23 juillet 2024 |

Ecrit par le 23 juillet 2024

Cavaillon : une consultation lancée concernant la place François Tourel

Les Cavaillonnais ont jusqu’au 21 avril pour remplir le formulaire de consultation concernant le futur aménagement de la place François Tourel.

Conformément au programme de mandat, la place François Tourel de Cavaillon va changer de visage. Végétalisation, place pour les piétons, stationnement conservé avec une esthétique retrouvée… L’avis des Cavaillonnais est sollicité avec deux projets proposés par consultation.

Pour participer à la consultation, il suffit de remplir le formulaire distribué dans les boîtes aux lettres depuis le 27 mars via le magazine C’mon mag. Le formulaire est à retourner avant le 21 avril à l’accueil de l’Hôtel de Ville. Si vous n’avez pas reçu le magazine, des formulaires à remplir sont disponibles à l’accueil de l’Hôtel de Ville.

Scénario 1 : un projet équilibré

Une version permettant de concilier « renaturation » et stationnement. La plantation de 85 arbres viendra oxygéner la place avec de nombreux aménagements de massifs. La création de cheminements piétons et d’un arrêt de bus supplémentaire facilitera les déplacements.

Végétalisation : 1 035m2 d’espaces verts et 85 arbres plantés.
Stationnement :
Avant : 162 places.
Après : 79 places, dont 6 places PMR.

Scénario 2 : un maximum de « désimperméabilisation »

Un projet mettant en avant un maximum de « désimperméabilisation » en supprimant 126 places de stationnement. La création d’espaces verts est privilégiée, avec moins d’arbres que dans le projet 1. Les places de stationnement devant l’Office de tourisme seront supprimées.

Végétalisation : 1 365m2 d’espaces verts et 73 arbres plantés.
Stationnement :
Avant : 162 places.
Après : 36 places, dont 6 places PMR.

Des éléments communs aux deux projets

Quel que soit le projet sélectionné, les voies de circulation, qui occupaient la plus grande partie de la place, seront modifiées. La circulation sera mise en double sens devant la Poste, permettant à terme de piétonniser la place du Clos du côté des bars et restaurants. Egalement, des cheminements piétons seront aménagés, notamment à proximité de l’arc Romain et de la montée César de Bus.

J.R.


Cavaillon : une consultation lancée concernant la place François Tourel

« Derrière le hublot se cache parfois du linge » dernière création des Filles de Simone« . Après avoir exploré le rapport des femmes à leur corps et la difficulté d’être mère (C’est un peu compliqué d’être l’origine du monde, le secret d’un gainage efficace) la nouvelle création du collectif Les Filles de Simone interroge le couple hétérosexuel qui ne rime pas avec égalité. 

Il et elles sont 3 sur scène : André, Chloé et Tiphaine
Il s’agit ici de plonger dans les eaux troubles du patriarcat et de déconstruire les relations de couple en se demandant «Comment s’aimer mieux ?». Saynètes et tirades, romantiques ou tragiques, à la croisée de l’intime et du politique.

Les filles de Simone
«Nous avons cofondé cette compagnie en 2015 et nous en assurons la direction artistique. Nous creusons le sillon d’un théâtre de combat, outil de libération et d’égalité, nécessaire et insolent, qui œuvre à rendre visibles et légitimes des choses qui ne le sont pas, expose ce qu’il y a de politique dans le privé, anoblit ce qui a été longtemps tenu pour dérisoire. C’est en cela que le théâtre que nous faisons est féministe. »
Jeudi 23 mars. 20h30. 3 à 20€. Scène Nationale La Garance. Rue du Languedoc. Cavaillon. 04 90 78 64 64 . www.lagarance.com


Cavaillon : une consultation lancée concernant la place François Tourel

Le CCAS de Cavaillon, partenaire de l’antenne de CoDES 84, recherche une/un coordinatrice-teur pour animer le programme de réussite éducative (PRE).

Les missions principales de la personne recrutée seront de coordonner le dispositif « programme de réussite éducative » et de favoriser la réussite éducative des enfants cavaillonnais, de 6 à 18 ans, repérés par les professionnels de la communauté éducative et inscrits dans le programme. 

Une formation minimum bac +3 dans la filière sociale, politique publique ou diplôme d’Etat du travail social et/ou éducatif est souhaitée pour accéder au poste. Recrutement contractuel à temps complet jusqu’au 31 décembre 2023, évolutif vers un CDD 3 ans.

Les personnes intéressées doivent transmettre CV et lettre de motivation avant le 14 avril à l’attention de Madame Mercier, directrice du CCAS de Cavaillon, 74 rue du comtat, Centre Actipôle Bât. B, Cavaillon ou par mail administrationgenerale@ccas-cavaillon.fr

Pour en savoir plus, cliquez-ici.


Cavaillon : une consultation lancée concernant la place François Tourel

Les commissaires-priseurs de la Maison de ventes aux enchères Rossini proposent une estimation des objets des particuliers Jeudi 2 mars, Hôtel Toppin 70, Cours Gambetta à Cavaillon et Jeudi 9 mars, à la Passerelle, Espace de Coworking, 59, avenue de la Synagogue à Avignon.

«Ces rencontres nous permettent de renseigner des propriétaires sur la valeur des objets qu’ils possèdent, relève Romain Verlomme-Fried, commissaire-priseur. Ceci est réalisé à titre totalement gratuit et sans engagement. Cependant, si par la suite les détenteurs de ces objets sont prêts à les vendre, nous pourrons les accompagner dans cette démarche.

Nous avons développé au cours des dernières années créé des bureaux d’estimations sur l’ensemble de l’hexagone.

Le succès et la satisfaction des personnes rencontrées nous conforte dans l’optique de généraliser autant que possible ces initiatives tout au long de l’année et sur un territoire de plus en plus large.

L’idée d’avoir un trésor dans sa maison sans le savoir fait rêver beaucoup de monde et nous devons avouer que cela arrive régulièrement.

Les expertises sont gracieuses et uniquement sur rendez-vous afin de garantir une parfaite confidentialité,» conclut Romain Verlomme-Fried.

La maison de Vente aux enchères Rossini est présente 7, rue Drouot à Paris ; 39, rue Montgrand à Marseille et 5, boulevard du Roi René à Aix-en-Provence. Prise de rendez-vous auprès du 06 69 03 09 24. Les belles adjudications ici.

Les infos pratiques
Jeudi 2 mars, Hôtel Toppin 70, Cours Gambetta à Cavaillon. Jeudi 9 mars, à la Passerelle, Espace de Coworking, 59, avenue de la Synagogue à Avignon. Prises de rendez-vous obligatoires auprès de ce numéro 06 69 03 09 24

Manuscrit ancien DR

Cavaillon : une consultation lancée concernant la place François Tourel

La ministre de la Culture, Rima Abdul Malak, annonce une aide aux structures culturelles labellisées les plus en difficulté face à la hausse généralisée des coûts de l’énergie. Parmi les 10 structures aidées en région PACA, la Garance, scène nationale de Cavaillon, est l’unique structure vauclusienne retenue.

La situation de certains lieux culturels demeure très critique malgré un certain nombre d’aides transversales (bouclier tarifaire, prix garantis, amortisseur électricité…) mises en place par l’Etat et dont le secteur culturel peut bénéficier.

A la fin de l’année dernière, la ministre de la Culture, Rima Abdul Malak, avait annoncé qu’un soutien financier exceptionnel serait apporté aux structures les plus en difficulté parmi celles subventionnées par le ministère au titre de ses « labels » : opéras nationaux, orchestres nationaux, centres dramatiques nationaux, etc.

Ainsi, dans la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, 10 structures sont aidées, dont la Garance, scène nationale de Cavaillon.

Liste des structures aidées en PACA :

  • La Criée, centre dramatique national à Marseille : 36 000€.
  • Le Centre chorégraphique national – ballet national de Marseille : 23 000€.
  • L’Archaos, pôle national cirque, Marseille : 15 000€.
  • Le Centre national et pôle européen de création, lieux publics, centre national des arts de la rue et de l’espace public de Marseille : 15 000€.
  • Le Théâtre de la passerelle, scène nationale de Gap : 33 000€.
  • Ballet Preljocaj/centre chorégraphique national d’Aix-en-Provence : 17 000€.
  • La Garance, scène nationale de Cavaillon : 15 000€.
  • Le Zef, scène nationale de Marseille : 24 000€.
  • Le Théâtre des salins, scène nationale de Martigues : 21 000€.
  • Le Citron jaune, centre national des arts de la rue et de l’espace public de Port-Saint-Louis-du-Rhône : 15 000€.

Le soutien apporté par le ministère de la Culture correspond en moyenne à 30% du surcoût énergie et vient en complément des aides transversales de l’Etat et du soutien apporté par les collectivités territoriales lorsque c’est le cas.

J.R.


Cavaillon : une consultation lancée concernant la place François Tourel

Amoéba, société lyonnaise spécialisée dans les solutions biologiques dans le traitement du risque microbiologique, vient de déposer une demande de permis de construire pour la réalisation d’une usine de plus 3 000 m2 à Cavaillon. Le futur site industriel, qui doit être opérationnel début 2025, sera destiné à produire un agent de biocontrôle pour le traitement des plantes en agriculture et un biocide biologique pour le traitement de l’eau industrielle.

Cette annonce s’inscrit dans le cadre du plan d’industrialisation élaboré par Amoéba visant à atteindre une capacité de production de 200 tonnes de produits finis – soit 40 tonnes de substance active – en vue de couvrir les marchés ciblés prioritaires, à savoir la vigne, les cultures maraîchères et les plantes aromatiques. Pour garantir la réussite de ces objectifs, une montée en charge progressive implique également la création d’une nouvelle ligne pilote réplicable qui est actuellement en cours sur le site historique de Chassieu.

23M€ d’investissement et 25 emplois créés
Au total, le projet industriel d’Amoéba, société cotée sur Euronext Growth et membre du réseau BPI Excellence, représente un coût de 45M€ (23M€ en investissements et 22M€ en dépenses opérationnelles) pour les deux prochaines années. A terme, 25 emplois à temps plein devraient être créés sur le site de Cavaillon au sein de cette future unité de production qui doit s’intégrer au projet de création ‘Natura’lub’, une zone d’activités entièrement dédiée à la naturalité située la zone d’activités des Hauts Banquets dans le cadre de l’Opération d’intérêt régional (OIR) Naturalité lancée en 2017 en partenariat avec le Région Sud notamment.

(Vidéo) Amoéba : comment ça marche ?

« A travers ce projet, Amoéba est fière de contribuer aux objectifs de réindustrialisation de la France et de transition agroécologique, par l’anticipation des mutations économiques et sociétales en matière de traitement des plantes et la construction d’une agriculture plus viable et plus saine, explique Hervé Testeil, directeur industriel de la société fondée en 2010. Après une année remarquable sur le plan réglementaire en 2022, Amoéba entame avec détermination l’année de son industrialisation aux côtés d’une équipe très impliquée et volontaire. Les travaux de ce projet industriel ambitieux devraient intervenir d’octobre 2023 à fin 2024, sous condition de l’obtention du permis de construire courant 2023. »

L’avignonnais GSE à la manœuvre
Confié à l’avignonnais GSE, la conception du projet devrait permettre de disposer, à terme, d’un d’un site industriel éco-responsable, respectueux de son environnement et autonome en énergie. Labellisé Eco Parc+, l’usine intègrera de nombreux critères écologiques : la préservation et la valorisation du paysage et de la biodiversité, le recyclage de l’eau industrielle, l’usage de la géothermie ou encore l’installation de panneaux photovoltaïques sur 60% de la surface des toits.


Cavaillon : une consultation lancée concernant la place François Tourel

La DDFIP Vaucluse -Direction départementale des finances publiques- de Cavaillon est lauréate du ministère de l’Economie pour la transformation de ses bureaux. Elle fait partie des 43 lauréats de l’appel à projets pour la transformation des espaces de travail dans les bâtiments de l’Etat et c’est la division Bil (Budget immobilier logistique) qui en est le bénéficiaire désigné.

43 projets lauréat sur 128 dossiers déposés
Pour rappel, 43 projets, sur 128 dossiers déposés, ont été sélectionnés partout en France, pour un montant total de 20M€, dont 10M€ financés par le Fonds pour la transformation de l’action publique.

En Provence-Alpes-Côte d’Azur
Ce sont la DRFIP (Direction régionale des finances publiques) Paca et Bouches-du-Rhône, le service Division de l’immobilier et des conditions de vie au travail à Marseille ; le Ministère des armées pour le service Qualité à Cannes et la Préfecture Alpes-Maritimes pour le service Sail (Service des affaires immobilières et logistiques) à Nice qui ont été désignés.

Adapter les espaces de travail aux changements sociétaux et managériaux
«Nous devons adapter les espaces de travail des administrations publiques aux nouveaux usages et modes de travail : le télétravail, le numérique, la transition écologique, avait admis Stanislas Guerini, Ministre de la transformation et de la Fonction publique. Les nouvelles attentes des agents publics, nous invitent donc à repenser les espaces de travail pour imaginer des locaux plus flexibles, ergonomiques, durables et adaptés. C’est à la fois un enjeu fondamental d’attractivité, mais aussi d’efficacité pour la fonction publique.»

DR

Cavaillon : une consultation lancée concernant la place François Tourel

Le groupe néerlandais Koppert, leader mondial de la protection biologique des cultures et de la pollinisation naturelle, dont la filiale française est basée à Cavaillon, vient de recevoir un Sival d’Or par le comité du concours d’innovation du Sival 2023 pour son produit Nezapar qui permet de lutter contre la punaise verte Nezara viridula. Celle-ci s’attaque aux cultures dans les zones tempérées telles que les aubergines, les concombres, les poivrons ou encore les tomates.

Le concours Sival 2023 a récompensé de nombreuses innovations dans diverses catégories comme l’innovation variétale, le machinisme et automatisme, les solutions pour la production ou encore les services et logiciels. Le produit Nezapar, produit et commercialisé par Koppert, a reçu le Sival d’Or dans la catégorie ‘intrants, protection des cultures, fertilisation et substrats’. Le groupe a également présenté deux autres produits au salon Sival : Mirical, qui agit contre l’aleurode qui détruit les cultures légumières des serres, et Chrysopa-E, qui mange toutes les espèces de pucerons, les cochenilles et les Echinothrips.

V.A.


Cavaillon : une consultation lancée concernant la place François Tourel

La scène nationale de Cavaillon La Garance accueille les jongleurs de la compagnie Gandini Juggling. Ce spectacle est proposé dans le cadre de la biennale des arts du cirque 2023 organisé jusqu’au 12 février.
Inspirés par le chorégraphe Merce Cunningham, la compagnie créée en 1992 par les jongleurs Sean Gandini et Kati Ylä Hokkala nous transporte durant un peu plus d’une heure dans un spectacle qui mêle jonglage, danse et musique.
« Depuis 30 ans, le travail de Merce Cunningham inspire toutes nos créations, et au fil du temps une question s’est imposée dans notre esprit : et si Cunningham avait chorégraphié un spectacle de jonglage ? », s’interroge Sean Gandini, le metteur en scène de ce spectacle intitulé ‘Life’.
Sur scène, une dizaine de jongleurs-danseurs tentent de répondre à cette question dans une œuvre fermement ancrée dans l’univers de Cunningham mais qui serait aussi un vecteur vers un autre monde.
« Notre recherche sera un dialogue avec l’héritage chorégraphique de Merce Cunningham, poursuit le metteur en scène. Une de nos obsessions est de décentraliser l’espace dans lequel nous jouons. La géométrie de Cunningham est très particulière : bien qu’elle semble être le fruit d’un heureux hasard, il y a en elle une cohésion esthétique qui nous intrigue. »

Réinventer et vivifier l’art du jonglage
« Gandini Juggling ne cesse de réinventer et de vivifier l’art du jonglage, en écrivant les nouvelles formes d’un cirque toujours contemporain, explique la scène nationale de la Garance. Allant toujours plus loin dans leur recherche esthétique sans renoncer à la générosité d’un spectacle partagé avec tous, introduisant le langage dansé dans son approche narrative sans renoncer à l’espièglerie des arts du cirque, Gandini Juggling continue inlassablement de créer sans se fixer de limites. Ils se produisent dans de nombreux festivals et lieux prestigieux à travers le monde. Leur art dépasse les barrières culturelles : regarder des personnes évoluer tout en maintenant des objets dans les airs est un spectacle en soi dont le plaisir qu’il procure est partagé dans le monde entier. »

Nadège Salas

Mardi 7 février. 20h30. Durée : 1h05. De 3€ à 20€. A partir de 8 ans. La Garance. Rue du Languedoc. Cavaillon

https://echodumardi.com/tag/cavaillon/page/11/   1/1