25 juillet 2024 |

Ecrit par le 25 juillet 2024

Opération de vaccination sans rendez-vous le vendredi 2 juillet à Auchan Le Pontet

La situation sanitaire, en amélioration, demeure fragile en Vaucluse. Une opération de vaccination ouverte à tous et sans rendez-vous, sous l’autorité du préfet de Vaucluse, aura lieu le vendredi 2 juillet au sein du centre commercial Auchan Nord (galerie marchande entre Celio et Undiz), situé au 533 avenue Louis Braille.

Plusieurs cas suspects de variant delta viennent notamment d’être détectés et sont en cours de séquençage, afin de confirmer ou d’infirmer sa présence dans le département. « Cette situation doit nous inviter à la plus grande vigilance pendant la période estivale propice aux festivals et grands rassemblements festifs. Afin de limiter les risques de contamination, il est indispensable de ne pas relâcher nos efforts en respectant les gestes barrières, le port du masque, mais surtout en allant se faire vacciner », encourage la Préfecture du Vaucluse. Afin de sensibiliser les usagers, des actions éphémères pour faciliter la vaccination dans les lieux à haute fréquentation sont organisées pendant tout l’été. Bertrand Gaume, préfet de Vaucluse, et Loic Souriau, directeur départemental de l’ARS (Agence régionale de la santé) Paca participeront à l’opération à 13h15.

L.M.


Opération de vaccination sans rendez-vous le vendredi 2 juillet à Auchan Le Pontet

Il est champion du monde de boxe, elle est consultante en management des ressources humaines. Ce duo de choc que rien ne prédestinait à s’unir est à l’origine d’un nouveau ’round’ ludique dans le domaine du ‘team building’.

Finis les séminaires interminables, les tours de table à rallonge, le paperboard couvert de hiéroglyphes à peine lisibles, place au coaching ‘new age’. Les séminaires ‘Out of the boxe’ ? Ce sont les participants qui en parlent le mieux. « Je me suis régalé. J’ai vaincu ma peur. C’est une super expérience à faire en entreprise. » Côté direction, l’enthousiasme est partagé. « Nous cherchions à faire une formation ludique avec les équipes sans être assis devant un tableau. Les collaborateurs réalisent qu’ils sont capables de faire de belles choses, et que je suis capable moi aussi de faire ça avec eux », dixit Mathieu Angles, Directeur général de la Société des carrières vauclusiennes.

Ces séminaires expérientiels ont ceci d’unique qu’ils transforment les formations en un véritable événement avec pour seul mot d’ordre : le plaisir. « Notre but est d’accompagner les équipes vers l’efficacité, aider les collaborateurs à retrouver liberté, efficience, sérénité, quelle que soit la complexité de l’environnement », expliquent en chœur Caroline Roux et Moilime Ramia. Elle est consultante en management des ressources humaines, coach et conférencière, lui est Champion de boxe France, Europe et Monde. Leur point fort ? Proposer des séminaires d’entreprises expérientiels qui mélangent la boxe (et aussi le parcours Ninja warriors) et les neurosciences appliquées. Une petite révolution dans le marché, ouvrant le champ des possibles.

Le parcours Ninja Warriors au Pontet fait de nombreux heureux parmi les salariés.

Rencontre sur le ring

C’est dans la salle que Caroline Roux rencontre Moilime pour la première fois. « Je faisais de la boxe à titre personnel. Cela a été une belle rencontre humaine, nous avons tout de suite pris conscience des connexions possibles entre nos deux univers respectifs », nous raconte Caroline, à la tête de Canopia events, créateur d’expériences en formation et coaching. Le monde de l’entreprise ? La chef d’entreprise a eu tout loisirs de l’explorer au gré de ses formations dans des secteurs d’activité divers : aéronautique, banque, mutuelle, bâtiment, luxe, agriculture, viticulture… L’entrepreneuse loue la boxe et son légendaire « effet miroir » sur la posture et le comportement.

Une vision avec laquelle le champion Moilime Ramia est en totale harmonie : « la Covid m’a amené à revoir mon métier. A 49 ans, je me suis dit pourquoi ne pas emmener les belles valeurs du sport directement au sein des entreprises ? » Ces valeurs, cet ancien boxeur de haut niveau (pieds-poings et boxe anglaise) a su les assimiler avec brio pour ensuite les enseigner à divers publics dont celui des centres sociaux. Aujourd’hui, Moilime ajoute une corde à son arc, en plus des deux établissements dont il a la responsabilité: une salle de boxe au Pontet ainsi que Ninja Warriors à Avignon. Résultats : des ateliers organisés au sein de nombreuses entreprises de la région et de l’hexagone et des retours plus que positifs sur la cohésion d’équipe.

La pétillante Caroline Roux, visionnaire et déterminée.

Aucun catalogue mais des ateliers sur-mesure

Avec « Out of the boxe », aucun catalogue à votre disposition ! Tous les ateliers sont pensés sur mesure et c’est exactement cette personnalisation qui fait la différence. « Une fois que le besoin est transmis, nous créons un événement complètement personnalisé. Les ateliers permettent aux collaborateurs de travailler la compétence qui demeure fragile : proactivité, dépassement de soi, intelligence collective, cohésion d’équipe, leadership, négociation, confiance en soi », énumère Caroline. Moilime réfléchit ensuite à la meilleure configuration d’atelier: individuel, collectif, binôme, trinôme ? L’équipe d’une quinzaine de collaborateurs peut s’étoffer en fonction de la nature du besoin. Armés de leur matériel, les membres sillonnent la France entière. Un record a notamment été franchi avec 200 participants au cours d’ateliers organisés chez Aésio mutuelle. Une expérience fructueuse, aussi bien pour les salariés que la direction.

BTP, banque, assurance, CHU, ils ont déjà testé

« Nous sommes contactés soit par les chefs d’entreprise lorsqu’il s’agit de petites structures, soit par les directeurs des ressources humaines dans les grandes entreprises, explique-t-elle. Ces derniers nous font part de leur problématique en détails, des besoins qu’ils identifient et des solutions qu’ils souhaitent trouver. Le champ est large : management, posture de leader, négociation, techniques de vente… Nous avons pu travailler avec des CHU, des entreprises du BTP, des banques, assurances et du retail. » Au sein des ateliers, le public est disparate, les jeunes de la vingtaine côtoient les plus âgés. L’appréhension à la vue des gants de boxe laisse rapidement place à l’excitation du jeu. « Au final, les participants sont les premiers à nous en redemander ! », s’amuse Caroline.

Quand le salarié boxe avec le Directeur général

Les anecdotes ne manquent pas. « Certains salariés se sont retrouvés aux côtés de leur N+10. Une des participantes a découvert à sa grande surprise que le monsieur qui venait tout juste de lui mettre les gants était son Directeur général, raconte Caroline. Cocasse comme situation ! Il n’y a plus de hiérarchie, les barrières cassent. Nous sommes fiers de porter ces valeurs, de travailler l’intelligence collective, le partage et la solidarité. » Quoi de mieux que le sport dans cette noble tâche ? L’humilité est maîtresse : « cela ne sert à rien d’être le plus grand patron avec la plus grosse voiture, mais plutôt d’agir dans le respect des autres, la bienveillance et l’authenticité », explique Caroline avec sagesse.

Humilité malgré un palmarès à couper le souffle pour Moilime Rima !

La boxe, mais sans les coups !

Moilime tient à le préciser : dans l’inconscient collectif, la boxe a tendance à faire peur. A l’esprit apparait spontanément cette photographie du visage tuméfié et ensanglanté. Aucune percussion directe n’est exercée au cours des ateliers, le travail est réellement adapté au public. Plus qu’une performance sportive, il s’agit d’un atelier visant à améliorer son comportement pour atteindre ses objectifs. « Moilime évalue la juste distance avec son interlocuteur pour être dans une distance de sécurité et éviter les coups », précise Caroline. Aucun risque donc de rentrer à la maison défiguré, mais plutôt gonflé de confiance en soi !

Ninja warriors pour la cohésion d’équipe

Outre les ateliers dispensés au sein des entreprises, les salariés ont la possibilité de se déplacer sur le parcours Ninja Warrior situé au Pontet. Dans cet antre dédié au dépassement de soi, la solidarité permet de faire un bon timing de groupe grâce au travail en relai. 12 ateliers, un record à battre, des matelas gonflables en remplacement de l’eau, tout est prévu pour sécuriser l’équipe et travailler la cohésion dans de bonnes conditions.

Encore une fois, l’atelier se façonne en fonction du besoin initial. « Si l’idée est de challenger les équipes, nous créerons une saine compétition. Nous mélangerons les équipes pour que les participants côtoient des personnes différentes dans le but de relever le défi, explique Moilime. Si aucune dynamique de challenge n’est recherchée, nous nous attarderons sur les leviers pour améliorer la performance à chaque passage. Tout est histoire d’ajustements et de réglages ». Et d’ajouter « ce sont généralement les commerciaux qui sont friands de challenges ! »

Le duo ambitionne désormais de développer l’activité dans le bassin vauclusien. « Je ressens une très grande frustration quelques fois car nous travaillons peu dans le département. Je veux prouver que les formations de qualité n’ont pas uniquement lieu à Lyon, Paris ou Marseille. Inutile de se déplacer si loin pour bénéficier de formations complètes et professionnelles », insiste Caroline. L’équipe ‘Out of the boxe’ ne demande que votre aval pour propulser vos salariés sur le podium de la réussite.

Caroline Roux, 06.23.82.47.16, https://www.canopia.events/. Moilime Ramia, 06.62.35.97.31, https://www.perfectwarriorstraining.com/.


Opération de vaccination sans rendez-vous le vendredi 2 juillet à Auchan Le Pontet

Avec un taux d’incidence de 11 pour 100 000 habitants, la situation sanitaire, en amélioration comparé aux semaines précédentes, demeure fragile dans le département du Vaucluse en raison du variant Delta.

Selon les derniers éléments communiqués par l’ARS Paca (Agence régionale de la santé) et la préfecture de Vaucluse, 6 patients sont en réanimation et 26 en hospitalisation conventionnelle. La tension hospitalière est donc moins importante. Néanmoins, la circulation en France du variant Delta est très préoccupante.

« Ce dernier est très contagieux et l’augmentation des flux durant la période estivale est de nature à accélérer le risque de contamination. » En Vaucluse, plusieurs cas suspects viennent d’être détectés et sont en cours de séquençage, afin de confirmer ou d’infirmer la présence de ce variant delta sur le département. Le séquençage, qui consiste à analyser quelques gouttes d’un échantillon contenant du virus pour en préciser le génome, est la méthode la plus efficace pour détecter un variant et ses mutations.

« Cette situation doit nous inviter à la plus grande vigilance pendant la période estivale, notamment pour les festivals et grands rassemblement de l’été. Pendant cette période estivale avec des manifestations de grande ampleur générant des brassages importants de la population notamment du 5 au 31 juillet. » Des protocoles sanitaires ont été renforcés pendant toute la durée des festivals In et off d’Avignon.

  • Déploiement d’actions de prévention auprès des festivaliers et des professionnels : mobilisation dans l’intra-muros d’une quinzaine de médiateurs covid pour sensibiliser aux gestes barrières et distribuer des auto-tests ; formations aux protocoles sanitaires auprès de 350 régisseurs et référents covid des théâtres et responsables de compagnies.
  • Augmentation des dépistages et de la vaccination : poursuite du dispositif sanitaire actuellement en place pendant la durée des Festivals ; renforcement du dispositif avec ouverture de plusieurs centres éphémères de dépistage et de vaccination accessibles sans rendez-vous.
  • Application de règles spécifiques pour l’accueil du public et d’un protocole sanitaire strict dans les lieux de spectacle et à destination des professionnels : opérations de dépistage hebdomadaires auprès des professionnels des compagnies, charte d’engagement pour les gérants de salles et de compagnies, déploiement du pass sanitaire pour les ERP de + 1000 personnes, définition des sens de circulation dans les rues de l’intra-muros.

Port du masque pendant le festival 

Le masque sera obligatoire pour toute personne de 11 ans et plus dans l’ensemble des espaces publics de l’intramuros d’Avignon de 12h à 02h00 du matin du lundi 5 juillet jusqu’au 31 juillet inclus. En dehors de l’intramuros, le port du masque n’est pas obligatoire dans l’espace public, sauf lorsque la distanciation physique d’au moins deux mètre entre deux personnes ne peut être respectée. Le port du masque est obligatoire au sein des théâtres, y compris dans les ERP de plein air (cours, cloîtres, esplanades).

Jauges et consommation

La jauge dans les théâtres et salles de spectacle à 100 % de la capacité totale des ERP (Etablissements recevant du public) est susceptible d’être restreinte par le préfet, en cas de dégradation de la situation épidémique. Les parades artistiques sont interdites sur la voie publique de la ville d’Avignon du 5 juillet à minuit, jusqu’au samedi 31 juillet inclus. Les buvettes et points de restauration debout sont fermés dans les établissements recevant du public debout et/ou itinérant, ainsi que dans l’espace public couvert ou de plein air. Seule la consommation assise est autorisée.

Actuellement, 19 centres de vaccination sont déployés en Vaucluse et 1 centre de vaccination éphémère sans rendez-vous sera ouvert en complément à Avignon dans les locaux de l’université pendant la durée des festivals.

L.M.


Opération de vaccination sans rendez-vous le vendredi 2 juillet à Auchan Le Pontet

La laiterie urbaine made in Avignon ‘Cowing out‘ lance un appel aux dons sur la plateforme Miimosa. Objectif ? Permettre le développement de projets redonnant ses lettres de noblesse à la filière agricole.

« Après plus d’un an de travail et de préparation, votre laiterie urbaine sur Avignon s’apprête à fabriquer vos premiers produits laitiers locaux et responsables ! Pour cette dernière ligne droite, il nous reste quelques détails à ajuster et c’est maintenant qu’on a besoin de vous ! » dixit Grégory Pastor, fondateur de ‘Cowing out’. « Si vous souhaitez participer à ce projet et à cet élan collectif, c’est sur Miimosa que ça se passe. Plein de produits et surprises en avant première à la clé pour les plus rapides, merci mille fois pour votre aide et votre soutien », complète Elodie Sarfati, associée.

Objectif de la collecte ?

L’atelier sur la zone d’activité MIN d’Avignon est achevé mais il reste à sécuriser certaines ressources afin de commencer la production. Les dons contribueront à privilégier les circuits courts et confectionner une gamme de produits laitiers variés et de qualité. L’équipe identifie différents paliers sur le chemin de la réussite : atelier de fabrication et dégustation ouvert au public, embauche d’un apprenti, achat d’équipement et enfin achat d’un utilitaire frigorifique pour les marchés. Ne jamais mettre la charrue avant les bœufs !

Photo: Cowing out

Leurs engagements ?

Une rémunération de 450€/1000L de lait, au moins, des producteurs ; une production, transformation et distribution locale ; le respect du lait lors de sa transformation ; la mise en place d’une économie circulaire sur les contenants et un lien fort entre les producteurs et les consommateurs. ‘Cowing out’ s’engage à proposer des produits laitiers authentiques et savoureux issus des fermes les plus proches de chez vous, dans le respect des producteurs, de leur cheptel et de l’environnement.

Photo: Cowing out

« Familier du monde agricole grâce à ma famille et après 15 années d’une carrière qui perdait de son sens, il m’est apparu naturel de mettre mon expérience à disposition des acteurs en souffrance de la filière laitière. Mon objectif est d’outiller les producteurs pour mieux valoriser leur production », précise l’entrepreneur. Il vous appartient désormais d’écrire quelques pages de cette belle histoire du terroir…


Opération de vaccination sans rendez-vous le vendredi 2 juillet à Auchan Le Pontet

Comme l’an dernier dans le secteur de Loriol-du-Comtat, c’est maintenant à Avignon que les services de l’Etat ont fait procédé à la destruction de constructions illégales.

Bertrand Gaume, le préfet de Vaucluse, vient de faire procéder à la démolition d’office de constructions illégales situées en zone agricole à Avignon. Cette opération a concerné un garage transformé en d’habitation de 192m², une piscine et un local technique édifiés dans « un secteur soumis au risque inondation, sans autorisation d’urbanisme et en violation des documents d’urbanisme et de prévention des risques ».
Les pelleteuses sont intervenues suite à un jugement rendu en juillet 2017 par le tribunal correctionnel d’Avignon condamnant les propriétaires à la démolition de ces constructions dans un délai d’un an, sous astreinte de 100€ par jour de retard.

Lutte contre les infractions à l’urbanisme en zone agricole

Devant l’inaction des mis en cause après mise en demeure et liquidation des astreintes, le préfet a donc été contraint, en dernier recours, de faire exécuter d’office la démolition, sous le contrôle d’un huissier de justice et avec le concours de la force publique.
« Cette décision s’inscrit dans le cadre de la lutte contre les infractions à l’urbanisme en zones agricoles, naturelles ou soumises à un risque naturel sévère, expliquent les services de la préfecture de Vaucluse. Elle illustre la détermination des services de l’État, en lien avec les collectivités, à faire respecter les règles d’urbanisme et de prévention des risques, à préserver les sites naturels et à sanctionner les atteintes aux paysages et à l’environnement dans le département. »
« La remise en état volontaire par les condamnés reste la voie à privilégier s’ils ne veulent pas s’exposer à cette procédure coûteuse qui reste à leur charge », insiste la préfecture.

L.G.


Opération de vaccination sans rendez-vous le vendredi 2 juillet à Auchan Le Pontet

Les cinéphiles ont retrouvé les salles obscures et se délectent des bandes annonces interminables, nichés confortablement dans les sièges rouges molletonnés. Parmi les salles incontournables d’Avignon, le Capitole studios accueille le public venu entre amis, en famille ou en solitaire. Découvrez la programmation du 30 juin au 6 juillet 2021.

Les avant-premières

Nouveautés

Toujours à l’affiche

L.M.


Opération de vaccination sans rendez-vous le vendredi 2 juillet à Auchan Le Pontet

Voilà un temps fort à ne pas manquer dans la cité des papes. Repas, musique, chill, friperie, le second rendez-vous des jours heureux est pris le samedi 3 juillet, puis les 7 août, 11 septembre et 2 octobre. Prendre un verre assis sur des bottes de pailles, déguster des petits plats en mode ‘finger food’, profiter de la bonne musique, jouer à la pétanque, chiner, retrouver ses amis, rire… vivre.

« Nous entrevoyons enfin le retour des jours heureux. Pour célébrer ce nouveau printemps nous avons imaginé un événement inédit qui privilégie la convivialité et le bonheur de se retrouver. Dans le cadre bucolique de la ferme urbaine le Tipi, nous avons créé les jours heureux pour mettre en avant les femmes et les hommes (artistes, artisans, chef, agriculteurs, commerçants…), mais aussi les produits locaux (fruits et légumes, vins, bières, artisanat…) qui font la richesse de ce territoire », ainsi se résume l’état d’esprit de l’équipe du Tipi.

Le Tipi sort le grand jeu

« Pendant votre absence, la nature a repris ses droits, les abeilles sont sorties polliniser nos fleurs et les poules nous ont accompagnées au potager pour s’occuper des légumes printaniers qui commencent à pointer le bout de leur nez. Maintenant, il est temps de vous accueillir à nouveau. Alors on a pris le temps, avec nos artisans locaux préférés, pour créer des boissons uniques, sans compromis, pour vous souhaiter la bienvenue comme il se doit. Avec notamment ‘L’harmonieux’, qui a concocté une liqueur remarquable pour faire sensation dans nos cocktails, pendant que la brasserie ‘La comédienne’ s’est attelée à la préparation d’une bière fraiche, sur mesure, pour l’occasion. Il ne manque plus que vous pour en profiter, à l’ombre d’un mûrier. » Le Tipi est un lieu vivant, écologique et fertile. On y trouve une ferme urbaine, un atelier de céramique, une herboristerie, une cantine, un bar et une scène de concert !

Aux fourneaux ?

Au programme, une cuisine de style ‘street food’. Jeune chef récemment étoilé, Mathieu Desmaret sait se démarquer par sa modernité et ses offres surprenantes. Pour cet événement spécial il va décaper les codes de la street food pour l’allier aux produits locaux et de saison. Voilà ce que Matthieu vous propose : entrée () 7€ bagels jambon aux herbes, buratta, pesto basilic, roquette. Plat (15€): ceviche de cabillaud, lait de tigre, mais grillé au citron vert, blé vert aux herbes acidulées. Option veggie: ceviche végétal, lait de tigre, mais grillé au citron vert, blé vert aux herbes acidulées. Dessert (5€): abricot poché au cidre, mousse légère de fromage blanc à la fleur d’oranger, sable breton et fleur de sel. Nos papilles sont déjà en ébullition.

Aux platines ?

« On a demandé à Cedr’x de se replonger dans sa collection de vinyls pour retrouver les perles trip, hip hop old school et électro qu’il jouait au début sa carrière. Vraiment hâte d’écouter cette sélection et de le revoir mixer tel un virtuose des platines. »

Vous venez ? La billetterie est juste ici: https://cutt.ly/Jn0J5Hm. Le nombre d’entrée est limité au vue des restrictions actuelles, il est donc très fortement recommandé de réserver votre billet d’entrée, et votre menu. Le Tipi est situé au 57 avenue Eisenhower à Avignon. Les verres seront à usage unique (Ecocup), du gel hydroalcoolique sera à disposition à l’entrée, au bar, ainsi qu’au niveau des sanitaires. Pas de distribution de bouteilles d’eau pour des raisons écologiques.


Opération de vaccination sans rendez-vous le vendredi 2 juillet à Auchan Le Pontet

« Tout, depuis un an, a été mis en œuvre pour que le Festival ait lieu. Mais nous devons tous être responsables et vigilants » a déclaré le préfet de Vaucluse lors d’une réunion regroupant les responsables de la gendarmerie, de la police nationale, des pompiers, des secouristes de la croix blanche, de l’Agence régionale de santé (ARS) et des festivals ‘in’ et ‘off’.
A cette occasion, Bertrand Gaume a insisté sur les efforts que nous devons tous faire collectivement : « Nous avons l’impérieuse nécessité de nous protéger, de protéger les autres, de respecter les gestes barrières, de continuer à nous faire vacciner et de faire des autotests ».

Port du masque à nouveau obligatoire dans l’intra-muros
Sécurité sanitaire d’abord, avec renforcement du protocole du 5 au 31 juillet, port du masque obligatoire dans l’intra-muros d’Avignon de midi à 1h du matin, même en plein air, lorsque la distanciation physique d’au moins 2 mètres entre 2 personnes ne peut être respectée. Avec 47 spectacles au programme du in (5-25 juillet) et 1070 pour le off (7-31 juillet), on sait que des milliers de festivaliers s’agglutinent dans les rues étroites de la Cité des Papes pour aller, jour et nuit, d’un théâtre à l’autre.
Ce dispositif sanitaire prévoit des actions de prévention auprès des festivaliers qui vont débarquer à Avignon mais aussi des professionnels du spectacle vivant (comédiens, décorateurs, metteurs en scène, techniciens, maquilleurs, intermittents, musiciens, ingénieurs du son et de la lumière…). Plus de 350 régisseurs de théâtre ont été formés pour inciter au dépistage mais aussi des médiateurs Covid qui quadrilleront les rues pour faire de la prévention.

Deux centres de dépistage éphémères
Le Centre de vaccination de Montfavet restera ouvert tous les jours de 8h 30 à 20h, y compris le dimanche, deux centres de dépistage éphémères fonctionneront place Pie et résidence Saint-Jean (située boulevard Limbert). Dans tous les lieux accueillant du public seront vérifiés l’aération, la climatisation, la désinfection des salles et le sens de circulation des spectateurs pour éviter le brassage et les risques de contamination.

Une jauge à 100%… pour l’instant
« Normalement la jauge passera à 100% puisque le taux d’incidence n’est que de 11 pour 100 000 en ce moment. Mais en cas de dégradation de la situation épidémique, elle pourrait être restreinte » a précisé le Préfet. Pour stopper la chaîne de contamination, une coordination serrée entre la préfecture, l’ARS, la CPAM (Caisse primaire d’assurance maladie) et les organisateurs des festivals a été mise en œuvre  en cas de signalement de cas positif, traçage et isolement seront réalisés avec un suivi hebdomadaire.
En tout, 37 500 autotests sont à disposition du public, 24 000 commandés par l’ARS, 3 500 par la Préfecture, 3 000 par l’Education Nationale, 7 000 par le Conseil Régional Sud. « Avec 4 millions de touristes en Vaucluse, les risques de contamination existent. Le variant ‘Delta’ a été repéré dans les Landes comme en Grande-Bretagne. Pas chez nous, mais nous ne sommes pas à l’abri, donc demeurons prudents » a fermement conseillé Bertrand Gaume.

Renforcement du plan ‘risque attentat’
Sécurité Publique incontournable également avec le renforcement du ‘Plan Vigipirate – Risque Attentat’. Jean-Marc Luca le DDSP (Directeur départemental de la sécurité publique) a énuméré les moyens humains dévolus au festival : police nationale, Compagnie de CRS en renfort, militaires de l’opération Sentinelle, travail en collaboration avec la police municipale d’Avignon. La gendarmerie effectuera des missions de brouillage pour assurer le respect d’interdiction de survol d’Avignon par des drones. Les forces de l’ordre travailleront pendant tout le mois de juillet pour assurer la sécurité de tous, vauclusiens et touristes, les congés seront pris en août et septembre sans toutefois entamer le degré de sécurité dû à la population.

Limitation de la circulation
Pour limiter la circulation automobile, un plan de piétonnisation a été dessiné, comme chaque été, avec un sens unique pour que les piétons se croisent le moins possible. Il y aura 7 portes entrantes (République, Saint-Michel, Thiers, Notre-Dame des 7 Douleurs, Saint-Lazare, parking Palais des Papes et Saint-Dominique), 9 sortantes (Magnanen, Limbert, Saint-Lazare, Saint-Joseph, Rocher des Doms, l’Oulle, Saint-Charles, 7 Douleurs et Saint-Dominique), 3 réservées aux secours, pompiers, ambulances (Quai de la Ligne, Rhône et Saint-Roch).
Plus besoin de papillon sur le pare-brise des riverains pour accéder à l’intra-muros, une lecture optique des plaques d’immatriculation se fera par caméra.
Après une année blanche côté festivals en 2020, « Soyez les bienvenus, vous nous avez manqué, mais restez prudents » a martelé la Maire d’Avignon, Cécile Helle. Même mot d’ordre pour Sébastien Benedetto, le président du off : « Nous avons espoir, envie mais restons fermes sur l’application des gestes barrières, des sens de circulation et tout se passera bien! »

Dispositif détaillé sur : www.vaucluse.gouv.fr


Opération de vaccination sans rendez-vous le vendredi 2 juillet à Auchan Le Pontet

L’immobilier de prestige s’enrichit d’une nouvelle agence au 31, rue Joseph Vernet à Avignon. Franck de Mondésir, à la tête de deux entités du groupe Janssens implantées à l’Isle-sur-la-Sorgue et Vaison-la-Romaine, peut compter sur la renommée internationale de la marque Knight Frank, conjuguée à l’expertise pointue de la Provence et de ses biens de caractère.

Franck de Mondésir, de l’agroalimentaire à l’immobilier

« Je n’ai pas l’accent, mais j’ai passé plus de temps en Provence qu’en Normandie ! » explique celui qui a fait ses armes dans l’agroalimentaire à l’Isle-sur-la-Sorgue, au sein de la marque Florette. La Provence, cela fait 30 ans que Franck de Mondésir la sillonne. Son parcours professionnel l’a projeté dans les jolis sentiers de la région et de France en tant que consultant pour des marques régionales, avant d’opérer un changement de cap. « Je voyageais beaucoup et j’ai eu envie de stabilité. Je souhaitais trouver une aventure commerciale, tout en gagnant en sédentarité, pour ne pas passer ma vie dans les TGV et les avions. » Qu’à cela ne tienne, le chef d’entreprise rejoint les rangs du groupe Janssens immobilier en 2013, grâce à l’entremise de sa chère et tendre. « Mon épouse faisait partie du groupe depuis 2005 et m’a mis en relation, je dois tout à celle qui occupe aujourd’hui le poste de directrice commerciale au sein de l’enseigne Janssens. »

Le groupe Janssens, parlons-en. Ce sont 11 agences immobilières en Provence, du Mont Ventoux à Saint-Tropez en passant par le Luberon, le Pays des Sorgues, Vaison-la-Romaine, la Drôme Provençale, les Alpilles, le Pays d’Avignon et Uzès ainsi que l’arrière-pays Varois. Une équipe multilingue caractérisée par un profond dévouement au service de la satisfaction client. 50 collaborateurs s’attellent à trouver le produit rêvé des futurs propriétaires, théâtre de leur vie.

12 collaborateurs, 3 agences

Janssens doit sa renommée à la détermination de son fondateur belge d’origine, Rudi Janssens, arrivé il y a plus de 20 ans pour faire des chambres d’hôte. Une carrière qui bifurque par la suite dans l’immobilier, mais pas n’importe lequel, celui de caractère. La première agence voit le jour à Bonnieux et appelle rapidement la création de nouvelles : Lourmarin et Saint-Remy. « J’ai ouvert l’agence de l’Isle-sur-la-Sorgue en partenariat avec le groupe en 2013. Janssens m’a apporté un soutien de marque, un support digital solide à travers le site internet et surtout un drapeau commun. Notre ADN ?Vendre des biens de qualité en Provence », précise celui à la tête d’une douzaine de collaborateurs répartis sur ses trois agences.

Un ancien moulin rénové à Althen-des-Paluds

Une équipe de passionnés, ancrés dans le territoire

Pour l’assister dans les transactions, Lucas Pechrikian, natif d’Avignon, enfant du pays et passionné par son travail. Auparavant collaborateur au sein du groupe Emile Garcin, Lucas a opté pour une marque forte, profondément ancrée dans le territoire avec ses multiples agences physiques. « J’ai toute confiance en lui. Il connait le métier et le terrain et c’est un plaisir de travailler à ses côtés, une belle aventure. » Le 100% digital ? Franck de Mondésir n’y croit pas. « La notoriété globale conférée par internet et le marketing digital est importante, certes, mais la présence physique locale fait partie des ingrédients clés du succès. » Travailler à distance ? Très peu pour lui.

Vous avez dit bien d’exception ?

Plusieurs critères sont fondamentaux pour caractériser un bien d’exception : le caractère en premier lieu. « Il peut s’agir simplement d’une très belle maison, avec de beaux matériaux, ou bien quelque chose de simple mais proposant une vue exceptionnelle, un spot unique. » Vous l’avez compris, il faut ce déclic, ce déclencheur à l’origine du coup de cœur, d’une projection instantanée dans les lieux. Spot, vue, commodité, emplacement, beaucoup de critères entrent en ligne de mire.

Ce qui fait la différence 

Plus de 20 ans, une expertise locale associée au réseau international, sont un gage de résultat et de professionnalisme, inspiré par la confidentialité, la réactivité et l’expertise. C’est la différence ! « Notre rattachement à la marque Knight Frank nous donne une vraie couverture internationale au sein de 60 pays avec une base à Londres. Environ 60% de nos acquéreurs sont internationaux, d’origines diverses, belge, suisse, irlandaise… » Résultat : quand un expatrié est en recherche d’un pied-à-terre en Provence, c’est vers la marque Knight Franck qu’il se tourne. « Notre correspondante dédiée, Laetitia Hodson, travaille à 100% pour trouver des biens qui correspondent aux besoins. »

Franck de Mondesir tient à le souligner : « ce n’est pas seulement une marque pour faire joli, on ne verse pas juste une redevance pour bénéficier d’un mot anglais qui sonne bien. Knight Frank, c’est un véritable travail et un large réseau professionnel derrière. » Au sein de chaque agence, les collaborateurs parlent au minimum l’anglais, et pour les plus à l’aise, maîtrisent 3 ou 4 langues étrangères. L’agence est également compétente pour répondre aux besoins des français, parisiens, lyonnais ou provenant d’autres contrées.

Des pépites entre 800 000 et 6M

Dans le portefeuille des biens d’exception, la majorité des demeures se situe entre 800 000 et 1,5M€. Certaines bâtisses peuvent même frôler les 6M€ en Provence, y compris dans le secteur d’Avignon. « La valeur des biens monte beaucoup plus haut lorsque l’on se rapproche de Saint-Tropez ». Au-dessous de 750 000€, les acquéreurs pourront trouver quelques propriétés du centre-ville, sur lesquels Janssens n’apporte pas de réelle expertise. « Chacun fait son travail et excelle dans son domaine et son positionnement. »

Parmi les critères qui jouent sur la balance : la proximité avec les transports et la gare TGV. « Surtout pour les gens qui sont encore en activité, c’est important pour eux de ne pas rajouter trois quarts d’heure pour arriver à destination. Avignon est très bien positionnée dans les villes où il fait bon vivre, avec des patrimoines immobilier et historique fantastiques. Peu de villes sont aussi riches, la cité des Papes a tout pour être bien représentée dans un portfolio d’agences qui visent le haut de gamme. »

Les Angles : plusieurs appartements au sein d’une même propriété avec un charme indéniable

Et pour la location ?

Le confinement aura eu pour effet de booster la location saisonnière ainsi que la réflexion pour l’achat de nouveaux pied-à-terre dans des départements peu touchés par le coronavirus, sans compter la cote de popularité de l’investissement dans la pierre.Le service ‘Made in Provence’ basé à Ménerbes, à la responsabilité de tout le volet location des propriétés. « Nous sous-traitons cette partie à cette entité du groupe Janssens. Cela permet aux acquéreurs qui veulent générer un revenu locatif de pouvoir avoir un interlocuteur dédié. » La crise sanitaire aura au moins eu le mérite de faire exploser les demandes au sein de ‘Made in Provence’. Le sud a été pris d’assaut par une armada d’actifs à la recherche d’un lieu agréable où passer le confinement.

« Le ballon est passé du pied des acquéreurs à celui des vendeurs »

La situation sanitaire n’a pas affecté le marché de l’immobilier de manière structurelle. De l’avis du professionnel, le flux des mises en marché ne s’arrête jamais réellement. « Il est soumis à la vie du marché : divorce, décès, succession, déménagement, mutation. Cela veut dire que l’acquéreur doit être vif, ne pas trop hésiter. D’une manière générale, le ballon est repassé au pied des vendeurs, alors qu’il est longtemps resté sous le pied des acquéreurs qui faisaient la pluie et le beau temps. Les règles ont changé. »

Provence, entre farniente et business

Rares sont les régions qui appellent aussi bien à l’oisiveté qu’au réseautage et aux relations publiques. La Provence a ceci d’unique qu’elle peut regrouper des hauts cadres autour d’un cocktail en terrasse, animés par des intérêts professionnels communs. « C’est l’endroit où se font les futurs projets, il faut être vu par le milieu, de manière plus informelle et plus décontractée. »

Dans l’esprit collectif, l’agence immobilière de prestige se niche en périphérie, installée dans un hameau calme et paisible. Pour le groupe Janssens, il en est tout autrement : « nous ne sommes pas ‘autour’ mais à ‘l’intérieur’. Nous faisons le pari d’être au cœur du sujet ! », ainsi résonne le mantra de la future équipe bientôt installée dans la cité des Papes.

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