Le premier dispositif agrivoltaïque sur cultures d’abricots bio est à Cavaillon
La société Sun’Agri, spécialisée dans les solutions intelligentes de soutien à l’agriculture, et l’exploitation cavaillonnaise Saint-Félix ont inauguré le premier dispositif agrivoltaïque mondial piloté sur des cultures d’abricots bio. L’exploitation devient donc le 34ᵉ site à disposer de la technologie de Sun’Agri.
C’est sous un grand soleil, au cœur de l’exploitation Saint-Félix de 65 ha à Cavaillon, sous le nouveau dispositif agrivoltaïque, que se sont réunis 70 représentants de l’Etat, du territoire et du monde agricole pour découvrir ce dispositif, qui, pour la première fois aux niveaux local et mondial, a pour ambition de protéger des abricots en culture bio.
Les persiennes agrivoltaïques ont été installées sur une surface de 2,5 ha dans le but protéger les vergers des changements climatiques, notamment de l’ensoleillement et des températures extrêmes qui peuvent être atteintes en pleine journée durant l’été. L’exploitation Saint-Félix a déjà perdu une grande partie de sa production d’abricots à cause de brûlures dues à la canicule en 2018. Pour attester de la différence à la fin de la saison, une zone de 0,3 ha n’a pas été recouverte de panneaux. La production annuelle prévisionnelle sur la parcelle agrivoltaïque est de 30 tonnes d’abricots bio par hectare.
Différents équipements et capteurs seront installés sur le site, au niveau du sol et dans l’air tels que des tensiomètres, des compteurs connectés qui mesurent la consommation en eau sur la parcelle, des stations météorologiques pour mesurer la température, l’humidité dans l’air, la pluviométrie et la vitesse du vent. Le suivi agronomique de la parcelle sera effectué par la Chambre d’Agriculture du Vaucluse, et le suivi écologique du projet par la LPO PACA.
L’agrivoltaïsme en plein essor
Si c’est le premier dispositif agrivoltaïque sur cultures d’abricots bio, ce n’est pas le premier dispositif agrivoltaïque que compte le Vaucluse. Le département dispose déjà de deux autres installations agrivoltaïques à Piolenc, sur des vignes, et Carpentras, sur des cerisiers.
Ce projet, à Cavaillon, représente un investissement global de 3,2 M€ pour protéger le verger sur les prochaines décennies. Il s’ajoute aux 33 sites agrivoltaïques plantés et embarquant déjà la technologie Sun’Agri sur le territoire national en 2024, et à ceux en cours d’étude ou de développement, pour une surface globale de 260 ha.
Le premier dispositif agrivoltaïque sur cultures d’abricots bio est à Cavaillon
Le groupe Saint-Gobain vient de lancer une campagne de recrutement de 1 200 alternants sur toute la France. Ces embauches concernent 60 postes dans la région Provence-Alpes-Côte d’Azur dont une plus d’une dizaine en Vaucluse. Ces contrats en alternance sont à pourvoir au sein du centre de recherche de Saint-Gobain à Cavaillon comptant plus de 200 salariés ainsi que le site Saint-Gobain ZirPro du Pontet qui dispose de deux centres de recherche et de développement. Ces postes sont ouverts à tous les niveaux d’études, du CAP au Master, dans toutes les filières métiers notamment : commerce, technique production, logistique, exploitation, ressources humaines, finance, R&D, marketing, hygiène sécurité environnement. Certifié Happy Trainees depuis 2016, Saint-Gobain est arrivé en 2023 à la première place de la catégorie ‘Alternance, +500 alternants’ du classement des meilleures entreprises pour faire un stage. Une reconnaissance par les étudiants de la qualité des missions d’alternance proposées pour ce groupe 160 000 collaborateurs répartis dans 76 pays et qui a réalisé un chiffre d’affaires de 47,9 milliards d’euros en 2023.
Dans le top mondial des employeurs modèles « Employeur majeur d’alternants en France, je me félicite que Saint-Gobain, leader mondial de la construction durable (ndlr : l’entreprise s’est engagée à atteindre zéro émission nette en carbone d’ici 2050), soit jugé par les jeunes eux-mêmes comme une entreprise où il fait bon faire une alternance tant les opportunités de carrière offertes aux jeunes talents sont nombreuses et stimulantes pour accompagner la transition bas carbone du bâtiment, dans l’industrie comme dans la distribution », explique Régis Blugeon, directeur des ressources Humaines de Saint-Gobain France. Les initiatives du Groupe en France en faveur des stagiaires et alternants se traduisent aussi par une attention portée à 100% des candidatures dans le cadre d’un partenariat renouvelé avec le cabinet Yaggo, chargé d’apporter des réponses adaptées et des conseils personnalisés à chaque candidat non retenu. L’an dernier, les 20 000 candidatures reçues ont ainsi fait l’objet d’une réponse jugée ‘meilleure’ que celles des autres entreprises par 98% des répondants. Le groupe a également reçu pour la 9e année consécutive la certification ‘Top employer global’, une reconnaissance détenue par seulement 17 entreprises dans le monde.
Le premier dispositif agrivoltaïque sur cultures d’abricots bio est à Cavaillon
La première phase du chantier de la place François Tourel, à Cavaillon, vient de se terminer par la pose des enrobées du côté de la Poste. Ces travaux de rénovation, qui devraient s’achever au mois de juillet, s’inscrivent dans la redynamisation du centre ancien de la ville.
La Ville de Cavaillon a pour ambition de redynamiser son centre-ville. Pour ce faire, plusieurs projets sont prévus, tels que la création d’une place piétonne place Cabassole, l’agrandissement du théâtre Georges Brassens, mais aussi la rénovation de la place François Tourel, dont la seconde phase va débuter.
Les travaux de la place François Tourel, dont le coût s’élève à 1,8M€, ont débuté le 29 janvier dernier, et devraient durer jusqu’en juillet. Les objectifs sont de végétaliser la place avec 1 035 m² d’espaces verts et 122 arbres plantés, donner davantage d’espace aux piétons, mais aussi conserver le stationnement en zone bleue (2h gratuites) tout en donnant un coup de jeune à la place.
La phase 2 des travaux, qui débute, devraient permettre la création des nouveaux ilots de stationnement et de la nouvelle voie de circulation du côté de l’office de tourisme, et des nouveaux espaces devant recevoir arbres et végétations à l’automne. La troisième et dernière phase concernera la mise en double sens de la voie de circulation du côté de la Poste et la fin des raccordements de la place.
Le premier dispositif agrivoltaïque sur cultures d’abricots bio est à Cavaillon
Le Conseil régional de l’Ordre des Architectes se renouvelle autour de sa présidente Marilyne Chevalier réélue pour 3 ans.Tous les trois ans, les architectes de la région votent pour choisir la moitié de leurs représentants de l’Ordre des Architectes Paca – le mandat de conseiller régional dure 6 ans, mais le Conseil est renouvelé par moitié tous les 3 ans.
La composition du nouveau Conseil et du nouveau Bureau Après l’élection de la présidente, les membres du Conseil ont aussi procédé au vote pour les autres fonctions du bureau (composition détaillée ci-après).
En 2024, avec 37,7% de participation, ils ont élu 10 nouveaux conseillers et réélu 2 conseillères sortantes. La liste Architectes d’Utilité Publique (AUP) a remporté 8 des 12 sièges, et Architectes Collectifs !, la liste de la présidente sortante Maryline Chevalier, en occupe donc 4. Le Conseil ainsi formé s’est réuni pour la première fois les 21 et 22 mars, pour un séminaire d’intégration et la première séance officielle du Conseil. Cette nouvelle équipe est issue de tous les départements de la région, et exerce avec des pratiques diversifiées, ce qui assure une bonne représentation de la profession pour ces 3 prochaines années.
Maryline Chevalier, présidente pour les 3 années à venir Maryline Chevalier, présidente de l’Ordre des Architectes PACA de 2021 à 2024, a su convaincre ses pairs. Déjà le 11 mars, elle redevenait conseillère, en tête de l’élection, avec 530 voix.
Lors de la séance Vendredi 22 mars, lors de la séance durant laquelle les conseillers élus choisissent la présidence, Maryline Chevalier, seule candidate, a été élue avec 21 voix sur 24. Les conseillers de la liste Architectes d’Utilité Publique ont salué le travail accompli de 2021 à 2024 et ont souhaité poursuivre dans cette dynamique, tout en portant les thèmes avec lesquels ils ont été élus.
Une journée pour définir la feuille de route Maryline Chevalier a remercié l’ensemble du Conseil pour leur confiance et l’organisation d’une équipe soudée ainsi que la préparation d’une journée de travail le 23 mai prochain pour définir collectivement les priorités de ce nouveau mandat.
Cavaillon Atelier Patrimoine et transition écologique L’Ordre des architectes Paca était invité par le Schéma de cohérence territoriale (SCoT) de Cavaillon pour une intervention dans l’atelier sur le thème “Patrimoine et transition écologique”, le 21 février.
Le Scot Le 21 février, le Schéma de cohérence territoriale (SCoT) de Cavaillon a convié élus, techniciens, experts, chambres consulaires et associations à un atelier sur le thème “Patrimoine et transition écologique”. Agathe Pitoiset, vice-présidente, et Michel Escande, alors conseiller de l’Ordre des Architectes PACA, ont répondu présents à cette invitation aux côtés de la DRAC, de l’Architecte des Bâtiments de France (Vaucluse) et du CAUE du Vaucluse.
Revitalisation des centres anciens «Assurer la revitalisation des centres anciens en cohérence avec la transition écologique» ; Faire avec l’existant, tel était le sujet de cet atelier ! Il s’agit d’une thématique dont l’Ordre des architectes s’est saisi depuis la loi climat et résilience, s’agissant d’un sujet à enjeu pour la profession !
L’architecture comme solution pour les habitants et les villes Cet atelier de réflexion a été aussi l’occasion de revenir sur le plaidoyer « Habitants, Villes, Territoires, l’architecture comme solution », en insistant sur la nécessité de reconnaitre l’architecte comme une profession essentielle du cadre de vie et comme un apporteur de solutions ; n’oublions pas qu’il joue un rôle en amont comme accompagnateur et en aval en proposant des réponses aux projets. Au total, 80 personnes ont assisté à la table ronde.
Ils y étaient M. Daudet: Maire de Cavaillon & Président LMV Syndicat mixte du ScoT du bassin de vie (Cavaillon, Coustellet, Isle sur la sorgue) : représenté par le Président M. Liberato, M. Donnadille : Directeur du syndicat mixte du SCOT, M. Lardiere : CAUE 84 , M. Choukroun : directeur régional des affaires culturelles Paca, Mme Pop : ABF, Mme Pitoiset : Vice-présidente à l’Ordre des Architectes, M. Escande : Ancien conseiller de l’Ordre des Architectes. Mireille Hurlin
Le premier dispositif agrivoltaïque sur cultures d’abricots bio est à Cavaillon
11 établissements scolaires de Vaucluse ont été victimes, aujourd’hui, de messages de menace, sur les communes d’Avignon, Orange, Cavaillon, l’Isle-sur-la-Sorgue et Vedène.
Les établissements concernés ? Lycée Ismaël Dauphin, Collèges Paul Gauthier et Clovis Hugues à Cavaillon ; Collège Arausio, Lycée Professionnel de l’Argensol, Lycée de l’arc et Lycée Jean Giono à Orange; le Lycée Professionnel Alphonse Benoît et Lycée agricole la Ricarde à l’Isle-sur-la-Sorgue ; le Lycée Professionnel du domaine d’Eguilles à Vedène ; le Lycée Aubanel à Avignon. En lien avec les chefs d’établissements concernés, les services de la Direction des Services Départementaux de l’Éducation Nationale (DSDEN), les forces de sécurité (police nationale, groupement de gendarmerie départementale et polices municipales), ainsi qu’avec la mobilisation de toutes les communes impactées, des périmètres de sécurité ont été mis en place. Les élèves accueillis, y compris au sein d’établissements non concernés par les messages mais situés à l’intérieur des périmètres de sécurité (pour les communes d’Avignon et de Cavaillon), ont tous été mis en sécurité.
Aujourd’hui à 13h30 L’inspection de 4 établissements scolaires est terminée. Aucun danger particulier n’a été mis au jour par les opérations de levée de doute réalisées : le collège Arausio et le lycée Professionnel de l’Argensol situés à Orange demeurent fermés pour la journée ; Les élèves scolarisés au sein du lycée Professionnel du domaine d’Éguilles à Vedène et du lycée de l’arc à Orange sont autorisés à regagner leur établissement. Les opérations de levées de doute sont toujours en cours au sein des 7 autres établissements scolaires. Le préfet de Vaucluse a souligné la mobilisation exceptionnelle de l’ensemble des acteurs et les a remerciés pour leur action.
Mireille Hurlin
Le premier dispositif agrivoltaïque sur cultures d’abricots bio est à Cavaillon
L’occasion pour dix demandeurs d’emploi, démontrant une appétence pour la restauration, de faire leur preuves en montrant leurs compétences et leur savoir-être au formateur du Greta-CFA qui était présent pour les encadrer durant la réalisation des mets et le service en salle. Plusieurs représentants d’entreprises étaient invités pour déceler de nouveaux talents. L’après-midi, ils ont pu rencontrer des professionnels du secteur et des recruteurs et échanger avec eux sur leur perception de l’expérience et sur les opportunités d’emploi.
Le projet, parrainé par Clément Charlier, vice champion du monde des traiteurs, a plusieurs objectifs : -Orienter vers les métiers de l’Hôtellerie, Restauration et Tourisme en proposant une expérience concrète. -Faciliter le recrutement pour les entreprises locales, en particulier sur les postes de cuisinier et de serveur. -Répondre aux besoins saisonniers des entreprises tout en envisageant des formations complémentaires et adaptées.
DR
Le premier dispositif agrivoltaïque sur cultures d’abricots bio est à Cavaillon
Mercredi 20 mars la présidente du département de Vaucluse, le maire de Cavaillon et le directeur régional de l’ARS posaient la première pierre d’un nouvel EHPAD qui a l’horizon 2026 proposera une centaine de lits. Ce nouvel établissement et tous les autres seront loin d’absorber les besoins des prochaines années, compte tenu du vieillissement important de la population.
Bien qu’aujourd’hui les personnes du « 3ème âge » aient changé de nom et s’appellent désormais « les séniors ou les aînés », les problèmes demeurent. Comment faire face à l’augmentation brutale et attendue des plus de 75 ans, et en particulier celles en perte d’autonomie ? Dans le Vaucluse, entre 2020 et 2030, leur nombre progressera de 30 000. Pour répondre en partie aux besoins on construit de nouveaux établissements. Mais quand vous interrogez votre entourage (y compris soi-même) personne ne veut s’y retrouver. Rapporté au coût de la construction d’un EPHAD, en moyenne de 150/200 K€ par lit, on se dit que ça faire cher pour un endroit où on ne souhaite pas aller. Et cela sans évoquer les conditions inacceptables réservées par certains établissements à leurs résidents. On se souviendra du récent scandale ORPEA. Bref, on est souvent loin des clubs de vacances. Tout cela montre en définitive que l’EHPAD n’est pas la solution miracle. Au mieux une solution parmi les autres.
« Une vraie question de santé publique »
Les conséquences du vieillissement de la population est « une vraie question de santé publique » affirmait Gérard Daudet, le maire de Cavaillon, lors de la pose de la première pierre de l’EHPAD en question. De son côté Dominique Santoni, Présidente du département lançait en novembre dernier un plan d’actions sur 5 ans visant à développer l’autonomie et les aides à domicile (services et soutiens médicaux) pour les aînés et les personnes souffrant d’un handicap. Une voie dont on n’a sans doute pas exploré toutes les possibilités pour retarder voir éviter l’hébergement en établissement médico-social. Mais là aussi la partie n’est pas facile et comme le précisait Denis Robin, le directeur régional de l’ARS PACA, « il nous faut développer l’attractivité de ces métiers ». Une manière de reconnaître que là aussi on manque de bras et de vocations.
On a souvent tendance à critiquer les élus pour les choix qu’ils effectuent mais, dans certains cas, il faut reconnaître que les décisions ne sont pas facile à prendre. Comme celle d’être conduit à investir dans la construction de lieux qui accompagnent les fins de vie et qui ne font envie à personne. Là aussi il faut sans doute nous réinventer.
Le premier dispositif agrivoltaïque sur cultures d’abricots bio est à Cavaillon
Le Centre hospitalier de Cavaillon a pu poser, ce mercredi 20 mars, la première pierre du futur Ehpad qui se situera en plein cœur de la ville. Un aménagement qui s’accompagne de la mise en place d’un centre de ressources territorial pluripartenarial qui favorisera l’accompagnement renforcé à domicile pour les personnes âgées. Ce projet bénéficie du soutien et de l’accompagnement de l’Agence régionale de santé Provence-Alpes-Côte d’Azur, du Département de Vaucluse et des collectivités territoriales.
28% de la population cavaillonnaise a plus de 60 ans, soit un peu plus de 7 000 habitants. D’ici à 2030, ce chiffre va considérablement augmenter et le département du Vaucluse comptera près de 30 000 personnes âgées supplémentaires. L’accueil et la prise en charge de cette tranche d’âge devient donc un défi et une priorité pour les professionnels de santé et les institutions territoriales.
Pour y faire face sur le département du Vaucluse, le Centre Hospitalier Intercommunal de Cavaillon-Lauris a décidé de se mobiliser pour les séniors de son territoire. Le CHI, qui a mis sur pied un projet d’aménagement d’un nouvel Ehpad flambant neuf en plein cœur de la commune de Cavaillon, a pu poser la première pierre du futur bâtiment ce mercredi 20 mars. Un évènement symbolique qui a pu compter sur la présence de Denis Robin, directeur général de l’Agence régionale de santé PACA, de Gérard Daudet, Maire de Cavaillon et de Dominique Santoni, présidente du Département de Vaucluse.
L’établissement en construction verra le jour en mars 2026 au plus tard, après une réception de travaux en novembre 2025. Cet établissement sera résolument moderne et tourné vers le bien-être de ses accueillants. D’une surface de plus de 5 800 m², le nouvel Ehpad permettra d’offrir exclusivement des chambres individuelles, toutes dotées de salles d’eau et d’équipements domotisés, avec des terrasses. Des espaces de convivialité et de restaurations seront présents à tous les étages.
La cérémonie de pose de première pierre de ce nouvel édifice vient rappeler l’engagement total des pouvoirs publics, des collectivités territoriales, de la ville de Cavaillon face à la réalité démographique qui se dresse sur territoire vauclusien. Cet Ehpad apparait comme une première réponse à la question de la difficulté d’accueil des personnes âgées et comme une solution qui offrira un meilleur accompagnement gériatrique.
Un projet soutenu financièrement
Le financement global de cette opération est estimé à plus de 20 millions d’euros. Un projet important donc qui a été rendu possible grâce au soutien de la Mairie de Cavaillon qui a cédé un terrain constructible et idéalement situé, de l’Agence régionale de santé qui a apporté des financements importants en investissement et exploitation sur tous les dispositifs sanitaires et médico-sociaux.
Le Conseil départemental a également apporté une aide majeure et un soutien de tous les instants en mobilisant des emprunts permettant d’assurer les dernières étapes de l’aménagement du futur bâtiment.
Un Centre de Ressources Territorial
Le Centre Hospitalier Intercommunal de Cavaillon-Lauris déploie également un Centre de Ressources Territorial (CRT) proposant un accompagnement renforcé à domicile et un travail en partenariat permettant de retarder ou d’éviter l’hébergement en établissement médicosocial.
Le CRT proposera une fonction d’appui, de coordination, d’expertise et de soutien en lien avec l’ensemble des acteurs gérontologiques du sanitaire, du médico-social et du domicile. À ce titre, six personnes âgées bénéficient actuellement du dispositif naissant d’Ehpad hors les murs.
Le premier dispositif agrivoltaïque sur cultures d’abricots bio est à Cavaillon
La Ville de Cavaillon qui avait pris l’initiative d’installer des selfs en 2022 dans trois écoles élémentaires de la commune a décidé d’élargir l’expérience sur toutes ses écoles élémentaires à partir du lundi 18 mars. Un moyen efficace de lutter contre le gaspillage alimentaire et qui devrait permettre de favoriser l’autonomie des enfants.
La Ville de Cavaillon continue de s’engager pour l’innovation et la jeunesse. En 2022, trois écoles élémentaires de la commune avaient été choisies pour la mise en place de selfs à titre expérimental dans les cantines des établissements. Des équipements spécifiques qui permettent aux enfants de devenir « acteurs » de leurs repas en choisissant entre deux entrées et deux desserts proposés dans un espace prédéfini (salad’bar).
Un concept conçu pour donner le choix aux élèves, les impliquer et leur donner une meilleure autonomie en tout point. Ces nouveaux selfs donnent la possibilité aux enfants de participer au débarrassage de leur plateaux et d’avoir un premier contact avec le tri sélectif. L’idée est de les inciter à prendre l’habitude de trier leurs déchets en mettant en place des tables de tri qui séparent les biodéchets et les transforment en compost.
Des selfs dans toutes les écoles dès ce mois de mars
Il s’avère que cette idée a eu du succès puisque la Ville de Cavaillon a pris la décision d’étendre les selfs aux huit écoles élémentaires de la commune à partir du 18 mars. Un aménagement global qui a couté 145 676 euros et qui entre dans la volonté de la ville de développer les équipements dans les établissements scolaires.
Le mardi 19 mars, à l’heure du repas, a eu lieu l’inauguration de ces nouveaux espaces avec un déjeuner à la cantine de l’école élémentaire Charles de Gaulle, qui vient de bénéficier de ce nouveau agencement.