20 avril 2025 |

Ecrit par le 20 avril 2025

(Vidéo) Cavaillon : la Via Ferrata mise en lumière pour faire rayonner la ville

La ville de Cavaillon et l’office de tourisme Destination Luberon Cœur de Provence se sont associés pour mettre en avant la Via Ferrata dans plusieurs vidéos afin d’augmenter l’attractivité du territoire.

Cavaillon est l’une des seules villes d’Europe à proposer une Via Ferrata directement accessible à pied, en quelques minutes, depuis le centre-ville. L’itinéraire aménagé dans la roche de la colline Saint-Jacques est composé de deux passages, afin que tout public y ait accès. Une première partie familiale nommée ‘Via Natura’ permet, en deux heures, de découvrir la vie des falaises à partir de terrasses d’observation. Elle est accessible à tous, mêmes aux enfants, mais ces derniers doivent mesurer minimum 1m30. La ‘Via Souterrata’, quant à elle, est accessible aux personnes mesurant minimum 1m50 et permet de traverser les grottes du Colombier avant de franchir les Beaumes de Combarelles.

Afin de valoriser cet itinéraire sportif qui met en avant l’histoire, le patrimoine, la faune et la flore de Cavaillon, la ville s’est alliée à Destination Luberon Cœur de Provence pour réaliser plusieurs supports vidéo avec notamment des prises de vue aériennes de la Via Ferrata, des randonneurs et des grimpeurs en action. Ces vidéos seront prochainement diffusées sur les sites internet et réseaux sociaux de la ville de Cavaillon et de l’office de tourisme. Cette mise en lumière permettrait d’augmenter l’attractivité de la commune, et plus amplement du département de Vaucluse.

V.A.


(Vidéo) Cavaillon : la Via Ferrata mise en lumière pour faire rayonner la ville

En mai 2021, le groupe Saint-Gobain signait un contrat-cadre avec Zenride, le premier service de location de vélos en entreprise. Après une phase de test, le service de location s’est élargi à l’ensemble des filiales . Aujourd’hui, 37 vélos sont utilisés par des salariés des trois sites vauclusiens du groupe.

En mai 2021, le groupe Saint-Gobain signait un contrat-cadre avec Zenride, le premier service de location de vélos en entreprise. Depuis le début d’année, et après une phase de test, le service de location de vélos Zenride est proposé à l’ensemble des filiales du groupe, quelle que soit leur fonction, soit plus de 30 000 personnes.
Le site Isover dispose de 27 vélos pour 43 inscrits. De quoi équiper 11% des 247 salariés de la plus grande usine de laine de verre d’Europe qui va aussi bénéficier d’un investissement de 15M€ pour reconstruire son four en 2023.
Pour sa part, le site CREE (Centre de recherche et d’études européen) créé en 2003 à Cavaillon, qui emploie 200 salariés, dispose de 10 vélos pour 28 inscrits (5% des salariés ont un vélo).
Enfin, le lancement du service dans un troisième site de la région, le site SEPR du Pontet, est également prévu dans le courant de l’année.

Un bon geste pour la planète et pour le corps
Cette action vient renforcer la politique du groupe Saint-Gobain en faveur de l’environnement, ‘Agir durablement’. Impact positif pour la planète et pour la marque, cette action représente également des économies. Annuellement, ce sont 300€ qui sont économisés en moyenne par les salariés qui optent pour le vélo.
« Zenride accompagne le groupe à promouvoir des pratiques qui sont aussi bien bénéfiques pour la planète que pour le bien-être et l’engagement de leurs collaborateurs », indique Régis Blugeon, DRH France du groupe Saint-Gobain.

Retrouvez dans la vidéo ci-dessus les témoignages de la direction de Saint-Gobain et des salariés.

(Vidéo) Cavaillon : la Via Ferrata mise en lumière pour faire rayonner la ville

A chaque produit remarquable, sa capitale. Les calissons sont forcément d’Aix, les bêtises de Cambrai, les noix de Grenoble (quoique le Périgord est aussi sur le coup), les cerises du Ventoux (ça c’est plus récent, faut enfoncer le clou), les cocos de Paimpol (qui l’eut cru ?), les oignons de Roscoff, le piment d’Espelette (évidemment), les rillettes du Mans (incontournables), les anchois de Collioure (quoique pêchés pour la plus part dans l’Atlantique eh oui…), les lentilles du Puy, les citrons de Menton (vraiment exceptionnels) etc, etc… Mais pour le melon ? Quelle ville peut prétendre au titre de capitale ?

De nombreux prétendants
Tout d’abord il convient de faire, dans un premier temps, un choix régional. C’est essentiel et fondateur. Il existe, en France, 5 départements producteurs de cette cucurbitacée. Trois sont dans le sud : Tarn-et Garonne, Hérault et Vaucluse ; et deux quasiment dans « le Nôôrd » : les Deux-Sèvres et la Vienne. Nous avons écarté les productions espagnoles et marocaines. Pour le Maroc, nouvel entrant sur les étals de nos primeurs, il est à noter qu’il est inscrit sur les étiquettes de certains d’entre eux (obligatoires merci l’Europe) Melon Charentais…produit au Maroc. On pourrait  comprendre qu’il s’agit d’une variété et non un lieu de production mais en l’espèce comme les deux se confondent il y a de quoi y perdre son latin. Le consommateur en parfait comptable de ses deniers pourrait se dire : « Tiens des melons charentais au prix du marocain, voilà la bonne affaire ! ». On n’est pas loin de la tromperie. Mais bon.

Méditerranéenne ou atlantique ?
Revenons en France et au dilemme qui nous occupe, le melon doit-il être sous influence méditerranéenne ou atlantique ? On peut imaginer ce que pensent les uns des autres.
Rappelons cependant qu’il faut beaucoup, beaucoup  de soleil (et accessoirement aussi beaucoup d’eau) pour faire un bon melon et qu’entre les deux climats il n’y a pas photo. Signalons à toutes fins utiles que le melon nous vient, à son origine, d’Afrique, continent où chacun sait, et sans faire injure aux habitants de la Vienne et des Deux-Sévres, que le soleil y est particulièrement présent.

« Melon de Cavaillon ça sonne quand même mieux que melon de Castelsarrasin ou de Béziers. »

Un melon sans capitale
Comme nous sommes un poil chauvin, et que nous l’assumons totalement, on va donner le point aux départements sudistes. Une fois ce pré requis, les zones de production étant tellement larges qu’il nous faut zoomer un peu plus. Sur ces 3 départements quelle ville peut se revendiquer d’être la capitale du Melon ? On aurait tendance à dire « naturellement » Cavaillon tout d’abord pour la rime. Melon de Cavaillon ça sonne quand même mieux que melon de Castelsarrasin ou de Béziers.
Si Cavaillon l’emporte à l’indice de « notoriété spontanée » c’est que l’histoire et la tradition y sont pour beaucoup !
Alexandre Dumas (le père), nous dit-on, appréciait tellement les melons de Cavaillon qu’il a passé un deal avec la municipalité de l’époque. En échange du don d’un exemplaire de la totalité de son œuvre gigantesque (près de 400 ouvrages) à la bibliothèque de la ville il a reçu sous forme d’une rente viagère 12 melons par an. La date de cet accord remontant à 1864 et celle de la mort de l’auteur du comte de Monte-Cristo à 1870 on peut dire la bibliothèque de Cavaillon n’a pas fait une mauvaise affaire. 72 melons contre l’intégralité de l’œuvre de Dumas je prends aussi !
Et c’est à partir de cette histoire, nous dit-on toujours que la confrérie des chevaliers du Melon de Cavaillon serait née. Défense de sourire ce n’est pas plus bête que la confrérie des goustiers d’andouille de Guémené. Entre l’andouille et le melon… je vous laisse choisir.

Cavaillon s’est naturellement imposée
De par sa position géographique Cavaillon s’est vite imposée comme une capitale de production maraichère. La richesse de ses terres, son ensoleillement et son système d’irrigation et puis au début du XIXe  l’arrivée du train jusqu’à Paris ont fait de Cavaillon ‘The capitale of the Melon’. En effet, les parisiens voyant arriver les melons de Cavaillon, ils les ont naturellement appelé « de Cavaillon ». S’ils avaient embarqué à Orgon, autre gare maraichère de la région, l’histoire en aurait été sans doute différente… Comme quoi cela tient pas à grand-chose…

Ancien directeur général et directeur de la rédaction de Mirabelle TV (télévision régionale en Lorraine), Didier Bailleux a été auparavant consultant dans l’audiovisuel et à travaillé sur plusieurs projets : TNT, SVOD, services en ligne, création de TV locales. En tant que directeur marketing, il a participé, dans les années 1990 et 2000, à la création de plusieurs chaînes thématiques : Canal J, Voyage et Pathé-Sport. Aujourd’hui, il vit en Vaucluse et travaille sur la production de documentaires consacrés aux terroirs.


(Vidéo) Cavaillon : la Via Ferrata mise en lumière pour faire rayonner la ville

À l’occasion de l’événement Melon en Fête, qui aura lieu à Cavaillon le vendredi 1er et samedi 2 juillet prochains, la ville lance un appel à candidature pour les exposants. Le samedi 2 juillet de 19h à 23h, le cours Bournissac accueillera un marché nocturne pour mettre en avant le fruit phare de la ville, mais pas seulement. Tous les produits du terroir seront mis en lumière pour l’occasion.

Un exposant aura le droit à une place de parking, c’est-à-dire un stand d’environ 5 mètres de long, et ce, pour 12€. L’installation des stands se fera de 17h30 à 19h et leur démontage à la fin du marché à 23h. L’exposant pourra garer son véhicule sur son emplacement. L’éclairage et les tables ne seront pas fournis mais l’électricité sera accessible. Pour vous inscrire, il suffit d’envoyer un mail de candidature à evenementiel@ville-cavaillon.fr

V.A.


(Vidéo) Cavaillon : la Via Ferrata mise en lumière pour faire rayonner la ville

Dans le cadre d’un programme d’aménagement de la RD24 mené par le Département de Vaucluse en partenariat avec la commune de Cavaillon, des travaux vont être réalisés au niveau du pont sur le Coulon. Ainsi, la circulation sur l’ouvrage sera interdite à partir de ce lundi 13 juin et une déviation sera mise en place pendant 3 à 4 semaines.

Après avoir démoli l’enrobé actuel, les agents procéderont au nettoyage et, si besoin, au ragréage de la dalle en béton armé, puis ils mettront en place l’étanchéité du tablier et finiront avec un enrobé sur 7 cm d’épaisseur. Le coût total de ces travaux vont s’élever à 540 000€.

V.A.


(Vidéo) Cavaillon : la Via Ferrata mise en lumière pour faire rayonner la ville

L’agglomération Luberon Monts de Vaucluse (LMV) rouvre son centre aquatique intercommunal, situé à Cavaillon, demain, le samedi 11 juin, et ce jusqu’au 4 septembre prochain. Si certains espaces du centre avaient été fermés ces deux dernière années, ils seront de nouveau accessibles cette saison.

Après deux années difficiles et contraignantes dues à la crise du Covid-19, le centre aquatique intercommunal peut ouvrir complètement ses portes, et tous ses équipements peuvent de nouveau accueillir le public. Ainsi, après deux ans de fermeture, la bibliothèque de plein air et l’espace buvette et petite restauration sont de nouveau accessibles.

Les activités sportives, elles aussi, font leur grand retour. Il sera donc possible d’assister à un cours d’aquagym le mercredi soir et un cours d’aquafitness le samedi matin. La séance coûtera 5€ aux habitants de la communauté d’agglomération Luberon Monts de Vaucluse et 6€ aux personnes extérieures à celle-ci. L’inscription se fait par téléphone au 04 90 71 00 08 ou directement à l’accueil.

Les différents équipements du centre

Situé dans l’allée des Félibres à Cavaillon, le centre aquatique, qui a accueilli 15 000 visiteurs entre les mois de juin et septembre en 2021 malgré les contraintes sanitaires, disposent de nombreux équipements et espaces qui viennent de faire l’objet d’un entretien pour garantir le meilleur accueil possible dès demain. Les visiteurs auront donc accès à :

  • Un bassin de natation de 25 mètres par 12 mètres doté d’une fosse à plonger.
  • Un bassin d’apprentissage d’une surface de 300 m².
  • Une pataugeoire pour les plus petits.
  • Un parc ombragé de près de 2 hectares composé d’une aire de jeux pour enfant, d’une aire de fitness et équipé de tables de pique-nique, d’un filet de volley et de tables de ping-pong.
  • Une bibliothèque de plein air, qui ne sera accessible qu’à partir du samedi 2 juillet, et sera ouverte du mardi au samedi de 13h00 à 17h00.
  • Un espace buvette et petite restauration.

Les nouveautés de la saison

Pour marquer ce retour à la normale après deux années de crise sanitaire, le centre va proposer deux nouvelles activités à découvrir. Premièrement, le club Les Octopus du Luberon animera les deux séances gratuites de découverte de la plongée sous-marine les dimanches 10 juillet et 7 août de 10h30 à 14h30. Les personnes de moins de 18 ans devront se munir d’une autorisation parentale pour pouvoir y participer.

Deuxièmement, les visiteurs pourront découvrir gratuitement la nage sirène et triton avec Ina, maître-nageur sauveteur de l’agglomération, lors de deux séances les mercredis 27 juillet et 31 août de 10h30 à 12h30. Pour participer à cette activité dont le matériel sera fourni, il sera indispensable de savoir nager.

Horaires d’ouverture

Du samedi 11 juin au vendredi 1er juillet : ouvert les lundi, mardi, jeudi, vendredi de 11h30 à 13h30 et de 17h00 à 19h30, et les mercredi, samedi, dimanche de 11h30 à 17h30 et de 18h00 à 19h30.

Du samedi 2 juillet au dimanche 4 septembre : ouvert les mardi, jeudi, vendredi, samedi, dimanche de 10h30 à 17h30 et de 18h00 à 20h00, et le mercredi de 10h30 à 18h30. Fermé le lundi. Ouvert le 14 juillet.

Tarifs

L’entrée pour les adultes du territoire LMV entre 15 et 64 ans est de 3€ (2€ pour les créneaux du soir). Un adulte extérieur au territoire devra payer 5€

L’entrée pour les jeunes du territoire entre 4 et 14 ans est à 2€. Ceux en dehors du territoire devront débourser 3€.

L’entrée est gratuite pour les enfants de l’agglomération de moins de 4 ans et les personnes de plus de 65 ans. L’entrée pour les enfants extérieurs à l’agglomération est à 2€, et les personnes de plus de 65 ans extérieures au territoire devra payer 3€.

Des systèmes d’abonnement sont également possibles, pour les découvrir, il suffit de se rendre sur place.

Pour plus d’informations, notamment celles concernant les consignes d’hygiène et de sécurité, veuillez consulter le site internet du centre aquatique.

Toute l’équipe du centre est prête à accueillir le public. ©DR

V.A.


(Vidéo) Cavaillon : la Via Ferrata mise en lumière pour faire rayonner la ville

Le réseau de producteurs fermiers Bienvenue à la ferme et la Chambre d’agriculture de Vaucluse organisent un grand marché des producteurs ce jeudi 2 juin 2022 à Cavaillon.

Les visiteurs pourront se balader librement entre les allées de ce marché XXL, mais aussi profiter de diverses animations. Le Café Shop et le restaurant La Cuisine du Marché seront présents sur place. Les visiteurs pourront également déguster les fruits de la Confrérie de la fraise de Carpentras. Le syndicat des maîtres melonniers de Cavaillon et le Moulin à huile du Vieux Château seront également présents. La Chambre d’agriculture et de l’association Bienvenue à la Ferme, quant à eux, tiendront le bar à jus.

Pour la seconde édition de ce marché des producteurs XXL, une grande tombola sera organisée avec à la clé un panier fraîcheur garni avec des produits du marché offerts par les producteurs présents.

Jeudi 2 juin. De 16h30 à 18h30. Place du Clos. Cavaillon

V.A.


(Vidéo) Cavaillon : la Via Ferrata mise en lumière pour faire rayonner la ville

Suite à une fusillade qui avait eu lieu le 11 août dernier dans la cité du Docteur Ayme à Cavaillon, la Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM) de Vaucluse avait fermé son espace d’accueil situé dans la commune et s’était installée dans les locaux de la Caisse d’allocations familiales (CAF). Quasiment un an après les faits, la CPAM va enfin réintégrer ses locaux au 884 Avenue du Général de Gaulle.

Ainsi, à partir du mardi 7 juin prochain, les équipes de la CPAM de Cavaillon pourront recevoir le public sur rendez-vous uniquement du lundi au vendredi de 8h30 à 12h30 et de 13h30 à 16h30. Il est possible de prendre rendez-vous depuis son compte Ameli ou en appelant le 3646.

V.A.


(Vidéo) Cavaillon : la Via Ferrata mise en lumière pour faire rayonner la ville

Après une première opération de requalification du quartier du Docteur Ayme achevée en 2016, la commune de Cavaillon vient d’obtenir le feu vert pour la restructuration complète des quartiers du Docteur Ayme et de Saint-Martin.
Menée en partenariat avec l’Anru (Agence nationale de la rénovation urbaine) entre 2010 et 2016 une première phase a permis la démolition de la tour G et ses 56 logements ainsi que la réhabilitation de 319 logements répartis entre Vallis Habitat et Grand Delta Habitat, les deux principaux bailleurs sociaux de la commune. Dans le même temps, une nouvelle résidence située avenue Jacques Brel a été construite et les espaces publics ont été requalifiés.
Ensuite, la municipalité a souhaité engager une seconde phase de rénovation élargie, toujours avec l’appui de l’Etat, la Région Sud, le Conseil départemental de Vaucluse et l’implication des bailleurs sociaux. Pour cela, la Ville a déposé un nouveau projet auprès de l’Anru pour obtenir des financements exceptionnels en vue de démolitions supplémentaires.

Mettre fin à la gangrène des trafics de stupéfiants
« Initialement, ce nouveau chantier concernait 770 réhabilitations de logements, qui ont d’ailleurs démarré au Docteur Ayme depuis le début de l’année, et 145 démolitions (96 pour Saint-Martin, 49 pour Docteur Ayme), explique Gérard Daudet, maire de Cavaillon. Toutefois, à la fin de l’été 2021, au vu des violences urbaines survenues au Docteur Ayme, j’ai sollicité Bertrand Gaume, préfet de Vaucluse, et l’Anru pour revoir le projet. En effet, outre des moyens policiers et une action judiciaire renforcés pour mettre un terme à la gangrène que constitue le trafic de stupéfiants, je considère que seule une restructuration en profondeur du quartier du Docteur Ayme pourra durablement ramener des conditions de vie apaisées. »
Des arguments entendus par le comité national de l’Anru qui a accordé les financements nécessaires pour la réalisation de cette opération de grande ampleur. Au total, ce ne sont donc plus 49 logements qui seront démolis au Docteur Ayme mais 210 et 306 en incluant Saint-Martin.

La Ville de Cavaillon prévoit notamment la construction de nouveaux locaux pour le centre social, France Services et le Point Justice, d’un nouvel accueil pour les jeunes, d’une salle multi-activités, d’une halte-garderie par l’agglomération et d’un nouveau plateau sportif.

Renforcement des équipements de proximité
« La Ville de Cavaillon accompagnera chaque famille dans un relogement conforme à ses besoins, insiste le maire de la cité cavare. Nous avons également obtenu des financements supplémentaires pour que les réhabilitations à venir soient réalisées avec un haut niveau d’exigence environnementale (Bâtiments basse consommation). Les voiries et les espaces publics seront reconfigurés, sécurisés et embellis par la commune. Par ailleurs, j’ai acté l’implantation forte de services publics en cœur de quartier. Cet engagement a sans nul doute contribué à convaincre l’Anru du bienfondé du dossier de Cavaillon. Cela concernera notamment la construction de nouveaux locaux pour le centre social, France Services et le Point Justice, d’un nouvel accueil pour les jeunes, d’une salle multi-activités, d’une halte-garderie par l’agglomération et d’un nouveau plateau sportif. »

Vue du quartier du Docteur Ayme sans les 2 tours. ©Enzo Gephil Del Testa

https://echodumardi.com/tag/cavaillon/page/21/   1/1