12 avril 2025 |

Ecrit par le 12 avril 2025

Pierre Gonzalvez : avec ‘La rivière Hemingway’, la vie reste une fête

Après un premier ouvrage historique consacré à l’histoire des Banatais de La Roque-sur-Pernes*, Pierre Gonzalvez reprend la plume pour son premier roman. Un récit dans l’Algérie, puis la France des années 1950-60, qui se nourrit du passé familial de ces français déracinés par les drames de l’histoire tout en évitant les écueils de la rancœur et de l’amertume. Et malgré les tempêtes, c’est finalement la vie et l’amour que l’on retrouve au bout du chemin.

Pierre Gonzalvez s’était déjà lancé dans l’aventure de l’écriture avec un premier récit historique sur l’implantation des Banatais à La Roque-sur-Pernes. Cette fois-ci, après ce travail d’études, le maire de l’Isle-sur-la-Sorgue publie son premier roman : La rivière Hemingway. L’histoire de Paul Dessigne qui, entre 1959 et 1964, vit avec sa famille les épisodes dramatiques de la guerre d’Algérie. L’adolescent doit quitter son village de Marengo et cette terre qu’il aime tant pour reconstruire une vie en métropole, dans un pays qu’il ne connaît pas. Après de longs mois d’errance à Bordeaux, il quitte les siens pour travailler à Paris en espérant y retrouver son grand amour rencontré à la faculté d’Alger. Désabusé, il s’installe en Provence pour apprendre avec passion le métier du vin. Et là, tous les éléments de sa vie vont s’assembler enfin quand la paisible terre de Vaucluse révèlera ce fil conducteur invisible qui l’a mené jusque-là.

« Ce livre résonne comme quelque chose de vrai. »

Avec La rivière Hemingway, le maire de l’Isle-sur-la-Sorgue signe son premier roman. Crédit : DR

« C’est un roman, pas un récit familial, explique l’auteur. Pour autant, si ce livre traite de la question de l’Algérie, certains souvenirs familiaux s’expriment au fil de ce récit. Mais c’est juste ma mémoire, depuis ma plus tendre enfance jusqu’à récemment, qui a reconstitué des éléments qui ont été rapportés par une famille qui parle peu de ce sujet. »
Avec pudeur, Pierre Gonzalvez maintient le flou sur la part autobiographique de son livre. Difficile pourtant de ne pas faire le lien entre l’histoire de son père et celle de Paul, son personnage principal. Le déracinement d’un jeune homme de 17 ans et son ré-enracinement dans une Provence dont il tombera amoureux autant qu’elle l’adoptera.
L’auteur évite l’écueil de l’amertume, des rancœurs ou bien encore d’évoquer cette période sous le seul prisme des combats des Français d’Afrique du Nord. Non, ici ce sont les yeux de l’enfant puis de l’adolescent et enfin du jeune adulte qui racontent une belle histoire, davantage personnelle que communautaire.

« J’ai transmis ce que je pouvais transmettre. »

« Pour les gens qui l’ont lu, notamment les rapatriés, ce livre résonne comme quelque chose de vrai, constate Pierre Gonzalvez. Ils ont aussi ressenti qu’il n’y a pas d’idéologie, que ce n’est pas politisé. Mais cela n’est pas idéalisé non plus, même si cela rappelle la parfaite entente des communautés. Alors, il y a effectivement des événements qui ont été des balises dans mon histoire. Mais à partir de là j’ai créé une fiction, sur une base réelle qui s’éloigne de plus en plus de la réalité familiale à partir de l’arrivée en métropole. »

Mon père ce héros
Entre fiction et réalité, l’ouvrage a aussi une charge émotionnelle via ce personnage de Paul, fruit du mélange de l’auteur et de son père et des rapports père-fils.
« Avec ce livre, je voulais aussi exprimer que mon père, c’était mon héros. Parce qu’il est arrivé ici sans rien. Et malgré cela, il nous a tout donné. Il a tout rebâti pour reconstruire une vie. »
Cette superposition familiale dans l’histoire traverse également les générations puisque ce récit a été aussi l’occasion pour les trois filles de Pierre Gonzalvez de découvrir, elles aussi, des choses sur leur père.
« Mes filles, mon père, ma mère, mon grand-père, que je n’ai jamais connu, j’ai transmis ce que je pouvais transmettre. »

La rivière Hemingway est en libraire depuis le 11 mars dernier. Crédit: DR

Hemingway en filigrane
Enfin, difficile de parler de La rivière Hemingway sans évoquer l’écrivain américain. Apparaissant presque anonymement au début du roman, l’auteur des livres ‘Le vieil homme et la mer’, de ‘Pour qui sonne le glas’ ou bien encore ‘Paris est une fête’ pour ne citer qu’eux figure en filigrane tout au long du récit. Ainsi, lors d’une visite chez son grand-oncle en Espagne, Paul croise brièvement Ernest Hemingway dans un bar. Cet échange créera chez le jeune homme l’envie de découvrir son œuvre, devenant une boussole pour traverser les tempêtes à venir.

« Le personnage d’Hemingway m’a toujours intéressé et intrigué, confesse Pierre Gonzalvez. Ses écrits m’ont plu, mais ce qui a fait sens chez moi sens, c’est qu’Hemingway est un personnage qui est acteur de ses romans. En fait, dans tous ses romans il y a une part d’autobiographie. Il aimait aller dans la nature, il aimait la chasse et la pêche. Il découvrira la boxe également. »
Autant de points communs avec Paul, le héros du livre, mais aussi son auteur, Pierre Gonzalvez : « Hemingway chassait à l’arc. Moi aussi je chasse le sanglier à l’approche à l’arc. Ce n’est pas du mimétisme. J’ai juste découvert cela au fil du temps. » Tout comme la boxe ou la pêche à la mouche.
Même l’histoire d’amour du roman fait un détour par Saint-Germain-des-Prés que fréquentait la figure emblématique de la littérature américaine.
« Je voulais une histoire qui établissait que l’amour pouvait dépasser une problématique de classe sociale. Que l’amour peut être universel malgré le fait d’avoir été séparé par la force des choses. C’est peut-être utopique… »

Un autre roman en préparation
Fruit d’une gestation de 5 ans, suivie de plus d’un an et demi d’écriture, Pierre Gonzalvez sort ‘rincé’ de cette aventure littéraire.
« J’écrivais entre 5h et 6h30 du matin, presque tous les jours. Durant cette période, j’ai été habité par une sorte de double vie mais avec ce livre je suis dans un monde qui est le mien. »
De quoi inciter, le maire de l’Isle-sur-la-Sorgue à envisager la préparation d’un second roman.
« C’est trop tôt pour en parler, mais j’ai déjà l’histoire, confesse-t-il. Je l’attaquerai bientôt. » Sans rien dévoiler de cette nouvelle intrigue, Pierre Gonzalvez devrait signer une sorte de road-trip initiatique où le chemin devrait avoir autant de sens que le terme du voyage. A suivre…

La rivière Hemingway de Pierre Gonzalvez. En kiosque depuis le 11 mars 2025. Format : 14x20cm. 192 pages. Prix : 16€. Editions Lazare et Capucine.

Le premier ouvrage de Pierre Gonzalvez édité en 2003. Crédit : DR

* L’étonnant destin des Français du Banat – L’expérience réussie de la Roque-sur-Pernes de Pierre Gonzalvez raconte l’histoire des habitants du Banat. Cette région frontalière à cheval entre la Hongrie, la Roumanie et la Serbie où les habitants ont fui face à l’avancée de l’Armée rouge au lendemain de la Seconde guerre mondiale. Parmi eux, certains vont s’installer dans un petit village des Monts-de-Vaucluse pour le repeupler et le reconstruire : la Roque-sur-Pernes.


Pierre Gonzalvez : avec ‘La rivière Hemingway’, la vie reste une fête

Une double exposition, avec au Frac Bretagne des clichés de JO, aux Champs Libres des photos prises en Algérie : focus sur cette exposition Son œil dans ma main – Algérie 1961 & 2019, pour laquelle le Leica de Depardon a saisi deux périodes : en 1961 au temps de l’indépendance, puis en 2019, quand il est retourné à Alger en compagnie de l’écrivain Kamel Daoud.

« La rue, c’est une certaine liberté » indique Raymond Depardon, appareil photo à la main, toujours, un brin nostalgique lors de la visite de son exposition aux Champs Libres à Rennes. Dans les allées de l’exposition, partout, des regards saisissants fixant l’objectif, des postures marquées… « L’idée c’était de faire des photos sans avoir l’air de faire des photos, il fallait aller vite », évoque l’artiste, se remémorant, comme si c’était hier, ses passages en Algérie, ce pays avec lequel il garde des liens étroits, livrant au passage quelques anecdotes.

Raymond Depardon à Rennes ©S.se7jours

81 photographies
L’exposition, comptant 81 photographies de l’artiste, est divisée en quatre parcours : Alger, 1961, année pendant laquelle le principe de l’autodétermination de l’Algérie, soumis à référendum en Algérie et en France, est voté par une majorité de Français, ouvrant ainsi la voie à l’indépendance du pays ; Oranie, 1961, pendant les négociations d’Évian, le gouvernement français invite la presse étrangère à un voyage en Oranie, dans l’Ouest algérien. Il s’agit de lui faire visiter un village de regroupement, Magra, dénommé « Village de France », dans le domaine de Oued el-Kheir ; Négociation des accords d’Evian, 1961, les pourparlers entre la France et le Front de libération nationale (FLN) pour mettre fin à la guerre d’Algérie reprennent après le référendum du 8 janvier 1961 sur ordre du général de Gaulle ; Alger et Oran, 2019 : en 2018, Raymond Depardon souhaite éditer les photographies de 1961, en leur adjoignant un point de vue algérien : celui de l’écrivain Kamel Daoud. Trois longs textes de Kamel Daoud et un film de Claudine Nougaret, Kamel et Raymond, revient aussi sur la rencontre entre l’auteur et le photographe.

Villa du Bois d’Avault, Bellevue, canton de Genève en Suisse. La délégation du gouvernement provisoire de la république algérienne (GPRA), mène une politique de sensibilisation, organisant conférences et rencontres avec la presse étrangère © Raymond Depardon / Magnum Photos

Des photos « l’air de rien »
Entre le printemps et l’automne 1961, le jeune reporter Raymond Depardon n’a que 19 ans quand l’agence de presse Dalmas l’envoie à plusieurs reprises en Algérie. Il est l’un des rares journalistes à accepter de couvrir cette actualité. Période pendant laquelle il saisit, avec son Leica, des regards, des sourires, des scènes de vie, captant ainsi la tension qui monte dans une ville où la présence de l’Organisation de l’armée secrète (OAS) se fait de plus en plus menaçante. « Ces photos de rues n’ont l’air de rien, mais elles nous racontent plein de choses, raconte-t-il, pensif. Tout cela m’a ouvert à l’autre, à la tolérance et cela m’a obligé à trouver cette place qui est parfois difficile au milieu de gens qui souffrent. »Les photos, elles, racontent beaucoup.« En regardant bien, les visages, les postures, les vêtements et l’arrière-plan elles sont truffées de microdétails », détaille Yves-Marie Guivarch, chargé de programmation. Au-delà des photos de rues chères à l’artiste, l’Histoire et la politique ont toujours été au centre de sa démarche.

Inscription de l’OAS, Casbah d’Alger, 1961 © Raymond Depardon / Magnum Photos

L’Algérie d’aujourd’hui
En 2019, alors qu’il souhaite pour la première fois publier ces photographies de 1961, Raymond Depardon réalise un nouveau voyage à Alger. « Nous sommes venus dire bonjour aux gens comme des touristes. La langue française est d’ailleurs un lien entre nos deux territoires », se souvient-il. Après Alger, il se rend à Oran pour y retrouver l’écrivain Kamel Daoud. De là, naît l’idée d’un livre et d’une exposition réunissant les photos des deux voyages de Depardon et les textes de l’auteur algérien. « Il y a beaucoup de jeunesse et d’espoir à Alger », assure le photographe, exposant même une dernière idée : « J’aimerais beaucoup que ces photos soient exposées aussi en Algérie, c’est leur Histoire aussi, j’aimerais leur en faire don. »

Alger, 2019 © Raymond Depardon / Magnum Photos

Bio express : Raymond Depardon & Kamel Daoud
Photographe et réalisateur Français, Raymond Depardon naît à Villefranche-sur-Saône en 1942. Il devient photoreporter et réalise de nombreux reportages au Tchad, en Éthiopie, en Écosse, en Afghanistan durant l’invasion soviétique, aux États-Unis… En parallèle de son activité de photographe, il commence à réaliser des documentaires dès 1969. Seul ou avec sa compagne Claudine Nougaret, il réalisera plusieurs films traitant de la Justice (Faits diversDélits flagrants10ème chambreinstants d’audience…), les institutions psychiatriques (San Clemente12 jours), mais aussi au monde rural, auquel ce fils d’agriculteurs n’a jamais cessé de s’intéresser (Profils paysans…). Il est, entre autres, lauréat de plusieurs César, du Prix Louis-Delluc, du Grand Prix National de la Photographie, du Prix Nadar, et a signé la photographie officielle du Président François Hollande en 2012.

Exposition à Rennes © Raymond Depardon / Magnum Photos

Né en 1970 à Mesra, Kamel Daoud est un écrivain et journaliste algérien d’expression française, rédacteur en chef du Quotidien d’Oran à partir de 1994, et également chroniqueur dans différents médias et éditorialiste au journal électronique Algérie-focus. Après un recueil de nouvelles, il écrit son premier roman, Meursault, contre-enquête (2015), qui rencontre un immense succès. En 2019, Kamel Daoud est le premier titulaire de la nouvelle chaire d’écrivain de Sciences Po autour de l’écriture créative. Il reçoit le Prix international de la Laïcité 2020.

Infos : www.leschampslibres.fr/expositions/raymond-depardon

par Sarah Sedraoui / 7Jours l’éco de la Bretagne membre du Réso Hebdo Eco


Pierre Gonzalvez : avec ‘La rivière Hemingway’, la vie reste une fête

Après l’augmentation de ses fréquences sur ses connexions existantes et la récente ouverture de la ligne Marseille-Béjaïa dont les opérations débuteront en novembre, Volotea annonce la prévision d’une connexion entre Marseille et Annaba, dès que davantage de fréquences seront disponibles.

« Nous sommes très heureux de l’ouverture de la ligne entre Marseille et Béjaïa, qui est notre 6e destination en Algérie depuis la France. Nous souhaitons continuer dans cette direction et ouvrir, dès que cela sera possible, davantage de fréquences mais aussi d’autres lignes vers l’Algérie » a déclaré Céline Lacroix, responsable du développement international de Volotea.

Après l’ouverture récente de Marseille-Béjaïa dont les opérations débuteront en novembre, Volotea annonce le lancement de la ligne Marseille-Annaba dès que la levée des limitations en vigueur dans le ciel Algérien le permettra. Cette année, Volotea propose 21 fréquences entre l’Algérie et trois de ses bases : Marseille, Bordeaux et Lyon.

Volotea dessert ainsi un total de six aéroports Algériens : Marseille-Béjaïa (un vol par semaine dès le 8 novembre), Marseille-Oran (6 vols par semaine), Marseille-Tlemcen (un vol par semaine), Marseille-Constantine (4 vols par semaine), Marseille-Sétif (un vol par semaine), Bordeaux-Alger (4 vols par semaine puis 3 durant la saison hivernale), Lyon-Sétif (4 vols par semaine puis 3 durant la saison hivernale).

La compagnie a, d’autre part, annoncé vouloir mettre en place de nouvelles fréquences dès la tombée des restrictions afin de pouvoir répondre à la forte demande de ses passagers sur les destinations algériennes. L’Algérie est désormais un marché stratégique pour Volotea, qui souhaite répondre à un trafic « affinitaire » avec la France.

Les billets sont ouverts à la vente en France, sur le site de Volotea et sur l’ensemble des canaux de distribution. En Algérie, les clients peuvent réserver leurs vols dans les agences de voyages.

Une nouvelle liaison vers l’Espagne
La compagnie aérienne espagnole lance également une nouvelle ligne vers la Grande Canarie depuis sa base de Marseille pour des départs à partir de novembre.

Avec cette nouvelle liaison vers l’Espagne, la compagnie aérienne des capitales régionales européennes offre à sa clientèle du Sud Est un accès direct vers la Grande Canarie. A partir du 12 novembre, Volotea opérera une fois par semaine, tous les samedis, la ligne Marseille-Grande Canarie.

Cette nouvelle liaison s’ajoute aux six lignes déjà existantes vers l’Espagne depuis l’aéroport de Marseille : Barcelone, Fuerteventura, Lanzarote, Minorque, Palma de Majorque et Tenerife Sud.

Les billets sont ouverts à la vente en France depuis le 7 juillet, sur l’ensemble des canaux de distribution et sur le site de Volotea : www.volotea.com

La compagnie aérienne espagnole lance une nouvelle ligne vers la Grande Canarie depuis sa base de Marseille pour des départs à partir de novembre © Volotea

J.R.


Pierre Gonzalvez : avec ‘La rivière Hemingway’, la vie reste une fête

A partir de septembre prochain, la compagnie aérienne Volotea va lancer 6 nouvelles lignes en direction de l’Algérie au départ de l’aéroport de Marseille.


La compagnie aérienne espagnole Volotea lance 6 nouvelles lignes à destination de l’Algérie depuis la plate-forme aéroportuaire de Marseille-Provence. Opérationnelles à partir de la rentrée prochaine, ces nouvelles destinations concernent Oran (4 vols par semaine à partir du 16 septembre), Sétif (2 deux vols par semaine à partir du 16 septembre), Tlemcen (2 vols par semaine à partir du 17 septembre), Annaba (2 vols par semaine à partir du 18 septembre), Constantine (2 vols par semaine à partir du 18 septembre) et Béjaïa (2 vols par semaine à partir du 18 septembre).

218 000 sièges disponibles en 2021, 257 000 en 2022 ?
Grâce à cette nouvelle offre ouverte à la vente depuis le 11 mars, Volotea va proposer un total de 218 000 sièges vers ces nouvelles destinations. Un nombre qui pourrait être revu à la hausse à partir de 2022 avec 257 000 sièges proposés vers les villes algériennes.
« Nous sommes très heureux d’annoncer ces 6 nouvelles destinations au départ de notre base de Marseille, explique Carlos Muñoz, fondateur et PDG de Volotea. Marseille est une base importante pour Volotea où nous enregistrons un développement des plus importants cette année sur notre réseau. C’est une grande réussite pour nous d’opérer vers l’Algérie et d’y faciliter les connexions depuis la France. Nous sommes impatients de débuter les opérations. »

2e compagnie de l’aéroport Marseille-Provence
Ces nouvelles lignes positionnent Volotea comme la 2e compagnie de l’aéroport Marseille-Provence en termes de destinations desservies (près d’une trentaine désormais). Pour la compagnie ibérique, il s’agit également de sa 5e base ouverte en France depuis 2018. Elle y a également installé deux avions et créé 60 emplois.
Concernant l’Algérie, Volotea couvre désormais la capacité précédemment offerte par compagnie Aigle Azur, dont l’activité a cessé en 2019, en opérant 8 lignes au total au départ des aéroports de Bordeaux, Lyon et Marseille vers 7 destinations algériennes différentes (Alger, Oran, Annaba, Constantine, Sétif, Béjaïa et Tlemcen).

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