La Maison Dora Maar, située à Ménerbes, organise la 4ᵉ édition de son marché de Noël ces samedi 7 et dimanche 8 décembre. Artistes et créateurs se mêleront aux producteurs, aux artisans et aux stands gourmands.
La maison de l’artiste surréaliste Dora Maar, cadeau de rupture de Picasso, devenu centre culturel et résidence pour artistes, fait son marché de Noël ce week-end. En tout, ce sont 25 stands d’artistes, artisans et producteurs, dans cette maison qui sera exceptionnellement ouverte à tous et à tous les étages.
Chapeaux, champagne, vin, huile d’olive, bijoux artisanaux, céramique, miel, maroquinerie ou encore décoration d’intérieur, il y en aura pour tous les goûts. Le tout dans une ambiance musicale animée par Jean-Christophe Klotz au piano de 15h à 18h le samedi, et de 10h à 12h et 14h à 16h le dimanche.
La Maison Dora Maar accueillera aussi plusieurs ateliers créatifs pour tout âge durant le weekend au tarif de 10€ (réservation au 06 51 89 15 43 ou par mail à l’adresse avignon@lapetiteacademie.com). Au programme :
Sculpture : d’après Picasso (samedi à 11h et dimanche à 10h) Peinture : portrait ou autoportrait d’après Picasso (samedi à 14h et dimanche à 13h)
Collage : d’après les œuvres de Dora Maar (samedi à 16h et dimanche à 15h)
Ménerbes : la Maison Dora Maar fête Noël
Après une première édition couronnée de succès en mai, l’événement Shop’HopHop revient pour une nouvelle édition ce samedi 9 novembre pour mêler art et vinyle.
L’association Le Cartel, au travers de son projet Le Shed, atelier collectif regroupant les artistes avignonnais Pablito Zago, Bometrie, 2CR, et Bios, organise l’événement Shop’HopHop, dédié aux vinyles et à différentes formes d’art comme la sérigraphie, l’illustration, mais aussi l’ameublement et la mode.
Les quatre artistes du Shed vous donnent rendez-vous dans leur atelier, quartier Saint-Ruf, ce samedi pour une journée autour de l’art. « Au sein de notre lieu de travail, on souhaite créer une série d’événements pour donner encore plus de vie à l’atelier qui a une vraie âme, mais aussi pour dynamiser notre quartier », explique Pablito Zago.
Au sein de l’atelier, qui mêle un style industriel et du bois, les visiteurs pourront profiter d’une ambiance musicale proposée par un DJ, d’une buvette, ainsi que d’une bourse aux disques vinyles. De nombreux artistes locaux seront invités et présenteront leurs œuvres : les sérigraphes Ben Sanair et Foa, l’illustrateur Monsieur José, la graveuse Paillettes et Mimosa, le risographe Kumoriso, mais aussi Madame Céline pour la partie mode. Les artistes du Shed présenteront exposeront également leurs illustrations, leurs œuvres de tufting, d’upcycling et leurs meubles vintages. Il est aussi possible d’amener un t-shirt pour le faire personnaliser par Ben Sanair pour un prix libre.
Ce rendez-vous, qui a pour objectif de créer des ponts entre différentes structures, entre différentes formes d’art, aura lieu en préambule de l’ouverture d’ateliers d’artistes, qui aura lieu les samedi 16 et dimanche 17 novembre à Avignon, Barbentane, Le Pontet, Les Angles, Morières-lès-Avignon, Pujaut et Villeneuve-lès-Avignon.
Shop’HopHop #2. Samedi 9 novembre. De 10h à 20h. Entrée libre. 17 bis Boulevard Jean Mermoz. Avignon.
Ménerbes : la Maison Dora Maar fête Noël
Après ‘Chimères’ et ‘Bandiagara’, la Fondation Blachère, située à Bonnieux, dévoile sa nouvelle exposition ‘Kuvhunura : l’École d’Harare’ qui sera en place jusqu’au 8 mars 2025.
La Fondation Blachère, qui met en lumière l’art contemporain africain depuis 2004, propose une nouvelle exposition : ‘Kuvhunura : l’École d’Harare’. 22 artistes, figures de la scène contemporaine du Zimbabwe, rassemblent leurs œuvres pour cette exposition qui présente des sculptures sur pierre ou encore des peintures. Les artistes, qui font partie de l’École d’Harare, ont été sélectionnés par les curatrices Georgina Maxim et Valérie Kabov.
« Kuvhunura / Kupinda ne wenje mudziva » traduit du Shona signifie « la mue, le renouveau : entrer dans le lac avec une bougie. » À travers cette exposition, la Fondation souhaite mettre en lumière l’incarnation créative et l’engagement artistique de la nouvelle jeune génération de peintres zimbabwéens durant ces dernières années.
Ouverture du lundi au samedi, de 10h à 12h30 et de 14h à 18h. Jusqu’au samedi 8 mars 2025. 121 chemin de Coucourdon. Place de la Gare. Bonnieux.
Ménerbes : la Maison Dora Maar fête Noël
Le Grenier à Sel, lieu incontournable de la création contemporaine
En 2018, EDIS — organisme d’intérêt général créé par le philanthrope Régis Roquette — s’installe au Grenier à Sel d’Avignon pour développer un lieu culturel dédié aux nouvelles formes d’expressions artistiques et plus particulièrement aux Arts Numériques.
Au fil des ans, des expositions, spectacles ou performances, on a pu ainsi vivre des expériences incroyables : déambuler au cœur de la Symphonie Fantastique d’Hector Berlioz ou explorer l’écoute avec le projet Ludwig, découvrir la notion de dessin au trait réactivé par les nouvelles pratiques, appréhender le théâtre interactif, percevoir notre corps, interagir avec des mondes immatériels, se faufiler dans les coulisses du cinéma d’animation, explorer les états de conscience et d’inconscience, etc.
Une démarche éprouvée
La programmation est créée en interne, et résonne par rapport à un axe de travail déterminé : porter un regard sur le monde numérique qui se développe, s’invente, dans lequel on vit tous. Comme le précise Véronique Baton, directrice de la programmation : « Pour nous, le fondamental, c’est la production artistique quelle qu’elle soit, des expositions, mais aussi des petites formes de spectacles vivants, des résidences artistes en couveuse pour des projets en devenir. Notre axe d’interrogation permet d’inventer des thématiques que nous proposons ensuite à des artistes. Pour les trois années à venir, nous avons décidé d’interroger sur trois expositions la relation de l’homme au monde : le monde végétal, le monde de la machine et le monde animal qui clôturera cette trilogie. »
‘Le futur est déjà là’, second volet du cycle d’expositions intitulé « Symptômes du vivant » (2023-2025)
Après ‘Que nous disent les plantes’ où 13 artistes étaient conviés à livrer leur regard sur le végétal à l’heure des bouleversements climatiques, le Grenier à sel propose un second volet, ‘Le futur est déjà là’, qui interroge la relation entretenue par l’homme avec la machine.
Le futur est déjà là, mais il n’est pas équitablement réparti
Le titre de l’exposition tire son nom d’une partie de la citation de l’auteur de science-fiction William Gibson, « Le futur est déjà là, mais il n’est pas équitablement réparti » : pour pointer du doigt à travers cette formule les inégalités sociales que peuvent engendrer les technologies numériques, vision dystopique, assez pessimiste. Dès les années 80, William Gibson parle déjà d’hypercapitalisme technologique, d’homme augmenté, des données (DATA), cyberespace, etc.
Douze artistes questionnent le monde d’aujourd’hui et de demain
« L’interaction de l’homme avec la machine tient une place incroyable dans notre imaginaire, lui-même nourri par l’imaginaire des artistes contemporains ». À partir de ce constat, l’exposition réunit les productions artistiques relevant de pratiques variées (installations interactives, animation 3D, robotique…) de 12 artistes de générations et d’horizons différents. : Donatien Aubert, France Cadet, Thierry Cohen, Heather Dewey-Hagborg, Bastien Faudon, Mathieu Gafsou, Esmeralda Kosmatopoulos, Maxime Matthys, Julien Prévieux, Stelarc, Varvara & Mar, Filipe Vilas-Boas.
Le futur est déjà là ou c’est déjà demain
Plus que de changements, c’est surtout d’accélération dont il s’agit. L’accélération du changement qui nous fait vivre dans un monde mouvant, instable : mécanique, électronique, algorithme, intelligence artificielle participent à une grande porosité des frontières entre l’homme et le robot.
Trois salles, trois parties
Dans cette exposition articulée en trois parties et trois salles, les artistes mettent plus en avant leurs doutes que leurs espoirs. ‘Le fantasme qui prend corps’ dès le XIXᵉ siècle avec les premiers automates introduit la visite, dans la deuxième salle ‘Ce qui nous échappe’ telle l’Intelligence artificielle (IA) est modélisée ou mis en scène et la dernière salle ‘La vie mode d’emploi’ achève de nous convaincre que les outils numériques sont devenus incontournables.
C’est une visite chronologique, très pédagogique et en même temps qui nous perd dans les méandres de nos doutes. On chemine entre fascination et effroi : la réplique du Pierrot écrivain du XIXᵉ siècle d’André Soriano, automate au mécanisme apparent, réveille notre âme d’enfant, mais nous sommes immédiatement interloqués par le photographe plasticien Matthieu Gafsou qui traite du transhumanisme. Un bras robotique équipé d’un compteur numérique nous introduit dans la deuxième salle qui entend maîtriser notre corps et nos intelligences. Non sans humour, nous échappons à « La peau de banane intelligente » — aspirateur robot s’il en sera — pour découvrir les œuvres de l’artiste australien Stelarc, faites de chair et d’électronique, celles de France Cadet qui retracent les tentatives de l’homme de se mesurer à la machine. L’artiste Heather Dewey-Hagborg modélise l’ADN, dans des portraits-sculptures glaçants. Si nous doutions de l’impact des outils numériques pour les jeunes générations, la magnifique série de portraits de Thierry Cohen « Binary Kids » se passe de toute explication face aux regards figés de ces enfants.
Nouvelles technologies, nouveaux gestes
Si nous pensions tout maîtriser et être maître de nos choix, la dernière salle de l’exposition nous prouve le contraire. Quand on clique, like, partage, on crée des gestes qui loin de nous libérer vont induire de nouveaux comportements. La grecque Esmeralda Kosmatopoulos nous livre une installation « fifteen pairs of mouths » qui explore le nouveau rôle de la main, Julien Prévieux dans sa vidéo « What shall we do next », a invité des danseurs de l’Opéra de Paris à reproduire des gestes issus de la bibliothèque immatérielle de gestes déposés auprès du bureau américain des brevets.
Mais dans quel monde vivons-nous ?
L’artiste-chercheur Donatien Aubert nous livre la réponse qui ne nous surprend guère, mais permet de nous remobiliser peut-être pour être plus conscient — à défaut d’être critique — sur les conséquences de la cybernétique et de l’hyperconnexion. Dans son court-métrage de 25 minutes « Veille infinie » qui clôture la visite, il nous montre comment les technologies numériques ont transformé notre rapport au travail, aux loisirs et à la sexualité.
« Veille infinie », état d’alerte ou somnolence ? La polysémie du titre ouvre le débat en cette fin d’exposition.
Visite commentée
Jusqu’au 31 décembre, possibilité d’avoir une visite commentée avec une médiatrice. Le mercredi et samedi à 16h30 (sous réserve d’un nombre minimum de participants). 3€ par personne. Sans réservation.
Jusqu’au 31 décembre. Du mardi au samedi. Libre et gratuit. De 14h à 18h (dernière entrée à 17h30). Le Grenier à sel. 2 rue du rempart Saint-Lazare. Avignon. 04 32 74 05 31 / accueil@legrenierasel-avignon.fr
Ménerbes : la Maison Dora Maar fête Noël
Le Salon international de l’art contemporain revient pour une seconde édition du vendredi 4 au dimanche 6 octobre au Parc des expositions à Avignon. L’occasion de découvrir des artistes et leurs œuvres, et d’échanger avec eux, mais aussi de commencer ou enrichir sa collection d’art.
Après une première édition qui a accueilli plus de 7 000 visiteurs, le Salon international de l’art contemporain (SIAC) revient ce week-end à Avignon. 98 artistes professionnels, sélectionnés par un comité, exposeront leurs œuvres sur 2 500 m² au Parc des expositions. Durant trois jours, le public pourra rencontrer ces artistes et échanger avec eux, qui seront ravis de partager leur passion et leur savoir-faire.
Peintures, œuvres plastiques, aquarelles, pièces murales, photographies ou encore sculptures, il y en aura pour tous les goûts. De la figuration à l’abstraction, du symbolique à l’art singulier, du pop art à l’upcycling… Tous les styles sont représentés. Ce sera l’occasion pour les férus d’art d’enrichir leur collection, pour ceux qui souhaitent s’y mettre de la commencer, ou encore des pièces uniques pour décorer son intérieur. Le Salon dévoile un panel d’œuvres pour tous les goûts et tous les budgets.
Ainsi, en plus de se vouloir accessible au plus grand nombre, le SIAC se veut convivial. L’aménagement du Salon a été repensé avec une entrée plus glamour, un tapis rouge décorée de réverbères au niveau de la grande allée latérale, un petit jardin réaménagé, mais aussi des oliviers centenaires installés à l’extérieur. Des ajustements qui permettront une ambiance cozy, malgré la grande superficie du salon, avec un meilleur confort de déambulation.
Vendredi 4 octobre de 10h à 22h. Samedi 5 et dimanche 6 octobre de 10h à 19h. 10€/15€ avec le catalogue (7€/11€ tarif réduit et tarif groupe). Hall A. Parc des expositions. Chemins des Felons. Avignon.
Ménerbes : la Maison Dora Maar fête Noël
En juin dernier nous nous faisions l’écho d’une initiative permettant à une des artères de la ville de Cavaillon, presque moribonde, de retrouver son lustre d’antan. Il s’agissait de permettre à des commerces plutôt orientés autour de l’art ou des métiers artistiques de pouvoir s’installer pour quelques mois contre un loyer symbolique. 4 mois plus tard qu’en est-il ?
Petit retour en arrière. Pour tenter de redonner vie à cette rue piétonne du cœur de ville, deux cavaillonnaises, Sonia Jarry (pâtissière et chocolatière) et Monique Ikrelef (artiste peintre) proposent au maire, Gérard Daudet, que les 13 boutiques dont la ville a récemment fait l’acquisition soient mis à disposition d’artistes, le temps d’un été. Une opportunité unique pour ces créateurs d’avoir pignon sur rue et de redonner à cette artère attrait et fréquentation. Rappelons que la démarche a été initiée il y a plus d’un an par deux parisiens Thanh et Pascal Le Luong, qui ont fait le pari fou d’installer dans cette rue déserte une grande galerie d’art.
L’idée des deux cavaillonnaises trouva rapidement un avis favorable du côté de l’équipe municipale. Et le 7 juin 2024, la rue, rebaptisée pour l’occasion « passage des arts », était inaugurée. Une dizaine de boutiques avaient rouvert leur rideau. Un premier succès…
Ce projet fait la démonstration que les municipalités ont un rôle à jouer dans le développement économique
4 mois plus tard, c’est l’heure du bilan. Et il est positif. Presque tous ces nouveaux commerçants souhaitent poursuivre et pérenniser leur implantation confie Gérard Daudet. « Nous sommes en train de réfléchir avec eux à un moyen de les accompagner avec une montée en charge progressive des loyers » poursuit-il. Il fait la démonstration que les municipalités ont un rôle à jouer dans le développement économique et qu’on ne peut pas uniquement s’en remettre aux lois du marché. Reste à trouver le bon équilibre. A Cavaillon, la ville est déjà propriétaire 13 boutiques et l’EPF PACA (Établissement Public Foncier) en possède 14. L’autre enseignement de cette histoire est que l’art est plus forte que les kebabs, et ça c’est une autre bonne raison de se réjouir.
Notre-Dame de Sainte-Garde, située à Saint-Didier, va accueillir l’exposition ‘Peintres du Comtat’, dont le vernissage aura lieu ce jeudi 19 septembre. Le public aura jusqu’au dimanche 29 septembre pour venir admirer les œuvres exposées.
Ils viennent de Carpentras, d’Aubignan, de Mazan, de Malemort-du-Comtat, ou encore de Sablet. Cinq peintres du XXᵉ siècle seront mis à l’honneur jusqu’au 29 septembre à Saint-Didier.
Le public pourra admirer les œuvres de Paul Surtel, tout en fluidité, transparence et en pastel de grain, mais aussi de Shahda, tout en masses et en couleurs. Les paysages de Dominique Barrot seront aussi exposés, aux côtés des peintures à l’huile d’Antoine Baer et des toiles colorées et profondes de Danièle Isnard.
L’exposition sera visible à l’occasion des Journées européennes du patrimoine, qui auront lieu ces samedi 21 et dimanche 22 septembre, de 9h à 19h. Le public pourra aussi voir les œuvres des cinq peintres du lundi 23 au dimanche 29 septembre de 14h à 19h.
Vernissage le jeudi 19 septembre à 18h30. Du 20 au 29 septembre. Notre-Dame de Sainte-Garde. 205 Chemin de Sainte-Garde. Saint-Didier
Ménerbes : la Maison Dora Maar fête Noël
Dès ce vendredi 20 septembre, le sculpteur Gabriel Sobin présentera son exposition ‘STAR DUST — Poussière d’étoile’ au sein de l’atelier William Ruller à Apt. Le public aura jusqu’au samedi 30 novembre pour découvrir les œuvres de l’artiste.
Né en 1971 à Salon-de-Provence d’une mère anglaise et d’un père américain, Gabriel Sobin a suivi des études à l’École d’Arts Appliqués Olivier de Serres et à l’École Camondo. Après avoir vécu quelques années à New York, il est revenu en Provence au milieu des années 90 pour se consacrer pleinement à la sculpture.
À travers son exposition ‘STAR DUST — Poussière d’étoile’, qui sera inaugurée ce vendredi 20 septembre à Apt, il cherche à émerveiller le public en ce qui concerne les systèmes planétaires, les étoiles, les galaxies, ou encore les trous noirs, qui, malgré de nombreuses recherches et théories sur leur génèse, restent un profond mystère. « Nous sommes entièrement constitués de poussières d’étoiles : de l’oxygène au carbone en passant par l’hydrogène ou le phosphore, ces mêmes éléments présents dans l’univers depuis son origine ont physiquement généré notre existence, explique Gabriel Sobin. Il n’y a donc aucune séparation entre ‘là-haut’ et ‘ici-bas’ : le cosmos vaste et sans limites, est notre corps, notre maison. »
Les œuvres seront exposées à l’atelier William Ruller, à Apt, qui est un espace dédié à des projets artistiques contemporains qui abordent des questions et thématiques en lien avec l’actualité et notre époque, et dont la direction artistique est assurée par William Ruller et Elise Hamon-Ruller. L’atelier expose des œuvres allant de la peinture à la sculpture, en passant par l’installation et la performance.
Parmi les œuvres exposées, le public pourra admirer une installation murale de 6m de long.
Vernissage le vendredi 20 septembre de 18h à 20h. Exposition du 20 septembre au 30 novembre. Visible les vendredis et samedis matin de 9h à 13h ainsi que sur rendez-vous à atelierwilliamruller@gmail.com. Atelier William Ruller. 63 Rue de la République. Apt.
Ménerbes : la Maison Dora Maar fête Noël
Ce vendredi 13 septembre, Luminagora va présenter son nouveau spectacle son et lumière ‘Mistral de Provence’, basé sur un manuscrit inédit de Frédéric Mistral, à Gordes. Le spectacle mêlera comédiens, danseurs, lumières et projections de fresques géantes sur le château du village.
Luminagora, qui fêtera ses 10 ans l’année prochaine, développe des itinéraires lumineux autour de quatre labels : Lumières du Gard, Magistrale Provence, Hérault du Patrimoine, et Grand Est illumination. Le collectif artistique va proposer un tout nouveau spectacle, ‘Mistral en Provence’ qui sera présenté ce vendredi 13 septembre à Gordes, où Luminagora avait déjà présenté une œuvre en 2023, ‘La déesse de Gordes’, qui retraçait l’histoire de la commune.
L’idée de ‘Mistral en Provence’ est née de la rencontre entre Richard Kitaeff, maire de Gordes, et Valérie Siaud, historienne de la Provence, descendante de la famille Roumanille, éditeur et libraire local du XIXᵉ siècle. Le spectacle de Luminagora sera basé sur un tout nouveau manuscrit de Frédéric Mistral, qui sera dévoilé au public lors de l’événement. Ce vendredi 13 septembre lancera la tournée ‘Mistral en Provence’ programmée pour 2025, pour laquelle le collectif vient d’installer ses studios à Vedène.
Une quinzaine de comédiens sublimés par des vidéomappings
Le spectacle ‘Mistral en Provence’ allie projections mapping vidéo, spectacle vivant et arts graphiques pour rendre hommage à la Provence et à Frédéric Mistral. Ce dernier sera interprété par un comédien, qui sera entouré d’une quinzaine d’autres. Ensemble, ils parcourront les origines de la Provence, l’eau et les fontaines, les poèmes de Mistral sublimés, la vie des villages provençaux, la crèche provençale, l’univers du vin et des terroirs, la famille Roumanille et le manuscrit, la sieste paresse de Mistral, ou encore la Camargue et les traditions provençales.
Ce groupe de comédiens et danseurs seront sublimés par des fresques géantes, réalisées par le peintre Christian Jequel, résidant et travaillant à Marseille, qui travaille avec une technique au couteau. Ses œuvres seront animées grâce à la technologie et aux graphistes puis projetées en vidéomappings sur une façade du château de Gordes pendant le spectacle.
Vendredi 13 septembre. 22h. Gratuit. Place du Château. Gordes.