22 juillet 2024 |

Ecrit par le 22 juillet 2024

Arles : ‘See Through the Noise’, la première exposition collective de la Fondation VII

Le siège de la Fondation VII, situé à Arles, accueille sa première exposition : ‘See Through the Noise’. Une exposition collective qui est visible jusqu’au 31 janvier 2024.

L’objectif de la Fondation VII est de transformer le journalisme visuel en donnant la parole à de nouvelles voix et en créant des histoires qui prônent le changement. L’exposition ‘See Through the Noise’ est une rétrospective collective des photographes de VII. De la guerre en Bosnie à la guerre en Ukraine, elle présente certains des évènements les plus marquants de l’histoire dont ils ont été témoins.

Avec des scènes épiques comme la bataille du pont de Dyala en Irak, et des moments plus intimes comme celui d’un Américain travaillant sur son camion, cette exposition couvre un large éventail des questions qui sont au cœur du travail des photographes de VII. Cette exposition met l’accent sur l’engagement de la fondation pour la vérité dans le journalisme. Bon nombre des photographies exposées ont déjà reçu les prix les plus prestigieux de l’industrie, ont été publiées dans les principaux médias, dont TIME Magazine, Der Speigel, National Geographic, Le Monde, The New York Times et Paris Match, ou sont entrées dans les collections des plus grands musées et institutions.

Composée de photographies, d’informations contextuelles et de textes, l’exposition comporte des œuvres d’Ali Arkady, Anush Babajanyan, Jocelyn Bain Hogg, Philip Blenkinsop, Alexandra Boulat, Eric Bouvet, Stefano De Luigi, Linda Bournane Engelberth, Danny Wilcox Frazier, Ziyah Gafic, Ashley Gilbertson, Ron Haviv, Ed Kashi, Gary Knight, Joachim Ladefoged, Paul Lowe, Christopher Morris, Seamus Murphy, Maciek Nabrdalik, Ilvy Njiokiktjien, Franco Pagetti, Espen Rasmussen, Daniel Schwartz, John Stanmeyer, Maggie Steber, Nichole Sobecki, Sara Terry et Tomas Van Houtryve.

Jusqu’au 31 janvier 2024. Entrée libre. Du mercredi au samedi de 11h à 17h jusqu’au 6 novembre. Les mercredis de 11h à 17h à partir du 6 novembre. 49 Quai de la Roquette. Arles.

V.A.


Arles : ‘See Through the Noise’, la première exposition collective de la Fondation VII

Jusqu’au 24 septembre, la fondation MRO propose chaque jour un programme d’expositions qui met en avant la relation entre les plantes et l’Homme.

Grow Up est un programme d’expositions, proposant des regards croisés sur le mouvement des plantes à travers le monde. La vingtaine d’artistes présentés ont un ancrage géographique en Amérique du Sud, Amérique Centrale ou encore à Taïwan.

Chaque focus met en avant la relation entre les plantes et l’Homme, explorant les relations locales d’un territoire mais aussi internationales. Cette échelle géographique traverse les récits et questions politiques, sociales, environnementales mais aussi les questions post-colonialismes. Les projets croisent les plantes maîtresses, le chamanisme, la drogue mais aussi l’exploration sensible d’un territoire.

Cette relation aux plantes est centrale, elles sont sacrées et au cœur des cultures et croyances locales, Grow up souhaite cultiver et faire grandir les consciences sur le rapport au vivant.

Avec les travaux de Verdiana ALBANO, Pepe ATOCHA, Teo BELTON et Florence GOUPIL, Thomas BRASEY, Isabelle CHAPUIS, Steph COP et Bálint PÖRNECZI, Celine CROZE, Mathias de LATTRE, José DINIZ, Arguiñe ESCANDÓN et Yann GROSS, Nicolas HENRY, Andrea HERNÁNDEZ BRICEÑO, HSU Cheng-Tang, KUO Che-Hsi, Samir LAGHOUATI-RASHWAN, Marc LATHUILLIÈRE, Gabriel MORAES AQUINO, Mads NISSEN et Juan ARREAZA, Tommaso PROTTI, Antoine RENARD, Philippine SCHAEFER, WU Chuan-Lun et les collectifs COLLECTIF FIVE, DOCKS COLLECTIVE, LESASSOCIÉS.

18 rue de la Calade, Arles. Tous les jours de 10h à 19h30 jusqu’au 24 septembre. Tarifs : plein 6€ / réduit 4€. La vente des billets cesse 30 minutes avant la fermeture.


Arles : ‘See Through the Noise’, la première exposition collective de la Fondation VII

Eric Le Sage et Aline Piboule, deux grand pianistes, joueront ce soir du piano de 18h30 à 20h10, Cour de l’Archevêché, place de la République à Arles dans le cadre du festival Les rues en musique.

Eric Le Sage est un des représentants les plus incontournables à travers le monde de l’école française du piano, notamment pour ses intégrales au disque de Schumann et Fauré. Aline Piboule est remarquée pour ses interprétations alliant puissante énergie et extrême sensibilité, et saluée récemment pour la redécouverte d’œuvres françaises du début du 20me siècle jusqu’alors méconnues.

Eric Le Sage et Aline Piboule

Leurs discographies
récoltent les plus hautes distinctions de la critique musicale et ils sont régulièrement invités dans les plus grands festivals en France et à l’étranger. Ils se retrouvent pour ce concert à quatre mains pour interpréter des chefs d’œuvres de la musique romantique et française. Un moment alliant virtuosité, poésie, et amitié autour des plus grands chefs d’œuvres du répertoire à quatre mains.

Samedi 5 août de 19h30 à 21h10, au théâtre antique d’Arles, Les plus beaux airs et duos d’amour

Soprano de renommée internationale, Melody Louledjian est reconnue comme l’une des plus talentueuses de sa génération grâce à un parfait phrasé, une voix pleine d’aisance et de lumineux aigus.

Elle s’illustre sur les plus belles scènes,
notamment à l’Opéra de Paris, Munich, Genève, Reggio Emilia…, dans les grands rôles lyriques tels que Lucia di Lammermoor, La Traviata, Don Pasquale, La Bohème… Philippe Do est, quant à lui, un Ténor qui a marqué de sa signature vocale de grands rôles comme Don José, Samson, Alfredo, etc., sur les plus grandes scènes du monde telles l’Opéra de Paris, Moscou, Orange, Prague. Il est très apprécié pour la ‘beauté de son timbre de ténor lyrique, ses demi-teintes raffinées et la pureté de son style’ (Alan Blyth dans Opera). Brillamment accompagnés par la talentueuse pianiste Marie-France Arakelian, ils interpréteront les grands airs d’opéra français et italiens : Carmen, La Bohème, Traviata…

Dans le détail
Melody Louledjian, soprano, Philippe Do, ténor, et Marie-France Arakélian au piano donneront des extraits de Puccini : La Bohème, Granados avec Andaluza ainsi que Opérettes viennoises ; Lehar : Giuditta ‘Meine Lippen’ ;  Stolz : Der Favorit ‘Du sollst der Kaiser’ ; Lehar : Veuve Joyeuse ‘Heure exquise’ ; Ginastera : ‘Danza de la moza denesa’  et des Chansons latino Gardel : El dia que me quieras ; Piazzolla : Oblivion ; Lara : Granada.
Bis, Miguel : Contigo en la distancia et, enfin, Verdi avec la Traviata ‘Brindisi’

Melody Louledjian

Au programme
Poulenc Sonate à 4 mains (7′) ; Mozart Sonate K330  (20′) ; Allegro moderato, Andante cantabile, Allegretto ; Chopin Nocturne Op 27 n°2. (4’30) ; Liszt 2ème Ballade  (15′) ; Brahms Danses hongroises à quatre mains (1-2-3-5).  (12′).
Au théâtre antique. Entrée spectacles. 2, boulevard des Lices. Jardin d’été. 13 200 Arles. 04 90 49 37 40

Les rues en musique
Classique, jazz ou festif, le festival ‘Les Rues en Musique’ – qui a lieu jusqu’au 11 août- est un événement gratuit concocté par la direction de la Culture d’Arles, proposant une programmation riche et métissée, composée de musiciens confirmés, où se mêlent fantaisie et inventivité. Cette année il y aura 6 concerts au Théâtre antique aux univers et influences variés, comme autant de rendez-vous qui invitent à l’étonnement et à la sérénité, dans la douceur des soirées d’été arlésiennes.
Le programme complet est ici.


Arles : ‘See Through the Noise’, la première exposition collective de la Fondation VII

Du lundi 10 au dimanche 16 juillet prochains, la ville d’Arles va accueillir la 28ᵉ édition du festival Les Suds. Concerts, rencontres et master classes… Partez à la découverte des musiques du monde.

Le festival Les Suds a été créé en 1996 par Marie José Justamond, présidente de l’événement, à l’impulsion de l’ancien maire d’Arles Michel Vauzelle. À l’initiative de sa création, une interrogation : comment considérer la Méditerranée comme un ensemble culturel ?

Si l’ADN du festival repose sur la culture méditerranéenne, rapidement après sa naissance, l’événement est allé chercher plus loin, en termes de géographie. Aujourd’hui, c’est un festival des musiques du monde. « C’est un réel voyage que l’on propose du lundi matin au dimanche soir », affirme Stéphane Krasniewski, directeur du festival Les Suds.

La fusion des patrimoines culturel et architectural

À l’origine, l’idée a été de mettre le patrimoine architectural arlésien mais aussi le patrimoine culturel en valeur. Ainsi, tout au long de la semaine, les festivaliers se regrouperont dans divers lieux emblématiques de la ville pour découvrir différentes parties du monde à travers la musique.

Le jardin Hortus, l’espace Van Gogh, le musée départemental Arles antique, la place Voltaire, le Théâtre Antique, la cour de l’Archevêché, et bien d’autres endroits seront mis en lumières lors du festival. « La possibilité que nous offrent tous ces lieux est de mettre les artistes sur une scène adaptée à leur expression, mais aussi à un moment propice, explique le directeur. On ne programme pas de la même manière un concert du matin et un concert du soir. »

Des artistes déjà connus et des talents émergents

La programmation de Les Suds est dense. En tout, ce sont 80 concerts et rencontres musicales qui vont avoir lieu. Qui dit programme dense dit bon nombre d’artistes. Comme chaque année, le festival propose des artistes déjà connus aux côtés de talents émergents, en passe de devenir les têtes d’affiche de demain.

« Les artistes déjà en place vont permettre d’apporter de la lumière à l’événement. Le festival doit être un accélérateur de carrière pour les artistes moins connus. »

Stéphane Krasniewski

Ainsi, de gros noms seront présents comme Barbara Pravi, interprète du tube ‘Voilà‘, Silvia Pérez Cruz, dont la notoriété n’est plus à prouver, notamment dans son pays l’Espagne, ou encore le producteur et musicien Raül Refree, qui a, entre autres, fait découvrir la star de la pop Rosalía au grand public. Venezuela, Colombie, Mongolie, France, Mali, Tunisie… Tous les continents seront représentés. Le département de Vaucluse, quant à lui, sera également de la partie à travers le groupe Tant que li siam qui chante en provençal.

Plus qu’une succession de concerts

Au cours de la semaine, les festivaliers ne vont pas seulement assister à des représentations musicales. Les temps de médiation auront eux aussi une grande place lors de l’événement. Il y aura notamment les petits-déjeuners orientaux du lundi 10 au samedi 15 juillet à 9h30, servis par l’Association de solidarité avec les travailleurs immigrés (ASTI) à l’école du Cloître. L’occasion de se retrouver entre festivaliers, mais aussi de croiser l’équipe de l’événement et parfois les artistes de la programmation.

Il y aura également les apéros découverte du lundi 10 au vendredi 14 juillet à l’espace Van Gogh qui permettront d’en apprendre plus sur les artistes avec des anecdotes, des coups de cœur, et bien sûr, de la musique en acoustique. « Ces moments sont importants pour présenter les artistes, mais aussi pour faire comprendre l’histoire ou le contexte politique de chaque type de musique », explique Stéphane Krasniewski. Certains chantent pour la liberté dans leur pays, d’autres pour la liberté d’expression et de création, c’est aussi ça que veut mettre en avant le festival Les Suds. Des films et documentaires seront également projetés tous les jours à 14h30 pour en apprendre plus sur les différentes cultures représentées lors de l’événement.

Le programme du festival

Des stages et master classes

Tout au long de la semaine, le festival proposera également 12 stages ‘danse’, 9 stages ‘instrument’, 10 stages ‘voix’, 6 stages ‘art de vivre’ et 3 stages ‘jeunesse’, animés par des artistes reconnus dans leur domaine. L’objectif est de partager une passion, de découvrir une ou plusieurs cultures, mais aussi de faire vivre le festival de l’intérieur.

Lors de ces moments, les stagiaires pourront apprendre les danses indiennes, le flamenco, le hip-hop contemporain, les percussions soufies & zar, l’accordéon, les maracas vénézuéliennes, l’histoire de la polyphonie, les chants et danses du Sahara, la cuisine provençale, le yoga, ou l’éveil corporel et musical. Le prix des stages se situe entre 50€ et 350€. Pour découvrir tous les stages et vous y inscrire, cliquez ici.

Une programmation pour tous

Chaque année, entre 40 000 et 45 000 personnes sont au rendez-vous et vivent le festival à fond, de 10h à 3h tous les jours pendant une semaine. Près de deux tiers d’entre eux viennent du Grand Régional (Montpellier-Marseille / Nîmes-Avignon), entre 25% et 30% des métropoles françaises, et entre 5% et 10% de l’international (Italie, Espagne, Suisse, Allemagne), notamment pour faire les stages.

Chaque journée du festival est ponctuée d’événements gratuits jusqu’à 19h, puis on bascule dans la cour de l’Archevêché et dans le Théâtre antique qui, eux, proposent des concerts payants avec des artistes plus reconnus. Ainsi, il y en a pour tous les goûts, et tous les budgets !

Pour découvrir l’intégralité de la programmation du festival et réserver vos billets pour les concerts payants, ou réserver vos pass, cliquez ici.


Arles : ‘See Through the Noise’, la première exposition collective de la Fondation VII

Le conseil municipal de la ville d’Arles vient d’acter la cession des parts de la ville dans la Sempa (Société d’économie mixte du Pays d’Arles) à Vilogia. Le Groupe spécialisé dans l’habitat social va donc reprendre les 1 704 logements que compte la SEM. De quoi lui permettre de franchir le seuil des 5 000 logements dans le Grand Sud.

Lors de la dernière séance du Conseil municipal d’Arles, une délibération a été adoptée autorisant la cession des parts de la ville d’Arles dans la Sempa (Société d’économie mixte des Pays d’Arles) au groupe Vilogia. En conséquence, ce dernier va donc reprendre les 1 704 logements que compte cet organisme de logements sociaux qui fusionnera au sein de Vilogia.
L’opération intervient dans le cadre de la loi ELAN, qui impose aux organismes HLM gérant moins de 12 000 logements de se rapprocher de groupes de taille plus significative.

Fusion effective au 1er janvier 2024
Dans cadre de cette fusion qui interviendra au 1er janvier 2024, Vilogia s’engage à investir 38M€ sur le territoire du pays d’Arles.
« Ce rapprochement permettra de déployer sur le territoire du pays d’Arles des moyens financiers nouveaux et significatifs, notamment au profit des investissements sur le patrimoine : 20M€ HT consacrés à la rénovation urbaine du quartier de Griffeuille à Arles », explique Vilogia qui s’engage également à mener le programme de rénovation avec l’objectif d’une première inauguration dans un délai de 36 mois à compter de la signature du protocole de cession.
D’autre part, 3M€ HT seront investis dans le cadre du projet Anru dans le quartier des Ferrages à Tarascon, 5M€ HT sur ce même quartier, hors convention ANRU, afin de mener des opérations de réhabilitation identifiées par la Sempa, ainsi que 10M€ HT qui seront dédiés aux travaux prévus dans le cadre du Plan Stratégique de Patrimoine de Vilogia.
 « Par ailleurs, le pays d’Arles bénéficiera désormais des compétences et de l’expérience d’un groupe d’envergure nationale, complète Vilogia. Ainsi, le projet Anru des Ferrages à Tarascon sera piloté par le GIE La Meta, entité crée par Vilogia et spécialisée en ingénierie de renouvellement urbain (relogement, montage financier, maîtrise d’ouvrage…). Un comité d’orientation stratégique territorial associant le bailleur et les acteurs locaux sera créé pour prioriser les interventions de réhabilitation, déterminer la politique d’attribution en fonction des enjeux des collectivités, et définir les axes de développement futurs. »

Reprise du personnel et maintien des conditions de bail des locataires
L’ensemble du personnel de la Société d’économie mixte sera intégré aux effectifs de Vilogia et maintenu à son poste. Vilogia maintiendra tous les points d’accueil aujourd’hui disponibles aux locataires de la Sempa dont l’agence d’Arles et les permanences existantes dans les différents hameaux et à Tarascon notamment. Enfin, les conditions de bail des locataires actuels seront intégralement maintenues:

Vilogia poursuit son implantation en région Paca
Implanté depuis 2012 dans la région Grand Sud, le Groupe Vilogia y continue son développement. Présente à travers 2 agences (Nice et Marseille), la direction du territoire Grand Sud de Vilogia assure une production d’environ 300 logements par an sur la Métropole-Aix-Marseille Provence, le Var et les Alpes-Maritimes, pour un investissement annuel de 30 à 50M€. A ce jour, le groupe gère plus de 3 200 logements sur ce territoire. L’implantation dans le pays d’Arles permettra à Vilogia de franchir la barre des 5 000 logements dans la région en 2024.

L.G.


Arles : ‘See Through the Noise’, la première exposition collective de la Fondation VII

Si le Vaucluse compte déjà dix Bistrots de Pays, son département voisin les Bouches-du-Rhône, lui, vient tout juste d’acquérir son premier. Le Café de l’Avenir se situe dans le hameau de Mas-Thibert, qui est rattaché à la ville d’Arles. L’établissement a obtenu le label Bistrot de Pays il y a quelques mois. Un événement qui va être célébré le mercredi 12 avril à 18h30.

Carreaux de ciment au sol, porte ancienne de manade, comptoir en bois et en aluminium ou encore ‘Hablador’, la célèbre tête de taureau de la Feria pascale de 1991 à Arles. Une fois la porte du Café de l’Avenir passée, le client est immédiatement plongé dans l’ambiance camarguaise. Situé entre la Via Rhôna et la Réserve des Marais du Vigueirat, le restaurant est l’endroit pour s’imprégner de la nature camarguaise et se ressourcer dans un environnement naturel d’exception.

Géré par Sofiane Benabderahmane, qui a redonné un coup de jeune à l’établissement en 2021, le Café de l’Avenir vient d’obtenir le label Bistrot de Pays. Ce dernier concerne les établissements situés dans des communes rurales de moins de 2 000 habitants et implique une cuisine mettant en valeur les produits du terroir et l’organisation d’animations festives et culturelles.

Rendez-vous en Méditerrannée

Le bistrot propose divers plats aux saveurs méditerranéennes. Petit-fils de harki, Sofiane tient à respecter la pure tradition algérienne avec une graine confectionnée par sa grand-mère. Le couscous harki, servi une fois par mois, est devenu un incontournable de l’établissement qui fait le bonheur des habitants de Mas-Thibert et qui réunit une grande communauté harki.

Sofiane, qui a grandi dans l’ambiance camarguaise et a même été torero, propose également des recettes provençales comme la traditionnelle gardianne de taureau, les pieds paquets ou encore les encornets farcis. Les vins proposés viennent des trois domaines viticoles du village, rien de plus local.

Le Café de l’Avenir. 2 Avenue Alain Guigue. Mas-Thibert. Inauguration le mercredi 12 avril à 18h30.

DR

V.A.


Arles : ‘See Through the Noise’, la première exposition collective de la Fondation VII

Jean-Paul Capitani, président du directoire de la maison d’édition Actes sud qu’il a contribué à créer en 1978, vient de décéder suite à une chute de vélo. L’accident s’est déroulé en milieu d’après-midi dans le centre-ville d’Arles.
Agé de 78 ans, cet ingénieur agronome de formation qui était aussi l’époux de l’ex-ministre de la culture Françoise Nyssen, aurait roulé sur une borne escamotable qui se serait relevée lorsque ce dernier aurait tenté de rejoindre la place de la République. Selon nos confrères de la Provence, il aurait alors lourdement chuté sur la tête. Malgré l’arrivée rapide des premiers secours, Jean-Paul Capitani n’a pu être ensuite ranimé.

Un attachement sans faille à Arles
Créées dans un village de la vallée des Baux, par Hubert Nyssen et sa femme, Christine Le Boeuf, bientôt rejoints par les autres fondateurs, Françoise Nyssen, Bertrand Py, Jean-Paul Capitani, les éditions Actes Sud ont su développer une politique éditoriale généraliste.
Très vite, elles se sont distinguées non seulement par leur implantation en région, leur identité graphique (format des livres, choix du papier, couvertures illustrées…), mais aussi par une ouverture de leur catalogue aux littératures étrangères.
Installées depuis 1983, au lieu-dit Le Méjan, en bord de Rhône à Arles, les éditions Actes Sud ont poursuivi « leur développement dans une volonté d’indépendance et un esprit de découverte et de partage, entretenant sans cesse la dynamique de la chaîne dite de conviction, qui va de l’auteur au lecteur en passant par les principaux prescripteurs, libraires, bibliothécaires, médias, partenaires culturels.».

L.G.


Arles : ‘See Through the Noise’, la première exposition collective de la Fondation VII

Le lundi 28 novembre, le Palais des congrès d’Arles va accueillir la 2ᵉ édition de ‘Li Rescountre d’Aqui’, les rencontres d’affaires pour un tourisme 100% circuit court, organisée par le Département des Bouches-du-Rhône et la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) du Pays d’Arles.

‘Li Rescountre d’Aqui’, c’est un moment de démonstration et de dégustation entre les producteurs et artisans locaux et leurs acheteurs : les acteurs du tourisme. C’est également l’impression de profiter d’un repas nature de bord de mer en Camargue.

Cet événement est ouvert à tous les ambassadeurs du tourisme en Pays d’Arles, que ce soit les résponsables en hébergement, les restaurateurs, les gérants de café, ou les autres. Depuis quelques années, les consommateurs tendent à consommer de plus en plus de produits en circuit court. C’est dans cet objectif que s’inscrivent ‘Li Rescountre d’Aqui’.

Sur les stands, il y aura de l’alimentaire, de la décoration, du vin et autres alcools, du café, mais aussi des bougies et parfums d’ambiance grâce aux 34 exposants présents, venus des Baux-de-Provence, des Saintes-Maries-de-la-mer, de Châteaurenard, de Saint-Rémy de Provence, et bien d’autres communes des Bouches-du-Rhône.

Lundi 28 novembre. De 11h à 18h. Badge professionnel d’accès, gratuit, à télécharger en ligne. Palais des Congrès. Avenue de la 1re Division France Libre. Arles.

V.A.


Arles : ‘See Through the Noise’, la première exposition collective de la Fondation VII

Du samedi 26 novembre au vendredi 2 décembre, l’établissement public local de crédit et d’aide sociale le plus ancien de France La Caisse de Crédit Municipal d’Avignon (CCMA) fait connaître ses différents services au public lors de ses journées CCMA.

La CCMA donne une semaine au public pour découvrir tous ses services dans ses quatre établissements : Avignon, Arles, Valence et Carpentras. Ceux d’Avignon et Arles seront exceptionnellement ouverts le samedi 26 novembre de 9h30 à 17h.

Au programme : le prêt sur gages, le prêt vert, les prêts à la consommation et regroupements de crédits, le microcrédit et les comptes bancaires. Les partenariats avec les collectivités et les entreprises seront également évoqués.

Les différents services qui seront approfondis

•Le prêt sur gages, qui est l’activité la plus ancienne de la CCMA, vous permet d’obtenir un prêt rapidement, quelle que soit votre situation financière, il vous suffit de laisser un objet de valeur en garantie que vous récupèrerez après remboursement du prêt.

•Le Crédit Municipal s’engage pour les économies d’énergie et pour l’environnement avec son prêt vert qui sert au financement de véhicules propres, de pompes à chaleur, de panneaux photovoltaïque, ou encore de vélos cargos.

•Les prêts à la consommation et regroupements de crédit vont de 500€ à 75 000€ jusqu’à 120 mois, sans justificatifs d’emploi des fonds.

•La CCMA a de nombreux partenariats avec les Caisses centrale d’activités sociales (CCAS), mais aussi avec diverses associations afin d’accorder des microcrédits de 300 à 5000 € et 8000 € jusqu’à 5 ans pour aider les personnes à s’insérer.

•Le Crédit Municipal d’Avignon propose également des services bancaires depuis plus de 100 ans maintenant. Vous pouvez donc y ouvrir un ou plusieurs comptes bancaires classiques (carte bancaire, chéquiers, assurance moyens de paiement, placements, produits d’épargne).

V.A.

https://echodumardi.com/tag/arles/page/2/   1/1