22 juillet 2024 |

Ecrit par le 22 juillet 2024

Monteux : Wave Island a accueilli plus de 150 000 visiteurs cette saison

Depuis sa réouverture le 10 juin dernier, le parc aquatique Wave Island, situé à Monteux, a accueilli plus de 150 000 visiteurs, avec une fréquentation record la semaine du 15 août.

Pour cette saison, le parc a décidé de viser une cible plus familiale, notamment avec l’ouverture de la Brasserie du Sunset, qui a accueilli 15 000 clients cet été. C’et un pari réussi puisque 80% de clients se sont rendus au parc en famille, soit +8% par rapport à 2022. « Nous avons vécu une saison mouvementée mais réussi avec l’augmentation de notre clientèle du parc », s’est enthousiasmé Jean-Philippe Cozon, directeur de Wave Island.

Le panier moyen, lui aussi, a augmenté de +7%. « Les équipes de saisonniers ont été particulièrement appréciées par leurs qualifications et leurs sourires bienveillants », a ajouté le directeur. Le taux de satisfaction, quant à lui, a atteint 92%, et plus de la moitié de visiteurs sont venus deux fois durant la saison. « Nous préparons dès à présent 224 avec son lot d’améliorations et de nouveautés », a conclu Jean-Philippe Cozon.

V.A.


Monteux : Wave Island a accueilli plus de 150 000 visiteurs cette saison

L’Odyssée Sonore a été l’une des grandes nouveautés proposées par Edeis pour la programmation du Théâtre antique cette année. Le spectacle immersif nocturne généré par intelligence artificielle a donné lieu à 54 soirées d’émerveillement, et encore 28 sont programmées jusqu’au 23 décembre. Depuis sa première représentation le 1ᵉʳ mai dernier, le spectacle a accueilli près de 9 500 spectateurs dont plus de 5 000 sur la période estivale.

En tout, ce sont 52 000 visiteurs, en plus des 22 500 festivaliers du Positiv Festival, qui ont franchi les portes du Théâtre antique, seulement durant les mois de juillet et août. Une vivacité ressentie dans les premières tendances de fréquentation de la ville d’Orange en nette augmentation par rapport à l’été 2022 selon l’Office de Tourisme.

Pour voir les prochaines dates de L’Odyssée Sonore et réserver votre place, cliquez ici.

V.A.


Monteux : Wave Island a accueilli plus de 150 000 visiteurs cette saison

Les 18, 19 et 20 août derniers, le Théâtre antique d’Orange a accueilli la cinquième édition du Positiv Festival. 22 500 personnes ont vibré au rythme de l’électro française et internationale.

Boris Brejcha, Martin Garrix, Vitalic, ou encore Orlinski. 23 artistes se sont succédés sur la scène du Théâtre antique pendant trois jours : les plus grands noms du monde de l’électro, mais aussi des artistes encore peu connus du public. Cette année plusieurs nouveautés sont venues s’ajouter à la programmation musicale, notamment les performances d’artistes du cirque entre les DJ sets, une exposition des œuvres de Richard Orlinski, ou encore le vidéomapping, porté par 12 vidéoprojecteurs 8K, installés par Edeis, la société en charge de la gestion culturelle du monument.

« Cette année, nous avons proposé énormément de nouveautés et nous sommes ravis des retours extrêmement positifs que nous avons reçu de la part du public mais aussi des artistes, affirment Julien Gaona et Nicolas Cuer, directeur général et directeur artistique de Positiv Prod. Notre ambition pour l’édition 2024 est de mêler plus encore arts visuels et musique pour en mettre plein les yeux au public du Théâtre antique d’Orange. »

22 500 personnes ont fait le déplacement pour cet événement musical devenu un incontournable de la programmation estivale du monument orangeois. Pour prolonger encore un peu l’expérience, les visiteurs du Théâtre antique pourront admirer les œuvres de Richard Orlinski jusqu’au dimanche 3 septembre.

V.A.


Monteux : Wave Island a accueilli plus de 150 000 visiteurs cette saison

La 1ʳᵉ édition avait eu lieu le 15 août 1966 avec seulement 14 exposants. 57 ans plus tard, cette foire bi-annuelle, qui se déroule pour Pâques et l’Assomption, a accueilli du 11 au 15 août 75 exposants venus de Provence, de toute la France, mais aussi de Belgique, d’Italie ou du Luxembourg.

Tous adhèrent au SNCA (Syndicat National du Commerce, de l’Antiquité et de l’occasion), qui garantit « qualité et authenticité des marchandises » selon le commissaire général de la foire, Bernard Rouflay. « Nous avons cette délégation de service public (DSP) à la demande des commerçants locaux », explique-t-il. La mairie, de son côté souhaitait justement que cette 115ᵉ édition soit placée « sous le signe de la qualité, de l’intemporel et de l’histoire des objets. »

Bernard Rouflay, commissaire de la Foire

Pour tous les goûts, et tous les budgets

Mobilier ancien de tous styles (Gothique, Renaissance, Restauration, Directoire, Louis XV, XVI, Régence, scandinave, chinois ou japonais…) comme art contemporain, design, décoration intérieure, vintage depuis les années 60, bibelots, accessoires, luminaires, tableaux, bronzes, miroirs, sculptures, tables de jardin, tous certifiés par des experts, étaient à la disposition des visiteurs.

« Nous sommes là pour limiter le nombre d’objets neufs ou contrefaits, ajoute Bernard Rouflay. Ici, il y en a pour toutes les bourses, à partir de 5€ pour un tire-bouchon ou une poignée de porte, jusqu’à 30, 40 ou 50 000€ un tableau. Je suis dans ce métier depuis 33 ans, je représente la 3ᵉ génération. Certes les temps changent, mais l’envie d’authenticité, de transmission de patrimoine demeure, même si elle se fait aussi par internet. Le terrain favorise les contacts directs, les relations avec les amateurs d’art comme les néophytes. »

Les exposants

Jean-Pierre est belge, il vient de Spa, propose dans son stand des BD (Tintin, Tarzan) et des sculptures. « Je suis content, j’ai vu pas mal de monde, j’ai pu échanger et j’ai fait des affaires ». Juste à côté de lui, autre son de cloche. David a fait le voyage depuis Montauban. « Ici, on se demande si c’est la maison de la copie… Moi, je suis spécialiste en successions de célébrités. J’ai des services de table qui ont appartenu à Michèle Morgan, à Jeanne Moreau, à Bernard Tapie, à Michou et à Jean-Claude Brialy. Ils sont en pleine poussière, alors que le stand de 25 m2 avec plancher m’a coûté 2 000€, sans parler du camion pour le transport, de l’appartement loué 800€ et de la fatigue. »

Rencontre également au cœur du Parc Gautier avec Paul Azzopardi, antiquaire né au Panier (au cœur de Marseille, au-dessus du Vieux-Port) et qui a deux magasins, un là-bas, Rue Paradis, l’autre ici, au centre de l’Isle-sur-la-Sorgue (Avenue des 4 Otages). Il participe régulièrement à l’émission de France 2 ‘Affaire conclue’ qui attire plus de 900 000 spectateurs chaque jour et qui a même fait un tabac en prime-time en mars, avec une audience-record de 1,74 million de spectateurs. « Cette émission donne une visibilité aux métiers d’excellence qu’exercent les artisans d’art. Elle apprend les styles, les époques à ceux qui ne les connaissent pas. Elle leur ouvre les yeux. Le savoir-faire de ces métiers manuels n’est pas du tout en perte de vitesse, au contraire. Aujourd’hui le XVIIIᵉ est aussi côté que le contemporain signé Charlotte Perriand, une designer qui a travaillé avec Le Corbusier », conclut Paul Azzopardi.

Paul Azzopardi, antiquaire à l’Isle-sur-la-Sorgue et Marseille mais aussi participant à la célèbre émission de France 2 ‘Affaire conclue’

Les visiteurs

Un peu plus loin, un visiteur regrette qu’il ne reste plus que le Parc Gautier pour cette Foire internationale, même si l’accès est gratuit. « Moi, je préférais le barnum d’avant, le souk le long des quais de la Sorgue ou des ruelles avec plus de brocante, des stands de chapeaux, de bonbons, de chichis fregis, c’était plus populaire, plus familial. »

Le Jardin du Quai

Avant de quitter la Foire et le Village des Antiquaires, certains visiteurs sont allés déjeuner au Jardin du Quai, tenu par l’ancien chef de La Mirande, Daniel Hébet et son épouse Stéphanie. « Nous travaillons avec la même équipe et des saisonniers en été, soit une vingtaine de personnes que nous logeons nous-mêmes, car il est très difficile de trouver du personnel », explique-t-elle, pendant que Daniel est en cuisine avec sa brigade.

« On ne se plaint pas ! Hier, on a fait 150 couverts au ‘Jardin’ et 233 à l »Atelier’ adjacent. Il n’y a pas de secret : la qualité, les produits frais, avec des fournisseurs d’ici, les fraises de monsieur Pique, entre Pernes et Carpentras par exemple, les légumes de Verprim à Eyragues, le poisson d’Elite Marée au MIN d’Avignon, pareil pour les vins des vignerons des Côtes-du-Rhône, du Ventoux et du Luberon. Tout est fait maison avec un menu à partir de 20€ (plat-dessert-café) pour la formule bistro, 42€ au Jardin à 12h avec le marché du matin, la carte change tous les jours. Avec des classiques, la caviar d’aubergine, l’aïoli de cabillaud, les pieds et paquets, la daube en hiver et les babas au rhum.

En 2024, Stéphanie et Daniel fêteront le 20ᵉ anniversaire de leur installation à l’Isle-sur-la-Sorgue. Et la prochaine édition de la Foire internationale Antiquités et Brocante est déjà programmée pour Pâques, entre le 29 mars et le 1ᵉʳ avril.

Stéphanie et Daniel Hebet.

Monteux : Wave Island a accueilli plus de 150 000 visiteurs cette saison

Le festival de jazz Swing’in Venasque, organisé par l’association ‘La Musique Adoucit les Mœurs’ (La Mam) a eu lieu les 23 et 24 juillet derniers sur la Place du Baptistère de la commune. Cette seconde édition a rencontré un véritable succès, avec près de 1000 spectateurs.

Le festival a débuté avec le groupe Emma’Swing Trio le dimanche 23 juillet. Le public a été immédiatement conquis par la voix de la chanteuse Emmanuelle Rivault qui a proposé un jazz mâtiné de soûl des années 60 et de blues. Puis, Éric Luter accompagné de Jazz à 4, a pris la suite dans un concert qui a fait voyager les spectateurs jusqu’à la Nouvelle-Orléans.

Le lundi 24 juillet, le virtuose du piane Ahmet Gülbay a ouvert le bal accompagné de Sylvain Glevarec à la batterie et de Nicola Sabato à la contrebasse. Darius Brubeck a enchaîné en deuxième partie de soirée, accompagné de ses trois fidèles musiciens sous les ovations du public ! C’était la première fois que Darius Brubeck Quartet se produisait à Venasque. Un moment musical fort qui a fait l’unanimité auprès du public, qui en a redemandé à l’issue de la prestation du groupe.

V.A.


Monteux : Wave Island a accueilli plus de 150 000 visiteurs cette saison

Mardi 30 mai, SudAnim, l’association des professionnels de l’animation et du jeu vidéo en Région Sud a présenté son bilan de l’année 2022 et ses objectifs pour l’avenir, dont celui de faire de la région Sud une terre d’animation.

C’est au cœur du domaine de la Dragonette à Entraigues-sur-la-Sorgue, lieu dédié aux industries culturelles et créatives, que SudAnim, l’association des professionnels de l’animation et du jeu vidéo, a présenté son bilan 2022 et a rappelé le poids des productions Françaises à l’international. Top 3 mondial en matière de production (2022), un niveau record d’exportations audiovisuelles (2020), un chiffre d’affaires du secteur qui approche 600 M€… L’animation française rayonne à travers le monde et le potentiel pour faire de la Région Sud un haut lieu de l’animation est présent.

Ecoles, formations, sociétés de production, studios, prestataires, savoir-faire… Tous les ingrédients sont là pour faire de la Région Sud un acteur majeur de l’animation. Au total, ce sont 77 œuvres animées qui ont été fabriquées dans la région depuis 2010 et la création du fond d’aide régional, avec une augmentation du rythme de production depuis 2021 (passage de 5 projets par an à 15). Le nombre d’animateurs et animatrices a également augmenté, passant de 30 (2019) à 155 (2021).

« Notre président s’engage à ne pas vous laisser tomber »

Michel Bissière, conseiller régional délégué à la création artistique.

« Minuscule 2 », « Même les Souris vont au Paradis » (nommé aux Césars 2022), « Gus le Chevalier Minus », « Grosha et Mr B. », « L’heure de l’Ourse » (César du meilleur film d’animation court métrage 2021) ou encore « Le nuit des sacs plastiques » (César du meilleur film d’animation court métrage 2020), tous ces projets ont été soutenus par la Région Sud. Région dont le Président, Renaud Muselier, compte continuer de s’investir pour faire du sud une terre d’animation : « C’est un engagement de notre président » a déclaré Michel Bissière, conseiller régional délégué à la création artistique.

SudAnim : promouvoir la filière et la développer

Créée en avril 2021, SudAnim, l’association des professionnels de l’animation, des VFX et du jeu vidéo en Région Sud a pour objectif de structurer, représenter et développer la filière de l’animation dans son ensemble (animation 2D, 3D, stop motion, motion design, etc.). Réparti en 6 collèges (écoles, étudiants, prestataires techniques, sociétés de production, studios d’animation, talents), SudAnim est organisé de manière à représenter l’entièreté du secteur de l’animation et permettre l’écoute de tous ses acteurs.

Parmi les nouveaux membres de l’association, qui a vu son nombre d’adhésions augmenter de 88% en 2022 : Duetto Production, Circus ou encore la Station Animation. Pour rappel, ces trois studios se sont installés en Vaucluse au cours des deux dernières années. Pour se fournir en main d’œuvres de qualité, ces studios peuvent compter sur l’Ecole des Nouvelles Images, l’école la plus primée au monde et récemment lauréate de l’appel à projet « France 2030 – la grande fabrique de l’image ».

Le rassemblement de ces poids lourds de l’animation fait du bassin de vie avignonnais le troisième grand pôle d’animation de la région derrière Marseille (le plus grand) et Arles (le plus ancien). Ce pôle devrait continuer de s’accroître avec l’arrivée de nouveaux acteurs du secteur sur le territoire : « Nous avons un projet d’installation avec une société canadienne et un projet franco-américain » a déclaré Cathy Fermanian, directrice générale de Vaucluse Provence Attractivité.

Faire de la région une terre d’animation

Actuellement quatrième pôle d’animation en France, derrière la Charente-Maritime, la région Rhône-Alpes et le Nord, la Région Sud ambitionne de rejoindre le podium. Pour ce faire, elle compte s’appuyer sur SudAnim dont l’un des objectifs est de se renforcer en recrutant le plus de membres pour comprendre au mieux les besoins de la filière et apporter les solutions les plus adaptées.

« L’agglomération considère que l’industrie culturelle et créative est une industrie clé »

Guy Moureau, vice-président délégué à l’économie.

Pour l’heure, chaque membre de SudAnim se consacre à ses projets, dont certains ont été dévoilés dans la vidéo de démonstration ci-dessous.


Monteux : Wave Island a accueilli plus de 150 000 visiteurs cette saison

Ce jeudi 25 mai, le Grand Avignon a présenté le bilan de son partenariat avec « Klaxit », l’application de covoiturage qui met en relation des conducteurs et des passagers dans le cadre de déplacements domicile-travail.

Pour répondre aux enjeux de mobilité du quotidien, améliorer la qualité de l’air et apaiser les centres urbains, le Grand Avignon a pour objectif de développer les modes de transport alternatifs à la voiture individuelle, notamment via le covoiturage. En 2021, un marché a été passé pour expérimenter cette solution de déplacement sur le territoire et c’est le prestataire Klaxit qui a été retenu. Après une nécessaire phase de développement, l’application a été déployée le 15 mars 2022 et a connu un essor immédiat dû à la situation internationale (guerre en Ukraine, inflation, prix du carburant à 2.30 €/L).

Bilan de l’expérimentation

Application de mise en relation entre conducteurs et passagers dans le cadre de déplacements domicile-travail, Klaxit a d’abord été expérimenté auprès des principaux employeurs du territoire. Le principe est simple : les uns réservent les trajets proposés par les autres. Pour inciter financièrement les usagers à opter pour ce mode de transport, le Grand Avignon a choisi de financer les conducteurs entre 1 € et 3 € en fonction de la distance du trajet, complété par une participation de 0,50 € du passager.  

En 2022, le bilan de l’expérimentation est plutôt positif. L’application compte 3 814 inscrits, 1 780 covoitureurs et 28 000 trajets effectués pour un coût moyen, financé par le Grand Avignon, de 2,06 €. Côté environnement, 74 tonnes de CO2 ont été économisées.

La poursuite du projet en 2023

En 2023, la volonté du Grand Avignon est d’étendre cette offre de covoiturage à l’ensemble des déplacements réalisés sur le territoire et de la compléter par le réseau de transport en commun. Pour financer les trajets des covoitureurs, le Grand Avignon prévoit une enveloppe de 40 000 €.

Pour poursuivre l’incitation financière, le modèle a été revu. Pour tous les passagers, les 10 premiers trajets seront gratuits, puis une participation de 0,50 € par trajet sera demandée. Les conducteurs recevront quant à eux 1€ par passager transporté durant les 10 premiers kilomètres, puis 0,10 € par km et passager. Enfin, ils recevront 3 € par passager transporté au-delà 30 km.

Un opérateur unique pour 2024 ?

Le Grand Avignon et ses partenaires du pôle métropolitain se mobilisent actuellement pour proposer un opérateur unique de covoiturage sur l’ensemble du territoire à compter du 1er janvier prochain. Cette homogénéisation devrait permettre d’augmenter le volume de covoitureurs et de limiter les impacts environnementaux de l’autosolisme. Pour l’heure, les modalités sont en cours de définition.


Monteux : Wave Island a accueilli plus de 150 000 visiteurs cette saison

L’association d’entrepreneurs Luberon & Sorgues Entreprendre vient de tenir son Assemblée générale ordinaire aux Taillades. L’occasion de faire un bilan de l’année 2022 et de présenter les projets pour l’année 2023.

L’association d’entrepreneurs aux 194 adhérents a organisé en tout 21 rencontres l’année dernière, que ce soit des visites d’entreprises, des journées d’informations, ou encore des rendez-vous thématiques. Ces rencontres ont rassemblé plusieurs centaines de participants qui ont pu échanger et se nourrir des compétences de chacun, notamment pour les groupes Industrie, Bâtiment et Énergie qui ont participé à des rencontres qui ont eu lieu dans les locaux de Théus Industries, Rousselot, Mayoly Spindler, Hydrosol, PNB ou encore Froid Palombi.

Les entrepreneurs ont pu découvrir de nombreuses entreprises et associations vauclusiennes telles que Le Café’Tronik, Le Village, Brun de Vian Tiran, en 2022, et Kookabarra et Bijouseat récemment. Plusieurs matinées de conseils et expertises ont eu lieu pour mieux accompagner les très petites entreprises (TPE) et les petites ou moyennes entreprises (PME) du territoire. Des événements pour accompagner les entreprises dans leur communication ont également eu lieu. C’est sans oublier l’événement du réseau Sorgues et Entreprendre : Parlons Ca$h, dont la 6ᵉ édition a eu lieu à Naturalys en septembre dernier et qui a rassemblé 200 personnes.

Les prochaines rencontres des entreprises

Cette année, le groupe Industrie se donnera rendez-vous au Coq Noir à l’Isle-sur-la-Sorgue le 25 mai et à Proroch à Maubec le 28 juin, et il bénéficiera d’une formation Référent énergie les 6 et 7 juin. Le groupe Bâtiment aura un rendez-vous spécial Matériauthèque. Quant au groupe Énergie, il abordera plusieurs thèmes cette année tels que les bornes électriques, la sobriété énergétique, ou encore les indicateurs et régulation de l’énergie.

Pour ce qui est des visites, pour le moment aucune date n’a été fixée mais seul celle de l’ASA du Canal Saint Julien est au programme. D’autres rendez-vous autour de la communication auront lieu ainsi qu’autour de la cybersécurité. La 7ᵉ édition de Parlons Ca$h, pour laquelle les inscriptions sont déjà possibles, aura lieu le 6 juin prochain dans les locaux de Cerip à Robion sur le thème ‘Les nouveaux rapports au travail / Quelles (r)évolutions pour l’entreprise ?’

Le projet de matériauthèque

Si la coopération interentreprises a été plus qu’importante en 2022, elle est toujours à l’honneur en 2023. Depuis 2020, Luberon & Sorgues Entreprendre travaille avec l’association vauclusienne L’Envol pour la création d’une matériauthèque. Ce projet est au stade de montage du statut juridique et devrait être en activité l’année prochaine.

Cette matériauthèque devrait permettre l’identification des matériaux et éléments, l’aide à la dépose sélective, le tri, la réorientation vers des filières de recyclage, la revente des matériaux et éléments. Elle devait également engendrer l’organisation de diverses formations autour du réemploi de matériaux. Les objectifs sont d’apporter une solution aux professionnels du bâtiment quant à la nouvelle règlementation et aux clauses sociales, insérer des personnes éloignées de l’emploi et les qualifier dans des métiers en tension, mais aussi recruter et former le personnel encadrant à la dépose sélective.

Un projet photovoltaïque

Au cours de six séances collectives d’1h30, chaque entreprise participante devra mobiliser un chargé de projet qui va progressivement et méthodiquement élaborer la stratégie de l’entreprise, en lien avec sa hiérarchie, avec l’aide de l’expert-accompagnateur qui donne la méthode, précise les informations à réunir, et indique les interlocuteurs à solliciter selon les besoins. L’expert-accompagnateur réalise les visites techniques, les études de dimensionnement technico-économique, et produits les livrables individuels.

L’objectif de ces séances et de ce parcours mutualisé photovoltaïque et de mutualiser et réduire les coûts, échanger des bonnes pratiques, mais aussi de gagner du temps. La coopération interentreprises sera ainsi toujours de mise.

Des services communs aux entreprises

En 2023, Luberon & Sorgues Entreprendre souhaite également développer des services mis en commun pour les entreprises tels que le covoiturage entre le domicile et le lieu de travail afin d’économiser mais aussi de réduire les émissions de CO2, grâce à l’application Karos.

Plusieurs entreprises s’y sont déjà mises comme Aroma-Zone, Théus Industries, Saint-Gobain, Florette, Rousselot et Mayoly Spindler. Depuis le 4 janvier 2023, plus de 5000 trajets ont été effectués en covoiturage via l’application. Cette initiative ainsi que les autres projets de Luberon & Sorgues Entreprendre sont à l’image des valeurs que prône l’association d’entrepreneurs, à savoir : réseau, partage, convivialité, mutualisation, bonne humeur, dynamisme et savoir-faire.


Monteux : Wave Island a accueilli plus de 150 000 visiteurs cette saison

Le jeudi 16 mars dernier, les écoles Isema (école de commerce de la Naturalité) et Isara (école d’ingénieur en agronomie, agroalimentaire, environnement et innovation), toutes deux situées à Agroparc à Avignon, ont organisé une conférence-dégustation sur le thème des vignobles de la Vallée du Rhône à laquelle plus de 80 personnes ont répondu présentes.

La soirée s’est découpée en deux parties. La première partie était une conférence animée par quatre intervenants :  Emmanuelle Voinier (responsable programme formation Inter Rhône), Alfredo Romo (expert en vins & spiritueux et sommelier), Xavier Anglès (vigneron au Domaine du Bois de Saint Jean) et Anthony Taylor (directeur communication de la Maison Gabriel Meffre). Grâce à cette conférence, le public a pu avoir une vision globale des vins de la Vallée du Rhône et ses spécificités et a pu comprendre les Appellations, la géologie, l’encépagement, ou encore l’assemblage. La deuxième partie de la soirée s’est concentrée sur une dégustation commentée. Un moment particulièrement apprécié du public durant lequel il a pu approfondir les techniques de la dégustation.

DR

V.A.

https://echodumardi.com/tag/bilan/page/3/   1/1