‘Avec ou sans enfants ?’ en avant-première au Capitole en présence des acteurs
Ce samedi 25 janvier, le cinéma Capitole MyCinewest, situé au Pontet, diffusera la comédie Avec ou sans enfants ? d’Elsa Blayau en présence de l’équipe du film.
Quand Pio et Anaïs annoncent leur mariage à leurs amis, c’est clair : ce sera SANS enfants. Trois jours de fête en perspective ! Mais quand leur bande de potes débarque AVEC les enfants, pensant pouvoir les cacher aux mariés, les catastrophes vont vite arriver…
Tel est le synopsis de la nouvelle comédie Avec ou Sans enfants ? qui sera projetée en avant-première ce week-end au cinéma Capitole MyCinewest. Le film d’Elsa Blayau, avec les acteurs Bertrand Usclat, Rayane Bensetti, ou encore Tiphaine Daviot, sera dans toutes les salles de cinéma françaises à partir du mercredi 19 février. Des peluches seront à gagner lors de l’avant-première durant laquelle sera également organisé un lancer de bouquet, comme le veut la tradition lors d’un mariage.
Réservation en ligne ou sur place. Samedi 25 janvier. 16h. Capitole MyCinewest. 161 Avenue de Saint-Tronquet. Le Pontet.
‘Avec ou sans enfants ?’ en avant-première au Capitole en présence des acteurs
C’est le 51ᵉ long-métrage tourné par le réalisateur qui a fêté ses 87 ans le 30 octobre dernier et qui est venu avec Kad Merad le présenter au Pontet, d’abord aux journalistes vauclusiens à l’Auberge de Cassagne, puis au public venu en foule au cinéma Capitole MyCinewest du Tronquet.
« Le cinéma, c’est mieux que la vie », martèle cette légende vivante du 7ᵉ art qui, depuis plus de 60 ans, observe, scrute le genre humain. « Il me fascine avec toutes ses contradictions, à la fois merveilleux et râleur », commente-t-il. Claude Lelouch qui a suivi à moto les coureurs du Tour de France en 1965, qui a décroché la Palme d’Or sur la Croisette à Cannes avec Un homme et une femme, qui a filmé les Jeux Olympiques de Grenoble en 1968 et les descentes victorieuses de Jean-Claude Killy, d’Annie Famose, des sœurs Goitschel, qui a réalisé les premiers clips (à l’époque on parlait de ‘Scopitone’) de Johnny Hallyday, Sylvie Vartan, Françoise Hardy, Claude François, Dalida et Sheila.
Pour Finalement, une fable musicale avec une partition composée par le trompettiste Abrahim Maalouf et des chansons de Didier Barbelivien. « La musique parle à notre cœur, le scénario à notre cœur », précise le réalisateur. Le pitch du film ? Un avocat, Lino (toute ressemblance avec Lino Ventura ne serait pas fortuite), campé par Kad Merad, plaque tout à la suite d’un problème de santé, une forme de dégénérescence. Il lâche les amarres, jette à l’eau son portable, empoigne sa trompette et part tout seul avec son sac à dos dans une itinérance qui l’amène de Paris au Mont Saint-Michel, aux plages du débarquement, au Mans, dans les environs de Béziers et dans la multitude bigarrée d’Avignon, en plein festival. C’est là, au rythme de ses déambulations qu’il redécouvre les vraies valeurs, l’amour, l’amitié.
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Au fil des séquences, Claude Lelouch fait une série d’allusions, de références, de clins d’yeux à ses anciens films, comme si, au terme d’une vie tout entière vouée au cinéma, la boucle était bouclée. « Je veux remercier le public qui me suit depuis si longtemps, a-t-il confié dans les salons feutrés de l’Auberge de Cassagne. À 87 ans, je vais bientôt franchir la ligne d’arrivée, mais je suis un boulimique de la vie, peut-être ferai-je un autre film, le 52ᵉ ? Mais ça prend de l’énergie, du temps d’imaginer une histoire, un sénario, de tout écrire, de réunir les fonds, de faire le casting, de repérer les lieux, de tourner, de monter, de trouver un compositeur, de mixer la musique et les images. Je filme comme je respire, je me définis davantage comme un ‘metteur en vie qu’un metteur en scène’. »
Kad Merad l’avoue : « Grâce à la caméra de Claude Lelouch, je me trouve presque beau dans ce film et l’aventure a débuté par hasard. Au lendemain de mon mariage, en Bourgogne, dans le train qui me ramenait à Paris, j’ai rencontré sa femme (l’écrivain Valérie Perrin) et je lui ai confié que mon rêve était de tourner avec lui. Elle l’a appelée et grâce à elle, mon souhait s’est réalisé. D’ailleurs, je porte la veste de Claude dans le film ». Il poursuit : « Tourner avec lui, c’est être sur le qui-vive en permanence. Il faut être disponible, à l’écoute, en fonction de la lumière, du soleil, de la couleur du ciel. C’est un bonheur, c’est spontané, on ne sent pas la fatigue, c’est la fête, on est comme des gamins dans la cour de récréation. »
Claude Lelouch qui « en a gros sur la patate », pousse une gueulante contre tous les interdits de notre société : « On ne peut plus fumer, boire, conduire. Du coup dans mon film Kad-Lino, qui n’en peut plus des contraintes, des obligations, il veut se faire plaisir, briser les barrières, les tabous, les frontières en tous genres, il rencontre son rêve. »
Une des scènes du film tournées à Avignon.
Et son voyage l’amène à quitter sa femme (Elsa Zylberstein), sa maman (Françoise Fabian), son ami d’enfance (Michel Boujenah), ses enfants pour tomber sur une fermière (Françoise Gillard de la Comédie Française), son mari (interprété par Firmin Gruss, le fils d’Alexis qui vit à Piolenc), à découvrir qu’il a une sœur (Sandrine Bonnaire).
« Finalement, tout ce qui nous arrive, c’est pour notre bien, insiste Claude Lelouch. Le mal est l’inventeur du bien, le chaos est un fertilisateur, le phénix renaît de ses cendres. Mes héros, que ce soit Ventura, Belmondo, Brel ou Trintignant n’ont jamais eu peur de rien. »
Pourquoi Avignon ? « Au départ, je voulais tourner à Venise pendant le carnaval, mais les gens que j’ai rencontrés sur place étaient tellement prétentieux et exigeants, que j’ai laissé tomber les gondoles. En revanche, souvent, je suis venu voir jouer ma fille Salomé qui fait du théâtre, en juillet. J’ai vu et partagé cette ferveur pendant le festival d’Avignon. Quand tout le monde vibre pour cette passion des mots, cette folie des sentiments, cette créativité, cette chaleur au sens propre comme au sens figuré, cette joie de vivre. Les comédiens sont des athlètes et je me dois de filmer leur beauté. On n’est pas au cinéma, on est dans la vraie vie, Rue de la République, Place de l’Horloge comme sur la Bartelasse. »
Scène du film durant laquelle on peut apercevoir le Rhône et le Pont Saint-Bénezet.
« Dans la vie, il y a plus de héros anonymes que de gros dégueulasses, plus de résistants que de collaborateurs, plus de Jean Moulin que de Lacombe Lucien (film tourné en 1974 par Louis Malle dans le Lot et qui parle d’héroïsme et de lâcheté pendant l’occupation nazie) », conclut Claude Lelouch qui, à 87 ans, continue de croire en l’homme, son supplément d’âme et sa générosité.
‘Avec ou sans enfants ?’ en avant-première au Capitole en présence des acteurs
Le samedi 21 septembre 2024, l’avant-première du film « Challenger » qui sortira officiellement le 23 octobre dans toutes les salles de France, se tiendra au cinéma vauclusien Capitole MyCinewest. Le long-métrage de Varante Soudjian avec Alban Ivanov, Audrey Pirault et Moussa Maaskri relate l’histoire de Luka, un jeune homme qui rêve de devenir un grand boxeur mais qui se contente de combats amateurs pour le moment jusqu’au jour où le destin frappe à sa porte.
Pour cette avant-première qui aura lieu ce samedi à partir de 17h, le public aura la chance de rencontrer et d’échanger avec le réalisateur ainsi que les acteurs principaux, Alban Ivanov, Soso Maness (pour l’un de ses premiers rôles au cinéma) et l’actrice Audrey Pirault. Pour réserver votre place, cliquez ici.
Infos Pratiques : Avant-première de « Challenger ». Samedi 21 septembre 2024, 17h. Cinéma Capitole MyCinewest. 161 Avenue de Saint-Tronquet. Le Pontet.
‘Avec ou sans enfants ?’ en avant-première au Capitole en présence des acteurs
Dimanche 7 juillet, au cinéma Capitole Mycinewest, aura lieu la kids ciné-party. Au programme, dès 10h débuteront des animations dans le hall, un quizz sera proposé afin de gagner des cadeaux dans la salle. Par la suite, sera diffusé en avant-première le quatrième opus du film Moi, Moche et Méchant.
Pour la première fois en sept ans, Gru, le super méchant le plus populaire du monde, devenu super agent de l’Agence Vigilance de Lynx, revient dans un nouveau chapitre aussi hilarant que chaotique de la célébrissime saga d’illumination : MOI, MOCHE ET MÉCHANT 4. Gru, Lucy et les filles, Margo, Edith et Agnès accueillent le petit dernier de la famille, Gru Junior, qui semble n’avoir qu’une passion : faire tourner son père en bourrique. Mais Gru est confronté à un nouvel ennemi, Maxime Le Mal qui, avec l’aide de sa petite amie, la fatale Valentina, va obliger toute la famille à fuir.
‘Avec ou sans enfants ?’ en avant-première au Capitole en présence des acteurs
Jeune fille cherche maison douce où pratiquer son piano fait la part belle aux voix de femmes
À la mort de Framboise, Myrtille revisite l’appartement de son amie et retrouve le piano, la contrebasse et toutes les partitions qui ont tant compté pour elles.
Guidée par le fantôme de cette vieille bourgeoise fantasque, et à travers les chansons d’Anne Sylvestre, Brigitte Fontaine, Barbara, Yvette Guilbert, Dalida, Juliette, la jeune pianiste retrace les étapes importantes de la vie de la défunte, les bribes d’une existence de femme toutes aussi intimes qu’universelles.
À la découverte des icônes de la chanson française mise en scène par Amandine Sroussi
« À partir d’une sélection de chansons qui nous ont émues depuis toujours, qui nous ont suivies parfois depuis notre enfance, nous avons imaginé des personnages, puis des phrases, puis des dialogues et enfin une histoire. Les notes et les paroles d’icônes de la chanson française comme tremplin à l’imaginaire de vies que nous n’avons jamais eues et qui pourtant nous sont intimes », nous confie l’autrice et metteuse en scène Amandine Sroussi.
Au programme
Anne Sylvestre : J’avais raison, non, tu n’as pas de nom, douce maison. Brigitte Fontaine : La côtelette, dévaste-moi. Dalida : Histoire d’un amour. Frida Kahlo : Tu mérites un amour. Juliette – Yvette Guilbert : Quand on vous aime comme ça. Barbara : Une petite cantate. Et d’autres surprises de Céline Dion, Bach, Beyoncé, Liszt, Chopin
Samedi 1er Juin. 19h15. Quartier Luna. Le coin de la Lune. 24 rue Buffon. Avignon. 04 12 29 01 24.
‘Avec ou sans enfants ?’ en avant-première au Capitole en présence des acteurs
Elle ne m’a rien dit, d’après l’histoire vraie de Hager et Ahlam Sehili
Strasbourg, quartier Hautepierre. Samedi 17 avril 2010 à 14h52. La jeune Ahlam Sehili meurt assassinée sous les coups de son conjoint. Puis, il se défenestra après avoir commis son acte. Scène terrible… Pourtant, le drame aurait pu être évité, car la veille de cette tragédie meurtrière, Ahlam s’était rendue au Commissariat dans le but de porter plainte pour les violences conjugales qu’elle subissait et les menaces de mort qui pesaient sur elle depuis des mois.
Au-delà d’un féminicide, Elle ne m’a rien dit est l’histoire d’un amour inconditionnel entre deux sœurs
En effet, ce spectacle est né de la rencontre entre Hager Sehili la sœur d’Ahlam et Hakim Djaziri, auteur et metteur en scène de la pièce. Car, au-delà d’être la sœur d’une victime, elle est aussi la première (et seule) personne en France à ce jour à avoir fait condamner l’État pour « dysfonctionnement du service public de la justice » et pour « faute lourde » pour faire suite au meurtre de sa cadette. Ce spectacle, c’est aussi l’histoire d’un combat qui a duré onze ans avant cette décision juridique historique.
Ce spectacle sera joué du 29 juin au 21 juillet 2024 à 22h30 à La Factory/Théâtre de l’Oulle.
Samedi 18 mai. 20h. 15 et 20€. La Factory/Théâtre de l’Oulle. Rue de la Plaisance. 09 74 74 64 90 / lafactory.booking@gmail.com
‘Avec ou sans enfants ?’ en avant-première au Capitole en présence des acteurs
Dans le cadre du festival Les Rencontres du Sud, qui a lieu à Avignon du lundi 18 au samedi 23 mars, le cinéma Capitole MyCinewest, situé au Pontet, diffusera en avant-première la nouvelle œuvre d’Ivan Calbérac N’avoue jamais, en présence de l’équipe du film, le mercredi 20 mars. Le film, qui réunit André Dussollier, Sabine Azéma et Thierry Lhermitte, sortira dans toutes les salles le 24 avril.
La comédie suit François Marsault, un ancien haut gradé de la marine qui est très attaché aux traditions. Seulement, lorsqu’il apprend que son épouse l’a trompé 40 ans plus tôt, une seule solution s’offre à lui : divorcer. Mais à 73 ans et après 50 ans de mariage, ça n’est pas si simple…
Réservations en ligne ou sur place. Mercredi 20 mars. 19h30. Cinéma Capitole MyCinewest. 161 Avenue de Saint-Tronquet. Le Pontet.
V.A.
‘Avec ou sans enfants ?’ en avant-première au Capitole en présence des acteurs
Ce samedi 2 mars, le cinéma Capitole MyCinewest, situé au Pontet, vous proposera de découvrir en avant-première le nouvel opus de la saga autour du personnage emblématique de Ducobu. Intitulé ‘Ducobu passe au vert’, ce nouveau film sera diffusé en présence de l’acteur et réalisateur Elie Semoun.
Dans ce nouvel opus, Ducobu (Damien Pauwels) souhaite prendre une année sabbatique pour sauver la planète, mais surtout pour sécher l’école. Mais Latouche (Elie Semoun) ne compte pas le laisser faire si facilement.
Réservation en ligne ou sur place. Samedi 2 mars. 16h45. Cinéma Capitole MyCinewest. 161 Avenue de Saint-Tronquet. Le Pontet.
V.A.
‘Avec ou sans enfants ?’ en avant-première au Capitole en présence des acteurs
2 millions de spectateurs avaient vu le premier opus de Kev Adams en 2022 alors que sortait le livre-bombe de Victor Castanet Les fossoyeurs sur les maisons de retraite et les mauvais traitements infligés aux personnes âgées dans les Ehpad du Groupe Orpéa. Du coup, Kev Adams, l’icône des ados dans Soda qui a aujourd’hui 32 ans est reparti dans une suite avec une brochette d’acteurs séniors. Certes, au générique cette fois on ne retrouve ni Mylène Demongeot, ni Gérard Depardieu. Mais Jean Réno en directeur de maison de retraite, Daniel Prévost en geek compulsif branché sur ‘Tik Viok’ à la recherche de la femme de sa vie, Liliane Rovère et sa tignasse blonde en pétard, Chantal Ladesou en colonelle qui éructe sur son fauteuil roulant, Amanda Lear en ‘Barbie’ virevoltante, Firmine Richard en antillaise folle de cuisine pimentée, Michel Jonasz nostalgique de Molière et Enrico Macias sourd qui hurle de longue.
Au départ, Kev Adams a une vraie empathie pour les personnes âgées. « J’ai été élevé par mes grands-parents, ils venaient me chercher à l’école, ils me faisaient faire les devoirs, on avait une relation fusionnelle », explique-t-il. Et après le succès de ‘Maison de Retraite 1’, il propose de retrouver les pensionnaires séniors et les jeunes orphelins. Sauf que l’établissement qui les accueille doit fermer faute de rénovation et de remise aux normes. Il accepte donc l’invitation d’un propriétaire d’Ehpad de luxe dans le Sud de la France et il emmène tout son petit monde en vacances en bus dans le Var.
Et là, juniors et séniors sont accueillis dans une villa de rêve, au Pradet, à l’Est de Toulon, au bord de la Méditerranée, face aux Îles d’Or, Port-Cros et Porquerolles. Un paysage de carte postale de la Riviera. Hélas, une guerre va éclater entre eux et les anciens pensionnaires qui n’acceptent pas ces nouveaux venus. Un genre de ‘West Side Story’ à la française. Mais rassurez-vous, tout est bien qui finit bien dans le meilleur des mondes et le long-métrage se conclut par une ‘happy end’.
Dans ‘Maison de retraite 2’, on retrouve les valeurs chères à Kev Adams : relations transgénérationnelles, humanité, humour, solidarité, tendresse, bienveillance, espièglerie, climat bon-enfant. Il évoque les soucis du grand âge : surdité, mémoire défaillante, dégénérescence, perte d’autonomie. Il rend hommage aux soignants « mal payés, qui font bien leur job, ne comptent pas leurs heures, se dévouent corps et âme pour les aînés. » Mais rejouer la carte Vermeil des séniors présente quelques inconvénients. Comique de répétition lassant, caricature de l’homosexualité, vieilles gloires qui surjouent, cabotinent. Ces papys et mamies font de la résistance pour tromper l’ennui, certes, mais on oscille entre guimauve et ras-des-pâquerettes.
Vendredi soir, le cinéma Capitole MyCinewest du Pontet, était plein comme un œuf pour accueillir Kev Adams en amont de la projection. Le film, sorti le 14 février, a déjà été vu par près de 150 000 spectateurs lors des avant-premières en France. Familial et sympathique, il va sans doute trouver son public, mais battra-t-il le record des 2 millions de ‘Maison de Retraite 1’, pas sûr…