26 août 2024 |

Ecrit par le 26 août 2024

(Vidéo) Testez le jeu Uncharted au Capitole studios

Mardi 15 février à 19h30, le cinéma Capitole studios Le Pontet vous propose de tester le jeu Uncharted 4 remastérisé pour la Playstation 5. De meilleurs graphismes, une fluidité accrue, le tout sur l’écran géant du cinéma. Des cadeaux seront à gagner en partenariat avec Ready Avignon.

Nathan Drake, voleur astucieux et intrépide, est recruté par le chasseur de trésors chevronné Victor « Sully » Sullivan pour retrouver la fortune de Ferdinand Magellan, disparue il y a 500 ans. Ce qui ressemble d’abord à un simple casse devient finalement une course effrénée autour du globe pour s’emparer du trésor avant l’impitoyable Moncada, qui est persuadé que sa famille est l’héritière légitime de cette fortune. Si Nathan et Sully réussissent à déchiffrer les indices et résoudre l’un des plus anciens mystères du monde, ils pourraient rafler la somme de 5 milliards de dollars et peut-être même retrouver le frère de Nathan, disparu depuis longtemps… mais encore faudrait-il qu’ils apprennent à travailler ensemble.

Billetterie disponible en caisse ou sur Internet. Pass sanitaire obligatoire.

Bande annonce Uncharted.

L.M.


(Vidéo) Testez le jeu Uncharted au Capitole studios

A quoi ressemble réellement le métier de sapeur-pompier ? Eléments de réponse le mercredi 16 févier au Capitole studios Le Pontet.

A l’occasion de la sortie du film d’animation ‘Vaillante’, le SDIS (Service départemental d’incendie et de secours de Vaucluse) et l’UDSP (Union départementale des sapeurs pompiers du Vaucluse) vous donnent rendez-vous à partir de 13h30 pour un moment d’échanges et d’animations. Au programme : exposition de véhicules de pompier, parcours d’initiation, sensibilisation aux premiers gestes secours et même photocall avec des sapeurs-pompiers. La projection débutera à 15h30 et un temps d’échange est prévu à l’issue du film. Des cadeaux sont à gagner en salle…

Lire aussi : Commandant Jalabert du SDIS 84 : « La Durance est un endroit clé d’intervention »

Lire aussi : Colonel Chaussinand : « la technique du contre-feu est une spécialité en Vaucluse »

L.M.


(Vidéo) Testez le jeu Uncharted au Capitole studios

Dimanche 23 janvier à 9h30, une séance dédiée à vos chérubins de moins de 3 ans est organisée au cinéma Capitole studios Le Pontet.

‘Zébulon le dragon et les médecins volants’ sera au programme. Voici notre improbable équipe de médecins volants : princesse Perle accompagnée de messire Tagada et Zébulon le dragon. Ils soignent toutes sortes de créatures jusqu’au jour où la tempête les oblige à atterrir au château. Une princesse médecin ? Le roi ne l’entend pas de cette oreille, mais Perle est bien décidée à mener la vie qu’elle a choisie…

Voici le programme : 9h30 : activités en salle, 10h00 : tirage au sort et cadeaux à gagner avec les partenaires, 10h10 : projection du film. Tarif adulte : 7€ et offert pour les -3ans. Attention les enfants de +3ans ne sont pas acceptés en salle. Les enfants de +3ans seront tolérés si un enfant de -3ans de la même famille est présent).

Achetez vos billets sur internet.

L.M.


(Vidéo) Testez le jeu Uncharted au Capitole studios

La salle du Capitole studios au Pontet était pleine pour cette projection, mardi dernier, en présence du réalisateur Philippe de Chauveron et de 3 des acteurs (Noom Diawara, Medi Sadoun et Emilie Caen) et les éclats de rire ont fusé d’un bout à l’autre de la séance d’un peu plus d’une heure et demie.
Il faut dire que ce 3e volet de la trilogie attire. Le premier de la saga familiale du couple Verneuil (Chantal Lauby et Christian Clavier) ‘Qu’est-ce qu’on a fait au bon dieu ?’ en 2013 avait pulvérisé le box-office (12,3 millions de spectateurs), le 2e ‘Qu’est-ce qu’on a encore fait au bon dieu ?’ avait ensuite atteint l’honorable score de 6,7 millions entrées.
Donc la suite de cette saga familiale (qui sort sur grand écran le 2 février prochain) est dans la même lignée de ce couple de notables bourgeois tourangeaux dont les quatre filles ont épousé respectivement un juif, un musulman, un chinois et un catho noir. Et cette fois, la smala s’agrandit à l’occasion des 40 ans de mariage des parents puisque l’idée est lancée d’inviter la famille des gendres qui vont débarquer d’Israël, d’Algérie, d’Afrique et de Chine en plein Val de Loire, à Chinon et Chenonceau.

Tordre le cou à quelques idées reçues sur le racisme
Après ces deux années de tensions, de gilets jaunes, de crise sanitaire, de confinement, d’inquiétude et de morosité, certains gags, jeux de mots, situations font sourire. Ils continuent à tordre le cou à quelques idées reçues sur le racisme, l’intolérance, la peur de l’autre.
Au terme de la projection et des applaudissements de la salle, le réalisateur Philippe de Chauveron s’est dit ému des réactions du public : « Ça  me fait chaud au cœur, votre enthousiasme. Un film c’est un an de travail, là 9 semaines de tournage perturbé par le Covid. Il y a de nouveaux acteurs qui ont rejoint la bande (comme Ary Abittan). Avec le scénariste nous avons dû trouver d’autres rebondissements pour construire ce film. Mais nous avons beaucoup ri. »
Christian Clavier qui est (avec Chantal Lauby) la vedette du long-métrage « est le plus dissipé sur le plateau. Il connaît tous les dialogues par cœur, les siens, ce qui est normal mais aussi ceux des autres. Il met tout le monde à l’aise, il fait toujours des blagues, il improvise même. Mais à la fin des scènes seulement, pour qu’on puisse les couper au montage éventuellement » raconte le metteur en scène.
Certains trouveront le film drôle, fidèle reflet des ‘chicayas’ intrafamiliales, des règlements de compte entre parents et enfants, d’autres le qualifieront de caricature.
Après tout, une comédie pour entamer l’année 2022, après un 2021 morose, ce n’est pas si mal… malgré quelques clichés faciles.


(Vidéo) Testez le jeu Uncharted au Capitole studios

Le film d’animation « Le Grinch », sorti en 2018, est le film de Noël le plus rentable de l’histoire du cinéma. Au total, cette adaptation de la nouvelle mettant en scène la créature fictive de Theodor Seuss Geisel a rapporté environ 513 millions de dollars US de recettes dans le monde, selon Box Office Mojo.

Il devance les comédies familiales des années 1990 de Chris Colombus, « Maman, j’ai raté l’avion ! » et son deuxième volet, qui complètent le podium avec respectivement 477 millions et 359 millions de dollars de revenus. Parmi les autres productions en tête du classement – outre un deuxième « Le Grinch », celui de Ron Howard (2000) – on retrouve deux films d’animation réalisés par Robert Zemeckis : « Le Drôle de Noël de Scrooge » produit par Walt Disney et sorti en 2009 et « Le Pôle express » (2004).

Tristan Gaudiaut, pour Statista


(Vidéo) Testez le jeu Uncharted au Capitole studios

Connaissez-vous Badman ? Sa combinaison noire luisante s’est invitée au cinéma Capitoles studios pour l’avant première du film ‘Super-héros malgré lui’.

Archicomble. Pas un siège orphelin de son propriétaire ce vendredi 3 décembre au Capitole studios Le Pontet. Un tour d’horizon et la puissance fédératrice de Philippe Lacheau se révèle. Adultes, adolescents, familles entières, enfants, tous se sont donnés rendez-vous pour une épopée saveur Marvel, ou Dc Comics, c’est selon. « Quelle ambiance de folie ce soir, la salle est blindée ! Merci infiniment », se réjouit le réalisateur et acteur Philippe Lacheau en tournée promotionnelle avec le coréalisateur Julien Arruti. Lorsqu’on lui demande où est passé Tarek Boudali, voilà qu’il prend son téléphone et l’appelle en direct. La cool attitude, une répartie à la pointe, un humour cassant qui épouse parfaitement les codes de la jeunesse, le tout dans un pull décontracté avec casquette. La marque de fabrique du quarantenaire.

Il faut dire que le monsieur a fait du rire son empire. On ne compte plus les Babysitting 1 et 2, les Nicky Larson ou autre Alibi.com. Le réalisateur est coutumier des salles et surtout du Capitole studios où il y rencontre son public pour la énième fois. A la question de savoir pourquoi il ne s’aventure pas hors des contrées de l’humour pour goûter au drame : « je ne pense pas que les gens voudraient me voir dans ce registre ». La réponse de la salle est unanime, le public veut rire et oublier l’atmosphère oppressante de la 5e vague qui se profile. L’auditoire est conquis par la vitalité du duo. Le petit Maël descend de son siège pour offrir un jeu de foot, une autre fan offre des figurines Nicky Larson. Le jeune Lorenzo négocie même un rôle dans le prochain film sur une partie de pierre-papier-ciseaux. Il gagnera, début de la gloire.

« Apprenti comédien en galère, Cédric décroche enfin son premier rôle dans un film de super-héros. Un soir, alors qu’il emprunte la voiture de tournage, il est victime d’un accident qui lui fait perdre la mémoire. À son réveil, vêtu de son costume de justicier et au milieu des accessoires du film, il est persuadé d’être devenu le personnage du film avec une mission périlleuse à accomplir. Mais n’est pas héros et encore moins super-héros qui veut… Et encore moins Cédric », détaille le synopsis du film.

Comment prendre les codes qui font l’ADN et le succès des plus grandes productions Marvel, se les approprier et tourner le tout au ridicule succulent. Combinaison, slow motion, musique de super-héros, Avengers de seconde main, justicier masqué qui perd son pantalon, et affaire de cœur à la Spiderman. Le tout sur un fond de conflit familial avec un fils qui tente désespérément de voir les yeux de son paternel briller de fierté. Les actions s’enchainent à un rythme endiablé, peut-être un peu trop ? Les situations comiques autour du sexe nourrissent presque toutes les facéties. On regrettera ce ressort un peu trop usé. En revanche, mention spéciale pour les traditionnelles scènes de combat qui surprennent par leur réalisation calibrée et quelques effets spéciaux ambitieux.

Chaque élan pour rétablir la justice et sauver l’opprimé tourne littéralement au fiasco. On s’en délecte. Les super-héros dévoilent leurs failles, leur côté gauche, leur humanité en fin de compte. La puissance de cette comédie ? Sa dimension cocasse, rocambolesque, abracadabrantesque. L’écriture est rondement menée, les scènes se font écho, les péripéties gratifient de l’effet papillon. Chaque action a des conséquences hilarantes sur les autres. La narration révèle toutefois quelques faiblesses. Des passages un peu décousus et des passerelles entre la vie de super-héros et la vie de livreur quelques fois légères. Mais le public suit le fil narratif avec aisance, en témoignera une dame qui hurlera de rire dans la pénombre au fond de la salle.

Au cinéma le 9 février 2022. Tous les films à l’affiche au Capitole studios : cliquez ici.

Lire aussi : ‘Permis de construire’ en Corse, quel chantier !


(Vidéo) Testez le jeu Uncharted au Capitole studios

Venue samedi dernier au cinéma ‘Capitole’ du Pontet avec une partie des acteurs et le producteur du long-métrage, Dominique Besneard, Charlotte de Turckheim a parlé de la dictature de l’apparence, de la chasse aux kilos, du business des régimes en tous genres, de l’obsession du body-building. « L’essentiel est de se sentir bien dans sa peau. Le corps est un élément de notre vie, pas toute notre vie. »

Tourné là où elle habite, les Alpilles, entre Fontvieille, Les Baux et Eygalières, au grand air, en pleine nature, ce film met en scène un groupe d’ados en surpoids et en cure « jeûne – détox » dans un mas tenu par la réalisatrice et Lola Dewaere, (fille du regretté Patrick Dewaere) dont c’est le 1er long-métrage au cinéma.

La réalisatrice explique : « Les jeunes comédiens m’ont confié leur corps, parfois douloureux. J’ai voulu faire sourire sans me moquer d’eux, être drôle mais pas méchante, pourtant les ados sont souvent très cruels entre eux ». Avoir une taille de guêpe ne rend pas forcément heureux. Dans une station thermale, tous les curistes, jeunes et vieux, gros et maigres ont le même peignoir blanc, ils sont égaux. Charlotte de Turckheim a un regard souriant, bienveillant, émouvant sur les « dodus », elle ne sombre pas dans le pathos. Son film donne confiance en soi, quelle que soit son apparence physique. Trop forte, Charlotte !


(Vidéo) Testez le jeu Uncharted au Capitole studios

Les Soroptimist d’Avignon proposent de les rejoindre pour assister à la projection du film ‘Made in Bangladesh’. Les  bénéfices de la soirée sont destinés à l’association ‘Adaïkalam’ (le refuge en Tamoul) qui a créé et gère ‘La maison d’Agathe’ un foyer pour fillettes orphelines indiennes.

Cette initiative a lieu dans le cadre ‘d’Oranger le monde’ de l’Unesco (Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture) ‘Non à la violence à l’égard des femmes’ et est relayé, à Avignon, par les Soroptimist. Celles-ci s’engagent sur le terrain à l’occasion des 16 jours d’activisme contre la violence basée sur le genre, événement international annuel qui débute le 25 novembre, date de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, et se poursuit jusqu’au 10 décembre, date de la Journée des droits humains, mais aussi, depuis 1956, Journée internationale du Soroptimist (SI Day).

Les infos pratiques
Jeudi 9 décembre 2021, à partir de 18h30, au Cinévox, place de l’horloge à Avignon. Tarif unique 17€. 19h15, Inscription obligatoire ici.  Ou par lettre accompagnée de son chèque auprès de Michèle Michelotte, 6 rue Molière à Avignon. Cinéma le Vox, place de l’Horloge à Avignon. 18h30 Accueil du public autour d’un thé indien et de quelques douceurs. Soirée organisée dans le respect des règles sanitaires – Pass obligatoire et masque à l’intérieur de la salle.

Au programme
‘Made in Bangladesh’, le combat d’une ouvrière pour toutes les ouvrières. Un film de Rubaiyat Hossain. Ouverture de la soirée par Christine Martella, Présidente du Soroptimist d’Avignon et projection  du film du Soroptimist International. Également, présentation de l’association Adaïkalam par son Président Ranga Ariapouttry ;19h30 projection du film ‘Made in Bangladesh, durée 1h35. 21h15, table ronde avec trois intervenantes et échanges avec les participants ; 23h Fin de la soirée.

En savoir plus
Made in Bangladesh a reçu le prix d’interprétation féminine au Festival du film de Saint-Jean-de-Luz. « Ils t’ont payé tes heures ? » « Tu parles ! » « Ils sont juste bons à s’engraisser sur notre dos. » « Combien produisez-vous de tee-shirt par jour ? » « 1 650. » « Dis-toi que 2 ou 3 de ces tee-Shirts équivalent à 1 mois de salaire. » « Vous vous foutez de moi ? » « Je veux mon argent ! » « Va-t-en ! » « Je ne retournerai pas travailler là-bas. Je préfère me marier. » « Vous savez ce que c’est ? » « C’est le code du travail. » « Je viens inscrire un syndicat. » « Ne t’implique pas trop. J’en ai vu qui finissaient en prison pour ça. » « Rentre, repose-toi et réfléchis. » « Je suis sûr que tu comprendras que ce syndicat est une erreur. » « Non monsieur. » « Il veut que j’abandonne le syndicat. » « De quel droit ? » « Dis-lui que tu en es la présidente. »  « Apa, nous sommes des femmes. » « Fichues si on est mariées. » « Fichues si on ne l’est pas. »

Le film
« Le terrible drame de l’effondrement de l’immeuble du Rana Plaza en avril 2013 -plus de 1100 morts- a mis en lumière la condition des ouvrières du textile au Bangladesh. Ce pays est devenu en quelques années l’un des « ateliers de confection » de la planète, répondant à l’appétit insatiable des consommateurs occidentaux, aiguillonnés par les grandes marques, pour ce qu’il est désormais convenu d’appeler la « fast fashion ». » Dans son film au titre évocateur, Made in Bangladesh, Rubaiyat Hossain brosse un tableau édifiant, mais sans manichéisme, de la vie de ces ouvrières, entre oppression économique et domination patriarcale. 


(Vidéo) Testez le jeu Uncharted au Capitole studios

Philippe Lacheau (réalisateur et acteur) et Julien Arruti (acteur) font une halte au cinéma Capitole studios Le Pontet pour l’avant-première du film ‘Super-héros malgré lui’, vendredi 3 décembre à 19h15.

Parmi les acteurs à l’affiche du film : Alice Dufour, Jean-Hugues Anglade, Rayane Bensetti et Saverio Maligno. L’histoire ? Apprenti comédien en galère, Cédric décroche enfin son premier rôle dans un film de super-héros. Un soir, alors qu’il emprunte la voiture de tournage, il est victime d’un accident qui lui fait perdre la mémoire. A son réveil, vêtu de son costume de justicier et au milieu des accessoires du film, il est persuadé d’être devenu le personnage du film avec une mission périlleuse à accomplir. Mais n’est pas héros et encore moins super-héros qui veut… Et encore moins Cédric.

Billetterie disponible en caisse ou sur internet. Pass sanitaire obligatoire.

L.M.

https://echodumardi.com/tag/cinema/page/12/   1/1