25 août 2024 |

Ecrit par le 25 août 2024

Arles, ‘invitation à un diner indien’ comme si l’on était à Chandigarh

L’association Adaikalam propose un dîner-cinéma ‘Un dîner à Chandigarh’ à 19h, pour célébrer les noces singulières de l’Inde et du béton à la salle des ventes Alpines Camargue enchères, 33 boulevard Georges Clémenceau à Arles.
Pietradora, la marque de décoration en béton artisanal d’Anaïs Ariapouttry, fille de Ranga et Isabelle fondateurs d’Adaikalam- est à l’initiative de cette soirée.
Dans le cadre  du festival Arts et Cuisines Eté Indien, la projection du film d’Alain Tanner nous plongera dans la ville de Chandigarh construite en Inde par l’architecte Le Corbusier dans les années 1950.
Des œuvres en béton spécialement créées pour l’occasion seront exposées dans la salle et un repas de produits locaux camarguais cuisiné par Ranga vous sera servi sur des tables aux couleurs de Chandigarh.

Le programme
18h30 Accueil ; 19h Projection du film d’Alain Tanner ‘Une ville à Chandigarh’ datant de 1966 ; 20h15 Repas indien sur fond de musique indienne.

Tarif 35€ par personne.  Nombre de places limité. Réservation obligatoire sur Helloasso ici.  

Les bénéfices de la soirée sont destinés à l’association Adaikalam (le refuge en Tamoul) qui a créé à Pondichéry ‘La Maison d’Agathe’, qui accueille et subvient à l’éducation de 20 petites orphelines indiennes depuis plus de six ans.

En savoir plus
L’associationAdaïkalam a été fondée par Ranganathan, Isabelle et Anaïs Ariapouttry. Originaire de Pondichéry, Ranganathan enseigne le massage indien et le yoga en France depuis plus de 35 ans. Isabelle Sala, son épouse est médecin à Avignon. Anaïs leur fille est étudiante.
C’est à la mémoire de leur fille et sœur ainée Agathe partie à l’âge de 20 ans que cette association a été crée en lien avec son esprit de partage, de don de soi et sa double origine franco indienne.
Adaïkalam, association loi 1901, assure  le fonctionnement de ‘La maison d’Agathe’ à Pondichéry en Inde. Cette maison accueille depuis août 2017 des filles orphelines ou en très grande précarité à partir de six ans et jusqu’à leur autonomie. Elles sont entourées et accompagnées au quotidien dans le respect de leur culture, dans un lieu rassurant. Comme dans toutes les maisons, on mange, on dort, on fait ses devoirs, on joue. Mais on y apprend aussi la danse, le yoga ! Ranganathan est en lien au quotidien avec « la maison d’Agathe ». L’association Adaïkalam récolte donc des dons, met en place des parrainages et organise des événements : spectacles, projections de films… pour récolter les fonds nécessaires au fonctionnement de la maison d’Agathe.

Une ville fonctionnelle en Inde créé par Le Corbusier en 1951 et désormais ville-œuvre du grand architecte inscrite au patrimoine mondiale de l’Unesco


Arles, ‘invitation à un diner indien’ comme si l’on était à Chandigarh

La 32ème édition du Rallye Aïcha des Gazelles aura lieu en mars 2023, et deux Avignonnaises feront partie de la course : Audrey Reynaud et Clémentine Bouché-Bulle. Meilleures amies depuis plus de dix ans, toutes deux ont décidé de partir pour neuf jours d’aventure au cœur du désert marocain.

Audrey Reynaud est consultante SIRH en cabinet d’expertise et d’audit. Clémentine Bouché-Bulle, elle, est chargée de production dans le milieu du spectacle vivant. Originaires d’Avignon et ses alentours et âgées respectivement de 27 et 28 ans, toutes deux ont soif d’aventure, en particulier Clémentine. Elle qui, depuis petite, a une certaine appétence pour la conduite tout terrain, elle décide de lancer un pari fou à Audrey : participer au Rallye des Gazelles en 2023. « Je n’ai même pas réfléchi, j’ai tout de suite accepté, explique Audrey. Je suis toujours partante quand Clémentine me propose un nouveau défi. »

C’est ainsi que l’équipe des Gazelles de la Croix-Rousse, un nom en hommage au quartier lyonnais dans lequel elles vivent, est née. Cette course 100% féminine est le deuxième rallye le plus gros au monde après celui du Dakkar. L’équipe des deux Avignonnaises affrontera donc près de 190 autres équipes, toutes nationalités confondues, dans une course d’orientation, et non de vitesse. Ce sont donc près de 400 participantes qui seront livrées à elles-mêmes pendant neuf jours de course au milieu du désert marocain, pour ce rallye qui ne représente pas une simple course d’orientation.

Des enjeux environnementaux

Si à première vue, quand on pense à une course, on pense à la pollution qu’elle engendre, le Rallye des Gazelles, lui, est le seul qui détient la certification environnementale Iso 14001. Celle-ci s’inscrit dans le cadre du développement durable et regroupe une série d’engagements qui doivent être respectés pour satisfaire le système de management environnemental d’une organisation — ici du rallye — pour que celle-ci puisse être certifiée.

Ainsi, l’événement impose une charte que les participantes doivent respecter. De plus, cet engagement environnemental se traduit par différentes actions menées par les équipes et les participantes lors de la course comme la récupération du sable où l’essence a coulé, pour éviter que celle-ci ne stagne dans le désert et le pollue. Des camions incinérateurs suivent la course pour que les participantes puissent faire le tri de leurs déchets. Les équipes du rallye récupèrent également les bouteilles vides pour les remplir de sable afin de créer des bâtiments dans les villages marocains. « L’idée n’est pas de tout renverser et d’annuler ce genre de course mais de trouver des solutions alternatives pour mieux faire les choses et pour faire en sorte que l’événement ait lieu tout en ayant le plus faible impact écologique possible », explique Clémentine.

Une dimension caritative

Au-delà d’être une course, le Rallye des Gazelles a également une dimension caritative. L’association du rallye, Cœur de gazelle, dispose d’une caravane médicale qui suit les participantes pendant les neuf jours et qui passe dans tous les petits villages qui entourent le parcours pour délivrer des soins médicaux gratuitement. Plusieurs spécialités de médecine sont pratiquées : la médecine généraliste, l’ophtalmologie ou encore la gynécologie. Chaque année, environ 8000 consultations sont données gratuitement.

De plus, chaque équipe est libre de choisir une association à représenter. S’il leur reste une partie de leur budget à la fin du rallye, celle-ci sera reversée à l’association en question. Clémentine et Audrey ont choisi de représenter EndoFrance, une association qui lutte contre l’endométriose, une maladie gynécologique chronique encore trop méconnue qui touche environ 10% des femmes en âge de procréer en France, selon le Ministère de la Santé, c’est-à-dire entre 1,5 et 2,5 millions de femmes. Malgré cette prévalence importante, il faut encore en moyenne sept ans pour qu’un diagnostic soit posé.

« Étant moi-même atteinte de l’endométriose, c’était évident pour nous de participer à la sensibilisation autour de cette maladie. »

Audrey Reynaud

Ainsi, une convention de partenariat a été signée entre les gazelles de la Croix-Rousse et l’association EndoFrance. Les deux Avignonnaises ont l’accord de cette dernière pour parler de l’association, mais surtout pour en parler correctement sur leurs différents réseaux sociaux, ainsi qu’auprès de leurs partenaires. Le logo de l’association apparaitra donc sur le gilet et le véhicule des deux participantes lors de la course.

Un budget de plus de 40 000€

Afin de participer au Rallye des Gazelles, chaque équipe participante doit récolter un total de 40 425€ pour répondre aux besoins de la course. Si une grosse partie de ce budget correspond aux frais d’inscription qui s’élèvent à 14 800€, le reste représente les frais du matériel et des équipements nécessaires, du transport vers et depuis le Maroc ainsi que d’hébergement. Pour le moment, Audrey et Clémentine ont réussi à récolter environ 70% de ce budget. « Nous avons déjà validé notre inscription, donc c’est déjà une grosse partie de faite, développe Audrey. Maintenant on se concentre sur la seconde partie qui est plus conséquente. »

Pour atteindre leur objectif en terme de budget, le duo compte sur la participation de partenaires. En amont de la course, depuis la création de leur équipe en novembre dernier, les deux gazelles s’attèlent à se faire connaître et à attirer des partenaires.

« C’est un deuxième boulot à plein temps »

Clémentine Bouché-Bulle

Communication sur les réseaux sociaux et démarchage auprès de potentiels partenaires, les deux jeunes femmes ont un emploi du temps pour le moins chargé. Aujourd’hui, elles comptent une quinzaine de partenaires. Parmi eux : la Chocolaterie Castelain, le Domaine de Marcoux, la P’tite Villeneuvoise, le Mas Gourmand, et bien d’autres. Pendant la course, les logos de tous les partenaires apparaîtront sur les équipements des gazelles de la Croix-Rousse.

Une préparation physique et technique en amont

Clémentine et Audrey ont encore quelques mois pour se préparer à la course. En attendant, elles ont quelques stages, dont certains sont facultatifs et d’autres obligatoires, à suivre pour pouvoir être prêtes, mais aussi être sur un point d’égalité avec les autres participantes. Tout d’abord, elles peuvent suivre un stage d’orientation afin de savoir quelles directions prendre lors du rallye afin de valider le plus de balises possible en faisant le moins de kilomètres. En octobre prochain, elles devront effectuer un stage de pilotage directement sur place au Maroc pour être dans les mêmes conditions qu’au moment de la course. Enfin, les participantes peuvent également faire un stage de mécanique.

Si un entraînement physique en amont de la course n’est pas obligatoire, il est tout de même fortement recommandé. « Je serai beaucoup amené à marcher dans le sable, ce qui peut être très physique, afin de faire du repérage pour notre véhicule », explique Audrey, qui sera chargée de l’orientation. « J’ai également besoin d’être en forme physiquement pour conduire le véhicule toute la journée », ajoute Clémentine, qui sera chargée de la conduite.

« Rien que le fait de porter les équipements toute la journée, ça peut être très physique »

Clémentine Bouché-Bulle

Un événement très médiatisé

Le Rallye des Gazelles a une importante portée médiatique. Premièrement, ce sont les participantes qui appuient cette portée puisqu’elles assurent leur propre communication jusqu’au départ de la course. Clémentine et Audrey sont d’ailleurs très présentes au quotidien sur Instagram (@gazelle_de_croixrousse) et sur Facebook (Gazelles de la Croix-Rousse) pour montrer leur parcours en amont de la course mais aussi pour présenter leurs partenaires.

Une fois la course commencée, les internautes pourront suivre les différentes équipes directement sur internet, ou bien à travers un programme diffusé pendant tout le temps de l’événement sur M6. De nombreuses radios du monde entier diffuseront également l’avancée de la course, ce qui donnera de la visibilité à l’événement, aux participantes, à l’association Cœur des Gazelles, aux partenaires des participantes, ainsi qu’aux associations qu’elles ont choisi de représenter.

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©Rallye Aïcha des Gazelles

Arles, ‘invitation à un diner indien’ comme si l’on était à Chandigarh

Dans le cadre de l’opération ‘Légumes solidaires’, la ville d’Avignon organise un ramassage de pommes de terre le vendredi 5 août à 9h sur le site de l’association Semailles. Ces pommes de terre seront offertes aux associations caritatives avignonnaises, présentes sur place pour le ramassage, afin de les redistribuer aux plus démunis.

Lancée l’an dernier, l’opération ‘Légumes solidaires’, se déploie sur trois sites (lycée François Pétrarque, Pépinière municipale et Semaille) et mobilise lycéens, enseignants, bénévoles de la réserve citoyenne et associations. Une action qui s’inscrit dans le cadre des engagements solidaires portés par la ville d’Avignon et qui porte ses fruits. Ainsi, en 2021, ont été récoltés : 500 kg de courgettes à la Pépinière, 800kg de courgettes au lycée Pétrarque et 900 kg de pommes de terre ainsi que 70 courges à Semailles.

Vendredi 5 août, la ville d’Avignon renouvelle l’expérience et organise le ramassage de pommes de terre sur le site de l’association Semailles. Ces pommes de terre seront offertes aux associations caritatives avignonnaises, présentes sur place pour le ramassage, afin de les redistribuer aux plus démunis.

Dans le même esprit que les ‘Légumes solidaires’, la ville d’Avignon confie chaque année à une classe de primaire le soin de planter à la Pépinière municipale des courges destinées aux cantines avignonnaises. Là encore, le succès était au rendez-vous l’an dernier puisque 2 tonnes ont été collectées, soit l’équivalent de 12 000 repas.  

J.R.


Arles, ‘invitation à un diner indien’ comme si l’on était à Chandigarh

L’association vauclusienne Aprova organise le mercredi 6 avril une réunion en visioconférence pour présenter le Fonds de développement de la vie associative (FDVA) ainsi que ses appels à projet dans le département.

Le FDVA, dont la députée de la 1ère circonscription du Vaucluse Souad Zitouni vient d’être désignée membre titulaire pour sa commission régionale, a lancé sa campagne d’appel à projet en décembre dernier. Une campagne qui se terminera le 15 avril prochain pour le volet ‘formation’ mais se poursuivra pour les volets ‘fonctionnement’ et ‘innovation’. Pour l’occasion, l’association d’accompagnement aux associations du Vaucluse Aprova organise une réunion de présentation.

Co-animée par Lucie Facquet, déléguée départementale de la vie associative, cette réunion présentera les trois catégories d’appel à projet, les conditions d’éligibilité pour obtenir des fonds ainsi que l’intérêt du compte asso qui aide dans les démarches administratives. La réunion se clôturera avec une session questions/réponses. Pour y participer, il suffit de s’inscrire en ligne.

Mercredi 6 avril. 18h. Gratuit. Sur Zoom.

V.A.


Arles, ‘invitation à un diner indien’ comme si l’on était à Chandigarh

Toujours engagée dans des causes qui touchent la vie des Vauclusiens, la députée de la 1ère circonscription du Vaucluse Souad Zitouni vient d’être désignée membre titulaire de la commission régionale du Fonds pour le développement de la vie associative (FDVA).

Nommée par Richard Ferrand, le président de l’Assemblée nationale, Souad Zitouni est devenue membre titulaire de la commission régionale du FDVA. Ce dernier permet de soutenir les associations qui souhaitent développer la formation de leurs bénévoles, mais aussi leur fonctionnement et leurs projets innovants. Depuis le début de son mandat en mars 2020, la députée de la 1ère circonscription du Vaucluse a pris part à de nombreuses causes qui touchent, de près ou de loin, le département.

Entre la protection des enfants contre les écrans, la lutte pour la mise en place d’un système de santé à l’Université d’Avignon, ou encore son soutien envers le personnel des hôpitaux et des Ehpad, c’est tout naturellement que Souad Zitouni se tourne vers la vie associative du département. La députée se dit prête à « accompagner et soutenir financièrement le fonctionnement et les projets associatifs en Vaucluse au sein de la commission régionale. »

V.A.


Arles, ‘invitation à un diner indien’ comme si l’on était à Chandigarh

Aloïs et moi’ propose la vente de parures en laine et accessoires ce Samedi 4 décembre, au siège de l’association, porte D3, 19 boulevard Raspail à Avignon, dans une ambiance festive, de 11h à 20h. « Vous découvrirez notre nouvelle collection, croiserez des amis, et participerez au tirage au sort de la tombola autour d’un verre. Tous les articles sont réalisés à la main, à Avignon et dans ses alentours.« 

« Merci encore et encore à toutes les tricoteuses, souligne Anne Pujol Olivier, la présidente de l’association, aux bénévoles qui donnent beaucoup de leur temps, merci à vous, « fidèles parmi les fidèles » qui achetez et qui nous soutenez généreusement ….merci et bienvenue aux nouvelles et nouveaux venus ! Enfin, n’oubliez pas votre masque … nous avons crocheté de jolies pochettes à cet effet ! Et aussi d’autres accessoires sympas pour vos cadeaux de Noël. »

Rendez-vous
Rendez-vous vendredi 4 et samedi 5 décembre 2020 de 10h à 18h pour découvrir les créations réalisées par les tricoteuses bénévoles : des snoods, des écharpes, des bonnets et des chaussons, confectionnés à la main avec patience et amour par Gisèle, Yvonne, Lucianne, Yvette, Marie-Claude, Sylvie, Marie-Aurèle , Patricia, Marie-Hélène, Laurence, Edith, Stéphanie, Trine, Marilisa, Michèle, Titou, Brigitte, Annette, Yvonne, Françoise, Anne et tant d’autres.

En savoir plus
L’association humanitaire, d’entraide, sociale ‘Aloïs & moi’ promeut le tricot auprès de toutes les personnes le souhaitant afin de soutenir la recherche médicale sur la mémoire. La structure loi de 1901 vend écharpes, snoods, bonnets pour les aidants des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer. Renseignements auprès d’Aloïs & moi. 19, boulevard Raspail à Avignon 06 16 02 25 86.aloisetmoi84@gmail.com  instagram.com/aloisetmoi
MH


Arles, ‘invitation à un diner indien’ comme si l’on était à Chandigarh

Les associations et autres organismes à but non lucratif dont les activités et projets présentent un intérêt pour les l’Islois et s’inscrivent dans les politiques publiques de la ville peuvent déposer une demande de subvention auprès de la ‘Direction culture et vie locale’.

Si votre association désire solliciter une subvention de la ville de l’Isle-sur-la-Sorgue pour financer son fonctionnement ou mener une action spécifique, vous pouvez effectuer votre demande soit en téléchargeant et en remplissant en ligne le dossier de demande sur le site Internet de la Ville en cliquant ici ; soit en retirant un dossier de demande à la ‘Direction culture & vie locale’, 25 boulevard Paul Pons, 84800 l’Isle-sur-la-Sorgue.

Date limite de dépôt de dossier : vendredi 31 décembre 2021.

L.M.


Arles, ‘invitation à un diner indien’ comme si l’on était à Chandigarh

Du 23 novembre au 24 décembre 2021, les Compagnons du Goût – réseau de 585 artisans bouchers charcutiers traiteurs sélectionnés parmi les meilleurs de France – donnent rendez-vous en boutique pour découvrir leur objet partage : une boule de Noël garnie de papillotes, vendue 3€ intégralement reversés à l’Association Petits Princes pour aider à réaliser les rêves d’enfants malades.

Rendez-vous chez les Compagnons du Goût : Claudine et Denis Da-Prato : Grande Rue à Cabrières d’Avignon Jean-Philippe Da-Prato : 14 place du 14 juillet à Cadenet Anne-Marie Méjean, Choc Viandes : 128 avenue Jean-Henri Fabre à Carpentras Vincent Fructus : 60 rue de la Placette à Entraigues-sur-la-Sorgue Yvan Amsallem, Les Frères Bouchers : 319 route de Caumont à Jonquerettes Axel Da Prato, Maison Rastello : 356 bd St Roch à La Tour d’Aigues Franck et Nathalie Mazet : 28 place de la Liberté à Morières-les-Avignon Alexis Roumette : 41 rue St Martin à Orange L’Etape Gourmande, Jean-Marie Beltran : 249 avenue Jean Moulin à Pertuis.
Toutes les informations sur www.compagnonsdugout.fr

Zoom sur l’Association Petits Princes
Créée en 1987, l’Association Petits Princes réalise les rêves d’enfants et d’adolescents gravement malades. Un enfant qui vit ses passions et réalise ses rêves est un enfant qui trouve un surplus d’énergie pour affronter la maladie. L’Association Petits Princes est la seule association en France à réaliser plusieurs rêves pour un même enfant en fonction de l’évolution de sa pathologie. Depuis 34 ans, plus de 7 900 rêves ont été réalisés, avec plus d’un rêve réalisé chaque jour. Pour en savoir plus : www.petitsprinces.com

À propos des Compagnons du Goût
Depuis 1997, les Compagnons du Goût s’affirment comme la référence du bon goût au sein de la profession des bouchers charcutiers traiteurs. Aujourd’hui, 585 artisans indépendants font partie des Compagnons du Goût. Être Compagnon du Goût est un signe de reconnaissance. Mais c’est surtout l’engagement de partager un même état d’esprit et de respecter une charte qualité, sans quoi on ne peut rester Compagnon du Goût.
MH

Les bouchers compagnons de Vaucluse proposent cette boule de Noël garnie de papillotes à 3€ reversés à l’association Petit prince, venant en aide aux enfants malades

Arles, ‘invitation à un diner indien’ comme si l’on était à Chandigarh

Jeudi 25 novembre l’association Aloïs & moi’ proposera ses écharpes, snoods, bonnets, ponchos, mitaines, sacs, ainsi que de jolies pochettes pour masques au Marché de Villeneuve-les Avignon. Jeudi 16 Décembre la collection sera à la vente à La Petite Cuillère sur la même place.

Et aussi samedi 4 décembre à Avignon
« Nous organisons une Journée Portes Ouvertes le Samedi 4 Décembre à D3 de 10h à 20h, dans mes bureaux, 19, boulevard Raspail à Avignon », annonce Anne Pujol-Olivier, architecte avignonnaise à la tête de l’association ‘Aloïs & moi’, structure accompagnante des aidants des personnes atteintes par la maladie d’Alzheimer.

Une collection nourrie par le talent des bénévoles
« La collection s’est enrichie durant les longs confinements et vous pourrez enfin voir les œuvres des tricoteuses et crocheteuses … toujours les écharpes et snoods, mais aussi des bonnets, ponchos, mitaines, des sacs, … et des jolies pochettes pour masques car on nous dit qu’il va falloir en porter encore et encore ! »

Une semaine de vacances grâce aux ventes
« Les premiers bénéfices que nous avions choisi d’attribuer à « Alzheimer Ecoute » ont permis, grâce à l’investissement, l’enthousiasme et la générosité de Lisa Junglas, une rencontre franco-allemande de malades et leurs conjoints-aidants durant une semaine de vacances avec de nombreux échanges et activités adaptées. »

Une tombola pour récolter aller plus loin
« A l’occasion de notre prochaine vente, nous organisons une tombola pour le magnifique plaid réalisé par Edith avec tous les bouts de laine restant, et le tirage au sort se fera en fin de journée autour d’un verre, … comme il se doit ! Les tickets à 10€ sont à disposition dès maintenant pour ceux qui souhaitent participer, auprès de l’association. »

Comment ça a commencé
« L’art du tricot est une tradition familiale… Ma grand-mère l’a enseigné à ma mère qui, à son tour, m’a transmis ce savoir dès mon plus jeune âge. C’est aujourd’hui un grand plaisir que je partage toujours avec elle. Atteinte de la maladie d’Alzheimer, le tricot lui permet d’entretenir ses capacités techniques et cognitives, tout en maintenant sa relative autonomie. »

Un BA-ba intergénérationel
« L’écharpe est le B-A Ba du tricot qui nécessite toutefois patience, attention, rigueur mais quelle satisfaction de voir le dernier rang arrêté, la dernière maille bouclée, l’ouvrage terminé. Ce fut donc le cadeau de Noël évident pour ses petits enfants. Nous avons continué à tricoter quotidiennement et l’idée m’est venue de créer une association de tricoteuses bénévoles. De nombreuses autres compétences ce sont généreusement proposées pour nous aider. C’est ainsi qu’est né ‘Aloïs & moi’ en 2019 ».

https://echodumardi.com/tag/association/page/3/   1/1