23 juillet 2024 |

Ecrit par le 23 juillet 2024

A la découverte du domaine viticole expérimental de Piolenc

Comme chaque année, la Chambre d’agriculture de Vaucluse ouvre les portes de son vignoble expérimental situé à Piolenc. A l’occasion de ces portes ouvertes, les visiteurs pourront découvrir les différents essais menées sur la vigne à travers différents ateliers. De nouvelles expérimentations 2021 seront présentées comme des démonstrations de robot travaillant le sol ou bien encore de ‘l’agrivoltaïsme dynamique’.

Cette matinée sera aussi le moment d’en apprendre davantage sur les différents essais pour accompagner les agriculteurs vers un mode de production alliant rentabilité, respect de l’environnement, adaptation au changement climatique, protection des cultures et préserve de la typicité des vins de la vallée du Rhône.

Jeudi 29 juillet. 9h à 12h.
Inscription ici avant le mardi 27 juillet.
Retrouvez ici le détail du programme.


A la découverte du domaine viticole expérimental de Piolenc

Le Forum du Pat (Programme alimentaire territorial) vient d’avoir lieu en la présence d’une centaine de participants à l’amphithéâtre de la CCI de Vaucluse à Agroparc. Objectif ? Maintenir une agriculture forte, durable et garantir l’accès de tous à une alimentation de qualité. Mission ? Rédiger programme et plan d’actions d’ici janvier 2022.

Ils sont venus nombreux assister à ce forum tenu fin juin : institutions, agriculteurs, commerçants, associations, entreprises de transformation – à vrai dire une centaine- pour évoquer une vision à la fois réaliste et juste des enjeux agricoles et alimentaires de demain. Ils étaient également là pour faire un point d’étape par rapport aux opérations menées depuis 2019, malgré le confinement, pour la mise en œuvre d’espaces agraires dans les quartiers en renouvellement urbain ; la création d’un réseau d’échanges dévolu aux gestionnaires de la restauration scolaire ; des actions de sensibilisation menées sur la transformation des exploitations agricoles… Verdict ? En janvier 2022 la feuille de route devrait être présentée et, avec elle, le planning des actions déjà engagées et à venir.


A la découverte du domaine viticole expérimental de Piolenc

La Communauté d’agglomération du Grand Avignon a lancé en 2019 le Programme alimentaire territorial (PAT), afin de maintenir une agriculture durable sur son territoire et garantir l’accès de tous à une alimentation de qualité. L’objectif ? « Renforcer notre système alimentaire territorial en rapprochant les acteurs de la chaîne de la production jusqu’à la consommation. »

Une concrétisation

Le Forum ouvert a eu lieu à l’école hôtelière, sur le campus de la Chambre du commerce et de l’industrie. Son objectif est de réunir l’ensemble des participants aux ateliers de travail mis en place depuis juillet 2020 et l’ensemble des partenaires mobilisés autour du PAT. Le Forum ouvert est pensé comme un véritable de temps de travail pour venir concrétiser les pistes d’actions qui constitueront le futur plan d’actions du PAT. Près d’une centaine de participants étaient présents : institutions, agriculteurs, commerçants, associations, entreprises de transformation…

Les prochaines étapes 

Certaines actions sont déjà lancées comme la mise en œuvre d’espaces d’agriculture urbaine dans les quartiers en renouvellement urbain, la mise en place d’un réseau d’échanges des gestionnaires de la restauration scolaire, les actions de sensibilisation sur la transmission des exploitations agricoles… D’autres seront précisées avec les partenaires concernés pour être lancées dès le premier semestre 2022.

Janvier 2022 sera donc le point d’arrivée de ces deux années de travail pour faire émerger le PAT et sera alors surtout le point de départ de la mise en œuvre du programme. « C’est un chantier conséquent que le Grand Avignon a attaqué et les défis à relever sont nombreux. Préserver l’agriculture, permettre à tous l’accès à une alimentation de qualité, renforcer la place des produits locaux dans les circuits de distribution… sont des enjeux qui concernent toutes les échelles d’actions, du plus local jusqu’au global. En matière d’alimentation, beaucoup de choses se jouent à notre échelle. Le Grand Avignon, et tous les acteurs locaux qu’il mobilise autour du PAT, ont la possibilité, grâce à ce programme, de changer notre façon de produire et de nous alimenter. »

L.M.


A la découverte du domaine viticole expérimental de Piolenc

L’association des producteurs de Raisin AOP (Appellation d’origine protégée) Muscat du Ventoux vient de présenter ses nouvelles barquettes plus écologiques. Ainsi, pour la prochaine récolte qui devrait se trouver sur les étals à la fin du mois d’août prochain, les 250 producteurs vauclusiens ont fait le choix faire évoluer leurs emballages pour mieux s’inscrire dans l’économie circulaire.
Désormais, le Muscat du Ventoux sera donc conditionné dans une barquette 100% recyclable composé de 85% de plastique recyclé.
Avec ce nouvel emballage, une première en France, l’association anticipe l’interdiction, à partir de 2022, du conditionnement des fruits et légumes dans des emballages plastiques.
Fabriqué en France dans l’Yonne par Dynaplast, qui dispose également d’un site de stockage de 10 000m2 à Vedène, à partir de bouteilles plastiques recyclées récoltées dans des zones côtières menacées par la pollution cette nouvelle barquette va permettre d’éviter que 830 millions de bouteilles ne finissent dans les rivières et les océans.
Chaque année, les producteurs de Muscat du Ventoux récoltent entre 1 500 à 2 200 tonnes de raisins. La production s’étend sur 660 hectares environ répartis dans 56 communes situées à cheval entre les parcs naturels régionaux du Ventoux et du Luberon.

L.G.


A la découverte du domaine viticole expérimental de Piolenc

La laiterie urbaine made in Avignon ‘Cowing out‘ lance un appel aux dons sur la plateforme Miimosa. Objectif ? Permettre le développement de projets redonnant ses lettres de noblesse à la filière agricole.

« Après plus d’un an de travail et de préparation, votre laiterie urbaine sur Avignon s’apprête à fabriquer vos premiers produits laitiers locaux et responsables ! Pour cette dernière ligne droite, il nous reste quelques détails à ajuster et c’est maintenant qu’on a besoin de vous ! » dixit Grégory Pastor, fondateur de ‘Cowing out’. « Si vous souhaitez participer à ce projet et à cet élan collectif, c’est sur Miimosa que ça se passe. Plein de produits et surprises en avant première à la clé pour les plus rapides, merci mille fois pour votre aide et votre soutien », complète Elodie Sarfati, associée.

Objectif de la collecte ?

L’atelier sur la zone d’activité MIN d’Avignon est achevé mais il reste à sécuriser certaines ressources afin de commencer la production. Les dons contribueront à privilégier les circuits courts et confectionner une gamme de produits laitiers variés et de qualité. L’équipe identifie différents paliers sur le chemin de la réussite : atelier de fabrication et dégustation ouvert au public, embauche d’un apprenti, achat d’équipement et enfin achat d’un utilitaire frigorifique pour les marchés. Ne jamais mettre la charrue avant les bœufs !

Photo: Cowing out

Leurs engagements ?

Une rémunération de 450€/1000L de lait, au moins, des producteurs ; une production, transformation et distribution locale ; le respect du lait lors de sa transformation ; la mise en place d’une économie circulaire sur les contenants et un lien fort entre les producteurs et les consommateurs. ‘Cowing out’ s’engage à proposer des produits laitiers authentiques et savoureux issus des fermes les plus proches de chez vous, dans le respect des producteurs, de leur cheptel et de l’environnement.

Photo: Cowing out

« Familier du monde agricole grâce à ma famille et après 15 années d’une carrière qui perdait de son sens, il m’est apparu naturel de mettre mon expérience à disposition des acteurs en souffrance de la filière laitière. Mon objectif est d’outiller les producteurs pour mieux valoriser leur production », précise l’entrepreneur. Il vous appartient désormais d’écrire quelques pages de cette belle histoire du terroir…


A la découverte du domaine viticole expérimental de Piolenc

L’an dernier, la MSA Alpes-Vaucluse a détecté plus de 1,2M€ de fraude. Ce montant se répartit comme suit : 405 951€ de fraudes aux prestations (contre 339 394€ en 2019) et 799 871€ de fraudes aux cotisations et au titre du travail dissimulé (contre 512 657€ en 2019).
« Cette amélioration de la détection des fraudes est notamment due à des contrôles mieux ciblés », explique la Mutuelle sociale agricole qui gère la protection sociale de près de 83 000 personnes du monde agricole dans les Alpes-de-Haute-Provence, les Hautes-Alpes et le Vaucluse.

Un impératif de justice sociale
« Les abus et les comportements frauduleux nuisent à l’ensemble de nos bénéficiaires, insiste Corinne Garreau, directrice générale de la MSA Alpes-Vaucluse. La maîtrise des risques de fraude et la lutte contre le travail illégal sont au cœur de nos préoccupations car elle nous permet de garantir le bon droit à la bonne personne. La lutte contre la fraude est donc un impératif de justice sociale et d’efficacité économique qui a pour but de réaffirmer l’équilibre des droits et des devoirs et d’assurer la pérennité de notre système de protection sociale. »

29M€ de fraudes au niveau national
Sur l’ensemble des 35 caisses MSA, le montant de la fraude s’élève à plus de 29M€ sur la même période au niveau national. Dans le détail, le montant de la fraude aux prestations détectée représente 11,5M€ (-12,75% par rapport à 2019) alors que celui de la fraude aux cotisations (-29,5%) et au travail illégal et dissimulé (-70,5%) se monte à 17,75M€.
« Dans cette situation exceptionnelle de crise sanitaire, nous avons maintenu notre exigence de veille et de détection des situations abusives et des fraudes tout en adaptant nos actions au contexte économique auprès des entreprises. Nous avons su trouver le bon équilibre », explique François-Emmanuel Blanc, directeur général de la caisse centrale de la MSA.


A la découverte du domaine viticole expérimental de Piolenc

Que seront demain nos territoires ? Quels paysages, quelles agricultures, quelle qualité de vie souhaitons-nous ? À l’heure où les pratiques agricoles et alimentaires évoluent, où l’écologie et la consommation sont au cœur des préoccupations, le débat sur l’usage des sols disponibles est plus que jamais d’actualité. C’est pourquoi, de juin à septembre 2021, la Safer Paca (Société d’aménagement foncier et d’établissement rural de Provence-Alpes-Côte d’Azur) lance une large concertation citoyenne afin de définir ses priorités, inscrites dans son prochain PPAS (Programme pluriannuel d’activité des Safer). 

Les enjeux majeurs de l’aménagement du territoire 

Paysages, agriculture, écologie, qualité de vie, consommation locale, emplois, logements…Les choix stratégiques arrêtés dans le PPAS sont déterminants pour l’avenir des territoires. Car il s’agit non seulement d’assurer le renouvellement des générations d’agriculteurs mais aussi de développer une agriculture dynamique et à taille humaine, de garantir le développement durable des territoires et la préservation des espaces naturels, agricoles et forestiers. Parce que le PPAS constitue la feuille de route de la Safer Paca pour gérer les arbitrages entre intérêt collectif et intérêts particuliers sur la question de l’occupation des sols et de la taille des exploitations, cette concertation portera notamment sur trois thématiques porteuses de ‘tensions positives et fertiles’ : alimentation et agricultures, activité économique et cadre de vie.

La démarche de concertation 

La Safer Paca innove avec ce dispositif de ‘démocratie foncière’ qui implique les citoyens, dans leur plus grande diversité. Douze réunions publiques sont organisées dans les départements de la région Sud Paca. Chaque réunion se décline sous forme d’ateliers de travail, dont la restitution va nourrir le bilan général de la concertation. De plus, une plateforme internet adossée au site www.safer-paca.com/concertation permettra de prolonger les échanges et, pour ceux et celles qui ne peuvent se déplacer, de s’exprimer. A l’issue de la concertation, la Safer Provence-Alpes-Côte d’Azur expliquera comment elle a pris en compte les contributions citoyennes dans l’élaboration de sa stratégie pour les 6 années à venir.

Mission

Sous la double tutelle du Ministère de l’Agriculture et de l’Économie, la Safer Paca observe et régule le marché foncier des espaces ruraux et périurbains. Dans les mois à venir, elle doit prochainement élaborer son futur Programme Pluriannuel d’Activité (PPAS), qui détermine ses orientations stratégiques pour les années 2022-2028. La Safer Paca a choisi d’y associer les citoyens et habitants de la région dans le cadre d’une vaste concertation citoyenne.

Calendrier

• Fin juin – début juillet 2021 : 1ère tournée des ateliers sur les six départements de la Région Sud Paca • 29 juin : Territoire Durance Luberon Verdon – Salle Polyvalente, Le Village, Pierrevert (04)  • 30 juin : Territoire Bassin de vie d’Avignon – lieu précisé ultérieurement (84) • 1er juillet : Territoire Briançonnais – Salle des associations, 45 avenue de la République, Briançon (05) • 5 juillet : Territoire Draguignan – Auditorium de Draguignan, 660 Boulevard John Kennedy, Draguignan (83) • Septembre 2021 : 2ème tournée des ateliers sur les six départements de la Région Sud Paca – les lieux seront précisés ultérieurement. • 9 septembre : Gap (05) • 14 septembre : Pays d’Arles (13) • 21 septembre : Nice (06)  • 23 septembre : Mazan (84) 
M.H.

Les infos pratiques

Pour s’inscrire et participer : www.safer-paca.com/concertation. La démarche en images : https://www.youtube.com/watch?v=GQ5CUjdigxc&feature=youtu.be

L’amandier en fleur de Vincent Van Gogh

A la découverte du domaine viticole expérimental de Piolenc

C’est la première fois qu’une IGP (Indication géographique protégée) est accordée à la cerise en France. La ‘Cerise des coteaux du Ventoux’ rejoint le cercle sélect’ et bénéficie ainsi d’une protection européenne, vient d’annoncer l’Institut national de l’origine et de la qualité (Inao).

Le Vaucluse, 1er producteur national

Dans cette région de culture traditionnelle de la cerise, attestée depuis le XVIIe siècle, cette appellation est l’aboutissement d’un long travail sur la qualité du fruit. De nombreuses productions sont concernées, le Vaucluse étant le 1er département producteur de cerises en France. Avec près de 2 472 hectares plantés en cerisiers et une récolte annuelle de 15 004 tonnes de cerises de bouche en 2016, le département est bien au cœur de la consommation nationale de ces pépites sucrées. Environ 45% de la production est destinée à la transformation (fruits confits, confiture…), le reste est dégusté en frais.

Les critères retenus

Parmi les critères cités dans le cahier des charges de la cerise IGP Côteaux du Ventoux : une maturité optimale, un calibre supérieur à 24mm, une couleur rouge homogène et une récolte à la main. 6 variétés sont agréées, dont la burlat, à l’intérieur d’une zone géographique qui s’étale du nord du Ventoux jusqu’au sud Luberon, en passant bien sûr par les Monts de Vaucluse. Les cueilleurs sont formés à sélectionner visuellement les cerises dont le rapport sucre/acidité est optimal.

Une protection européenne

Le cahier des charges a été enregistré par la Commission européenne, lui conférant une protection à l’échelle européenne. Les indications géographiques protègent les produits contre toute utilisation abusive ou imitation de la dénomination enregistrée, et garantissent la véritable origine du produit. Cette protection confère à tous les producteurs situés dans la zone géographique concernée, des droits collectifs sur le produit. Cette cerise est cultivée actuellement par 44 producteurs sur 157 hectares. La cerise rejoint entre autres la Châtaigne des Cévennes, les Abricots rouges du Roussillon ou encore les Pommes et les Poires de Savoie dans la famille des IGP produites en France.


A la découverte du domaine viticole expérimental de Piolenc

Fondée en 1958 au Canada, Ritchie bros est une société internationale qui permet aux entreprises de vendre et d’acheter des équipements d’occasion dans les secteurs de la construction, du transport ou de l’agriculture. Covid oblige, Ritchie bros a opéré un virage 100% digital en 2021, en organisant des ventes exclusivement en ligne. Le site de stockage de matériels situé 325 chemin de Tarta à Avignon figure parmi les 4 centres de gestion français du groupe.

Une orientation stratégique réussie d’après les premiers résultats des ventes, avec notamment une forte augmentation de l’audience par rapport à 2019. L’entreprise revient sur les résultats de cette transformation et se fixe de nouveaux objectifs pour 2021. Ritchie bros souhaite se rapprocher de ses clients en région en développant son offre et sa présence sur tout le territoire national. L’entreprise a réfléchi aussi au développement de nouveaux outils pour renforcer la qualité de ses services.

Des résultats 2020 prometteurs

« Malgré la conjoncture actuelle, le marché de la vente de matériel d’occasion est soutenu, quant à la demande, elle reste très active. La part de marché du groupe se situe autour de 4,5% pour le secteur de la construction qui représente un marché d’un milliard d’euros (marché de l’agriculture : 2,6 milliards, marché des transports: 1,5 milliards). » En raison du contexte sanitaire et alors que Ritchie bros ne pouvait plus organiser ses ventes physiques sur son site à Saint-Aubin-sur-Gaillon, l’entreprise a fait le pari de miser entièrement sur les ventes 100% en ligne. D’un modèle conjuguant ventes physiques et ventes en ligne, elle est passée à un concept entièrement dématérialisé.

La première vente exclusivement en ligne a eu lieu deux jours après le début du premier confinement les 19 et 20 mars 2020. Cette vente a connu une augmentation de 6% du nombre de lot et de 17% d’enchérisseurs. Depuis, ce modèle connait une forte augmentation de son audience. « Par rapport à 2019, on observe, en France, une croissance de 10% chez les nouveaux vendeurs, de 73% chez les enchérisseurs et de 34% chez les acheteurs. » Le digital a permis d’une part de diversifier la clientèle, provenant de secteurs variés (construction, transport, agricole) et d’autre part, de développer des ventes hors-site en partenariat avec des acteurs locaux, reconnus dans leurs secteurs.

Une offre complète

Ritchie Bros s’adapte à toutes les typologies de clients et d’acteurs du secteur, selon leurs besoins et leurs impératifs. La société propose une solution de ventes aux enchères en ligne, sans réserve, selon un calendrier prédéfini. Elle intègre également une place de marché, la Marketplace-E, qui permet de vendre des machines sans contraintes de temps ou d’événement. La vente peut se faire tout au long de l’année avec un prix garanti, selon la volonté du vendeur. La négociation peut se faire directement en ligne entre l’acheteur et le vendeur.

Parc de gestion à Avignon. Photo: Ritchie Bros

4 sites : Avignon, Saint-Aubin, Izeaux et Cahors

Malgré la digitalisation des ventes, le parcours d’achat et de vente reste pensé pour accompagner au mieux les clients dans les différentes étapes. Le vendeur, accompagné et conseillé par son commercial régional, consigne son matériel chez Ritchie bros en prévision de la vente. Le commercial réalise une expertise du bien et valorise le prix que peut espérer le vendeur. Le matériel est ensuite transféré sur un des 4 sites Ritchie bros : Saint-Aubin, Avignon, Izeaux, et Cahors. A l’arrivée sur le site, les machines sont réceptionnées et inspectées de A à Z avec des vidéos et des photos à l’appui. Elles sont stockées sur un parc sécurisé. 3 semaines avant la vente, les machines sont identifiées, alignées sur les sites, et leurs infos mises en lignes. A l’issue de la vente, la facturation et la collecte des fonds sont opérées. Ensuite, les acheteurs peuvent récupérer leurs biens. A la fin de ces étapes, le règlement est versé aux vendeurs.

Plus proche des territoires

En 2021, pour pallier la distance induite par le digital, Ritchie bros souhaite se rapprocher de ses clients en renforçant sa présence sur le territoire national. grace à ses 4 sites en France. L’entreprise souhaite ouvrir prochainement de nouveaux sites satellites pour homogénéiser son maillage sur le territoire. « Au-delà du lien régional entre le commercial et ses clients, l’ouverture de nouveaux sites en France permet une diminution des coûts de transport. Chaque vendeur entretient une relation particulière avec son commercial qui lui est rattaché. Le commercial conseille son vendeur en mettant à profit son expertise et sa connaissance du marché pour déterminer la valeur de l’équipement mis en vente ». Afin d’accompagner encore mieux ses clients, Ritchie Bros souhaite renforcer ses équipes commerciales. Aujourd’hui composée de 7 commerciaux, l’équipe recrute de nouveaux collaborateurs au Nord-Est et au secteur agricole.

Parc de gestion à Avignon. Photo: Ritchie Bros

https://echodumardi.com/tag/agriculture/page/13/   1/1