‘Madame Butterfly’ du Royal Opera House de Londres diffusé au cinéma Capitole
Ce jeudi 18 avril, le cinéma Capitole MyCinewest, situé au Pontet, diffusera l’opéra Madame Butterfly de Giacomo Puccini par le Royal Opera House de Londres.
Cet opéra en trois actes suit Cio-Cio-San, la jeune épouse japonaise du lieutenant Pinkerton, un officier de marine américain, qui voit son idylle romantique brisée lorsqu’il l’abandonne peu de temps après leur mariage. Elle vit alors dans l’espoir qu’un jour, il reviendra. Trois ans plus tard, Cio-Cio-San et son fils Dolore aperçoivent le navire de Pinkerton dans le port. Elle attend avec impatience sa visite, mais lorsque Pinkerton et sa femme américaine Kate arrivent et apprennent l’existence de Dolore, ils demandent à emmener l’enfant et à l’élever en Amérique.
L’opéra dure 3h15. De nombreux cadeaux seront à gagner avant la séance. Pour réserver votre place, cliquez ici.
Jeudi 18 avril. 19h30. Cinéma Capitole MyCinewest. 161 Avenue de Saint-Tronquet. Le Pontet.
‘Madame Butterfly’ du Royal Opera House de Londres diffusé au cinéma Capitole
Ce samedi 2 mars, le cinéma Capitole MyCinewest, situé au Pontet, vous proposera de découvrir en avant-première le nouvel opus de la saga autour du personnage emblématique de Ducobu. Intitulé ‘Ducobu passe au vert’, ce nouveau film sera diffusé en présence de l’acteur et réalisateur Elie Semoun.
Dans ce nouvel opus, Ducobu (Damien Pauwels) souhaite prendre une année sabbatique pour sauver la planète, mais surtout pour sécher l’école. Mais Latouche (Elie Semoun) ne compte pas le laisser faire si facilement.
Réservation en ligne ou sur place. Samedi 2 mars. 16h45. Cinéma Capitole MyCinewest. 161 Avenue de Saint-Tronquet. Le Pontet.
V.A.
‘Madame Butterfly’ du Royal Opera House de Londres diffusé au cinéma Capitole
Ce ballet met en scène le personnage de Manon, qui est partagée entre son désir d’une vie de splendeur et de richesse et son dévouement à son véritable amour Des Grieux. Adapté du roman de l’abbé Prévost, le ballet de Kenneth MacMillan offre une chorégraphie empreinte de passion et de psychologie humaine.
De nombreux cadeaux seront à gagner en avant-programme. La place est au prix de 17€ (15€ pour les abonnés et 11€ pour les moins de 16 ans). Pour réserver vote billet, cliquez ici.
Mercredi 7 février. 20h. Cinéma Capitole MyCinewest. 161 Avenue de Saint-Tronquet. Le Pontet.
V.A.
‘Madame Butterfly’ du Royal Opera House de Londres diffusé au cinéma Capitole
Ce dimanche 3 décembre, le cinéma Capitole MyCinewest, au Pontet, diffusera Callas – Paris, 1958 dans une séance unique. Maria Callas, le visage de l’opéra du XXᵉ siècle, est le sujet central de cette projection, qui entre dans le cadre du 100ᵉ anniversaire de la diva.
Callas – Paris, 1958 est le documentaire de la soirée légendaire qui marque les débuts de Maria Callas à Paris, avec cette représentation iconique à l’Opéra de Paris le 19 décembre 1958, à laquelle le ‘Tout-Paris’ à assisté, incluant notamment le président Coty, Jean Cocteau, le duc et la duchesse de Windsor, Charlie Chaplin, ou encore Brigitte Bardot.
Diffusées pour la première fois entièrement en couleurs et en 4K, ces images ont été méticuleusement restaurées à partir des bobines 16 mm originales récemment découvertes et d’une source sonore nouvellement découverte.
Réservation en ligne ou sur place. 10€ (8€ tarif réduit). Dimanche 3 décembre. 16h30. 161 Avenue de Saint-Tronquet. Le Pontet.
V.A.
‘Madame Butterfly’ du Royal Opera House de Londres diffusé au cinéma Capitole
Dans le cadre de la saison Ciné-Prestige, le cinéma Capitole MyCinewest, au Pontet, diffusera le ballet Don Quichotte, créé par Carlos Acosta pour le Royal Ballet, ce jeudi 30 novembre.
Durant 3h20, le public se laissera porter par les chorégraphies brillantes, animées par la musique entrainante de Ludwig Minkus, et pourra redécouvrir ce classique, adapté du roman de Miguel de Cervantes, qui retrace l’histoire d’un gentilhomme de la Manche en Espagne qui devient fou après avoir lu trop de romans de chevalerie et qui, se prenant pour un chevalier errant, part en quête d’aventures.
De nombreux cadeaux seront à gagner en avant-programme. La place est au prix de 17€ (15€ pour les abonnés et 11€ pour les moins de 16 ans). Pour réserver vote billet, cliquez ici.
Jeudi 30 novembre. 19h30. Cinéma Capitole MyCinewest. 161 Avenue de Saint-Tronquet. Le Pontet.
V.A.
‘Madame Butterfly’ du Royal Opera House de Londres diffusé au cinéma Capitole
‘Sacerdoce, des hommes entre ciel et terre’, réalisé et distribué par Damien Boyer, réalisateur drômois. Depuis des siècles, les prêtres accompagnent de nombreuses personnes dans leur vie, dans les moments de joie comme d’épreuve. Alors que le scandale des abus a entaché l’Église ces dernières années, les prêtres demeurent un mystère.
Plus qu’un simple métier, leur fonction exige un style de vie si radical, celui du célibat, de l’abandon de la paternité et d’un style de vie sobre. Antoine, prêtre vagabond, ancien rider, sillonne l’Ariège avec sa caravane pour écouter les villageois.
Gaspard, prêtre montagnard, pousse les jeunes à se dépasser, à contempler la création, et à se débarrasser de leurs addictions.
François, prêtre parisien expérimenté, apporte son regard empreint de sagesse sur la nature profonde du sacerdoce.
Paul souhaite remporter le championnat de France du clergé à vélo.
Le Père Matthieu emmène Jésus en procession dans les quartiers chauds des Philippines. A travers leurs vies données au monde s’esquissent les enjeux de leur engagement et de la prêtrise au XXIe siècle.
Inquisition, colonisation «Inquisition, colonisation, tous les scandales liés à la pédo-criminalité… C’est le coup final de la décrédibilisation de l’église.» «A priori il traine ici parce qu’il a peur de se faire zigouiller.» «Tant pis si on me pique des trucs dedans (dans l’église).» «Le prêtre ça choque, sa vie choque parce qu’elle n’est pas ordinaire.» «On va en baver. La montagne c’est un lieu d’humilité.» «Pourquoi est-il célibataire et pourquoi vit-il cette vie-là ?» «Je m’en fous de la religion. Ma religion c’est quelqu’un, ce quelqu’un c’est le Christ.»
Baptême, Mariage, Enterrement «On passe par un mariage, un baptême, à une intervention dans une classe de catéchisme, on va faire un enterrement.» «Il a fallu que je me mette dans des situations où je suis moi-même, dans ma vie de prêtre.»
Le bien et le mal «Les gars vous avez sûrement remarqué, on veut faire le bien et on n’y arrive pas et on ne veut pas faire le mal et on le veut quand même.» «Dans la vie il y a du combat.»
A vélo «Quand je relie les clochers de ma paroisse à vélo, je rencontre un autre cycliste, au bout de 10 minutes il apprend que je suis prêtre, l’instant d’après il commence à ouvrir sa vie alors que depuis sa première communion il n’était jamais entré dans une église.»
Les combats «Le prêtre c’est un homme comme tout le monde qui a aussi des combats.» « Il y a des douleurs liées à cette blessure affective qui est le célibat.» « Ça n’est pas un choix de vie facile. J’aurais pu choisir de me marier comme la plupart de mes amis l’ont fait. Je vois que leur choix de vie n’est pas facile.»
Une vie offerte «Pourquoi est-ce que je ne donnerai ma place pour rien au monde, alors que c’est très dur ? Parce que cet engagement donne tout le sens de ma vie.» «C’est la manifestation d’une vie offerte, donnée.»
Sur le terrain « Le monde a besoin d’être consolé, encouragé, et, en fait, c’est ça l’évangile. L’évangile ce n’est pas une théorie, c’est du concret. »
Les infos pratiques Sacerdoce, des hommes entre ciel et terre. Un film-documentaire du réalisateur drômois Damien Boyer. Sur les écrans les vendredi 20, samedi 21 et dimanche 22 octobre 2023. Réservation, Dates et horaires ici. Les infos pratiques ici. Cinéma Capitole MyCinéWest.161, avenue de Saint-Tronquet au Pontet.
‘Madame Butterfly’ du Royal Opera House de Londres diffusé au cinéma Capitole
Sorti il y a 28 ans, le film le 8e jour a été projeté, lors d’une unique séance, dimanche 15 octobre à 16h au Cinéma CapitoleMyCineWest au Pontet. Une initiative conjointe de la radio chrétienne RCF 84 et d’Emmanuel Luc, le directeur de l’établissement. Une opération en partenariat avec l’Echo du mardi.Près de 80 personnes ont répondu à l’invitation.
A la suite de la projection, Emilie Bourdellot, directrice de la radio, Jean-Paul Péridon, président de la radio, Marc Chabaud -administrateur et membre du bureau- ont accompagné le débat ‘Le handicap est-il acceptable en société ?’
«Nous avons organisé cette rencontre parce que nous sommes une radio de proximité, proche de ses auditeurs, a entamé Jean-Paul Péridon. C’est la première fois que nous organisons une projection suivie d’un débat pour vous rencontrer, vous public, auditeurs et bénévoles de notre association. Si nous sommes une radio généraliste nous sommes aussi un media de réflexion : tous les sujets de société nous interpellent, même si nous ne sommes pas là pour y apporter des réponses, des suggestions ou des opinions. Notre rôle et de susciter auprès de vous, auditeurs et spectateurs, de l’intérêt pour ces questions et de vous inviter à y réfléchir, à se poser des questions, et, peut-être, à y répondre.»
Le débat a été nourri d’interventions portant sur la difficulté d’être parents d’enfants et d’adultes en situation de handicap ; de la vie scolaire, éducative –le plus souvent inexistante-, sociétale, professionnelle et amoureuse des personnes différentes et de leur accompagnement vers le plus d’autonomie possible –avec un travail et un logement lorsque cela est possible- ; De la complexité et de la lourdeur des dossiers administratifs à renseigner ; De l’accès -rarissime- à la formation et au travail ; Du vieillissement des parents et accompagnants des personnes en situation de handicap et de la loi Handicap de 2005 qui beaucoup a fait progresser les droits de ces personnes dans une société qui travaille, peut-être encore trop lentement, à l’inclusion de tous en son sein…
Les grands témoins David Corbière, directeur de l’entreprise adaptée Optimist et Denis Blin, fondateur de l’Arche du moulin de L’Auro, Alain Arrivets papa de Matieu – anciennement président avec son épouse Henriette du Geist 21– et Marie Josée ont à la fois témoigné et nourri le débat avec un public dont beaucoup étaient connaisseurs et impliqués sur le sujet abordé : la personne en situation de handicap et la vulnérabilité de nous tous, humains, dans la société.’
Témoignages « Ce qui a contribué à changer le regard du commun ? Interroge Alain Arrivets : La capacité des personnes en situation de handicap à s’intégrer dans la société. Ils disent ‘Oui, nous sommes capables, avec nos différences, d’aller à l’école, de prendre le bus, le tram, d’aller travailler…’ La Loi de 2005 a permis de faire évoluer ce regard commun -des personnes en situation de handicap et nous, qui avons la chance de ne pas en être porteurs.’
« Mon métier est de créer de l’emploi pour les personnes en situation de handicap, pose David Corbière, directeur d’Optimist. On s’est tous sentis un jour ou l’autre mal à l’aise face au handicap parce qu’il faut de l’humilité et de l’empathie pour l’approcher (A propos du film). Exclusion, marginalité culture du handicap, la véritable évolution de notre société réside dans l’acceptation de nos différences qui est aussi notre première richesse. Notre premier handicap est de vivre à 100 à l’heure, en passant à côté de l’essentiel, de la sensibilité… »
« Le handicap de la trisomie 21 est maintenant connu et accepté par la société mais le handicap invisible, relève Marie-Josée, spectatrice. Enfants autistes, enfants porteurs de troubles du comportement, parents contraints de ne plus pouvoir sortir du foyer car les enfants ont des comportements extrêmes -grande violence et grande douceur-, pourtant ces handicaps se vivent avec beaucoup de difficulté pour tout le monde. Les parents se trouvent isolés de la société et même de la famille proche. Il y a très peu d’aides de vie scolaire qui sont, également, peu formées et peu reconnues financièrement. Faire reconnaître et obtenir de l’aide spécifique au handicap relève encore du chemin de croix. Nous restons démunis devant la plupart des handicaps. Aussi, peu de structures existent pour la prise en charge des personnes en situation de handicap. »
Jean-Paul Péridon a conclu « L’ennemi principal de la différence est l’indifférence. C’est un peu comme le syndrome de la grenouille, il y a celle que l’on veut plonger dans l’eau bouillante et qui s’enfuit par la fenêtre parce qu’elle a senti le danger de l’eau chaude et celle qui mourra ébouillantée parce que l’eau a graduellement et doucement monté en température et tue la grenouille sans que celle-ci n’ait pas eu la force de s’échapper parce qu’il était déjà trop tard. C’est tout à fait l’indifférence dans laquelle nous nous installons, confortablement, mais qui tue notre conscience et nos sensibilités. »
‘Madame Butterfly’ du Royal Opera House de Londres diffusé au cinéma Capitole
RCF et Cinéma Capitole MyCinewest proposent la rediffusion au cinéma du 8e jour suivi d’un débat sur le handicap
La radio RCF 84 et Cinéma Capitole myCinewest Avignon proposent la rediffusion du ‘Huitième jour’ du réalisateur Jaco van Dormael avec les comédiens Daniel Auteuil et Pascal Duquenne ce dimanche 15 octobre à 15h30.
A l’issue de la projection, RCF entamera le débat sur ‘La différence est-elle acceptée en société ?’ avec Emilie Bourdellot directrice de la Radio RCF Vaucluse et Marc Chabaud. L’Echo du mardi, partenaire de cet événement a ouvert ses colonnes à la famille d’Henriette d’Alain et Mathieu et aussi à Eugénie et Lucile. Le débat sera axé sur des témoignages et expériences de vie, l’acceptation, l’inclusion et les difficultés des personnes en situation de handicap.
‘Le Huitième jour’ est sorti en salle il y a 28 ans. Depuis notre regard sur la différence et le handicap a-t-il vraiment changé ? La société est-elle vraiment devenue inclusive ? Des témoignages de professionnels et de familles émailleront les réflexions sur vers quoi la société tend, avec quels moyens, ce que vivent la personne en situation de handicap et les accompagnants.
En savoir plus «Je voulais raconter le choc entre deux mondes, celui qui est considéré comme normal et celui qui ne l’est pas, se remémore Jaco Van Dormael, auteur et réalisateur du 8e jour. Voir ce qu’il a et que nous n’avons pas. Filmer ce qui est beau dans ce qui est rebutant. Filmer la grâce dans ce qui semble ordinaire. Témoigner d’une autre façon d’appréhender le monde et la vie, d’une autre conscience de l’univers, riche, multiple, qui nous révèle à nous-mêmes notre capacité à aimer.»
Le synopsis Harry est un homme seul qui se voue sept jours sur sept à son travail. Tout va basculer quand il va rencontrer Georges, une personne handicapée mentale, qui vit dans l’instant. Ces deux êtres que tout oppose vont devenir inséparables.
Les infos pratiques Dimanche 15 octobre. En salle à partir de 15h30. 6€. Projection du film à 16h. Débat de 18h à 19h sur les thèmes du handicap et de la différence avec la salle et de grands témoins. Cinéma Capitole MyCinewest 161, avenue de Saint-Tronquet au Pontet. Lien émission RCF ici.
‘Madame Butterfly’ du Royal Opera House de Londres diffusé au cinéma Capitole
La radio RCF 84 et Cinéma Capitole myCinewest proposent la rediffusion du ‘Huitième jour’ du réalisateur Jaco van Dormael avec les comédiens Daniel Auteuil et Pascal Duquenne. A l’issue de la projection, RCF entamera le débat sur ‘La différence est-elle acceptable en société ?’ avec Emilie Bourdellot directrice de la Radio RCF Vaucluse et Marc Chabaud. Exclusion, marginalité, culture et handicaps, où en sommes-nous dans notre société ?L’Echo du mardi, partenaire de cet événement propose, pour l’occasion, de donner la parole à des parents et des accompagnants de personnes en situation de handicap. Que vivent-ils ? Qu’est-ce qui a changé en 28 ans ?
Le Huitième jour est sorti en salle il y a 28 ans. Depuis notre regard sur la différence et le handicap a-t-il vraiment changé ? La société est-elle vraiment devenue inclusive ? Des témoignages de professionnels et de familles émailleront les réflexions sur vers quoi la société tend, avec quels moyens, ce que vivent la personne en situation de handicap et les accompagnants.
«Je voulais raconter le choc entre deux mondes, celui qui est considéré comme ‘normal’ et celui qui ne l’est pas, confiait, il y a 28 ans Jaco van Dormael, le réalisateur du Huitième jour’. Filmer la grâce dans ce qui semble ordinaire. Témoigner d’une autre façon d’appréhender le monde et la vie, d’une autre conscience de l’univers, riche, multiple, qui nous révèle à nous-mêmes notre capacité à aimer.»
Synopsis Harry est un type normal. Très normal. Il trouve, sur la route, Georges. ‘Moi Mongol’ dit Georges. Harry veut le ramener chez lui. Il n’arrive plus à s’en débarrasser. Il s’y attache. Ces deux êtres que tout oppose vont devenir inséparables. Plus rien ne sera comme avant. Tant mieux pour Harry.
Pourquoi ce film ? «C’est en faisant des courts-métrages avec eux que j’ai rencontrés ces personnes en situation de handicap –trisomie 21-.Je crois que si je m’y intéresse c’est que, tout simplement, je me sens bien avec eux. Ils donnent énormément. Ils ont un talent de vivre, d’aimer la vie, la minute présente, qui nous fait souvent défaut. C’est l’amour sur terre. C’est un monde qui vit juste à côté de nous et dont nous n’avons pas connaissance. Tous les pays ont été explorés, toute la surface de la terre a été visitée. Il reste, pourtant, des univers inconnus ici même, si nous prenons le temps de les voir. Pour moi, ils symbolisent la différence, une autre façon de voir le monde.»
Et puis… «Le Cinéma permet de réveiller des émotions enfouies… fait partager une expérience, une rencontre qui seraient improbables dans la vie. Il réveille l’intérêt pour les autres. Dans mes films, je cherche à ce que le spectateur se sente bien, quand le film est fini, qu’il soit content d’être en vie, qu’il s’intéresse aux autres êtres humains. » Extrait de l’entretien du dossier de presse du Huitième jour
Les infos pratiques Dimanche 15 octobre. En salle à partir de 15h30. 6€. Projection du film à 16h. Débat de 18h à 19h sur les thèmes du handicap et de la différence avec la salle et de grands témoins. Cinéma Capitole MyCinewest 161, avenue de Saint-Tronquet au Pontet.