27 juillet 2024 |

Ecrit par le 27 juillet 2024

Jeu concours : vos places de cinéma au ‘Capitole studios’

L’Echo du Mardi, en partenariat avec le cinéma Capitole studios Le Pontet vous offre 3 places de cinéma ! Au programme, le film de votre choix en famille et un bon moment de divertissement dans ce cinéma incontournable.

Modalités de participation :

Les gagnants seront désignés au sort lundi 8 novembre 2021. Les places sont à récupérer au sein de la rédaction à Avignon.

Tous les films à l’affiche, les prochaines avant-premières et les informations pratiques : cliquez ici.

Les films à l’affiche

L.M.


Jeu concours : vos places de cinéma au ‘Capitole studios’

En octobre, les premiers ateliers lancent l’orchestre Démos Avignon Provence. Ce projet de démocratisation culturelle s’adresse à des enfants issus prioritairement de quartiers populaires afin de les initier à la pratique musicale en orchestre.

L’Orchestre National Avignon-Provence rejoint la cinquantaine d’orchestres en France qui participe au projet Démos, initié par la Philharmonie de Paris. Le projet Démos Avignon-Provence débute cette saison, pour une durée de trois ans.

Création et mise-en-place de l’orchestre Démos

La Cité éducative d’Avignon s’engage auprès de l’Orchestre National Avignon-Provence en coordination avec les centres socio-culturels des quartiers politique de la ville avec le soutien du Fonds de dotation Mommessin- Berger pour constituer un orchestre Démos dans 6 écoles situées en zone REP + (Réseau d’éducation prioritaire).

Ils participent

Les écoles participant à ce dispositif sont : Les Olivades, La Trillade, Stuart Mill, Les Grands cyprès, Pierre de Coubertin, Jean-Henri Fabre. Les structures sociales sont l’Espace social et culturel de la Croix des oiseaux, l’Espace pluriel centre social et culturel de la Rocade, les Centres sociaux la Fenêtre de Saint-Chamand et de la Grange d’Orel.

Trois ans de pratique instrumentale avec la bienveillance de Debora Waldman

Le dispositif dans le détail ? 6 groupes de 15 enfants parrainés par les solistes de l’Orchestre National Avignon-Provence, ; Des binômes d’artistes professionnels accompagnés par un acteur social pour chaque groupe ; 2 ateliers de pratique par semaine et 1 concert par an ; Des instruments que les enfants pourront garder s’ils continuent à pratiquer : violon, alto, violoncelle, contrebasse, trompette, trombone, euphonium, flûte, clarinette, basson.

La pédagogie Démos

Démos privilégie l’apprentissage collectif qui favorise à la fois le plaisir, le lien social et la musicalité. Aussi le jeu en orchestre offre d’emblée des résultats musicaux intéressants et motivants. D’abord l’entrée dans la musique se fait directement par la pratique. En effet il s’agit de jouer ensemble des pièces de différents répertoires, classiques et de musiques du monde, arrangées et adaptées au niveau des enfants.Les notions théoriques (lectures, écriture…) sont intégrées progressivement à partir de la fin de la 1ère année. Ensuite la pratique du chant et de la danse favorise une approche corporelle de la musique et de l’instrument au bénéfice de l’expression artistique.

Démos en chiffres

4 orchestres à la création du programme en 2010, plus de 50 aujourd’hui ; Près de 10 000 enfants bénéficiaires depuis 2010 ; 265 000€ de budget global par orchestre chaque année ; Le financement des orchestres est réparti entre l’État, les collectivités territoriales, les Caisses d’allocation familiales et les communautés de mécènes ;  150 concerts de restitution depuis le lancement ; Plus de 1 500 professionnels actuellement impliqués ; 120 heures de pratique par an pour chaque enfant ; 50% d’enfants qui continuent la pratique musicale à l’issue du programme.
Autre article sur ce même sujet ici.
MH

Projet Démos au Philarmonique Démos © Bertrand Desprez

Jeu concours : vos places de cinéma au ‘Capitole studios’

Du 2 novembre au 10 décembre, la ville d’Avignon soutient l’opération ‘Stérilisation des chats domestiques’ impulsée par le Collectif vauclusien et les vétérinaires avignonnais.

Grâce à la mobilisation d’un grand nombre de vétérinaires, rendez-vous chez certains d’entre eux afin de bénéficier de tarifs attractifs et solidaires. Une remise de près de 20 % : de quoi convaincre les propriétaires de chats de les stériliser… sans aucun doute la meilleure façon de les protéger. Sollicités, les bailleurs sociaux ont eux aussi répondu favorablement à cette opération de sensibilisation auprès des habitants. De quoi convaincre les propriétaires de chats de les faire stériliser.

Liste des vétérinaires participant à l’opération :

  • Docteur CONTE (04 90 14 47 70)
  • Clinique Vétérinaire CAP-SUD (04 90 88 54 97)
  • Clinique Vétérinaire de l’OLIVIER (04 32 44 84 66)
  • Clinique Vétérinaire du PIGEONNIER (04 90 32 13 93)
  • Clinique Vétérinaire SAINT-MICHEL (04 90 82 61 79)
  • Clinique Vétérinaire du SOLEIL (04 90 13 20 00)
  • Clinique Vétérinaire VETAVIGNON (04 90 82 40 27)
Annonce de la campagne de stérilisation. Crédit photo: ville d’Avignon.

L.M.


Jeu concours : vos places de cinéma au ‘Capitole studios’

Véronique Baton, la directrice du Grenier à sel, a été distinguée parmi les 100 femmes de culture de l’année 2021. Ce prix a été remis le 14 octobre 2021 au Palais de Tokyo, par l’association Femmes de Culture. 

Il récompense des femmes qui ont marqué la culture en 2021, parmi lesquelles Véronique Baton, directrice du Grenier à sel. Historienne de l’art, Véronique Baton a été successivement conservatrice à la Fondation Cartier et à la Collection Lambert à Avignon puis directrice du Miam. Attentive à la création émergente, elle est à l’initiative de nombreux projets et commissariats d’expositions en France et à l’étranger, visant à promouvoir les jeunes artistes et les nouveaux périmètres artistiques. Elle est actuellement directrice du Grenier à sel à Avignon, qui explore les pratiques artistiques collaboratives, reposant sur la forte perméabilité entre création artistique, domaines scientifiques et nouvelles technologies. 

Précisions

L’association des femmes de culture était représentée par son Président fondateur Stéphan Paris et par un jury composé de Muriel Beyer, Hélène Fulgence, Leïla Kaddour-Bouddadi, Audrey Leprince, Muriel Mayette-Holtz et Rosalie Varda, sous le marrainage de Patricia Barbizet.

En ce moment

En ce moment le grenier à sel propose ‘Lumière espace temps’ avec 14 artistes contemporains réunis en hommage à un pionner des arts cybernétiques et életrconiques, Nicolas Schöffer. Au programme de cette sélection : 35 œuvres, parmi lesquelles des œuvres cinétiques, sculptures lumineuses, vidéos, tableaux interactif et robotique.

Egalement

Le grenier à sel propose ‘Jeune public, le coin des minots’. Les ateliers font écho à l’exposition en cours, pour initier les enfants de 6 à 12 ans aux liens entre l’art et la science. Au programme : Light painting, Stop motion, Code, Boîtes à lumières. Chaque samedi matin et pendant les vacances.

Entrée libre

Le grenier à sel. Du mercredi au samedi de 13h30 à 18h30. 2, rue du rempart Saint-Lazare à Avignon. 04 32 74 05 31 accueil@legrenierasel-avignon.fr et legrenierasel-avignon.fr
MH


Jeu concours : vos places de cinéma au ‘Capitole studios’

Ils seront trois pianistes. Pour trois concerts d’hier et d’aujourd’hui.

Elodie Sablier, issue des Conservatoires de Lyon et de Paris où elle obtient les premiers prix de piano et musique de chambre, en parallèle de l’école de jazz de Valence, a composé deux albums en Australie et un troisième en France : Graine de Sable.

Roland Conil, pianiste concertiste, issu des Conservatoires d’Avignon et de Genève, a longtemps enseigné au Conservatoire de musique du Grand Avignon. Il a joué pour l’Olrap, Musicatreiez et sous la direction de Pierre Boulez.

Julien Gelas, compositeur et pianiste a débuté sa carrière de concertiste en Chine. Son premier album solo «L’éclaircie» a donné lieu  à de grandes tournées qui ont rassemblé des milliers de spectateurs.

Des nouvelles compositions originales de nos pianistes

Un voyage parmi les compositions contemporaines de ces trois musiciens ayant parcouru le monde… Mais Mozart, Bach, Debussy, Scriabine et Schumann seront également au programme de cette soirée.
Samedi 30 octobre. 20h30.10 à 23 €. Théâtre du Chêne Noir. 8 bis, rue Sainte Catherine. 04 90 86 58 11. www.chenenoir.fr


Jeu concours : vos places de cinéma au ‘Capitole studios’

Le transporteur NTL-France vient d’installer sa 3e  agence à Avignon. C’est la 1ère  dans le Sud-Est. Marie Lillaud est la nouvelle directrice de l’agence et est accompagnée de Mallory Ghiringhelli, responsable du service route. Les bureaux se trouvent 145, rue du 12e régiment de Zouaves, quartier de Courtine à Avignon.

Pour Erwan Moyon, directeur général de NTL France, « La région PACA (Provence-Alpes-Côte d’Azur) nous semblait une évidence pour implanter une nouvelle agence. Avignon demeure un carrefour de la Méditerranée et nous souhaitons développer une clientèle de proximité. Nous avons donc fait le choix de Marie et Mallory, natifs de la région, qui partagent notre vision et les valeurs humaines de notre groupe. »
NTL-France fait partie du Groupe ED-Trans qui a également ouvert une autre agence à Besançon. Le groupe prépare de nouvelles implantations dans les mois à venir, dans le cadre de son plan de développement Expand 2025.

A propos de NTL-France

L’entreprise NTL-France spécialisée en transport national et international, a été créée en 2011. Elle est installée à Nantes et Pau et compte 20 salariés. Elle mise sur une relation de proximité et sur la qualité de sa flotte de camion et de ses partenaires pour proposer à ses clients le transport express, maritime et aérien. Depuis 2017, elle fait partie du Groupe ED-Trans, commissionnaire de référence dont le siège social se situe au Mans.
NTL-84 145, rue du 12e régiment de Zouaves à Avignon 04 49 23 03 40 marie.lillaud@ntl-france.com
MH


Jeu concours : vos places de cinéma au ‘Capitole studios’

18 agences Manpower de la région Sud, dont celle d’Avignon, poursuivent l’opération de recrutement ‘Le vendredi du BTP’, afin de recruter près de 500 candidats dans le secteur du Bâtiment et des travaux publics.

Afin de répondre à la forte reprise d’activité dans ce secteur, cette journée portes ouvertes se tient chaque dernier vendredi du mois. Le vendredi 29 octobre se tiendra ainsi la 13e édition dans le Sud.

Quels postes ?

Les équipes Manpower rencontreront des candidats afin de répondre aux enjeux des entreprises locales qui peinent à recruter dans le secteur du BTP. Différents postes en CDI, CDI Intérimaire, CDD, Interim et alternance sont à pourvoir : maçons, maçons VRD (Voirie et réseaux divers), conducteurs de travaux, plombiers chauffagistes, manœuvres, manœuvres TP (Travaux publics), menuisiers, chefs de chantier, canalisateurs, coffreurs bancheurs, plombiers, plaquistes, menuisiers poseurs, chefs d’équipe, peintres en bâtiment, conducteurs d’engins.

Quel programme ?

Lors de cette journée, les candidats pourront échanger avec les agents de talents Manpower, découvrir les différentes opportunités d’emploi dans les métiers du BTP de leur région, et seront invités à faire du parrainage et de la cooptation. « Le secteur du BTP reprend des couleurs malgré la crise sanitaire. Les profils en travaux publics sont légèrement moins recherchés, et un fléchissement est apparu à l’automne en raison de cette année atypique qui a empêché le déploiement d’appels d’offre. Mais la dynamique de reprise est bien là, de grands projets sont à venir, et le constat de pénurie de compétences dans le secteur de la construction reste très présent », indique Nicolas Paillier, directeur de la Région Sud de Manpower.

Agence Manpower Avignon BTP et maintenance : 6 avenue de la gare, Avignon. Plus d’informations sur les offres de Manpower France, cliquez ici.

L.M.


Jeu concours : vos places de cinéma au ‘Capitole studios’

Philippe Lechat vient de cesser ses activités d’expert-comptable et de commissaire aux comptes auprès d’Axiome Provence. Cet ancien Marxiste qui voulait savoir pourquoi les pays sont riches ou pauvres et pourquoi cela est aussi vrai pour les hommes va continuer d’écrire ses romans. Mais là, tout de suite, il dit ce qu’il a vécu, connu et ce vers quoi il va cheminer. Rencontre.

«Pourquoi ai-je choisi cette profession ? Quand j’étais jeune, j’étais Marxiste. Ce qui m’intéressait ? Savoir pourquoi il y avait des gens riches et des gens pauvres, des pays riches et des pays pauvres. J’ai rencontré un expert-comptable qui était un ami de mes parents. Il m’a dit : ‘Si tu veux savoir pourquoi les pays sont riches ou pauvres il te faudra faire de l’économie et pour savoir pourquoi les gens sont riches ou pauvres, en France, il te faudra faire expert-comptable. Ainsi tu verras comment se créent des fortunes, pourquoi des gens déposent le bilan, tu seras au cœur de la micro-économie’. Et cela m’a intéressé.»

Ce que m’a appris mon métier ?

«Que les chefs d’entreprise sont, en général et même pour un ancien Marxiste, honnêtes, sympathiques et qu’ils essaient de développer leurs activités pour l’ensemble de l’économie. Ils sont beaucoup plus partageurs que ce que j’imaginais et que les gens s’imaginent, enfin, les meilleurs, ceux qui développent leur entreprise savent s’entourer. Ceux qui ne savent pas s’entourer ? Ils restent seuls, travaillent avec deux, trois personnes et créent et font perdurer de toutes petites entreprises.» 

Savoir s’entourer ?

«Quel que soit le secteur d’activité, c’est bien choisir ses collaborateurs : un bon expert-comptable, un avocat, une boîte de communication, consulter un ingénieur pour régler les problèmes techniques s’il y en a. Le métier d’entrepreneur ? C’est de coordonner des talents.»

Les forces et faiblesses de mon métier ?

«La force ? C’est rencontrer des gens intéressants et contribuer au développement de leur activité et donc à celui de l’économie locale. La faiblesse ? C’est passer beaucoup de temps à faire le travail de l’administration : remplir des déclarations et des formulaires. On est pour un quart de notre temps auxiliaire de l’administration, des impôts et de l’Urssaf (Union de recouvrement des cotisations de sécurité sociale et d’allocations familiales.»

Le problème ?

«Les gouvernements successifs nomment des ‘monsieur simplification des formalités’ qui sont énarques. Ils ne connaissent pas le terrain. Au lieu de simplifier, ils mettent au point des systèmes encore plus complexes. Un exemple ? Le bulletin de salaire. Il y a 30 ans celui-ci s’inscrivait sur ½ page, puis il a fait une page, puis certains bulletins de paie ont fait deux pages. Leur solution a été alors de regrouper plusieurs lignes sur une seule. A l’édition, le bulletin n’a plus fait qu’une page mais toute sa complexité a demeuré. La simplification est ultra complexe et nécessiterait, sans doute, d’inviter les experts-comptables dans le tour de table de la simplification.»

Passer le relai 

«Passer le relai à l’aube de la retraite ? Il y a comme un deuil, un changement de cap intellectuel à opérer, une décision à prendre : ‘Je vais arrêter à telle date’. Après on en parle autour de soi pour s’obliger à faire ce que l’on a dit. Puis on prend un peu de temps, on s’entoure de personnes bienveillantes qui connaissent cette problématique parce qu’elle n’arrive qu’une fois ou deux dans la vie d’un entrepreneur. Un chef d’entreprise n’est pas expérimenté en matière de vente ou de cession de son entreprise à ses enfants lorsqu’il s’agit d’entreprises familiales. J’ai mis trois ans à céder mon cabinet, entre le moment où j’ai trouvé mes successeurs et où j’ai arrêté vraiment. Le passage de relai a été assez long.»

Quand et pourquoi je suis devenu chef d’entreprise ?

«J’ai créé ma boîte à 30 ans. Je voulais être indépendant financièrement et ne rendre de compte à personne. Je suis rentré à l’époque dans le réseau Axiome qui était plus ‘petit’ qu’aujourd’hui. J’ai discuté avec mes confrères devenus associés puis des amis. Lorsque j’avais une question je savais à qui m’adresser et la réponse était aussi rapide que bienveillante. Ce qui m’a permis de développer le cabinet ? Cet écosystème. Puis ça a été la venue, dans le cabinet, de professionnels avec lesquels je travaillais. Je les ai embauchés puis ils sont devenus des associés. Chacun apportait son talent et croisait ses connaissances avec les autres : l’un sur les associations, l’autre sur les professions libérales…»

Conjuguer les talents pour développer l’entreprise copyright Freepik

La réussite qui m’a le plus marqué ?

«Alors que j’étais tout jeune expert-comptable, une jeune-femme est venue solliciter mon avis sur son projet. Elle était simple vendeuse de vêtements dans une boutique et avait rencontré une entreprise italienne qui vendait des pulls. Elle avait adoré leurs produits et venait me consulter pour monter son entreprise. Nous avons trouvé un tout petit local, nous nous sommes battus pour trouver de l’argent et j’ai beaucoup travaillé sur ce projet. Elle a ouvert la première boutique Benetton en Bretagne. Ça a été un succès extraordinaire.»

Réussite et croissance

«Quatre-cinq ans après elle possédait six boutiques. Cette petite vendeuse payée au Smic dans un magasin ‘pas terrible’ était devenue chef d’entreprise et avait embauché des directrices de magasin. Cette réussite m’a beaucoup touché car cette jeune-femme modeste, qui élevait seule son enfant, était restée aussi simple que sympathique. Elle se souvenait de ce qu’elle avait vécu et avait constitué une équipe de vendeuses à son image. Ce qui m’a ému ? Qu’elle ait construit une belle réussite à partir de rien et dans des conditions difficiles. Alors je me suis dit : C‘est ça que je veux faire !»

La boutique porte-bonheur

«Je suis retourné à Rennes cet été, dans cette toute petite boutique. Ce n’était plus elle. J’y ai trouvé une jeune-femme qui sortait du confinement. Je lui ai raconté l’histoire et lui ai souhaité autant de réussite. Lorsque je la quittais un immense sourire se dessinait sur son visage parce qu’elle était dans la boutique qui portait bonheur.»

Et maintenant ?

«Je vais écrire mon troisième roman, m’occuper de mes petits-enfants et voyager avec mon épouse maintenant que c’est possible : Italie, Afrique, Japon, Etats-Unis où nous descendrons la route N°1 entre Vancouver et Los Angeles. Nous partirons en Camping-Car et nous donnerons rendez-vous aux enfants, à la famille, aux copains à différents endroits de la route en disant ; ‘Venez nous rejoindre’. »  

Mes romans

«C’est une série : l’histoire d’un capitaine qui travaille à l’OCBC (Office central de lutte contre le trafic de biens culturels) et voyage partout dans le monde. L’homme se déplace en Afrique, en Asie, en Amérique pour retrouver l’origine des objets volés et lutter contre les trafiquants d’art. Le premier roman ‘Just a mountain’ se passait en Amérique du Sud, au Pérou et au Chili, le deuxième en Afrique avec une histoire autour du Mont Kilimandjaro et le troisième au Vietnam pour une histoire entre le Vietnam du nord en 1950 et la communauté Hmong dont nous avons ici, quelques représentants, et la politique française dans le sud de la France.»

Comment je procède ?

«Je fais beaucoup de recherches historiques sur Internet et j’évoque des endroits que j’ai visité, dont j’ai ressenti et mémorisé l’ambiance. Ai-je confronté mes écrits à la réalité ? J’ai bientôt rendez-vous avec un vrai capitaine de la vraie OCBC. Je vais profiter de cette expérience.»

Comment je me suis lancé ?

«C’était un pari avec les enfants qui me disaient : ‘Il faut que tu écrives un livre !’ J’ai dit : ‘Ok, il sera écrit pour Noël !’ Je donne des rendez-vous et il faut que je tienne le délai ! Le premier ouvrage était intéressant. J’ai mis trois ans pour écrire le deuxième parce que je travaillais. J’écrivais le soir, le week-end, pendant les vacances, mais c’était compliqué parce qu’il fallait du temps pour rentrer dans l’histoire. Une amie m’a prêté sa grande maison où le téléphone ne passe pas. J’y passais deux ou trois jours. J’ai aussi bénéficié d’un stage chez Gallimard qui m’a beaucoup aidé. Ce que j’y ai appris ? Qu’il faut écrire 10 pages pour en conserver une.»


Jeu concours : vos places de cinéma au ‘Capitole studios’

Trois copines Brigitte Ferren, Sophie Roux et Noelle Réal s’apprêtent à participer au Rose trip Maroc, un trek aventure 100% féminin et pédestre du 28 octobre au 2 novembre 2021. Durant six jours les trois pink’opines participeront à cette randonnée pédestre d’orientation au cœur des grands espaces désertiques et sauvage du Maroc. La randonnée étant éco responsable les filles devront conserver leur propre déchets et ramasser ceux qui se tiendront sur le route jusqu’aux points de ravitaillement. La promesse de ce désert tour ? Se perdre pour mieux se retrouver. Un séjour à la fois sportif, solidaire et méditatif.

Qui sont-elles ?

«Moi, c’est Sophie ! Emportée par l’enthousiasme d’une amie tout juste rentrée duRose Trip Maroc 2019, une nuit m’a suffi pour rêver de cette aventure et me dire: et pourquoi pas moi ? Glissant timidement cette idée à l’oreille amusée de chacune de mes deux amies Noëlle et Brigitte,cela s’est vite transformé en Yes we can! Et voilà, grâce à leur enthousiasme, quelques jours plus tard nous étions inscrites pour l’édition d’octobre 2021 sous le dossard 49 ! Notre équipe s’appelle les ‘Pink’opines’ comme notre association Loi 1901.»

Une rando au Maroc

Le trek Rose Trip Maroc est une randonnée nomade féminine et solidaire au cœur du désert marocain, qui se déroulera du 28 octobre au 2 novembre 2021. Par équipes de trois, les participantes s’envoleront pour cinq jours d’aventure dont trois jours d’étapes et un challenge solidaire, entièrement dédiés au lâcher prise et au dépaysement. Rose Trip Maroc est une aventure pédestre réservée aux femmes en quête d’aventures et de dépassement de soi. Néophytes et expertes de trek sont les bienvenues sur la ligne de départ.

Les Pink’opines, c’est qui ?

C’est Brigitte Ferren, 57 ans, pharmacien. Ses passions : la musique, la lecture, l’engagement associatif…  Ses loisirs : les concerts, le cinéma, les jeux de société entre amis, les voyages… Sa qualité pour l’aventure : curieuse et décidée.  Sa citation : « l’éternité c’est long, et surtout à la fin. »
Sophie Roux, 52 ans, assistante de direction. Ses passions : la lecture, les découvertes, les moments passés en famille … Ses loisirs : le ski, le jogging, la moto, les expos,…  Sa qualité pour l’aventure : ‘le goût du partage ; je suis discrète mais tenace !’ Sa citation préférée : « Certains veulent que ça arrive, d’autres aimeraient que ça arrive et d’autres font que ça arrive.»
Noëlle Réal, 49 ans, Chargée de communication chez Réal Communication. Ses passions : «Tout ce qui fait du bien ! Et notamment les bonnes tables. » Ses loisirs : «La mer, les amies, la lecture, sorties… » Sa qualité pour l’aventure : «L’insouciance !»  Sa citation : «Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait !»

Collecter des fonds

«Nous souhaitons collecter des fonds pour soutenir l’association avignonnaise ‘Vivre Comme Avant’ qui œuvre pour le bien-être des femmes atteintes d’un cancer du Sein et nous aider à boucler le budget du trek.» Pour participer c’est ici.

Vivre comme avant

Jeudi 21 octobre, l’association Les Pink’opines composée de Brigitte Ferren, Sophie Roux et Noëlle Real, a remis un chèque de 1000€ à Maïté Sanchez, référente Vaucluse de l’antenne nationale « Vivre comme Avant ». Cette association vient en aide, moralement, aux patientes souffrant d’un cancer du sein. Les bénévoles de Vivre comme avant sont toutes d’anciennes opérées du sein et savent mieux que personne accompagner les femmes touchées par la maladie.

Remise de chèque

Cette remise de chèque s’est déroulée au restaurant La Coquille à Villeneuve-lez-Avignon qui accueille chaque année, bénévolement, un repas en faveur d’Octobre Rose. Le menu, tout rose, a été concocté par Les Assiettes de Monik, une cheffe à domicile basée dans le Luberon. Ce chèque est le fruit des recettes de la soirée ainsi que de la tombola des Pink’opines, qui s’envolent vers les dunes du désert marocain pour le Trek rose Trip du 28 octobre au 2 novembre avec cette maxime : « c’est bien beau d’avoir du cœur, maintenant il va falloir avoir des jambes! ».
MH

https://echodumardi.com/tag/avignon/page/133/   1/1