24 novembre 2024 |

Ecrit par le 24 novembre 2024

(Vidéo) Les voies navigables de France organisent la 6e édition Sloww

La 6e édition Sloww ? Ce sont les rencontres du tourisme fluvial et fluvestre qui auront lieu les mardi 8 et mercredi 9 novembre. Ce rendez-vous organisé tous les deux ans, est le salon d’affaire référence pour le développement du tourisme fluvial et la promotion de la destination France. Ateliers thématiques et rendez-vous professionnels rythmeront la visite des 500 acteurs publics et privés, français et étrangers.

Seul évènement rassemblant l’ensemble des professionnels de l’écosystème touristique fluvial et fluvestre, Sloww! est le rendez-vous pour développer ses projets sur ou au bord de l’eau. Grâce à un dispositif de mise en relation intelligent, un programme personnalisé de rendez-vous est proposé à chaque participant selon son profil (agences de voyages, tour-opérateurs, collectivités, opérateurs touristiques, équipementiers et prestataires de services…), permettant ainsi de répondre précisément à leurs attentes. Lors de la précédente édition, organisée à Auxerre en 2020, 3 000 rendez-vous d’affaires ont permis aux professionnels présents développer leurs activités et leur réseau et de se créer de nouvelles opportunités.

Développement de croisières fluviales
«Depuis plusieurs années, le Département des Bouches-du-Rhône pilote et coordonne le développement des croisières fluviales à Tarascon, Arles, Port-Saint-Louis-du-Rhône et Martigues, précise Martine Vassal, Présidente du Conseil départemental des Bouches-du-Rhône. Le but étant de promouvoir ces quatre escales en respectant l’identité et les atouts de chacune, sans les mettre en concurrence.»

La Provence fluviale
«Le dispositif ‘Provence fluviale’ offre une complémentarité entre l’essor de l’activité touristique sur les rives du Rhône et le renouveau des centres-villes. En effet, nous aidons les communes à aménager des pistes cyclables et des voies douces entre le point d’escale et leur centre, à rendre les points d’intérêts plus visibles ou encore à installer des bornes électriques pour brancher les navires à quai et ainsi réduire la pollution de l’air. Plus de culture, plus de services publics, des bâtiments rénovés, un espace public requalifié, un accueil fluvial repensé, tous ces éléments doivent donner envie aux touristes de faire étape en Provence. C’est un cercle vertueux et c’est en ce sens que le Département continuera d’investir. Et c’est donc tout naturellement que, dans le droit-fil de cette politique particulièrement ambitieuse, nous sommes fiers d’accueillir et soutenir Sloww sur notre territoire,» a entériné Martine Vassal.

Edition arlésienne
Pour faire de cette édition arlésienne une édition riche de partage d’expériences et de contacts, VNF proposera, en plus des rendez-vous d’affaires, une dizaine d’ateliers thématiques, 6 éductours et une conférence plénière qui permettra de dresser un premier bilan de la saison 2022 pour l’ensemble des filières du tourisme fluvial et fluvestre et d’aborder les enjeux et les contributions de ce secteur en matière de tourisme durable.

Développement des activités au bord de l’eau
Parce qu’au-delà de l’activité de navigation, le réseau fluvial est aussi le lieu de nombreux loisirs, activités et opportunités, Sloww! sera aussi un lieu d’échange autour du développement des activités nautiques et de loisirs « au bord de l’eau » comme le tourisme d’itinérance vélo dont VNF souhaite accompagner le développement.

Les enjeux économiques
VNF exploite 6 700 km de fleuves, rivières et canaux ainsi que 40 000 hectares du domaine public fluvial qui  bordent les voies navigables de France. L’activité accueille plus de 6 100 emplois directs et 15,6 millions de journée-passagers par an –hors Covid- preuve de son dynamique engagement au dynamisme touristique et à l’attractivité des territoires. Les 5 filières du secteur génèrent –hors activités nautiques- 1,4 milliards d’euros de retombées économiques dont 845 millions directement pour les territoires chaque année selon une étude publiée par VNF en 2020.

Voies navigables de France, les chiffres
Fort de 4 000 personnels mobilisés au service du fluvial, Voies navigables de France entretient, exploite et développe le plus grand réseau européen de voies navigables : 6 700 km de fleuves, canaux et rivières canalisées, 4 000 ouvrages d’art (écluses, barrages, pont-canaux…) et 40 000 hectares de domaine public fluvial. Au travers de ses missions, l’établissement répond à trois attentes sociétales majeures : il créé les conditions du développement du transport de fret ; il concourt à l’aménagement du territoire et au développement touristique ; il assure la gestion hydraulique en garantissant la sécurité des ouvrages et les différents usages de l’eau et en luttant contre les inondations et le stress hydrique. Il favorise également le développement de l’hydroélectricité et préserve la biodiversité.

Pourquoi Sloww ?
Pour Thierry Guimbaud, Directeur général de VNF « Injonction à prendre son temps et source d’inspirations, Sloww! vise à booster l’activité économique du tourisme fluvial et fluvestre qui représente actuellement 1,4Mds d’euros par an de retombées économiques pour les territoires. Avec nos partenaires, que je remercie, nous souhaitons faire des voies navigables et de leurs abords des espaces attractifs et durables au bénéfice de la clientèle française et étrangère. Sloww ! est Le rendez-vous professionnel qui permet de réunir l’ensemble des acteurs autour de cette ambition».
MH


(Vidéo) Les voies navigables de France organisent la 6e édition Sloww

Un territoire qui occupe 45% de la superficie des Bouches-du-Rhône et où la CCI accompagne 210 000 habitants à travers 36 000 emplois salariés et 15 710 entreprises (46% dans les services, 35% dans le commerce, 19% dans l’industrie).

Pour Stéphane Paglia élu président de la CCI du Pays d’Arles en novembre dernier, « La Chambre de Commerce et d’Industrie doit s’inscrire dans une stratégie globale ». Ce Plan du Réseau des CCI a été adopté en assemblée extraordinaire le 13 septembre à Levallois-Perret et s’appuie sur les 122 CCI de l’hexagone, les 4 400 chefs d’entreprises et 14 000 collaborateurs de France qui composent ce réseau « Il constitue la feuille de route, la colonne vertébrale de notre action pour les 5 ans qui viennent pour être l’accélérateur de l’économie locale et nationale mais aussi de la croissance durable des entreprises chez nous et à l’international » dira Alain Di Crescenzo, Président de CCI France.

Ce réseau doit répondre aux profonds bouleversements dûs à l’inflation alimentée par la hausse de l’énergie, aux difficultés d’approvisionnement des matières premières et pièces détachées, à la hausse des taux directeurs, à l’évolution de l’euro face au dollar qui font peser un risque de récession sur l’économie.

« Plus que jamais, nous sommes aux côtés des chefs d’entreprises » dira Stéphane Paglia, « Nous sommes leur boussole, au plus près de leur développement pour travailler à leur valorisation, les aider à monter des dossiers, obtenir des subventions, renforcer leur visibilité ». Il ajoute : « Nous avons 3 obsessions : faire de ce bout de France un pays d’entrepreneurs forts et engagés, agir pour des territoires durables au service de l’économie et être un réseau qui inspire la confiance ».

Le Président Paglia évoquera le parcours d’accompagnement destiné aux auto-entrepreneurs, TPE, PME, start-up, entreprises de l’économie sociale et solidaire, commerces, industries, services et dans un fascicule intitulé ‘Mon projet d’entreprise 2022-2024’. Il vise à leur faire acquérir les compétences indispensables et les bons réflexes, à trouver les bons financements. « Le monde change. On assiste à 35% de défaillances d’entreprises, donc on met un kit à disposition des jeunes qui se lancent dans l’aventure entrepreneuriale (comment créer ma société, avec quel budget, dans quel marché, comment vais-je m’imposer en tant que dirigeant?) sachant que 98% du tissu économique est composé de toutes petites entreprises. Nous sommes aussi en relation étroite avec le Tribunal de Commerce, parce qu’une tendance se répand à bas bruit, 30% d’auto-entrepreneurs, même sans dettes, cessent de se développer, ne sont plus rentables et donc arrêtent leur activité » déplore Stéphane Paglia.

Le président de la CCI du Pays d’Arles déclinera un à un, donc longuement les 10 projets-phares de sa mandature :

1 / faire grandir l’entreprise et accompagner le recrutement. A titre expérimental en France, nous travaillons à la formation en liaison avec Pôle-Emploi et avec la Région Sud sur une opération innovante ‘booste ton job’ et promouvoir les métiers en tension auprès des jeunes.

2 / Apporter des formations d’excellence : pour ce faire nous allons ouvrir une ‘business-school’ * dont la scolarité ne coûtera que 3 000€ par an (contre 10 ou 15 000 ailleurs) pour former au management, à la banque, à l’assurance nos jeunes, les garder en apprentissage chez nous, les ancrer sur notre territoire.

3 / Encourager les associations et commerçants et entreprises à s’unir au sein d’une Fédération pour dynamiser les centres-villes. 21% des dépenses des ménages sont réalisées dans des commerces de moins de 300m2, les consommatteurs préfèrent la proximité et le contact, en 10 ans ce chiffre a progressé de 13%. Il y a aussi le ‘Treiz’Local’ un chèque-cadeau pour favoriser l’achat dans son village, son quartier sans aller dans les grandes surfaces. En 2021, 95 commerçants y ont adhéré et 70 000€ dépensés.

4/ Créer des ‘Hôtels d’entreprises’ . 275 000€ ont été investis dans la rénovation de celui de 1 700 m2 situé Chemin du Temple à Arles, il fera l’objet d’une extension d’un millier de m2 de bureaux pour accueillir des entrepreneurs de Saint-Rémy-de-Provence ou Châteaurenard.

5 / Booster le tourisme d’affaires en agrandissant le Palais des Congrès. C’est le plus grand équipement d’accueil de salons et séminaires de 3 000m2. Nous allons construire un salle multifonctionnelle de 1 200m2 supplémentaires qui intègrera les normes de construction environnementale et constituera notre véritable ‘Task force évènementielle’. Les décideurs qui viennent chez nous pour un congrès ne cherchent pas uniquement des salles de réunions, ils veulent aussi visiter la Provence, aller au musée, assister à la féria, faire le tour de sites patrimoniaux, des festivals, des Rencontres de la Photo, de la Luma, se promener en Camargue… Avec des retombées économiques qui irriguent l’ensemble du territoire, grâce à la proximité des Alpilles, des Baux et de St-Rémy de Provence.

6 / Déployer le programme ‘Port 2024’ pour le commerce quadri-modal (route-fer-fleuve-mer). Sa concession sera reconduite en 2023, nous nous doterons d’une plateforme bio-masse et déchets dangereux et créerons un terminal route-fer pour faciliter le report des marchandises et la réalisation d’une station d’avitaillement hydrogène. Nous investissons également dans de nouveaux outils comme un porte-conteneurs pour un montant de 250 000€.

7 / Développement d’incubateurs en misant sur les filières innovantes. Nous encourageons les entrepreneurs, femmes et hommes. En 2019, nous avons créé l’incubateur ‘Adrénaline » pour favoriser l’émergence de start-up, nous continuons à encourager les femmes et les jeunes à se lancer.

8/ Structurer la filière agro-alimentaire avec ‘L’Actium Grand Marché de Provence’ dont le but est de redéployer le MIN de Châteaurenard. Notre territoire profondément rural assure 60% de la production agricole des Bouches du Rhône. Nous avons des agriculteurs, des maraîchers, des arboriculteurs, des éleveurs, un abattoir à Tarascon qui a été labélisé ‘AOC Taureaux’, notre but est devenir le ‘Rungis du Sud’ en associant producteurs et transformateurs. Dans un territoire où 60% des habitants ne paient pas d’impôts ce sera une véritable richesse, avec nombre d’emplois à la clé.

9 / Favoriser la transition environnementale, l’éco-tourisme, offrir aux entreprises du Pays d’Arles des solutions de collecte, de recyclage et de valorisation des déchets. Pour la promotion des productions locales et des circuits courts nous organisons chaque automne Li rescountre d’aqui’ (29 novembre de 11h à 18h) qui font marcher les hôtels, restaurants, cafés, marchés du territoire, mais aussi « Provence Prestige » en novembre qui accueille 13 000 visiteurs qui font leurs achats avant Noël.

10 / Inciter les entrepreneurs du Pays d’Arles à saisir les opportunités offertes par la transformation numérique, environnementale et industrielle. Un défi pour le déploiement de l’hydrogène décarboné et des biogaz.

Au terme de ce déroulé détaillé de la feuille de route de sa mandature 2021-2026, Stéphane Paglia conclura : « Avec la crise sanitaire, le confinement, maintenant la flambée du prix de l’énergie et des matières premières, la mutation est en marche. Aider les entrepreneurs de toutes les façons possibles n’est plus une option mais une absolue nécessité. Nous devons leur apporter les bons outils. Au pays des Lumières, on sait aussi les éteindre pour appliquer la sobriété énergétique. Nous devons également réinvestir les friches industrielles délaissées ces dernières années, elles font partie de notre passé ».

Un regret? « Ce n’est pas l’économie qui impose des frontières, des barrières avec nos voisins d’Avignon ou Nîmes, mais l’administration alors que nous avons le Rhône en commun, mais nous y travaillons ensemble pour les faire tomber ».

Télécharger ci-dessous :
Le Rapport d’activité 2021 de la CCI du Pays d’Arles
Le Contrat de mandature 2021-2026

Contacts :
* www.ies-business-school.com
arles.cci.fr
contact@arles.cci.fr
04 90 99 08 08


(Vidéo) Les voies navigables de France organisent la 6e édition Sloww

Initié par Jean-Marc André, directeur de Midi Events, ce parcours à travers les rues d’Arles propose « une sélection de 70 créateurs de marques, artisanats, designs qui mettent en valeur la création esthétique, authentique et responsable et incarnent un savoir-faire ».

Pour cette première édition de Via domus 5 lieux emblématiques ont été choisis pour guider les déambulations des promeneurs : les Arènes, le palais de l’Archevêché, l’église Sainte-Anne, l’église des Frères Prêcheurs et l’église des Trinitaires. « Des étapes du patrimoine d’Arles, qui ont une histoire, une mémoire, celle du Rhône, des pêcheurs, des gitans, de la Camargue, de la corrida. »

Réinventer la maison de demain
Les créateurs et les personnalités invités réinventent la maison de demain, sa décoration intérieure et proposent un concentré d’idées nouvelles pour notre cocon. A travers leur concept, ils s’engagent en faveur d’un art de vivre différent, avec davantage de bons sens local, des matériaux naturels et recyclables, une offre qui va à l’essentiel grâce à des objets simples, fonctionnels et résistants. Ils s’adressent à un nouveau consommateur qui se préoccupe des enjeux environnementaux en limitant l’utilisation des ressources naturelles.
Par exemple, Olivier Saguez propose de végétaliser les espaces urbains pour favoriser la biodiversité, Come di Meglio travaille sur un éco-matériau vivant, le mycelium du champignon pour concevoir des meubles et des luminaires, Miki Nectoux propose de recycler le plastique, le Studio 5-5, pionnier du recyclage lutte en permanence contre le gaspillage, la sur-consommation et l’obsolescence programmée.

Authenticité et savoir-faire local
Autre invité de marque ce week-end à Arles, Jean-Louis Brun, le directeur de la Filature et Manufacture de fibres nobles « Brun de Vian-Tiran » à l’Isle sur la Sorgue. Une entreprise du Patrimoine Vivant qui depuis 1808 conçoit des couvertures, plaids, châles, écharpes, couettes, surmatelas et oreillers d’une douceur extrême en cachemire, poil de chameau ou de bébé lama et laine des Merinos grâce à un partenariat noué il y a 30 ans avec les éleveurs d’Arles. Dans le sillage de l’authenticité et du savoir-faire local, est aussi présent l’Atelier Tuffery, créateur depuis 130 ans de jeans made in Cévennes, à Florac en Lozère qui commercialise aussi des vêtements en chanvre, en lin ou en laine.
Au programme également : conférences, expositions, master class, dîners confidentiels, parcours ‘off’ en ville et même des bains de gongs afin de ressentir les bienfaits des vibrations sur le corps.

Via Domus, une nouvelle expérience, jusqu’à dimanche 29 mai à Arles. La deuxième édition est déjà programmée du 25 au 28 mai 2023

Les infos pratiques de cette première édition de Via domus
La liste des exposants


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Le groupe IES Business School s’étend et crée un nouveau campus à Arles en partenariat avec la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) du Pays d’Arles.

L’IES Business School Provence-Arles va pouvoir accueillir des étudiants dès la rentrée prochaine en septembre. Situé au 22 avenue de la 1ère division France Libre, cette école, tout comme les autres campus, offrira un large choix de diplômes afin de répondre aux besoins des étudiants et des entreprises, telle est l’ambition du président et fondateur de l’IES Business School, Boris Mazurier.

L’école de commerce et de management propose des formations en trois ou cinq ans après le bac. Les étudiants pourront donc choisir parmi les filières suivantes : la banque et l’assurance, le commerce international, le marketing et la communication digitale, l’immobilier et le marketing, la vente et la négociation, le marketing de luxe, la communication événementielle, le marketing du sport, le tourisme et l’hôtellerie, le management et la gestion d’entreprise, et les ressources humaines.

Quatre journées portes ouvertes sont prévues les 21 mai, 18 juin, 9 juillet et 3 septembre prochains à la CCI du Pays d’Arles. Pour s’y inscrire, il suffit de remplir le formulaire en ligne.

Le groupe IES Business School

Créée en 2015, l’IES compte aujourd’hui 4 campus : l’IES Normandie à Rouen, l’IES Vendée aux Sables d’Olonne, auxquelles viennent de s’ajouter l’IES Occitanie à Perpignan et l’IES Provence à Arles. L’école accueillait déjà 450 étudiants au sein de ses deux premiers établissements, un effectif qui va fortement augmenter dans les mois à venir avec l’ouverture des deux nouveaux campus.

L’IES comptabilise 200 entreprises partenaires qui accueillent les étudiants en alternance. Grâce à l’expertise des 90 intervenants de l’IES, 90% des étudiants obtiennent leur diplôme à l’issue de leur formation et 80% trouvent une alternance dans les 6 mois qui suivent cette obtention, selon les chiffres de l’école.

V.A.


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Ce dimanche 8 mai à 12h55, vous pourrez (re)découvrir les traditions et les costumes de la Feria d’Arles. France 3 Provence-Alpes-Côte d’Azur présentera une émission spéciale, réalisée par David Bouttin et présentée par Frédéric Soulié, de 26 minutes qui mettra en lumière les trois jours de fête qui ont lieu chaque année durant le weekend de Pâques.

Le programme montrera cinq aspects de cette fête qui a vu le jour en 1965 :  

  • la course camarguaise, le jeu sportif traditionnel durant lequel les participants tentent d’ôter au taureau les attributs primés qui ornent sa tête afin d’obtenir des points
  • une rencontre avec Camille Hoteman, élue 24ème reine d’Arles en 2021, ambassadrice de la culture, du costume et des traditions provençales
  • les bodegas, les soirées festives qui sont le symbole de la convivialité
  • les peñas et les bandas qui font résonner les airs andalous dans les rues arlésiennes
  • le chef Rémy Di Paolo partagera un plat aux saveurs authentiques autour du riz, spécialité culinaire de la Camargue

V.A.


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Patrick de Carolis, maire d’Arles et Jean-Marc André, directeur de Midi events (agence événementielle du Midi Libre) lancent la 1re édition de Via Domus du jeudi 26 au dimanche 29 mai au sein de sept monuments emblématiques de la ville. Plusieurs expertises seront à l’honneur : la décoration intérieure et extérieure, l’art du jardin, des matériaux, de la mode et du bien-être.

L’itinéraire ? Il commence de la place de la République à l’Archevêché en passant par l’église des Trinitaires, la chapelle Sainte Anne, les arènes, l’église des frères prêcheurs et l’espace Van Gogh, la ville d’Arles accueillera ceux qui réinventent la maison de demain. Des ateliers du geste et des conférences complèteront le dispositif pour lequel sont attendus 15 000 visiteurs.

Up-cycling
Via Domus accueillera la toute première rétrospective du collectif 5.5 Designers, ‘Inventaire’, au sein de l’église des Trinitaires présentés par son quatuor, Vincent Baranger, Jean-Sébastien Blanc, Anthony Lebossé et Claire Renard. Pionnier de l’upcycling en France, le collectif créé en 2003, est devenu un symbole de la récupération et de la réhabilitation d’objets du quotidien. Ces chercheurs s’interrogent sur le devenir des objets les rendant responsables et durables.
Du 26 au 29 mai 2022. Centre ville d’Arles.

Rayonner
Classée dans le New-York Times parmi les « 52 destinations à découvrir », sélectionnée par Gucci pour son défilé « Croisière » ou encore par Louis Vuitton pour sa collection « City Guide » des plus belles capitales à visiter… Chaque année, plus de 2 millions de personnes visitent la Petite Rome des Gaules. Mission de Patrick de Carolis élu à l’Hôtel de ville en 2020 ? Mettre à l’honneur les artisans et les entreprises de la ville et animer celle-ci au fil de toutes les saisons.

Arles
Arles compte 53 000 habitants, 8 monuments historiques inscrits au Patrimoine de l’Unesco depuis 40 ans. C’est la commune la plus étendue de France métropolitaine -du fait de son littoral- avec 759 km2. Elle compte plusieurs festivals : ‘Les Rencontres Internationales de la Photographie’, ‘Les Suds’, ‘Les Escales Cargo’…
Elle accueille de très renommés fondations et musées : Fondation Luma, Fondation Lee Ufan (dont l’ouverture aura lieu en 2022), la Fondation Van Gogh, Muséon Arlaten, Musée de l’Arles Antique, Musée Réattu.

DR

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Le Salon ‘Provence prestige’ ? Une porte ouverte sur la Provence vivante, du 18 au 22 novembre au Palais des congrès d’Arles.

Grâce à ses 150 artisans, fabricants et producteurs régionaux réunis, le savoir- faire et les traditions locales seront à l’honneur pendant 5 jours, autour de 4 principaux secteurs d’activités : la gastronomie, la mode, la maison & décoration ainsi que la culture & les loisirs.

De quoi redonner goût à la rencontre et à la convivialité en faisant rayonner toute la richesse de la Provence avant les fêtes de fin d’année mais pas que, le savoir-faire national s’invitant sur cette édition avec une dizaine d’exposants d’autres régions. A noter qu’une boutique en ligne permettra de commander des produits en « clic and collect » via le lien suivant : boutique.provenceprestige.com.

150 artisans

Provenant principalement de la région (près de 90%), les exposants garantissent tous des produits issus du savoir-faire régional. Si leurs retrouvailles avec les visiteurs auront cette année une saveur toute particulière, une trentaine d’entre-eux seront pour la première fois présents. Au programme de cette 28ème édition: 3500 m2 de stands et, quotidiennement, un riche programme d’animations pour petits et grands. Parmi elles, des ateliers créatifs enfants, des démos, des dégustations, des conférences, des dédicaces….

Carton plein lors des éditions précédentes

10 artisans du Vaucluse

Quelques pépites vauclusiennes seront présentes lors de cette édition. Côté maison & déco : Coutellerie Stephen Leblond, Eve verrerie. Côté mode : DAMC créateur (étoles et écharpes), Gaiette Bijoux. Côté gastronomie : La Truffière de Marcel, Les escargots du Roussillon, La Présidente (vin), L’Étoile du délice (chocolat), Les Croquants de Vielleront (amandes et croquants).

Parmi les nouveaux, deux marques pour prendre soin de soi : Alyscamps, maison de cosmétiques puisant ses origines à Arles, qui offre des soins complets aux formulations naturelles et Céline Escand et son Baume intégral aux composants naturels et bio fabriqué à Saint-Rémy-de-Provence. Du côté de la maison, ‘Les folies écolos’ présenteront leurs produits lavables, dans des tissus aux imprimés colorés, pour remplacer essuie-tout, éponge et autres accessoires. Côté gastro cette fois, on se lèche les babines avec la ‘Maison Licata’.

On ne reste pas insensible non plus devant le Domaine De Lagoy, domaine chargé d’histoire avec son château classé monument historique, dont la construction remonte à 1714. Acquis en 1662 par la famille Meyran, et resté dans la même famille depuis lors, il est converti à l’agriculture biologique dès 2001 et possède près de 30 hectares de vignoble bénéficiant de l’appellation IGP Alpilles.

Un petit tour côté tissu lors de l’édition précédente

A noter que pour les fans de bio, une dizaine d’autres exposants seront également présents au salon. Parmi eux, la brasserie artisanale des Alpilles nouveau (Eygalières & Verquières, 13), le domaine oléicole ‘Le Grand mas du Roy’ (Arles, 13), Le rucher des Alpilles (Saint-Rémy-de-Provence, 13) ou encore Provence Factoriz (Arles, 13) qui transforme le riz de Camargue en alcool. Côté bien-être, à saluer la présence des cosmétiques Sternartica nouveau (Roche-Saint-Secret-Béconne, 26) et des huiles essentielles de la marque PJM SAS (Menton, 06) spécialisée dans la lavande et le lavindin.

Hervé cuisine et ses ateliers

Né à Martigues et installé à Arles, l’influenceur Hervé Cuisine compte plus d’1 million de followers/abonnés et dont le site Internet se place dans le top 3 des blogs de cuisine français. Ambassadeur depuis 2020 du salon , il partagera quelques-uns de ses secrets de cuisine autour de plusieurs ateliers participatifs. RDV sur le secteur gastro.

Plein les papilles !

Calèche et gastronomie

Il fait partie des exposants les plus anciens du salon. Spécialiste de la cuisine provençale, Jean Martin sera présent , outre son stand traditionnel, un foodtruck dédié à la « street food ». Quatre restaurants gastronomiques éphémères seront par ailleurs présents sur le salon pendant les 5 jours. A noter que 4 navettes « Calèches » gratuites permettront, le samedi et le dimanche, de relier le centre-ville au Palais des Congrès. Pas mal pour se rendre au Marché de Noël des Commerçants organisé du 19 au 21 novembre par l’association des Commerçants « Arle’Shopping » dans la cour de l’archevêché…

Food truck Jean-Martin

Informations pratiques : du jeudi 18 au lundi 22 novembre, de 10h à 20h, nocturne le vendredi jusqu’a 23h. Palais des congres d’Arles : avenue 1ère division France Libre. Entrée : 8 euros, gratuit pour les moins de 12 ans, prévente tarif réduit jusqu’au 15 novembre inclus. Demi-tarif pour les enfants de 12 à 18 ans.

Le billet d’entrée au salon donne droit également à un tarif réduit, pendant la durée du salon, aux musée départemental de l’Arles Antique, Museon Arlaten, musée Réattu, musée de la Camargue (entrée gratuite).

Toutes les informations: cliquez ici. Pass sanitaire et masque obligatoires.

Affiche officielle

L.M.


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L’Académie des Beaux-Arts se rendra à Arles les mardi 2 et mercredi 3 novembre. Pour l’occasion, les membres et correspondants de l’Académie visiteront l’Ecole nationale supérieure de la photographie d’Arles, réalisée par l’architecte Marc Barani (membre de la section d’architecture de l’Académie), la Fondation Luma, le musée Réattu ainsi que l’atelier du photographe Lucien Clergue, membre regretté de l’Académie.

Séance plénière hebdomadaire

Pour la troisième fois depuis sa création en 1816, l’Académie des beaux-arts tiendra par ailleurs sa séance plénière hebdomadaire du mercredi 3 novembre de manière décentralisée et publique. Cette séance aura lieu de 14 heures 30 à 16 heures 30 dans la salle d’honneur de l’Hôtel de ville d’Arles, à l’invitation de Patrick de Carolis, maire de la ville et lui-même membre de l’Académie des beaux-arts.
Inscription obligatoire auprès de catherine.vivier@academiedesbeauxarts.fr

L’Académie des Beaux-Arts

Instance consultative des pouvoirs publics, composée de 63 membres, 16 membres associés étrangers et 63 correspondants, l’Académie conduit, en dehors de ses missions de soutien à la création artistique et de défense du patrimoine artistique de la France, une activité de réflexion sur les questions d’ordre artistique lors de ses séances hebdomadaires au cours desquelles elle convie régulièrement des personnalités du monde culturel et politique à intervenir.

En savoir plus

L’Académie des beaux-arts est l’une des cinq académies composant l’Institut de France. Composée de 63 membres, 16 membres associés étrangers et 63 correspondants, elle encourage la création artistique dans toutes ses formes d’expression par l’organisation de concours, l’attribution de prix qu’elle décerne chaque année, le financement de résidences d’artistes, l’octroi de subventions et veille à la défense du patrimoine culturel français.

Elle assure également la gestion d’importantes fondations culturelles

Instance consultative des pouvoirs publics, l’Académie conduit également une activité de réflexion sur les questions d’ordre artistique. Afin de mener à bien ces missions, l’Académie des beaux-arts gère son patrimoine constitué de dons et legs, mais également d’importantes fondations culturelles telles que le Musée Marmottan Monet (Paris) et la Bibliothèque Marmottan (Boulogne-Billancourt), la Maison et les jardins de Claude Monet (Giverny), la Villa Ephrussi de Rothschild (Saint-Jean-Cap-Ferrat), la Maison-atelier Lurçat (Paris), la Villa Les Pinsons (Chars) et la Galerie Vivienne (Paris) dont elle est copropriétaire.
MH

Académie des Beaux-Arts, Paris

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C’est officiel ! Selon l’Insee (Institut national de la statistique et des études économiques) la zone d’emploi d’Avignon compte désormais davantage de communes gardoise et bucco-rhodaniennes que de vauclusiennes. Une réalité qui met de plus en plus en lumière les incohérences des frontières départementales.

En redéfinissant le périmètre des zones d’emploi en Provence-Alpes-Côte d’Azur, l’Insee a établi que la région comptait désormais 22 zones contre 18 en 2010. Intégrant de nouvelles méthodes afin d’harmoniser les possibilités de comparaison au niveau européen, ce zonage détermine un territoire à l’intérieur duquel la plupart des actifs résident et travaillent. Pour l’Insee, « il s’agit de l’espace le plus pertinent pour étudier le fonctionnement du marché du travail et pour adapter localement les politiques de l’emploi ».
Cette réévaluation des frontières ‘économiques’ de nos territoires fait ainsi notamment apparaître les zones d’emploi de Carpentras et de Valréas (jusqu’alors intégrées à celle d’Avignon) ainsi que celle de Bollène-Pierrelatte (rattachée jusqu’à présent à Orange).

Avignon dépasse les frontières
Déjà principale zone d’emploi de Paca dépassant les frontières régionales en 2010, le bassin de vie de la cité des papes ne fait que renforcer ce déséquilibre 10 ans plus tard. Ainsi à ce jour, la zone d’emploi d’Avignon comprend 15 communes gardoises (Les Angles, Aramon, Domazan, Estézargues, Fournès, Lirac, Montfrin, Pujaut, Rochefort-du-Gard, Roquemaure, Sauveterre, Saze, Tavel, Théziers et Villeneuve-lès-Avignon) pour ‘seulement’ 13 vauclusiennes (Althen-des-Paluds, Avignon, Bédarrides, Caumont-sur-Durance, Châteauneuf-de-Gadagne, Entraigues-sur-la-Sorgue, Jonquerettes, Morières-lès-Avignon, Le Pontet, Saint-Saturnin-lès-Avignon, Sorgues, Vedène et Velleron). A cela s’ajoutent 8 villes des Bouches-du-Rhône (Barbentane, Cabannes, Châteaurenard, Eyragues, Graveson, Noves, Rognonas et Verquières). Comme dans le même temps, l’Insee a ‘détaché’ plus d’une soixantaine de communes vauclusiennes jusqu’alors rattachées à Avignon et désormais intégrées dans les zones d’emploi de Valréas, Carpentras, Orange et Cavaillon ce contraste est maintenant encore plus saisissant : Avignon s’étend plus en Occitanie qu’en Vaucluse.

« Avignon s’étend plus en Occitanie qu’en Vaucluse. »

Alors que le Vaucluse est déjà le département où la part des emplois occupés par des personnes résidant à l’extérieur est déjà la plus importante de la région, pour le bassin de vie d’Avignon, à cheval entre 3 départements et 2 régions, ce déséquilibre est encore plus marqué. Ainsi, plus de 40% des emplois du Grand Avignon sont occupés par des non-résidents aux premiers rangs desquels figurent des Vauclusiens (près de 15 000 personnes habitants dans une autre commune), des Gardois (plus de 6 000) et des Bucco-rhodaniens (près de 4 000). Et si au sein du Grand Avignon, le nombre d’emplois a très légèrement progressé entre 2006 et 2016 (+ 0,6 % en moyenne par an), c’est avant tout les territoires qui l’entourent qui en ont profité. En 10 ans, de nombreux actifs ont ainsi quitté le Grand Avignon tout en continuant à venir y travailler chaque jour. Ils se sont installés dans plusieurs intercommunalités voisines où le nombre de navetteurs (ndlr : un navetteur est un actif qui quitte sa commune de résidence quotidiennement pour aller travailler) a fortement progressé, notamment les communautés d’agglomération Luberon Monts de Vaucluse (LMV) à l’est, Terre de Provence au sud et Ventoux-Comtat-Venaissin (Cove) au nord.

« Ne rien faire pour adapter les frontières à la réalité du territoire devient un crime contre l’emploi. »

Tout ceci n’est pas sans conséquence sur ‘l’optimisation’ des performances économiques de ce territoire où entrepreneurs, élus locaux et citoyens résidents constatent régulièrement les difficultés liées aux frontières départementales et régionales en matière de transport, de santé, d’éducation (2 zones de vacances scolaires), de sécurité, d’emploi…

Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si l’Insee a revu le périmètre des zones d’emploi avec pour objectif de proposer une meilleure vision du territoire afin d’adapter localement les politiques de l’emploi. Constater que le Vaucluse est l’un des départements les plus pauvres de France c’est un début, ne rien faire pour adapter ses frontières à la réalité de son territoire devient un crime contre l’emploi.

Valréas et la question de la Drôme provençale
Bien que championne dans ce domaine, la cité des papes n’a plus l’exclusivité du franchissement des limites régionales. Désormais, les zones d’emplois de Bollène-Pierrelatte et de Valréas se composent majoritairement de résidents d’Auvergne-Rhône-Alpes (70% pour Bollène-Pierrelatte et plus de 50% pour Valréas).

« Quel sort pour la Drôme provençale ? Auvergne-Rhône-Alpes ou Paca ? »

Outre 4 communes vauclusiennes (Bollène, Lamotte-du-Rhône, Lapalud et Mondragon) la zone d’emploi de Bollène-Pierrelatte comprend 8 communes ardéchoises et 17 drômoises. Pour Valréas, la zone d’emploi compte 23 villes vauclusiennes (Beaumont-du-Ventoux, Brantes, Buisson, Crestet, Entrechaux, Faucon, Grillon, Malaucène, Puyméras, Rasteau, Richerenches, Roaix, Sablet, Saint-Léger-du-Ventoux, Saint-Marcellin-lès-Vaison, Saint-Romain-en-Viennois, Saint-Roman-de-Malegarde, Savoillan, Séguret, Vaison-la-Romaine, Valréas, Villedieu et Visan) ainsi que plus de 90 communes drômoises, dont Nyons, essentiellement rattachées jusqu’à maintenant à Montélimar. Là encore, sans attendre les répercussions kafkaïennes que pourrait avoir sur l’Enclave le reconfinement de la Drôme aujourd’hui dans le collimateur du Gouvernement en raison de la situation sanitaire liée au Covid-19, ce redécoupage de l’Insee pose la question du sort de la Drôme provençale : Auvergne-Rhône-Alpes ou Paca ?

Et dans le reste du Vaucluse ?

Dans le reste du Vaucluse, la zone d’emploi de Carpentras totalise 29 communes. L’emploi s’y organise autour de deux pôles : Carpentras et Monteux. Monteux, pôle résidentiel (0,8 emploi par actif occupé résident) à la démographie parmi les plus dynamiques de la région, illustre parfaitement la mutation de nos territoires favorisée par une grande mobilité. Les Montilliens sont ainsi 1 606 à travailler dans leur commune de résidence et sont 836 à se rendre à Carpentras pour leur emploi alors qu’ils sont 1 238 à aller sur la zone d’Avignon (717 à Avignon, 257 à Sorgues et 264 au Pontet).
Pour celle de Cavaillon (qui intègre Apt), ce nombre de communes s’élève à 54 dont 11 étaient auparavant rattachées à la cité des papes (dont 5 communes des Bouches-du-Rhône – Eygalières, Mollégès, Orgon, Plan d’Orgon et Saint-Andiol) et 1 à Manosque.

« 2 600 Vauclusiens habitant le Sud-Luberon travaillent sur Aix. »

Pour sa part, la zone d’Orange comprend 16 communes dont 3 étaient associées à Avignon dans la précédente étude de l’Insee (Châteauneuf-du-Pape, Courthézon et Gigondas). Le secteur de la cité des princes présente par ailleurs la spécificité de concentrer un maximum d’emploi dans la ville la plus peuplée du territoire : plus de la moitié des actifs occupés y travaillent.
Enfin, concernant le Sud-Luberon on dénombre 21 communes de Vaucluse autour de Pertuis à faire partie de la zone d’Aix-en-Provence. Dans ce cadre, ils sont près de 2 600 à quitter chaque jour le département pour travailler sur Aix. A cela s’ajoute plus de 700 Vauclusiens employés sur Marseille (418 pour Pertuis et 309 pour Avignon).

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