22 juillet 2024 |

Ecrit par le 22 juillet 2024

Bollène : la société familiale Alcyon valorise les déchets verts

Spécialisée depuis plus de 20 ans dans la production de compost, la société familiale Alcyon propose désormais un service d’épandage à destination des agriculteurs.

Première plateforme indépendante de compostage de déchets verts en région Provence Alpes-Côte d’Azur, la société familiale basée à Bollène est devenue, en l’espace de 20 ans, l’un des précurseurs sur son territoire de l’économie circulaire verte. Tout commence en 1996, lorsque Yvon Coq, agriculteur, ne veut plus utiliser de produits chimiques dans ses parcelles et souhaite les remplacer par de la matière organique. De là va naître Alcyon, petite entreprise qui, au début des années 2000, va tourner son activité vers le bois et l’énergie. En 2006, Cindy Coq, la fille d’Yvon Coq, rejoint l’entreprise en tant que directrice d’exploitation et va faire de la préservation de l’environnement et du développement durable ses priorités. Elle va ainsi proposer des offres adaptées aux besoins des professionnels et des collectivités.

35 000 tonnes de déchets verts traités chaque année
L’entreprise propose diverses prestations : débroussaillage jusqu’à 15 mètres de hauteur afin de récupérer un maximum de déchets verts ; broyage au broyeur lent ou rapide maille de 250 mm ; criblage maille de 80 mm, 50 mm, 40 mm, 20 mm et 10 mm (4 cribles) ; retournement d’andains (chargeurs et télescopiques) ; transport en polybennes (3 camions) et semi-fond mouvant alternatif. Les tonnages traités par l’entreprise, que ce soit en filière compostage ou énergétique, font du site de Bollène l’une des premières plateformes de compostage de déchets verts indépendante de Paca. 35 000 tonnes de déchets verts et 2 000 tonnes de déchets agroalimentaires sont réceptionnées chaque année pour être transformées en 22 000 tonnes de compost, valorisées principalement dans les exploitations viticoles ou agricoles.

‘TerraMax’, pour les agriculteurs
En septembre 2018, Alcyon ouvre sa première déchetterie (300 000 € investis) à destination des professionnels. Unique sur le territoire, elle assure le recyclage des déchets en provenance d’entreprises, d’associations, d’établissements publics ou de collectivités. Depuis début octobre, Alcyon lance ‘TerraMax’, une structure indépendante du centre qui propose une solution clef en main pour les agriculteurs en réalisant l’épandage directement sur l’exploitation appelée ‘rendu racine’. Un service représentant un gain de temps pour l’agriculteur doublé d’une réduction de coût, l’épandeur représentant un certain investissement.

Lauréate du dispositif CEDRE
Employant 16 salariés, l’entreprise continue de se développer et d’embaucher. Certifiée Iso 14 001 (management environnemental) depuis 2009, Alcyon s’implique dans différents réseaux professionnels et dispose d’un certificat ‘Sortie de statut de déchet bois d’emballage’. L’entreprise fait partie de l’association des agriculteurs et composteurs de France, qui regroupe les professionnels du traitement des déchets organiques par compostage, de la Federec (Fédération des entreprises du recyclage), qui mène des actions en faveur de la promotion du recyclage, et est également membre du Réseau interprofessionnel des sous-produits organiques, une association militant  en faveur du recyclage des déchets organiques. Lauréate du dispositif CEDRE (Contrat pour l’emploi et le développement responsable des entreprises) qui soutient les entreprises dans leurs démarches RSE (Responsabilité sociétale des entreprises), Alcyon a remporté l’an dernier le ‘Trophée de l’entreprise éco-responsable’ à l’occasion de la seconde édition des Trophées de l’UP-Medef 84.

En 2006, Cindy Coq, la fille d’Yvon Coq, rejoint l’entreprise en tant que directrice d’exploitation et va faire de la préservation de l’environnement et du développement durable ses priorités

Bollène : la société familiale Alcyon valorise les déchets verts

Dans le cadre du maintien des acquis dans la composante inondation, la 3e compagnie de l’unité d’instruction et d’intervention de la sécurité civile N° 7 à Brignoles, en collaboration avec la Compagnie Nationale du Rhône (CNR), a participé à un exercice mettant en œuvre une unité de pompage mobile du 27 au 28 octobre derniers à l’écluse située sur le canal de Donzère-Mondragon.

C’est un exercice qui a nécessité la participation de 27 membres de la sécurité civile. Un entraînement destiné à simuler un problème de remplissage de l’écluse qui empêcherait la continuité du trafic fluvial et qui a consisté à pomper l’eau du Rhône à raison de 1 500 litres par seconde pour ensuite la déverser dans l’écluse du barrage. Une manœuvre qui a duré 48 heures et a nécessité la mise en place d’une unité de pompe de grande capacité de 11,5 tonnes, capable de pomper jusqu’à 6 000 m3 par heure.

Pour l’exercice, des tuyaux de 40 cm de diamètre ont été déployés : deux pour pomper l’eau du Rhône, deux autres pour acheminer l’eau jusque dans l’écluse. Cette dernière, située sur le canal de Donzère-Mondragon au niveau de l’usine hydroélectrique André-Blondel, est la plus grande de la vallée du Rhône, mesurant 195 mètres de long sur 12 mètres de large et 22 mètres de hauteur.

« C’est la première fois que l’unité de la sécurité civile est déployée sur cette écluse, souligne Jean-François Babin, responsable de l’aménagement CNR de Donzère-Mondragon. Cet exercice est utile car on pourrait avoir besoin d’eux en cas d’avarie d’une vanne d’alimentation, bien que cette écluse dispose de deux vannes. » Une simulation nécessaire donc qui permet à la fois de tester la rapidité d’intervention des équipes de la sécurité civile mais aussi rassurante pour l’exploitant de l’écluse en cas d’urgence majeure.


Bollène : la société familiale Alcyon valorise les déchets verts

Le groupe bollènois Egide a enregistré un chiffre d’affaires de 17,27 M€ durant le 1er semestre 2020. Un résultat en hausse de 16,1 % par rapport au premier semestre 2019 pour l’entreprise vauclusienne spécialisée dans la fabrication de boîtiers hermétiques et de solutions de dissipation thermique pour composants électroniques sensibles.

« Les ventes réalisées en Amérique du Nord représentent désormais 63,7 % du chiffre d’affaires total du groupe au premier semestre 2020, expliquent les responsables du groupe. Egide a pu maintenir un niveau d’activité satisfaisant au sein de ses 3 sites industriels (ndlr : 2 aux Etats-Unis et 1 à Bollène dans la zone du Sactar) tout en respectant les consignes de santé et de sécurité pour ses employés en raison de la crise du Covid-19. »

Impact de l’incendie de Cambridge

Pour le reste de l’année, l’impact de l’incendie de l’usine de Cambridge dans le Maryland du 3 juillet dernier devrait avoir un effet négatif sur le chiffre d’affaires du 3e trimestre. Malgré tout, l’activité sur ce site américain avait repris à 50 % de sa capacité dès la mi-septembre. Dans le même temps, la grande majorité des opérations liées au traitement de surface a été transférée à l’usine de San Diego en Californie ainsi qu’une petite partie à l’usine de Bollène. Egide USA a ainsi pu limiter l’impact de cet incident sur les commandes clients en cours et sur son activité globale.

« La réhabilitation complète sera achevée en novembre prochain », explique Jim Collins, président-directeur général d’Egide. Pour l’année 2021, la direction prévoit une légère croissance dans toutes les unités grâce à quelques signes positifs. Mais la poursuite de la crise sanitaire pourrait limiter ses ambitions.


Bollène : la société familiale Alcyon valorise les déchets verts

Pour la 7ème année consécutive, Allogarage dévoile sa sélection des meilleurs garages de France. Cette année, ils sont quatre garages dans le Vaucluse à avoir été distingués pour leur qualité de service.

Sur une initiative similaire aux récompenses attribuées aux meilleurs restaurants et hôtels, Allogarage dévoile pour la 7ème année consécutive sa sélection des Meilleurs Garages de France. Cette année en France, 189 garages ont été plébiscités par leurs clients.

Une sélection a été réalisée à partir de critères objectifs et en toute transparence à l’aide d’avis clients : le garage possède au minimum 25 avis publiés et vérifiés, il dispose d’une note moyenne supérieure à 4 sur 5 et présente moins de 5 % d’avis négatifs. Les avis publiés sont conformes à la norme AFNOR NF Z 74-501 officialisée le 3 Juillet 2013, et chaque auteur a été identifié en exigeant systématiquement une copie de sa facture de réparation.

Dans le département de Vaucluse, 4 garages ont ainsi été récompensés : la Carrosserie Bressy Axial (351 Rue des Pays Bas, Orange), le Garage des Fontaines (20 Route de l’Isle-sur-Sorgues, Pernes-les-Fontaines), la Carrosserie Damery (Impasse de la Pompe, Piolenc) et la Carrosserie Bollénoise (Route de Mondragon, Bollène). Proches du Vaucluse, le Garage Davanier-SARL DSCC (450 Route de Saint-Génies de Comolas, Saint-Laurent-des-Arbres) et la Carrosserie Manfrini (27 Rue Aimé et Eugène Cotton, Arles) sont également au palmarès.

Lancé en 2007, plébiscité chaque mois par plus de 400 000 automobilistes, Allogarage est depuis 2009 le premier guide comparatif sur Internet à vérifier de façon systématique les avis déposés en demandant une copie des factures aux clients, et le premier site automobile à suivre à la norme AFNOR NF Z 74-501 dévoilée en Juillet 2013. A ce jour, Allogarage recense plus de 25 000 garages en France.


Bollène : la société familiale Alcyon valorise les déchets verts

Pôle emploi Provence-Alpes-Côte d’Azur continue de sillonner le territoire en proposant un lieu de ressources et d’échanges, animé par un réseau de partenaires et d’entreprises qui va à la rencontre des publics.

Né du constat que tous les demandeurs d’emploi ne sont pas inscrits à Pôle emploi, ‘La place de l’emploi et de la formation’ est un évènement itinérant qui permet d’aller directement à la rencontre du public. L’objectif de ces rencontres est de proposer des solutions d’insertion professionnelle durable, de promouvoir les opportunités de formations et faire découvrir les métiers porteurs.

Au sein de ce village itinérant, les visiteurs pourront faire un point sur leur situation, bénéficier de conseils d’orientation professionnelle, d’ateliers de pratique numérique, et découvrir des métiers qui recrutent et les formations qui permettent d’y accéder.

Les demandeurs d’emploi de niveau scolaire inférieur au Bac pourront notamment bénéficier des moyens du Pacte régional d’investissement dans les compétences pour intégrer des parcours de formation allant de la remise à niveau à la formation qualifiante dans des secteurs qui recrutent en proximité.

Vendredi 25 septembre. 10h à 14h. Place Mirabeau. Pertuis.
Jeudi 1er octobre. 13h à 17h. Place de la fontaine. Bollène.
Mardi 6 octobre. 13h à 17h. Place Gabriel Péri. Apt.


Bollène : la société familiale Alcyon valorise les déchets verts

Le ministère de la Culture, la FDJ (Française des jeux), l’historien et présentateur Stéphane Bern, et la Fondation du patrimoine mènent plus d’une centaine de projets dans le cadre de la Mission Patrimoine, dont plusieurs, en Vaucluse, sont déjà en cours.

Parmi plus de 4 000 projets signalés par le grand public depuis 2018, cette sélection se caractérise par sa très grande diversité car tous les types de patrimoine y sont représentés : édifices religieux, industriels et techniques, habitations, châteaux, maisons d’artistes, bibliothèques, moulins, jardins. En Vaucluse le village troglodytique de Barry à Bollène, l’abbaye de Sénanque ont déjà bénéficié de ce programme. Cette année, c’est le Rocher de la cathédrale Sainte-Marie de l’Assomption à Vaison-la-Romaine qui a attiré l’attention de Stéphane Bern.

La cathédrale Sainte-Marie de l’Assomption à Vaison-la-Romaine

La cathédrale Sainte-Marie de l’Assomption est située dans la ville haute de Vaison-la-Romaine. Nichée à plus de 40 m sur un éperon rocheux à-pic, l’église érigée au XVe siècle est une prouesse architecturale. L’édifice résulte d’agrandissements successifs qui ont repoussé les élévations à l’extrémité de la falaise. Pillée pendant la Révolution française, la cathédrale se retrouve peu à peu délaissée au profit de Notre-Dame de Nazareth située dans la ville basse. En 1992, son mauvais état entraine sa fermeture, mais grâce à son classement au titre des monuments historiques et à l’engagement d’une association d’amis de la cathédrale pour éviter sa disparition, elle rouvre finalement au public en 2013.

Fragilité de la falaise

La cathédrale est aujourd’hui gravement menacée par l’extrême fragilité de la falaise haute de 40 m sur laquelle elle repose. L’effondrement des strates du rocher serait également une catastrophe pour les maisons situées en contrebas, au bord de l’Ouvèze. La sécurisation de l’éperon rocheux est un préalable urgent à la restauration requise de l’édifice. Ses toitures ne sont plus étanches, provoquant des infiltrations d’eau qui fragilisent le bâtiment et les décorations intérieures​.

Nature des travaux

Le confortement du rocher fragilisé doit être entrepris d’urgence ​(Mission Bern). Une fois la stabilité de la falaise solutionnée, la cathédrale pourra être restaurée tout d’abord en revoyant étanchéité sur la toiture puis en opérant la rénovation du clocher et des chapelles.

Une église de style roman

L’église est le témoin des origines du village. De style roman, elle est datée des XI-XIIe siècles. Au premier plan d’un panorama sur le Mont Ventoux, elle cristallise le dépouillement de l’art roman, qui fut d’abord un art de maçons et de tailleurs de pierre. Le clocher plat à double arcade, ouvert sur les montagnes, surplombe le chevet animé d’une vague de pierres formées par l’abside et ses deux absidioles. De plus, l’église accueille le festival d’été ‘Musique d’été’ depuis 30 ans, ainsi que le festival ‘Autour du Ventoux’. L’église souffre d’infiltrations d’eau, qui s’accumule au bas des murs. Près 10 800€ seront nécessaires.

Le village troglodytique de Barry à Bollène

Le village troglodytique de Barry à Bollène a bénéficié d’une aide de 198 000€. Depuis l’époque néolithique et jusqu’au milieu du XXe siècle, plusieurs civilisations se succèdent sur le site de Barry, village accroché au flan d’une colline. Les Ligures, les Celtes puis les Romains ont fait de Barry, la Capitale du Tricastin en y développant un commerce intense par où transitaient les marchands phéniciens et grecs qui remontaient le Rhône puis la voie Agrippa. Tout concourt à penser à l’antique cité Aéria mentionné par Strabon. Le village, constitué de maisons troglodytiques, a été habité jusqu’au XXe siècle. Avant l’ouverture des carrières en 1850, les  gens vivaient de l’élevage de brebis, ânes, cochons et de la terre : vigne, erse, arbres fruitiers et oliviers

Une vie intense

Ce site a abrité une vie intense. Les carriers exploitant la pierre du massif depuis l’époque romaine vivaient dans ce village. Des chapelles y étaient érigées, une seule demeure la chapelle Notre Dame d’Espérance, que la commune a restaurée courant 2014. Depuis 2009, un arrêté municipal interdit l’accès au public du fait de l’instabilité de la falaise. Cette instabilité met fortement en péril le village troglodytique et tout le patrimoine bâti.

Fragilité de la falaise

La ville de Bollène a commandé plusieurs phases de sondages de la falaise entre 2009 et 2010, ces derniers mettent en évidence sa fragilité et sa dangerosité. Les objectifs poursuivis sont la valorisation du site par des actions de sauvegarde, de consolidation et de sécurisation. Les travaux seront de plusieurs natures et porteront sur la falaise, le bâti et les espaces verts.

Mesures de sauvegarde

Sur le bâti les interventions seront axées sur la dévégétalisation des toitures, des façades, le remaillage de fissures, le confortement des maçonneries, la réfection de joints à la chaux, la consolidation d’enduits existants, la réfection de toitures et  la création de couvertures en lauzes.

S’agissant des cheminements, ils seront sécurisés avec la création de murets en terrasse, la restauration et le rehaussement de restanques et enfin au moyen de l’installation de garde-corps à deux lisses. Les calades seront remises en valeur. L’objectif principal est de sauvegarder ce site et cette mémoire mais aussi de le sécuriser pour le public car malgré l’arrêté un très nombreux public fréquente Barry, familles, groupes organisés, sportifs… et enfin, d’y amener de l’animation ponctuelle. Le village de Barry a bénéficié de 198 000€ provenant de la ‘mission’ Bern, cependant sa réhabilitation complète est estimée à 2,11M€.

L’Abbaye de Sénanque à Gordes

Lors de la mission patrimoine 2019, 707 493€ avaient été remis au monastère pour lancer la restauration de cet édifice religieux cistercien fondé au XIIe siècle constituant un joyau de l’art roman provençal classé Monument historique depuis 1921. Estimé à 2,8 M€ les travaux prévoient la stabilisation de la nef ainsi que de la coupole du clocher, le renforcement des fondations et la consolidation des murs pignons et des murs gouttereaux. Le chantier est supervisé par l’architecte Renzo Wieder basé à Arles et Valenciennes.


Bollène : la société familiale Alcyon valorise les déchets verts

Dans le cadre du renouvellement de son parc de véhicule, le Service départemental d’incendie et de secours de Vaucluse (Sdis 84) vient d’acquérir 13 nouveaux véhicules. Ces derniers seront répartis dans les casernes de 10 communes du département.

En ce début du mois d’août, 13 nouveaux véhicules s’apprêtent à rejoindre les casernes des Sdis du département de Vaucluse. Ce sont tout d’abord sept véhicules de secours qui vont être affectés à six communes : Carpentras, Cavaillon, Sorgues, Avignon (deux véhicules), Orange et la commune de Bollène qui va également bénéficier d’un camion-citerne de grande capacité. Les communes de Cucuron et Gordes vont avoir à leur disposition deux camions citerne légers afin de faciliter leurs interventions en milieu rural.

La commune de Carpentras se dote d’une moto tout terrain afin de faciliter le travail des pompiers notamment dans la recherche de personnes égarées dans la nature ou dans la surveillance des feux de forêts. Quant aux communes de l’Isle-sur-la-Sorgue et de Vaison-la-Romaine, elles disposent désormais chacune d’une voiture ‘Chef de groupe’.

En 2020, le Sdis 84 a investi 4,2 millions d’euros dans le renouvellement de sa flotte de véhicules qui compte 670 engins dont 210 poids lourds. Au total, ce sont près de 11 M€ qui ont été consacrés depuis le début de l’année à l’amélioration des infrastructures des casernes, au matériel opérationnel ainsi qu’à l’habillement des soldats du feu.


Bollène : la société familiale Alcyon valorise les déchets verts

«Entre musique et vin, le festival ‘Vallée du Rhône en musique’ vise à créer du lien entre les amateurs de bons vins et les mélomanes, ainsi qu’à souligner les valeurs communes et universelles de ces deux arts et à les rendre ainsi accessibles à tous,» relate Grégoire Girard, musicien, violoniste, directeur artistique de la Vallée du Rhône en musique.  

«Réunir dans des moments d’exception, de partage et de joie, les arts du vin et de la musique, telle est l’ambition du festival. Vin et musique… Ces deux activités éminemment humaines raisonnent pour chacun d’entre-nous comme autant d’invitation à la communion fraternelle, à l’émerveillement, bref… à la fête ! », s’enthousiasme Guilhem Girard, président de l’association Demos 84 et organisateur de l’événement.

Demandez le programme !

Parc de la maison Bèque à Camaret-sur-Aigues
Vendredi 7 août – 20h30
‘La France et ses artistes’ avec le Quatuor Girard, César Birschner (piano) et Grégoire Girard (violon). Au programme Méditation de Thaïs, Vincent d’Indy, concert de E. Chausson. Tarif plein – 20€. Tarif réduit – 15€ (moins de 25 ans, demandeur d’emploi, carte famille nombreuse). Gratuit pour les moins de 12 ans. En partenariat avec les vignerons de l’AOC Plan de Dieu et la mairie de Camaret sur Aigues.

Château de la Croix Chabrières à Bollène
Samedi 8 août – 18h30 et 21h
‘Une douce ivresse : quand le vin se fait poésie’ avec le quatuor Girard, Grégoire Girard (violon), Irène Jolys (violoncelle), Marin Trouvé (alto), Cécile Tête (violon). Au programme : Quintett à deux altos de J. Brahms, « le cygne » de C. Saint-Saëns, « Après un rêve » de G. Fauré, l’octuor à cordes de R. Glière. Programme entrecoupé de poèmes en lien avec les différents aspects du vin. Tarif plein – 20€. Tarif réduit – 15€ (moins de 25 ans, demandeur d’emploi, carte famille nombreuse, deux adultes accompagnés d’enfants lors du concert de 18 heures 30). Gratuit pour les moins de 12 ans. En partenariat avec le château de la Croix Chabrières.

Domaine du Rocher des dames à Beaumes-de-Venise
Dimanche 9 août – 18h30 et 21h
‘La Germanie romantique’ avec le quatuor Girard, Grégoire Girard (violon), Irène Jolys (violoncelle), Marin Trouvé (alto), Cécile Tête (violon). Au programme : Brahms, Mendelssohn Tarif plein – 20€. Tarif réduit – 15€ (moins de 25 ans, demandeur d’emploi, carte famille nombreuse, deux adultes accompagnés d’enfants lors du concert de 18 heures 30). Gratuit pour les moins de 12 ans.

Domaine des Girasols à Rasteau
Mardi 11 août – 18h30 et 21h
‘L’âme Slave’ avec le quatuor Girard, Grégoire Girard (violon), Irène Jolys (violoncelle), Marin Trouvé (alto), Cécile Tête (violon). Au programme : Tchaïkovski, Glière. Tarif plein 20€.
Tarif réduit 15€ (moins de 25 ans, demandeur d’emploi, carte famille nombreuse, deux adultes accompagnés d’enfants lors du concert de 18 heures 30). Gratuit pour les moins de 12 ans.

Château de Suze-la-Rousse
Mercredi 19 août – 18h30 et 21h
‘Eh bien ! Dansons maintenant !’ Avec l’orchestre de chambre de la Drôme et Grégoire Girard (violon). Au programme : Les danses hongroises de Brahms, les danses Roumaines de Bartok, La danse macabre de Saint-Saëns, Puccini, Sarasate… Tarif plein 25€, tarif réduit 20€ (moins de 25 ans, demandeur d’emploi, carte famille nombreuse, deux adultes accompagnés d’enfants lors du concert de 18 heures 30) Gratuit pour les moins de 12 ans​. En partenariat avec les Compagnons des Côtes du Rhône et le département de la Drôme.

‘Vallée du Rhône en musique’ jusqu’au mercredi 19 août. 04 90 23 41 76 et 06 79 44 15 76. valleerhonemusique.fr


Bollène : la société familiale Alcyon valorise les déchets verts

Fermés au public depuis le confinement, la Compagnie nationale du Rhône a rouvert au public ses sites industriels de Génissiat dans l’Ain et Bollène le 15 juillet dernier avec des consignes sanitaires renforcées.

Dans le cadre de leur réouverture, la Compagnie nationale du Rhône (CNR) a procédé à quelques ajustements des parcours de visites. En raison des contraintes sanitaires, les circuits ont été réadaptés. Ainsi à Génissiat, la galerie du 5e étage reste fermée. Les visiteurs auront accès, pendant tout l’été, à l’exposition Laprade, architecte de la construction de l’usine. A noter qu’à Bollène, le parcours de l’écluse ne sera plus emprunté. Les groupes de visite ont été réduits de moitié. Pour Génissiat, la jauge maximale est ainsi fixée à 9 personnes, et à 7 pour Bollène. Enfin, chaque visiteur aura l’obligation de venir avec son propre masque sous peine de se voir refuser l’entrée. L’an dernier, les sites de Génissiat et Bollène ont accueilli respectivement 8 200 et 5 600 visiteurs.

Il est nécessaire de réserver en amont son billet sur : www.lescircuitsdelenergies.fr

https://echodumardi.com/tag/bollene/page/10/   1/1