22 novembre 2024 |

Ecrit par le 22 novembre 2024

Le Vaucluse mis en lumière dans la prochaine émission La Carte aux trésors sur France 3

Le mercredi 20 juillet à 21h, l’émission La Carte au Trésors, présentée par Cyril Féraud sur la chaîne télévisée France 3, se déroulera en Vaucluse. L’épisode a été tourné l’année dernière en partenariat avec Vaucluse Provence Attractivité, le Conseil départemental de Vaucluse et les offices de tourisme vauclusiens.

Ce jeu d’aventure et de découverte du patrimoine oppose deux candidats qui s’affrontent dans une course d’orientation. Ils doivent résoudre trois énigmes afin de trouver la rose des vents et d’accéder au trésor : l’énigme sans hélico, l’énigme à un seul vol et l’indice bonus.

Et comment démarrer le jeu en Vaucluse sans partir d’un véritable symbole du département : le pont d’Avignon. La zone de jeu va donc débuter au pont Saint-Bénézet et va s’étendre de Vaison-la-Romaine au Nord, jusqu’à Lourmarin au Sud. Bien entendu, d’autres lieux emblématiques du Vaucluse seront explorés et survolés en hélicoptère tels que le Mont Ventoux et le massif du Luberon. Il se pourrait même que certains événements connus de tous les Vauclusiens fassent une petite apparition surprise !

Une visibilité considérable

Chaque émission de la Carte aux trésors réunit bon nombre de téléspectateurs. L’émission enregistre des performances croissantes depuis 2018 avec plus de 3 millions de visionnages grâce aux diffusions, replays, et rediffusions. Tout au long du jeu, nous pourront admirer des vues aériennes du département, des focus culturels et patrimoniaux ainsi que des mini reportages.

Ainsi, la Carte aux trésors se présentent comme un atout considérable pour la visibilité du département et pour son attraction. Telle est l’ambition de Vaucluse Provence Attractivité, d’attirer toujours plus de monde en Vaucluse, notamment les Français qui sont en forte demande d’évasion au sein du pays depuis la crise sanitaire.

L’impact environnemental

Conscientes et soucieuses de leur empreinte carbone, notamment à cause des hélicoptères, les équipes de la Carte aux trésors soulignent qu’elles compensent totalement les émissions via des crédits carbones certifiés ainsi que des plantations d’arbres sur le territoire français, et recourent à un mode de vol axé sur la sobriété énergétique et respectueux de l’environnement, en particulier de la faune.

V.A.


Le Vaucluse mis en lumière dans la prochaine émission La Carte aux trésors sur France 3

Présidé par Michel Gontard, Grand Delta Habitat (GDH) est dirigé par Xavier Sordelet (INSEEC Bordeaux) depuis 2012. A ce titre, il pilote le comité de direction de la plus grande coopérative de logements sociaux de France où figure également Lionel François (ISEM Montpellier), directeur administratif et financier depuis 2006, ainsi que Georges Lemaire (ISEC Aix-en-Provence), secrétaire général depuis 2014 et également directeur de la filiale Axédia, coopérative spécialisée dans l’accession à la propriété.
 
Ce comité comprend également Jean-Luc Bondon (ESTP), nouveau directeur développement & patrimoine de ce bailleur disposant d’un parc de plus de 21 000 logements répartis dans 142 communes, 7 départements et 3 régions, ainsi que Remi Marti, rentrée en 2004 au sein de la coopérative et aujourd’hui directeur, depuis 2017, des services locatifs en lien avec les 50 000 locataires de GDH.
 
Lucas Beaujolin (Ecole d’urbanisme de Paris), Directeur Commercial depuis 2019, Jérôme Vieudrin (DUT informatique de gestion), directeur des systèmes d’information depuis 2016 et Stéphane Leroy (Université de la Rochelle), directeur des relations institutionnelles complètent le comité de direction du bailleur qui a mené 954 livraisons-acquisitions en 2020 et lancé 1 200 ordres de services pour la réalisation de logements supplémentaires. En 2020, les 360 collaborateurs de GDH ont réalisé un chiffre d’affaires de 124 M€ pour un résultat net de 20,7M€.

Le Vaucluse mis en lumière dans la prochaine émission La Carte aux trésors sur France 3

Dirigé en France par son directeur général Jean-François Petit (58 ans – ESTACA, HEC Paris) depuis 2018, le groupe britannique RES (Renewable energy systems Ltd) est la plus grande entreprise indépendante d’énergies renouvelables au monde spécialisée dans l’éolien terrestre et offshore, le solaire, le stockage et la transmission et distribution d’électricité (plus de 20 GW de projets à travers le monde pour un portefeuille d’actifs opérationnels de 7 GW). Présent sur le marché français depuis 1999, la division hexagonale est issue de la co-entreprise française Eole-Technologie et de RES. Implantée dans la zone de Courtine à Avignon, la société s’est longtemps appelée Eole-Res avant de devenir définitivement RES en 2015.

Au sein de son siège social (modèle d’environnement durable avec ses ombrières photovoltaïques, ses terrasses végétalisées, ses nombreux dispositifs de recyclage et même son potager !), le directeur général peut notamment s’appuyer sur son directeur financier & IT, Yann Bardet (37 ans – DSCG, ESARC Montpellier), son directeur des affaires publiques, Pascal Craplet (59 ans – ENA, INHES) ainsi que sa directrice juridique, Clémentine Huber (40 ans – HEC/ESCP-EAP, Barreau de Paris).

L’équipe de direction de cette entreprise ayant développé plus de 1,5 GW de projets éoliens et solaires depuis plus de 20 ans France (soit les besoins annuels en électricité de près de 2 million de personnes évitant l’émission de 1,7 million de tonnes de CO2), compte également dans ses rangs Martin Lemaistre (49 ans – Diplôme d’Etude Supérieures Comptables et Financières, DESS IAE d’Aix en Provence), en charge de la direction ‘Gestion d’actifs’, Jean-Luc Lopez (46 ans – Ecole nationale supérieur d’Arts et Métiers Paris tech) à la tête de la direction ‘Ingénierie & construction’ et Sébastien Mellinger (44 ans – Ecole d’ingénieurs du CESI Nantes, Master Spécialisé Management QSE) responsable HSE.

Julie Moreau (43 ans – Maîtrise LEA & commerce international Nantes, Master RH Avignon, Master Coaching professionnel Aix), directrice ‘RH, amélioration continue et innovation’, Céline Spitzhorn (46 ans – DESS, Université de Toulouse), directrice ‘Solaire’ et Francisco Varela (41 ans – Instituto tecnológico Buenos Aires, EUREC), directeur ‘Eolien & stockage’ et Ludovic Ferrer (39 ans – Mines Nancy/IFP School, IEP de Paris), nouveau responsable commercial complètent cette équipe de direction comptant 240 collaborateurs en France pour un chiffre d’affaires 2019 de 74,63M€.


Le Vaucluse mis en lumière dans la prochaine émission La Carte aux trésors sur France 3

La ville d’Avignon vient de retenir une SEM (Société d’économie mixte) de la Ville de Paris, la Semaest (Société d’économie mixte d’animation économique au service des territoires), afin de l’accompagner dans la préfiguration de sa future Foncière de commerce. Ce nouvel outil de service public devra permettre à la commune de réactiver les axes marchands en difficulté, de diversifier les secteurs touristiques, de soutenir les ‘polarités des faubourgs’ et de réguler le marché d’immobilier commercial.

Un outil d’action publique volontariste

« Face aux enjeux de redynamisation commerciale du centre-ville et dans le cadre de son plan de relance post-Covid, la Ville d’Avignon a décidé la mise en place d’une ‘Foncière commerce’, explique Cécile Helle, maire de la cité des papes. Le but de la création de cet outil est de se donner les moyens d’une action publique volontariste sur les secteurs qui en ont le plus besoin et sur lesquels les opérateurs économiques ne vont pas spontanément. »

« Renforcer la lutte contre la vacance commerciale. »

« La vocation de la Foncière commerce est en effet de maîtriser des locaux commerciaux afin de pouvoir y réaliser les travaux nécessaires et de proposer des loyers en adéquation avec le marché voire incitatifs pour redynamiser l’attractivité commerciale de certains secteurs », poursuit le maire.
Le dispositif vise ainsi à renforcer la lutte contre la vacance commerciale, organiser et déterminer au mieux  la nature des implantations commerciales, adapter l’offre immobilière aux nouveaux concepts commerciaux et réintroduire de la diversité commerciale ainsi que d’agir sur les niveaux des loyers commerciaux du marché.

 

Opérationnelle fin 2021

Dans premier temps, une étude préalable va être lancée visant à établir un diagnostic immobilier, visant à définir la stratégie d’intervention et le modèle économique de la future Foncière commerce.
« L’objectif est que la Foncière soit opérationnelle fin 2021, poursuit Cécile Helle. Un budget de 1M€ est dédié par la Ville à cette opération dans le cadre du Plan de Relance. Cette somme doit s’entendre comme une ‘mise de fonds’ destinée à l’amorçage du projet et susceptible de produire un effet levier auprès d’autres partenaires institutionnels (Banque des Territoires notamment), considérant qu’à terme la Foncière a vocation à trouver un modèle économique équilibré grâce aux recettes de location et de cession. »

« Un budget de 1M€. »

Ensuite, les rues ciblées en priorité seront déterminées en fonction des résultats du diagnostic immobilier et des impératifs liés à la recherche d’un modèle économique pérenne. Les axes de travail pressentis devraient viser à conforter les axes dynamiques ou redynamisés de l’Intramuros, accompagner les opérations d’aménagement public en intramuros, travailler et questionner les axes en difficulté, redynamiser les axes stratégiques (notamment Saint-Ruf et Monclar) ainsi que de conforter les polarités commerciale en Extramuros.

 

Le spécialiste de la revitalisation commerciale

Dirigée par Emmanuelle Hoss depuis 2017, la Semaest est spécialisée dans la revitalisation du commerce et de l’artisanat de proximité. A ce titre, elle a développé une expertise unique en matière de développement économique local. Grâce à son action, plus 650 locaux ont été réaffectés pour accueillir des commerçants et artisans indépendants.
« La Semaest favorise l’émergence d’une nouvelle économie de proximité et agit au quotidien en faveur de concepts innovants, porteurs de sens, de lien social et d’emploi local, mêlant savoir-faire traditionnels, commerces de bouche, culture, artisanat, métiers de création, espaces de co-working, économie sociale et solidaire, entreprises culturelles, design… », explique la Semaest dont l’action a permis de créer 1 500 emplois ainsi que de dédiés 16 200 m2 de locaux à l’artisanat à Paris et dans la région parisienne.
Créée en 1983 sous le nom initial de Société d’économie mixte d’équipement et d’aménagement du secteur Chalon, elle devient la Société d’économie mixte d’aménagement de l’Est de Paris en 1987 avant d’être définitivement dénommée Société d’économie mixte d’animation économique au service des territoires.

 

 

 


Le Vaucluse mis en lumière dans la prochaine émission La Carte aux trésors sur France 3

Touchés par la crise du Covid-19 les professionnels de l’acte de bâtir réunis au sein de la Fédération du bâtiment et des travaux publics de Vaucluse bataillent afin que les collectivités donnent, en urgence, le coup d’envoi des travaux. Une nécessité pour que les entreprises et les équipes restent à l’œuvre. 

C’était au tour de Cécile Helle, maire d’Avignon, de répondre à l’invitation de la Fédération du BTP de Vaucluse pour un tour d’horizon des travaux à venir. Un défi d’autant plus relevé que les projets pour Avignon sont nombreux et dévoilent une vision rénovée de la ville avec plus de liens entre les quartiers, le développement de liaisons douces, plus d’arbres et de végétation, la construction de nouveaux quartiers –Cour des Doms et Joly Jean-, d’une école, le réaménagement de cours d’école et de lieux publics verdoyant –la Plaine des sports- ponctués d’espaces de sport et de jeux et la rénovation de 4 piscines.

2021 année moins éprouvante ?

«Je vous souhaite une année moins éprouvante que celle que nous avons vécue avec des difficultés rarement connues, a entamé Cécile Helle. C’est en étant dans l’entraide et la solidarité que l’on verra le bout de cette situation exceptionnelle qui se prolonge passant d’une crise sanitaire qui se poursuit à une crise économique.»

La crise Covid 19 a coûté 8,5M€ à la ville

Après un exposé de l’enquête interne menée par la Fédération du BTP 84 auprès des adhérents sur la conjoncture relatant l’inquiétude grandissante de la profession et de sérieuses difficultés à remplir le carnet de commande, Cécile Helle a défendu sa position.

«J’entends vos inquiétudes et celles de vos adhérents, j’ajoute que ça n’est pas une situation simple pour les collectivités qui portent les projets et la transformation de son territoire car il faut dégager des budgets d’investissement. La crise a aussi impacté les finances des collectivités, notamment en terme de protection et de soutien des personnes les plus fragiles. Ainsi, on estime son coût, pour Avignon, à 8,5M€. Beaucoup de ces dépenses dites de fonctionnement entamant le budget de l’investissement.»

250M€ d’investissement entre 2021 et 2026

«Cependant notre niveau d’investissement reste élevé, a rassuré le maire, avec 45M€ pour 2021, contre 35M€ entre 2008 et 2014. Nous sommes montés en puissance à partir de 2016 pour atteindre les 40 à 50M€ d’investissement par an, dédiés à la transformation de la ville. Nous allons voter un PPI (Plan pluriannuel d’investissement) 2021-2026, se montant à 250M€. Cet outil efficace dans l’anticipation budgétaire et la planification des projets se traduira par des appels d’offre et de l’activité pour les entreprises.»

2021 : les priorités

«Nous avons organisé l’année 2021 autour de priorités comme ‘Avignon terre d’ambition 2021-2030’ avec le NPNRU (Nouveau programme national de rénovation urbaine) qui entérine la phase opérationnelle de la requalification rénovation profonde des quartiers sud, nord-est d’Avignon, avec, outre des démolitions de bâtiments et la rénovation de logements, la requalification des espaces publics. Ce dispositif va transformer la vie, dans son quotidien, d’un Avignonnais sur 4,» a insisté l’édile.

Transfiguration de la ville

Cette transformation de la ville passe, notamment, par la transformation de la prison Sainte-Anne en intramuros en une résidence multifonctions appelée la Cour des Doms et la mise en conformité et en accessibilité de la Maison Jean Vilar. L’un des grands changements visibles sera le réaménagement du parking de la gare centre, laissant place à un véritable parvis, et surtout une liaison visuelle entre la gare et l’entrée de la ville par les remparts à l’horizon 2022. En revanche, le parking sera repensé et l’avenue Monclar nord réaménagée dès cette année. La construction de l’éco-quartier Joly Jean et de son école en sont à leurs balbutiements avec des permis de construire déposés. Les extensions des écoles Sainte-Catherine, Clos du noyer et Camille Claudel sont programmées pour recevoir des élèves de plus en plus nombreux.

Reconnexion des quartiers

Ainsi, les quartiers de la ville seront redessinés proposant la requalification et l’apaisement de l’avenue du Moulin Notre-Dame ; même chose pour la rue et la place Cabassole ; l’aménagement d’une liaison en mode doux entre les allées de l’Oulle et la Confluence ; la requalification et l’embellissement du parc Champfleury.

Prendre soin de la jeunesse

La municipalité reste attentive à la jeunesse avec son plan de végétalisation des cours d’écoles ; la rénovation du gymnase Philippe de Girard ; l’aménagement de la phase 2 de la Plaine des sports et la réhabilitation de la guinguette ; la future bibliothèque Jean-Louis Barrault ; la création d’une bibliothèque éphémère dans le parc du Clos de la Murette ; la rénovation du centre social de la Rocade, le plan piscine 2020-2024 pour la rénovation, après le stade nautique, de 4 autres piscines municipales telles que Jean Clément à Montfavet, Pierre Reyne en centre-ville, Chevalier de Folard dans les quartiers Sud et Stuart Mill dans le quartier Nord ; sans oublier le déploiement du plan vélo… En termes de sécurité un poste mutualisé de Police municipale et nationale dans les quartiers sud s’établira en rez-de-chaussée du bâtiment le Mistral à la Rocade.

En cliquant ici, voir le recensement des consultations concernant les travaux sur les 18 prochains mois.

Projet LIASON MODES DOUX OULLE à CONFLUENCE

Réactions

«Evoquant les élections de 2020 où de nombreuses équipes municipales ont changé, Christian Pons se félicite de l’exposé réalisé par madame le maire, «La bonne nouvelle pour Avignon est que l’équipe (Ndlr : municipale en place) continue de travailler. Dans ce que vous nous avez décrit, dont des projets inhérents au PPI et au NPNRU (Ndlr : qui affiche un retard de 6 mois pour cause de crise sanitaire), les nouvelles sont bonnes pour les travaux publics comme pour le bâtiment et à presque une hauteur de 50M€. Il y a une vraie vision de modernisation, de vrais projets.» Par ailleurs le président de l’interprofessionnelle a particulièrement insisté sur la nécessité d’engager rapidement les travaux. A la question ‘Allez-vous bénéficier du plan de relance octroyé par l’Etat ?’ Cécile Helle répond : «Nous nourrissons une étroite collaboration avec le préfet qui défend nos projets comme celui de la Guinguette qui va, effectivement, bénéficier de cette aide. Nous prenons également lien avec Julien Fraysse, sous-préfet à la relance pour le Vaucluse, afin de faire le point sur ce sujet et vérifier la possibilité de bénéficier d’aides supplémentaires. En effet, plus il m’est possible d’augmenter la participation d’autres partenaires à nos projets et plus il devient possible de libérer d’autres financements pour d’autres projets ou de les avancer. Nous avons, ainsi, obtenu 35% de financement sur les projets PNRU au lieu des 20% initialement prévus, ce qui pourrait être également possible pour le PPI passant de 20% à 30% de l’intervention de l’Etat.»

‘Urgence pour une relance constructive’

La Fédé du BTP de Vaucluse a rédigé un manifeste : ‘Urgence pour une relance constructive’ qui a été remis aux représentants de l’Etat, dont Julien Fraysse, aux acteurs politiques et économiques ainsi qu’aux donneurs d’ordre publics et privés. En cliquant ici, lire le manifeste.

Explication

Dans cette lettre publique adressée aux acteurs publics intervenant dans l’acte de bâtir, la Fédération du BTP de Vaucluse ne se contente pas de mettre en évidence les freins qui empêchent les professionnels à développer leur activité, elle propose également de simplifier et accélérer les procédures d’urbanisme, d’en réduire les délais d’autorisation, de lutter contre les recours abusifs…

Au titre des freins, il est notamment question

De la surabondance des normes qui ont pour effet de renchérir les coûts de constructions, de retarder les projets et la mise en œuvre ; du manque de capacité d’autofinancement des communes et EPCI (Etablissement public de coopération intercommunale) ; De la règle des subventions aux collectivités locales a postériori de la réalisation des travaux les obligeant à recourir à l’emprunt…

Pour la construction neuve

Il est fait mention du durcissement des conditions d’octroi des prêts bancaires aux ménages modestes, primo-accédants, investisseurs particuliers ; Des délais de délivrance des autorisations d’urbanisme ; De l’absence de communication sur les aides à la rénovation énergétique auprès des ménage pour favoriser la transition énergétique.

Tous ensemble

Cette lettre d’intention a été promptement approuvée et co-signée par le Conseil régional de l’ordre des architectes, le Syndicat des architectes de Vaucluse, le Cinov (Fédération des syndicats des métiers de la prestation intellectuelle du Conseil, de l’Ingénierie et du Numérique) Paca-Corse, Pôle habitat FFP (Fédération Française du paysage) région paca-Corse et l’UNGE (Union nationale des géomètres-experts) 84, la Capeb (Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment) 84 et la Fédération française du paysage Paca-Corse.


Le Vaucluse mis en lumière dans la prochaine émission La Carte aux trésors sur France 3

Cheval passion qui aura lieu du 12 au 16 mai 2021, au parc des expositions d’Avignon, vient d’ouvrir la billetterie du salon et des Crinières d’or, permettant aux amoureux de l’univers équestre et de sa culture, d’acquérir leurs places dès maintenant.

Le grand retour de la Garde républicaine

Fait majeur, le Gala des Crinières d’Or 2021 signe le grand retour du régiment de cavalerie de la Garde Républicaine et accueille les créations des artistes cavaliers Laurent Douziech, Caroline Osmont, Benoît Soumille, Laury Tisseur, Renaud Vinuesa et Gari Zoher.

Au programme

Au programme de cette 36e édition printanière, 1 200 chevaux, 250 stands d’exposition, 12 carrières, le Grand Club, le Cabaret équestre et ses restaurants, un riche programme de concours et de démonstrations, de nombreuses animations sur les pistes extérieures.

Un événement majeur

Le salon Cheval Passion est l’un des tout premiers événements équestres de France. Traditionnellement organisé en janvier, le salon a été reporté au mois de mai, pendant le week-end de l’Ascension, en raison de la crise sanitaire.

Organisation

Cheval Passion est organisé par Avignon Tourisme avec le soutien de ses partenaires : la Ville d’Avignon, le Grand Avignon, le Département de Vaucluse, la Région Sud, la Fédération Française d’Équitation, le Comité Régional d’Équitation Provence Côte d’Azur, l’Institut Français du Cheval et de l’Équitation et les Entreprises partenaires.

Infos pratiques

Cheval passion du 12 au 16 mai 2021, Parc des Expos d’Avignon. Organisation et renseignements : Avignon Tourisme – Tél. 04 90 27 51 00 – www.cheval-passion.com

Réservations

Réservations salon et gala des Crinières d’Or : 08 92 05 30 05. Points de vente habituels : Fnac, Auchan, Leclerc, Cultura, Carrefour, Ticket Master, etc. Réservations Groupes, Grand Avignon, PMR (personnes à mobilité réduite), Comités d’entreprises, Centres équestres : 06 18 65 33 96. A retrouver sur cheval-passion.com/billetterie

Tarifs

Billets remboursés en cas d’annulation. Entrée salon de 13 à 16€ (frais de location 2€ inclus)  Gratuit moins de 3 ans. Entrée tarif plein : 16€. Entrée tarif Licencié FFE : 14€. Entrée tarif réduit : 13€. Le tarif réduit comprend les enfants de moins de 12 ans, les groupes à partir de 10 personnes en pré-vente, hors séance de spectacle du samedi soir à 20h30.

Gala des Crinières d’Or 

5 représentations : Jeudi 13 mai à 20h30, vendredi 14 mai à 20h30, samedi 15 mai à 15h et à 20h30 et dimanche 16 mai à 15h.Tarifs de 28€ à 50€ (frais de location 2€ inclus) selon catégorie choisie : 1re catégorie : 50€ (tarif réduit : 45€), seconde catégorie : 41€ (tarif réduit : 36€), Générale : 31€ (tarif réduit : 28€). Forfait (salon + spectacle) : prix de la place de spectacle + 11€


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Avignon aura connu une saison estivale contrastée avec un mois de juillet plombé par l’annulation du festival et un rebond en août. Retour sur ce bilan mitigé avec Arnaud Pignol, directeur général d’Avignon-Tourisme.

Après le record de fréquentation de l’an dernier (670 000 visiteurs), Avignon tombe de haut avec la crise sanitaire. En juillet, après l’annulation des Festivals ‘In’ et ‘Off’, -48% pour le palais des papes (43 500 entrées), -41% pour le Pont (53 500). En août, léger sursaut, avec 60 500 touristes dans le plus grand palais gothique d’Europe et 52 600 sur le Pont St-Bénézet, dont une majorité de français (88%) et une clientèle étrangère venue majoritairement de Belgique, d’Allemagne et des Pays-Bas.

Mais avec la progression de la pandémie et le classement en ‘Zone rouge’ de la Région Sud Provence- Alpes-Côte d’Azur début-septembre, le pourcentage des voyages organisés par les tour-opérateurs a dégringolé de… 95%, selon VPA (Vaucluse Provence attractivité), l’agence de développement du tourisme du département qui vient de publier son bilan pour le Vaucluse : -27% de fréquentation globale et -4,5 millions de nuitées pour l’été 2020.

« Nous avons dû nous réinventer, être créatifs. »

« L’activité partielle des 150 salariés d’Avignon Tourisme a été adaptée. Certains secteurs ne se sont jamais arrêtés (sécurité, entretien). Mais les congrès ont été moins nombreux, l’exploitation a baissé, sur la trentaine de guides-conférenciers, seuls deux en CDI (Contrat à durée indéterminé) ont travaillé, tous les autres, les plus précaires, les jobs d’été, les extras, les conférenciers, les CDD n’ont pas eu de contrat, explique avec gravité Arnaud Pignol, le directeur  général d’Avignon-Tourisme. Avec la Ville d’Avignon et le Grand Avignon, qui sont cautions de notre structure, nous devons modifier les budgets prévisionnels, reporter les charges, décaler les investissements, maximaliser les produits, bref, nous renouveler, nous réinventer, être créatifs. »

« Hélios : 120 000 spectateurs l’an dernier, 300 000 cette année. »

« De nouveaux programmes d’animations ont été lancés dans l’urgence, comme ‘Hélios’, le spectacle de lumières qui a attiré 300 000 spectateurs (120 000 en 2019), nous avons inauguré des soirées-apéro ‘Un verre au jardin’ sur les pelouses pontificales, nous avons décalé ‘Altera Rosa’ à l’automne avec une scénographie qui a drainé plus de 2 500 amateurs, une formule qui pourrait être pérennisée. Le salon ‘Soupapes’ au parc des expositions de Châteaublanc a enregistré 9 000 entrées de fans de motos en 4 jours. Le week-end dernier, avec le début des vacances de la Toussaint, on a assisté à un frémissement de la fréquentation, 600 touristes par jour contre 200 la semaine dernière. Ils viennent de Bretagne, d’Alsace, d’Auvergne, d’Occitanie, de Côte d’Azur. »

Carine Mériaux, directrice de la communication à Avignon-Tourisme, ajoute : « Le 25 octobre, pour la journée ‘Tous à l’opéra’, en partenariat avec les artistes du Grand Avignon, nous avons proposé une visite différente du palais des papes. Nous devons rester positifs, utiliser tous les outils que nous avons à notre disposition et valoriser nos richesses pour attirer des touristes. C’est notre rôle de participer à l’envie des gens de ne pas s’arrêter de vivre à cause du virus. »

Avec la Préfecture, Avignon-Tourisme a signé un protocole de base pour la location du parc des expositions ou de la salle des Congrès, à chaque évolution de la pandémie et des restrictions dues à l’état d’alerte renforcée, il est modifié. Pour l’instant ‘Le salon de l’habitat’, à la fin du mois à Châteaublanc est maintenu. On s’active également pour l’organisation de la 36e édition de Cheval passion en janvier qui est d’habitude le coup d’envoi de la saison touristique dans la cité des papes.


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Avignon, le Théâtre de la condition des soies accueille l’enfant terrible, Philippe Caubère, avec lui on redécouvre Alphonse Daudet, l’auteur chéri de notre enfance, dès le 15 juillet.

Philippe Caubère. Acteur et comédien de renom mais pas seulement. Celui qui se bat pour que la Corrida reste dans notre culture et que l’on ne doive pas nous empêcher d’y aller et d’aimer regarder Eros et Thanatos se livrer bataille dans l’arène, même s’il on est un enfant. Il est aussi celui qui ose dire qu’il fréquente les dames qui vendent leur charme, parce qu’il les aura approchées toute sa vie, n’en déplaise à messieurs et mesdames les censeurs et à la Loi aussi. Un homme vertical, construit comme çà, une bibliothèque sur pattes, aussi.

70 ans au compteur, droit dans ses bottes

70 ans au compteur, droit dans ses bottes. Sa vie ? Un roman. Comment approcher le bougre ? En faisant comme le petit poucet tout d’abord. En s’immisçant sur Youtube. Chaque vidéo nous en dit un peu plus sur lui. Puis, paf, là, tout de suite, on a drôlement envie de le rencontrer pour de vrai. Et pour approcher l’animal dans ce qu’il a de plus vrai il n’y aura que la scène. Un plateau nu. Une chaise. Des costumes d’époque. Lui sur le plateau. Lumière et tout un monde éclot.

Entretien

Dehors le soleil cogne déjà sévère. Il arrive avec plusieurs bouquins sous le bras. «J’avais un peu de temps avant l’interview alors j’ai été chercher des bouquins. Là, juste devant les Halles, vous connaissez ? » « Oui.» Il y a des ouvrages d’Alphonse Daudet, de Frédéric Mistral, son maître et ami. Des biographies, de quoi poser les grands artistes dans leur contexte pour mieux les incarner. «Vous avez remarqué que lorsque l’on lit un texte, quand celui-ci est donné en lecture -ou joué- on y met au jour ce que l’on n’avait pas discerné avant ?» « Oui, c’est magique.»

«J’avais envie de renouer avec Alphonse Daudet, ce grand écrivain provençal»

Comment tout a commencé ?

Sur une colline, dans l’ancienne demeure de ses grands-parents, puis de ses parents, que le comédien Philippe Caubère s’est imprégné d’Alphonse Daudet donnant la vie à deux spectacles : «Comme un retour sur mon enfance et peut-être celle des spectateurs qui viendront les découvrir avec leurs enfants et petits-enfants. Ces spectacles peuvent être appréhendés à partir de 7,8 ans, mais les textes s’adressent tout autant aux adultes car Alphonse Daudet n’a pas écrit que des textes légers et amusants mais aussi des textes puissants qui révèlent une réalité parfois sombre.»

J’ai relu Alphonse Daudet

«J’ai relu les œuvres d’Alphonse Daudet il y a un an de cela, par simple curiosité, comme ça, pour voir si je ressentirais le même plaisir, le même trouble que pendant mon enfance, relate Philippe Caubère. Emporté par la force de cette écriture, de cette pensée, par ce sens du drame et de la comédie, l’idée m’est venue d’en faire un spectacle. Et même deux différents pour que l’œuvre puisse être donnée dans sa plus grande partie, sans que chacune des deux soirées ne dure trop longtemps.»

J’avais envie de m’amuser

«J’avais envie de m’amuser, comme celle d’amuser et de toucher les autres, petits et grands. Egalement, après ‘Adieu Ferdinand’, je savais qu’un vide se ferait sentir et qu’il me faudrait quelque chose de fort pour ne pas y sombrer ; qui me ramène à l’enfance, la mienne comme celle de tout le monde. L’enfance de l’art aussi.»

Des histoires, des personnages, des paysages et des accents

«Voilà, juste ça, des histoires, des paysages, des personnages, des accents. Et un pays, le mien : la Provence. En assistant à un spectacle à la Condition des Soies, l’idée du spectacle s’est concrétisée. ‘On dirait un moulin!’, me suis-je dit. Et…toc ! Le lien s’est fait. Il se trouve que ce lieu a pour moi une histoire particulière : j’y ai créé mon premier spectacle en solo, La Danse du Diable, en 1981.»

Théâtre à vendre

«Quelques années plus tard, son ancienne propriétaire m’a dit au téléphone : «Je dois me séparer du théâtre, vous êtes la seule personne à qui je voudrais le vendre !» —«Vous me touchez et m’honorez», lui répondis-je —«hélas, je ne pense pas que j’aurais les moyens de réaliser votre vœu. Je connais quelqu’un, en revanche, qui les aura peut-être…»  C’est ainsi qu’Anthéa Sogno et sa famille décidèrent d’acheter le lieu et d’y réaliser les travaux qu’il fallait pour rendre à cet endroit, devenu presque un taudis, sa splendeur originelle. Depuis, le théâtre fonctionne du feu de Dieu et je devais y créer les deux spectacles cet été, au Festival.»

Pour Théodora

«Et puis… Et puis. Sauf que, voilà, l’impossible, non, l’impensable, s’est produit : on peut jouer ! Moins de fois que prévu certes, sans le barouf habituel —tant mieux! —, ni le public non plus —tant pis. On fera sans, c’est à dire avec qui sera là. Mais le théâtre aura lieu et le spectacle verra le jour où je voulais, où je le voyais. Ah, j’oubliais ! Anthéa est la mère de ma fille, Théodora, à qui je dédie ces deux soirées.» 

Fin d’entretien

«Vous avez tous les renseignements que vous vouliez ?» «Oui.» Il se replonge dans ses livres qu’il ouvre avec sérieux, comme on ouvre un cadeau précieux. Son corps est là, assis sur le banc, accoudé à l’immense table en chêne. Ses mains empoignent les pages déjà usés par d’autres. Son âme parcourt déjà les lignes et d’autres destins s’animent derrière ses yeux. Il est l’insatiable. L’enfant de cette maman si spéciale qu’il aurait sans doute aimée s’il l’avait rencontrée ; l’étudiant entré au Théâtre du Soleil et le grand ami de la grande Ariane Mnouchkine.

Quelque chose à ajouter ?

«Oui, insistez sur le fait que ce n’est pas une lecture ! C’est vraiment joué !» «Ça a dû être incroyablement difficile à apprendre tous ces textes, non ?» Il se raidit, un brin surpris, même plus interloqué. «C’est mon métier ! Le BA ba c’est d’apprendre son texte !» Puis il se pose, réfléchit. Silence. «Oui, parce que l’écriture d’Alphonse Daudet est très simple et que l’on dit facilement un mot pour un autre et moi je veux être précis. Dire les mots du texte. Alors oui, cela a été plus dur que je ne le pensais. L’écriture d’Alphonse Daudet est si belle et parait si simple. C’est parce qu’il utilise les mots du quotidien mais c’est mon métier !» «Autre chose ?» « Oui. Venez tous, venez tous !»

 

Les infos pratiques

1er spectacle, les mercredi 15, samedi 18, mardi 21 et vendredi 24 juillet, durée 1h30, reprenant : Installation, La diligence de Beaucaire, Le secret de Maître Cornille, La chèvre de Monsieur Seguin, L’Arlésienne, La légende de l’homme à la cervelle d’or, (Le curé de Cucugnan), Le poète Mistral.

2e spectacle, vendredi 17, dimanche 19, mercredi 22 et samedi 25 juillet, durée 1h30. La mule du Pape, Les deux auberges, (Le curé de Cucugnan), Les trois messes basses, L’élixir du révérend père Gaucher, Nostalgie de casernes. 10 € adultes et 5 € moins de 20 ans. Réservation et renseignements : 06 66 04 00 61 & 04 90 22 48 43 Condition des soies. 13, rue de la Croix à Avignon. www.conditiondessoies.com


Le Vaucluse mis en lumière dans la prochaine émission La Carte aux trésors sur France 3

Selon un sondage réalisé pour le compte de la plateforme de recrutement par intérim Qapa, 11 % des Français souhaiteraient prendre leurs vacances dans la région Provence Alpes-Côte d’Azur. La Région Sud arrive ainsi en 4e position de ce classement des intentions de destination après la Bretagne (22 %), l’Occitanie (16 %) et Auvergne Rhône-Alpes (12 %).

Dans le même temps, cette consultation auprès de 4,5 millions de candidats et 135 000 recruteurs de la plateforme constate que 78 % d’entre eux déclarent qu’ils prendront des congés cet été. Seulement 12 % n’en auront pas et 10 %sont encore dans l’expectative.

Par ailleurs, malgré la crise économique ils sont 82 % à préférer partir en vacances plutôt que de continuer à travailler pour récupérer un peu plus d’argent suite à leur manque d’activité ou leur chômage partiel.

Période de crise sanitaire oblige, ils sont cependant seulement 6 % à envisager des vacances estivales pleinement sereines. Ainsi, 87 % des Français porteront un masque pendant leurs vacances mais uniquement en présence d’autres personnes et dans les lieux publics et 2 % le garderont toute la journée. Pour les 11 % restants, pas question de se voiler la face.

Où veulent partir les Français cet été :

https://echodumardi.com/tag/avignon-attractivite/   1/1