24 novembre 2024 |

Ecrit par le 24 novembre 2024

(Inédit) il y a 80 ans, les bombardements reprennent à Avignon, Tarascon et Beaucaire

L’avignonnais Grégory Pons, spécialiste de l’aviation américaine durant la seconde guerre mondiale, nous dévoilent une nouvelle série de photos inédites issues notamment des archives de l’US air force (Usaf). Des clichés qui datent des bombardements du 2 et 6 août 1944 sur Avignon, Tarascon et Beaucaire.

Quatre jours plus tôt, le Mercredi 2 août 1944, une première alerte retentit vers 11h00, mais les appareils filent plus au Nord ver Orange. A 13h00 les sirènes retentissent à nouveau. La population se précipite vers les abris. La Flak allemande entre en action. Des bombardiers lourds B-24 du 461st Bomb Group sous le commandement du Lt-Col. Knapp frappent de plein fouet avec une remarquable précision le pont ferroviaire de Rognonas qui franchit la Durance avec près de 73% de ses projectiles sur l’objectif. Le pont est coupé net en deux endroits. D’autres objectifs étaient cependant visés lors de cette journée par d’autres formations d’appareils : les viaducs sur le Rhône et les dépôts d’essence du Pontet. Environ 25 soldats allemands furent tués au cours de ce raid. Du côté des civils, les pertes se ‘limitèrent’ à une vingtaine de victimes. Bien loin des 525 morts du raid du 27 mai dans la cité des papes.

2 août 1944 : les Liberator du 461st Bomb Group détruisent le pont ferroviaire sur la Durance entre Rognonas et Avignon. (Coll. de l’auteur)

Quatre jours plus tard, le 6 août 1944, tandis que les appareils du 461st Bomb Group opèrent de nouveau sur le Sud de la France et attaquent les installations ferroviaires de Miramas, plusieurs vagues de bombardiers américains de la 15th Air Force en provenance d’Italie vont se succéder sur Avignon et ses abords à partir de 8h30.
Les B-24 Liberator arrivent par le Sud et débutent leur attaque sur le pont métallique qui enjambe le Rhône. Ils frappent également la campagne avignonnaise entre la Durance et les bords du Rhône, ainsi que l’île Piot et la Barthelasse. Les objectifs étaient à nouveau les ponts et les dépôts de carburant du Pontet. Les B-24 du 464th Bomb Group en provenance de Pantanella en Italie ont pour objectif le dépôt d’essence du Pontet.

6 août 1944 : un Liberator du 464th Bomb Group survole Avignon. On distingue en arrière-plan les panaches de fumée au niveau des bords du Rhône au Pontet, tandis que la gare de Petite Vitesse est également noyée sous les bombes. (USAF)

Les appareils ont décollé d’Italie à 07h05 et se présentent sur l’objectif à 11h50. Selon le témoignage d’un des membres d’équipages, ce raid fut un des plus faciles et apparemment les cuves de stockage devaient avoir été vidées suite au raid du 2 août car les bombes n’ont pas provoqué de grands incendies. Après l’attaque du 2 août sur ce même objectif, le but de ce raid était de s’assurer qu’elles étaient bien mises hors d’usage. A 13h45, les sirènes annoncent la fin de l’alerte. Les Liberator d’une autre unité, le 465th BG, avaient pour leur part pour objectif le viaduc ferroviaire sur le Rhône, mais l’ouvrage a résisté et se trouve intact une fois la fumée dissipée (voir photo ci-dessus). Un Liberator est abattu sans plus de précisions quant à son unité et le sort de son équipage de 10 hommes.

6 août 1944 dans la matinée : les Marauder du 17th BG frappent le pont ferroviaire entre Tarascon et Beaucaire. (Coll. de l’auteur) 

Plus au sud d’Avignon, Tarascon et Beaucaire sont également bombardées. Les deux ponts qui relient ces deux villes forment une cible de choix et doivent être impérativement coupés. Ce sont des bombardiers moyens de type B-26 Marauder attachés à la 12th Air Force qui sont en charge de cette mission. Les appareils ont décollé de Sardaigne (voir photo principale) et vont effectuer deux frappes. La première attaque a lieu le matin sur le pont ferroviaire. Même si l’objectif est noyé sous les bombes, elles s’éparpillent largement vers le Sud (photo ci-dessus).

6 août 1944 : en fin d’après-midi vers 18h30, une seconde vague de Marauder du 17th BG frappent à nouveau, et cette fois-ci les explosions semblent plus concentrées autour des piles du pont ferroviaire qui sera finalement détruit. Le pont routier quant à lui est encore intact, mais ses jours sont comptés. (Coll. de l’auteur)

La deuxième vague d’attaque qui se présente à 18h30 est beaucoup plus précise et touche l’objectif (photo ci-dessus). Le pont routier est épargné, mais il ne faudra pas beaucoup de temps pour qu’il soit mis hors d’usage (photo ci-dessous). En préparation des opérations de débarquement en Provence, toutes les voies de communication et de repli doivent être coupées afin d’empêcher l’armée allemande de se disperser lors de son repli.

Grégory Pons

Nouvelle frappe sur les ponts de Tarascon et Beaucaire. La date de ce cliché n’est pas précisée mais ce raid a lieu entre les 6 et 16 août 1944. Les impacts de précédents raids sont bien visibles et le pont ferroviaire est bien coupé en deux endroits, tandis que le pont routier noyé sous les explosions dont on devine la précision, doit vraisemblablement être coupé. (USAF)

Sources : « AVIGNON 39/44 » de Robert Bailly – Archives du 461st Bomb Group – Archives du 464th Bomb Group – Archives du 17th Bomb Group.


(Inédit) il y a 80 ans, les bombardements reprennent à Avignon, Tarascon et Beaucaire

Au départ, en 1991, c’est Gabriel Couzian, pharmacien, chimiste et biologiste qui fonde son laboratoire de recherche et d’innovation. Hasard de la vie, Catherine Cabrel, docteur en pharmacie ouvre sa première officine en Guadeloupe, c’est là qu’elle le rencontre. De leur passion commune pour une cosmétique naturelle et efficace, naîtra une amitié et en 2015 ils s’associent. Aujourd’hui, elle est seule à la tête du laboratoire qui travaille à partir des 750 oliviers de la propriété de son père, ‘Le Domaine l’Enclos d’Argent’, dont elle a hérité, à l’ouest de Beaucaire.

« C’est une huile qui fait partie de l’AOP Nîmes, elle est extraite de l’olive Picholine qui contient 3 fois plus de polyphénols que les autres » explique Catherine Cabrel. « Ce sont de puissants anti-oxydants qui nourrissent la peau, l’hydratent, accélèrent la production de collagène, la rendent plus souple, plus lisse et donc gomment les rides ». Elle poursuit, enthousiaste : « C’est un véritable bouclier anti-sècheresse, anti-viellissement et naturel, sain, sans paraben, sans silicone, sans perturbateur andocrinien, sans allergène. Tous nos produits sont testés sous contrôle scientifique et dermatologique. Et pour leur parfum, nous sommes conseillés par des « nez » de Grasse.

Une partie de la gamme du laboratoire Gabriel Couzian ©AB

Et elle a décliné sa gamme jeudi, en pleine nature dans son oliveraie de 4 hectares battue par le mistral. En présence, notamment de Jean-Marie Etienne, président de la Coopérative oléicole « 2B » (pour Beaucaire et Bezouce dans le Gard), il est aussi n°2 du Syndicat de l’Huile d’Olive AOP de Nîmes. Il a fait déguster différentes cuvées. « La Picholine, c’est la plus douce, la plus intense de nos olives, devant le Bouteillan qui lui est piquant et herbacé ».

Jean-Marie Etienne, président de la Coopérative oléicole « 2B » ©AB

Stéphanie Delaye, directrice de l‘AOP huile d’olives de Provence, aux côtés de l’ex-président Olivier Nasles, qui inclut notamment les oliviers du Gard et de Vaucluse insiste : « Avec l »huile d’olive, la peau fait une vraie cure de jouvence, elle est régénérée, tonifiée ».

Catherine Cabrel ajoute : « Nos produits s’appliquent à tous les types de peaux, les fortifient, boostent leur élasticité. Et au-delà de l’huile d’olive, elle a recours au millepertuis pour les soins lavants comme le gel douche « Bain romain ». Le gel surgras lui, est produit à base de plantes apaisantes comme la guimauve ou le tilleul. Pour le corps, elle a mis au point une crème-émulsion améliorée à la cire d’abeille, l’aloe vera et la glycérine, pour les mains, du karité et enfin, figure dans son catalogue un soin »anti-âge » avec de l’extrait de feuilles de Manilkara, un arbre rare de la forêt africaine qui stimule la production d’élastine, lifte la peau et la rend plus lumineuse. Elle a aussi un »Baume à lèvres » 100% végétal miel-coco-grenade qui a obtenu le 1er Prix Psychologie Magazine en 2023.

Le Domaine l’Enclos d’Argent ©AB

Au bout de 30 ans de savoir-faire et d’expertise, le laboratoire Couzian, basé en Bourgogne, à Macon, a pris un nouvel essor avec Catherine Cabrel. Passant de 100 points de vente en 2015 à plus de 300, majoritairement des pharmacies, en métropole et Outre-mer (Guadeloupe, Martinique, Saint-Barthélémy) mais aussi à l’Institut Bergonié, le centre régional de lutte contre le cancer de Bordeaux.

L’effectif aussi, s’est étoffé de 3 à 5 salariés pour faire face au succés et le chiffre d’affaires totalise 800 000€.

Contact : www.gabrielcouzian.com


(Inédit) il y a 80 ans, les bombardements reprennent à Avignon, Tarascon et Beaucaire

Après avoir fermé sa trésorerie à Villeneuve-lès-Avignon, la Direction départementale des Finances publiques (DDFIP) du Gard vient d’ouvrir à Beaucaire un espace conjoint avec la Caf (Caisse d’allocations familiales). Si la fermeture villeneuvoise peut paraître surprenante, elle découle en fait d’une prise en compte évidente de la réalité de ces territoires.

Lundi 28 août 2023 : la Direction départementale des Finances publiques (DDFIP) du Gard ferme son centre des finances publiques situé au pied du fort Saint-André.
Mardi 19 septembre 2023 : la DDFIP 30 signe un partenariat avec la Caf (Caisse d’allocations familiales) afin d’ouvrir un espace commun à Beaucaire.

Les Finances publiques entérinent le déplacement des frontières départementales
Le fermeture de l’antenne de la cité cardinalice intervient après que les Directions départementales des Finances publiques du Gard et de Vaucluse aient décidé que la trésorerie de Villeneuve rejoigne le SGC (Services de gestion comptable) d’Avignon désormais situé avenue du 7e génie. Outre celui de la cité des papes, le SGC regroupe également les sites de Cavaillon et l’Isle-sur-la-Sorgue. Pour les usagers Gardois qui ne voudront pas consulter le site impots.gouv.fr pour leur question fiscale, il faudra donc qu’ils se rendent maintenant dans le chef-lieu d’un autre département que le leur.

Quasiment dans le même temps, la DDFIP du Gard et la Caf 30 ont annoncé l’ouverture d’un espace conjoint expérimental à Beaucaire au sein du site actuel de la Caf situé chemin de Clapas de Cornut. Objectif : proposer un meilleur service aux usagers du service public. Dans ce cadre, le directeur de la Caf, Matthieu Perrot, et le directeur des Finances publiques, Frédéric Guin, ont signé une convention de partenariat mettant en place des procédures communes d’accueil de l’usager. Cette expérimentation, une fois évaluée du point de vue de l’amélioration et de la simplification du service rendu, pourra être ultérieurement élargie à d’autres sites du département. Le rapprochement des deux organismes vise ainsi à répondre, « au plus près, aux attentes de la population et notamment de sa part la moins favorisée ».
A l’échelle du Gard, les 800 agents de la DDFIP accueillent les contribuables particuliers dans des services des impôts installés dans 7 communes (Nîmes, Saint-Gilles, Beaucaire, Alès-Saint-Privat des Vieux, Le Vigan, Bagnols-sur-Cèze et Uzès), et offre un accueil de proximité dans les 25 permanences organisées dans les espaces France Services ou en mairie. Pour rappel, les 177 buralistes agréés du Gard participent aussi au service public en offrant la possibilité de payer impôts, amendes ou factures des organismes publics.

Des services de l’Etat plus au fait du quotidien des territoires ?
Au final, il peut paraître surprenant que les services des Finances publiques tirent définitivement le rideau de leur espace villeneuvois situé dans un canton particulièrement peuplé et comptant également un grand nombre de foyers fiscaux dont une part importante de hauts revenus. Surtout, si dans le même temps, il affecte une partie des moyens ainsi dégagés à l’ouverture d’un nouveau site distant de 25 kilomètres, à une vingtaine de minutes en voiture à peine.
A moins que les services de l’Etat n’aient pris en compte l’évidence du quotidien des habitants de ces territoires : c’est-à-dire que Villeneuve n’est aujourd’hui, ni plus ni moins, qu’un quartier d’Avignon. Et que les usagers du fisc du canton de Villeneuve, intégré dans sa globalité au sein de la Communauté d’agglomération du Grand Avignon, n’ont finalement qu’à traverser le Rhône pour accéder aux mêmes services via la DDFIP de Vaucluse.

Au moment où l’on évoque parfois une administration ‘hors sol’, cette prise en compte de la réalité est finalement tout à l’honneur de la DDFIP du Gard. D’autres acteurs publics seraient d’ailleurs bien avisés de s’en inspirer, à commencer par l’éducation nationale qui, revenant sur sa parole lors de la mise en service du lycée Jean Vilar à Villeneuve en 2007, avait mis fin à la dérogation permettant l’alignement des dates des vacances scolaires de l’ensemble du canton sur celles d’Avignon. Depuis, ce bassin de vie est la seule agglomération française coupée en deux zones scolaires créant ainsi un grand de nombre de difficultés pratiques pour ses habitants et pour ses entreprises.


(Inédit) il y a 80 ans, les bombardements reprennent à Avignon, Tarascon et Beaucaire

Selon le Réseau action climat France, la cimenterie Calcia figure parmi les 50 plus sites industriels émettant le plus de CO2 de l’Hexagone. Si aucun site n’est implanté dans le Vaucluse, l’essentiel de ces installations sont regroupées autour de l’étang de Berre ainsi que dans le Nord de la France.

Avec 461 millier de tonnes CO2 émis en 2022, la cimenterie Calcia de Beaucaire, créée en 1925, apparaît en 17e position du top 50 des sites industriels émettant le plus de CO2 en France. Pour sa part, la cimenterie Lafarge du Teil en Ardèche arrive en 8e position (625 milliers de tonnes).
Dans ce classement réalisé par le Réseau action climat France, qui fédère les associations impliquées dans la lutte contre le dérèglement climatique et la transition écologique, c’est le site d’Arcelor Mittal de Fos-sur-Mer dans les Bouches-du-Rhône qui arrive en tête avec 6 446 tonnes de CO2 émis l’année dernière. Parmi ces installations polluantes, un grand nombre se trouvent autour de l’étang de Berre ainsi que dans le Nord de la France (les sites de Dunkerque et Fos-sur-Mer représentent 25% des émissions de gaz à effet de serre de l’industrie française). On en trouve également un certain nombre dans le Grand Est ainsi qu’en Normandie. En termes d’activités, se sont celles de la métallurgie, suivies de celles des ciments et chaux, puis l’industrie chimique et le sucre qui constituent ces plus gros émetteurs de CO2. Au total, la part des émissions de ces 50 sites représentent 10% des émissions nationales de CO2 et près de 60% des émissions industrielles.  

Une mutation en profondeur ?
Cependant, le volume des émissions de CO2 de l’industrie a presque diminué de moitié entre le début des années 1990 et 2021. Entre 2019 et 2022, la cimenterie de Beaucaire, qui emploie plus d’une centaine de personnes, a ainsi réduit ses émissions de -11,2%. Sur cette période, 37 des 50 plus gros émetteur de CO2 ont également réduit leur rejet de gaz à effet de serre.
Si bon nombre de ces industriels semblent avoir amorcé une réduction de ses émissions globales depuis 2019, il reste cependant à confirmer qu’il ne s’agit pas d’une tendance conjoncturelle mais bien d’une transformation écologique pérenne. Ainsi, dans le même temps, le site Lafarge du Teil a vu ses émissions augmenter de +13,3%.

Répartition des émissions de CO2 du secteur de l’industrie manufacturière et construction en France.

« L’industrie a entamé sa transition carbone au début des années 1990, principalement l’industrie chimique grâce à de nouvelles technologies de production moins émettrices de protoxyde d’azote (N2O), explique le rapport de Réseau action climat France. Les autres industries n’ont pas engagé de transformations environnementales et la réduction de leurs émissions est à imputer aux fermetures de sites, délocalisations et importations. Ces dernières années, en dehors de la réduction des émissions causée par la diminution de la production pendant la crise économique de 2008, les émissions du secteur n’ont pratiquement pas diminué. Le budget carbone de la Stratégie Nationale Bas Carbone (SNBC) alloué au secteur de l’industrie a été respecté seulement en 2020, du fait du ralentissement économique lié à la pandémie et pourrait l’être pour l’année 2022, placée sous le signe de la sobriété énergétique forcée. »
Pour rappel, les objectifs en France sont une baisse de 40% des émissions de CO2 entre 2018 et 2030, soit une réduction de 7,8 millions de tonnes chaque année. De quoi alors inscrire l’industrie française de l’acier dans la trajectoire de l’Accord de Paris. Le but final étant d’atteindre une neutralité carbone en 2050.


(Inédit) il y a 80 ans, les bombardements reprennent à Avignon, Tarascon et Beaucaire

Le réseau Cash Express annonce l’ouverture de 12 nouveaux magasins d’ici la fin de l’année, dont un à Beaucaire et un autre à Pierrelatte.

Après l’ouverture d’un magasin But, Beaucaire va accueillir un Cash Express. L’enseigne d’achat-vente de produits d’occasion souhaite accélérer son développement en 2023. D’ici 2024, 12 nouveaux magasins devraient être ouverts, dont un à Beaucaire et un autre à Pierrelatte. Ces deux magasins viendront s’ajouter à ceux déjà présents à Carpentras et Sorgues (Zone Avignon-Nord).


(Inédit) il y a 80 ans, les bombardements reprennent à Avignon, Tarascon et Beaucaire

L’enseigne d’équipement de la maison, But, a ouvert son nouveau magasin à Beaucaire, ce mercredi 21 juin.

L’enseigne d’ameublement et d’électroménager a ouvert un magasin de 1 157 m2 (avec un dépôt déporté de 700 m2) dans une zone proche du centre de Beaucaire, le mercredi 21 juin. But renforce ainsi sa présence dans la région Occitanie en s’implantant aux côtés de nombreuses enseignes dans la zone des Milliaires Genestet. Après Bagnols-sur-Cèze, Nîmes et Saint-Hilaire-de-Brethmas, ce quatrième magasin dans le Gard vient consolider le maillage de But dans le département. L’enseigne dispose également de magasins à Orange et Sorgues (zone Avignon-Nord).

But, ZAC des Milliaires Genestet, Forum de Beaucaire, Beaucaire.


(Inédit) il y a 80 ans, les bombardements reprennent à Avignon, Tarascon et Beaucaire

Pour la 10e édition de l’émission de M6 ‘La meilleure boulangerie de France’, 10 boulangers de la région sont sur la ligne de départ, dont un à Cabrières d’Avignon, un autre à Avignon/Noves ainsi qu’à Tarascon/Beaucaire également.

Trois boulangeries du Vaucluse et du bassin de vie d’Avignon participent à la compétition télévisée de la chaîne M6 qui sera diffusée la semaine prochaine. Le but sera de dénicher la meilleure boulangerie de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur afin que celle-ci soit ensuite confrontée aux sélectionnés des autres régions de France.
L’émission sera présentée par Norbert Tarayre, ex participant à l’émission Top Chef. L’animateur et juré de ‘La meilleure boulangerie’ de France, est accompagné par Bruno Cormerais, boulanger et meilleur ouvrier de France en 2004, et Noëmie Honiat, cheffe pâtissière, elle aussi ancienne participante de l’émission Top Chef.

Tournage dans la boulangerie Spiteri à Tarascon. ©DR

La Boulangerie Lyse à Cabrières-d’Avignon
Premier représentant vauclusien : la boulangerie Lyse à Cabrières-d’Avignon. Tenue par des Vauclusiens d’adoption, Emilie et Julien sont venus de Normandie en 2007 pour y installer leur première boulangerie dans le département durant 6 ans. Le couple d’artisans déménage mais reviennent dans le village de Cabrières-d’Avignon en 2018 avec la reprise des locaux d’une galerie d’art. Aujourd’hui, le couple tient un établissement bien installé dans sa région, qui participe déjà à d’autres compétitions comme c’est le cas en 2022, où la boulangerie a remporté le prix de la meilleure galette des rois dans les catégories chef d’Entreprise/Salarié et Apprenti.

L’équipe de la boulangerie Lyse. ©M6

Lire aussi : 13e concours de Gâteau des rois du Groupement des artisans boulangers pâtissiers de Vaucluse

Boulangerie-Pâtisserie Meinado : entre Noves et Avignon
Meinado, c’est une entreprise familiale avec Nadine, patronne et mère de Gregory, Anthony et Laëtitia. Gregory est le boulanger tandis qu’Anthony et Laëtitia occupent les postes de responsables de ventes. L’idée de l’ouverture d’une boulangerie pour cette famille déjà à la tête de quatre établissements de restauration émerge il y a 12 ans. Et c’est en 2017 que le projet se concrétise et qu’une première boulangerie ouvre à Avignon, dans le secteur de Bonpas, qui constitue aujourd’hui la boulangerie référente des autres sites qui ont ensuite vu voir le jour à Arles et Noves. C’est d’ailleurs cette dernière, installée dans la zone d’activité de la Roque à Noves, qui représentera Meinado lors de cette sélection régionale. L’établissement propose des pains rustiques, de nombreuses viennoiseries et pâtisseries et un large choix de snacking qui fait la particularité de la boulangerie-pâtisserie.

L’équipe de la boulangerie Meinado. ©M6

Maison Spiteri à Tarascon et Beaucaire
La maison Spiteri a la particularité d’être tenu par un patron très jeune, Théo Spiteri, 21 ans. Il est le boulanger, le pâtissier et le chocolatier de l’établissement qu’il a racheté il y a un peu plus d’un an maintenant. Il a ainsi dû moderniser les locaux de sa boulangerie seul par faute de moyen, sa mère Christelle le soutenant tout de même en étant à la vente. En un an, son travail a su prendre de l’ampleur et être apprécié à Tarascon, Théo a ainsi ouvert une nouvelle boutique à Beaucaire.

L’équipe de la boulangerie Spiteri. ©M6

‘La meilleure boulangerie de France’ en région Paca. Tous les soirs à 18h35 sur M6. Du lundi 23 au vendredi 27 janvier.

Maylis Clément

Le pain Châtaigne-noisette de la boulangerie Lyse.©DR

(Inédit) il y a 80 ans, les bombardements reprennent à Avignon, Tarascon et Beaucaire

En complément des 12 centres de vaccination déjà actifs dans le Gard, deux nouveaux centres pérennes vont ouvrir à Beaucaire au gymnase Angelo Parisi (13 rue Jean Bouin) et à Quissac, à l’espace Désiré Rousset (avenue du 11 novembre), le lundi 12 avril 2021. Le centre de Beaucaire effectuera la semaine prochaine près de 600 vaccinations. Le centre de Quissac réalisera 250 vaccinations et devient le second centre de l’arrondissement du Vigan avec celui ouvert au centre hospitalier du Vigan depuis début février.

Par ailleurs, une opération au sein du centre de vaccination temporaire est déployée ce week-end (salle Jean Cazelles) à Saint-Gilles où plus de 250 personnes de plus de 70 ans recevront leur première injection. Les 14 communes dans lesquelles est implanté un centre de vaccination sont : Aigues-Mortes, Alès, Bagnols-sur-Cèze, Beaucaire, Bellegarde, Nîmes (CHU et centre des Costières), Pont-Saint-Esprit, Quissac, Saint-Ambroix, Uzès, Vauvert, Villeneuve/Les Angles, Le Vigan.

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