presque intégralement à Avignon (20 000€).
Tournage du téléfilm ‘Résistantes’ à Pernes-les-Fontaines. Un tournage qui s’est déroulé du 20 septembre au 16 octobre derniers et dont la quasi-totalité a été réalisée en Vaucluse, aux alentours de Carpentras mais aussi à l’Abbaye de Saint-Hilaire, à Ménerbes. Crédit Cyril Cortez-Département de Vaucluse
Rendre le territoire plus attractif pour les tournages et la production numérique « La création du fonds départemental de soutien à la production audiovisuelle et cinématographique vise à soutenir la création artistique, à encourager la diversité des œuvres, à développer le rayonnement culturel et à mettre en valeur le patrimoine du département », explique le Conseil départemental qui s’appuie tout particulièrement sur la Commission du Film Luberon Vaucluse, pour accompagner la réalisation de long-métrages, de séries, de documentaires et de films d’animation tournés ou produits en Vaucluse. Pour cela, le Département a également signé une convention de coopération avec l’Etat, le Centre National du Cinéma et de l’Image Animée (CNC), la Région Sud, le Département des Alpes-Maritimes et la Métropole Aix-Marseille dans le cadre d’un plan global pour l’attractivité du territoire et l’essor d’un secteur économique en plein développement. En effet, chaque euro dépensé par une collectivité pour un tournage génère 7,60€ de retombées pour le territoire (rémunérations, dépenses techniques, hébergements, etc).
L’opportunité de créer de nouvelles filières Pour le Département l’objectif est donc de positionner le Vaucluse comme un acteur de la création cinématographique et audiovisuelle en France en attirant réalisateurs, artistes et techniciens, tout en mettant en lumière ses paysages uniques déjà présents dans de nombreux films ou séries. La production d’œuvres pour le cinéma, les plateformes de streaming ou la télévision est aussi l’opportunité de créer de nouveaux débouchés professionnels avec des emplois qualifiés à la clé, poursuit le Conseil départemental de Vaucluse. Cette filière est d’ailleurs en plein essor avec l’implantation d’écoles reconnues internationalement et de nouveaux studios d’animation sur le Vaucluse. Ce plan s’articule également autour d’axes complémentaires : la sensibilisation des collégiens à l’image, le soutien à la diffusion, aux festivals et aux circuits itinérants ainsi que le développement des studios d’animation et des formations spécialisées. »
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Le film Les boules de Noël sort le 27 novembre, un réveillon de ‘dinde’ avec Kad Merad et Valérie Bonneton.
Une comédie de saison à un mois du 25 décembre, réalisée par Alexandra Leclère avec Kad Merad et Valérie Bonneton. L’actrice popularisée par « Fais pas ci, fais pas ça » la série de France TV depuis 2007, remarquée dans « Les petits mouchoirs » et césarisée en 2019 pour son rôle dans « Nous ne finirons pas ensemble » était mardi à La Mirande à Avignon, avec la réalisatrice avant une présentation publique au CinéWest Capitole du Pontet.
« Ce film n’est pas une prise de tête » affirme la réalisatrice d’entrée de jeu, « Il est plutôt drôle, singulier et cruel ». Le pitch du long- métrage : chaque repas de Noël finit en catastrophe, en drame, en cauchemar pour la famille de Nathalie et Antonin qui en parlent à leur psy. Et il leur conseille de ne plus fêter Noël en famille, mais…
« J’y suis allée à fond »
Valérie Bonneton
Après les grands classiques du genre, « Le Père Noël est une ordure » ou « La bûche », cet opus de saison fait la part belle aux quiproquos, aux ressentiments, aux vengeances intra-familiales. « J’y suis allée à fond » affirme avec force Valérie Bonneton, « C’est léger, joyeux, cocasse, j’assume! Je suis désinhibée, décomplexée, la famille en prend plein la tête, mais c’est comme ça! ».
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Éric Tellène est un fou de cinéma. Ce directeur des cinémas de Cavaillon a collectionné depuis plus de 40 ans des dizaines de milliers d’affiches et de documents liés au 7ème art. Après avoir créé sa propre boutique en ligne il y a quelques années, il vient d’ouvrir à Cavaillon un magasin… pour de vrai. Ouvert l’après-midi, du lundi au samedi, on peut y trouver : affiches, photos d’exploitation, dossiers de presse, livres, magazines, DVD et objets originaux…
Depuis qu’il est tombé dans la marmite du cinéma, alors qu’il avait à peine 12 ans, Eric Tellène a commencé à collectionner des affiches et des photos de films. Il estime aujourd’hui disposer d’un stock de plus de 300 000 documents. Seuls 45 000 d’entre eux sont aujourd’hui proposés à la vente. « Depuis toujours, j’ai collectionné, et je grade tout » dit-il. C’est son entourage qu’il l’a convaincu de mettre vente une partie de sa collection. « J’avais beaucoup de doublons ça m’a permis de faire d’autres acquisitions » confie-t-il. En 2009, il décide d’ouvrir une boutique en ligne sur Ebay et Rakuten. Elles sont toujours actives.
« cinematograffiche », a rapidement trouvé ses clients
Après une première expérience conduite l’été dernier dans une boutique éphémère de la rue de la République, Eric Tellène a eu la possibilité de louer un autre local commercial. Une ancienne boutique de vêtements de luxe, située boulevard Paul Doumer et vacante depuis deux ans. Ouverte depuis la mi-octobre cette boutique, baptisée « cinematograffiche », a rapidement trouvé ses clients : des passionnés de cinéma ou des personnes cherchant des idées originales de cadeaux.