2 avril 2025 |

Ecrit par le 2 avril 2025

Le premier parc photovoltaïque linéaire sur véloroute sort de terre le long du Rhône

Un parc photovoltaïque dénommé ViaSolaire du Colombier sera installé sur 900 mètres, pour une puissance installée de 1MWc (mégawatts crête) le long de la ViaRhôna -Itinéraire cyclable du lac Léman à la mer Méditerranée- pour une mise en service prévue en septembre 2025. Ce pilotage expérimental se poursuivra jusqu’en 2028. Ce projet porté par la Compagnie Nationale du Rhône –CNR-, en cours de construction, a débuté à Caderousse. L’investissement se monte à plus de 20M€.

C’est une première en France : sur près d’un kilomètre, un parc photovoltaïque longiligne composé de 6 structures en ombrières va être testé sur la ViaRhôna, véloroute emblématique de la vallée du Rhône. La CNR (Compagnie Nationale du Rhône) a débuté la construction de ce parc expérimental sur la commune de Caderousse, avec mise en service prévue en septembre prochain. L’installation repose sur une architecture électrique novatrice en courant continu à haute tension, qui préfigure un véritable saut technologique pour accompagner l’essor du photovoltaïque linéaire le long de routes, des véloroutes, des berges ou des voies ferrées sur plusieurs dizaines de kilomètres.

Le solaire linéaire, une voie d’avenir ?
En France, un gisement photovoltaïque d’environ 35 gigawatts-crète (GWc) a été estimé par CNR sur des terrains anthropisés –aménagements exercés par l’humain- le long des canaux, des berges, des routes et véloroutes. L’exploitation de ce gisement contribuerait à l’atteinte des objectifs de développement de l’énergie solaire fixés entre 54 et 60 GWc d’ici 2030 par la 3e programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE), et ce, sans impacter les milieux naturels. En effet, le photovoltaïque linéaire présente l’avantage de s’insérer sur des surfaces déjà artificialisées, et de préserver leur fonction première tout en renforçant le mix de production électrique. Mais son essor se heurte aujourd’hui à un frein technique : faire transiter l’énergie produite sur des dizaines de kilomètres en limitant les pertes électriques.

Un test grandeur nature jusqu’en 2028 par 5 partenaires
Pour relever ce défi, le projet ‘Ophélia’ rassemble quatre industriels et un centre de recherche français : CNR, Nexans, Schneider Electric, SNCF et SuperGrid Institute. Mission ? Mettre au point une architecture électrique novatrice permettant d’acheminer un maximum d’électricité avec un minimum de pertes, en remplaçant le transport en courant alternatif par du courant continu à haute tension. Cette technologie sera testée pour la première fois en conditions réelles sur le parc photovoltaïque pilote :’ViaSolaire du Colombier’, il sera installé au-dessus de la ViaRhôna. Les travaux de génie civil, l’installation des structures du parc et la pose des ombrières solaires d’une puissance de 1 MWc se succèderont jusqu’à la fin du premier trimestre 2025. Le parc devrait être mis en service en septembre, avec un dispositif d’instrumentation permettant de piloter finement l’expérimentation jusqu’en 2028.

Le financement
Le projet Ophelia, estimé à plus de 20M€, bénéficie d’un financement de l’Etat dans le cadre du programme ‘France 2030’, opéré par l’Ademe, qui vise à développer la compétitivité industrielle et les technologies d’avenir du pays.


Le premier parc photovoltaïque linéaire sur véloroute sort de terre le long du Rhône

L’Aurav, Agence d’urbanisme Rhône Avignon Vaucluse propose, jeudi 14 novembre 2024 après-midi, une demi-journée de conférences ‘Pour une ville à hauteur d’enfants’ co-organisée avec la ville d’Avignon et l’Adème (Agence de l’environnement et de la maîtrise d’énergie).

En 2023, l’Adème, en collaboration avec Equal Saree, a mené une étude sur les ‘Territoires à hauteur d’enfants’. Cette étude, qui propose de tirer des enseignements en matière d’aménagement favorable aux enfants, s’appuie sur l’analyse de 13 projets d’espace public à travers la France sélectionnés et analysés pour leur capacités à impliquer les enfants, et pour la diversité de leur types d’interventions tels que (rues pacifiées, environnements scolaires, places, parcs, projets de signalétique, mobiliers à hauteur d’enfants, etc) et de leurs contextes territoriaux (urbain dense et métropole, villes moyennes, périurbain, rural, etc). 

Cécile Helle, maire d’Avignon depuis 2014, défend l’idée d’une ville à hauteur d’enfants. Il existe depuis 2017 un conseil municipal des enfants, depuis 2024 un conseil local de la jeunesse et la ville d’Avignon porte de nombreux projets en pour améliorer leur expérience urbaine : réaménagement de cours d’école en Fraich’cour, pacification des parvis des écoles, mise en réseau d’équipements structurants…

Cette demi-journée s’inscrit dans le cadre du cycle de réflexion « 3 jours pour un urbanisme favorable aux enfants et à la transition écologique », du 14 au 16 novembre. Elus et professionnels de l’urbanisme, ou de l’enfance peuvent participer à la demi-journée de conférences, à destination du grand public et des enfants, le samedi 16 novembre matin. S’ils sont également intéressés par la journée du vendredi, veuillez vous inscrire via le questionnaire d’inscription ici.

Les infos pratiques
Pour des territoires à hauteur d’enfants. Jeudi 14 novembre après-midi. Demi-journée de conférences thématiques à destination des professionnels et élus. Hôtel de ville d’Avignon.


Le premier parc photovoltaïque linéaire sur véloroute sort de terre le long du Rhône

L’association d’entrepreneurs de la zone d’activité de Carpensud vient d’obtenir le soutien de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur pour l’émergence d’une démarche d’Ecologie industrielle et territoriale (EIT).

Dans ce cadre, une nouvelle commission s’est ouverte à Carpensud afin de mettre en œuvre ce projet territorial, qui a pour but d’optimiser les flux entrants (ressources) et les flux sortants (déchets) à l’échelle du territoire afin de réduire les impacts négatifs des activités humaines sur l’environnement.

« Cette optimisation s’appuie sur la coopération territoriale des acteurs, publics comme privés, afin de générer des gains qu’ils soient économiques, environnementaux voire sociaux », explique l’Ademe (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) dont l’EIT est l’un des 7 ‘piliers’ de l’action d’économie circulaire mise en œuvre par l’établissement public.

Pour Carpensud, le projet comprend notamment des actions de sensibilisation et d’information, des sessions de formation, des ateliers, et des communications pour assurer une compréhension approfondie de l’EIT, ainsi qu’une enquête afin de recenser les entrants et sortants des entreprises en vue d’une mutualisation.

Pour cela, l’association vauclusienne met en place un groupe de travail constitué de :
Alain Martin, Mission projet
Léa Gérin, directrice Charles Gérin et fils
Béatrice Darcas, directrice Atelier Bio de Provence
Françis Gutierrez et Isabeau Gaillard, co-fondateurs de Ventoux Compost
• Julien De Michele du service développement économique de la Cove (Communauté d’agglomération Ventoux Comtat Venaissin)
Sarah Mendez-Colloc, chargée de l’étude à la CCI de Vaucluse

Présidée par Patrice Rouvier d’Allianz assurances, Carpensud s’adressait auparavant principalement aux entreprises du bassin de Carpentras et Pernes-les-Fontaines. Depuis l’an dernier, l’association a décidé d’élargir son champ d’action à toutes les entreprises du département de Vaucluse.

L.G.

Avec l’EIT, l’objectif est que les déchets des uns deviennent les matières premières des autres.DR/Ademe

Contact Carpensud :
s.montmasson@carpensud.com
thea.defilippo@carpensud.com


Le premier parc photovoltaïque linéaire sur véloroute sort de terre le long du Rhône

L’approche paysagère n’a jamais été aussi importante, elle est même reconnue comme favorisant le bien-être. La Ville d’Avignon y est sensible qui veut ‘faire entrer la nature en ville’. Transition écologique, beauté du cadre de vie deviennent essentiels. Un homme –Jean-Pierre Thibault- et un Collectif Pap –Paysages de l’après pétrole’ l’ont bien compris qui proposent, mercredi 5 avril, de découvrir l’ouvrage ‘Aménager les territoires du bien-être’.

C’est ainsi que le Collectif Paysages de l’après-pétrole,
la Ville d’Avignon, L’Aurav (Agence d’urbanisme Rhône Avignon Vaucluse), Le Caue (Conseil d’architecture, d’urbanisme et de l’environnement), Volubilis et la Librairie la Mémoire du Monde proposent de découvrir l’ouvrage ‘Aménager les territoires du bien-être’ écrit par Jean-Pierre Thibault et le Collectif Papa (Paysages de l’après-pétrole) paru aux éditions du Moniteur.

Cette soirée de présentation de l’ouvrage
sera animée par Sébastien Giorgis, adjoint au maire d’Avignon et proposera un dialogue de l’auteur, Jean-Pierre Thibault et des expériences relatées dans l’ouvrage comme Diffuser les compétences en paysage dans les professions de l’aménagement : l’atelier paysagistes et ingénieurs des mines sur la reconversion de la centrale d’Aramon, Joris Masafont, paysagiste, chercheur à l’Adème (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie). Sensibiliser les élus locaux et le grand public à l’approche paysagère : les pratiques du Caue du Gard, Myriam Bouhaddane-Raynaud, paysagiste au Caue du Gard. L’action paysagère pour requalifier les quartiers périphériques : l’exemple d’Avignon sud, Cécile Beaudesson, paysagiste à l’agence Devillers, et Gilles Périlhou, directeur de l’agence d’urbanisme Rhône Avignon Vaucluse. Les échanges seront suivis d’un débat avec les participants, et d’une invitation à poursuivre autour d’un verre de l’amitié offert par la Ville.
Vente et dédicaces de l’ouvrage par la librairie La Mémoire du monde.

Le paysage partout, pour tous, pour une transition qui fasse du bien !
L’ouvrage décrit les vertus fédératrice, facilitatrice et participative de l’approche paysagère, les défis que cette dernière peut aider à relever (transition énergétique, agro écologie, ville durable) et les acteurs de sa mise en œuvre. Richement illustré, l’ouvrage s’appuie sur une cinquantaine d’exemples, constituant autant de preuves que cette approche permet de joindre l’utile -la transition écologique- et l’agréable -la beauté du cadre de vie-.

Trois ouvrages complémentaires
Le collectif après pétrole (Pap) est à l’origine de trois ouvrages : ‘Villes et territoires de l’après-pétrole au cœur de la transition’ en 2020 ; ‘Paysages de l’après-pétrole, 7 expériences européennes’, en 2021 et ‘Aménager les territoires du bien-être’ en 2022, tous issus des Éditions du Moniteur. Outre Avignon, l’ouvrage s’engage dans une tournée en France, à Lille, Tours, Angers, Auch et Marciac. L’auteur a déjà présenté son dernier opus à Paris, Lyon, Montpellier, Bordeaux, Paimpol et Nantes.

Les infos pratiques
Soirée de présentation de l’ouvrage Mercredi 5 avril à 18h, Hôtel de Brantes, Mairie d’Avignon, depuis le parvis Saint-Agricol.


Le premier parc photovoltaïque linéaire sur véloroute sort de terre le long du Rhône

La Chambre de commerce et d’industrie (CCI) de Vaucluse vient de signer la charte d’engagement EcoWatt de RTE, le gestionnaire de réseau de transport d’électricité. Cette signature démontre de l’implication de la CCI en faveur d’une meilleure consommation d’électricité pour limiter limiter les risques de sécurité d’alimentation en électricité dans le pays.

EcoWatt est un dispositif porté par RTE et l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) qui permet aux particuliers, aux entreprises et aux collectivités du territoire français d’adopter une consommation d’énergie responsable afin d’assurer le bon approvisionnement de tous en électricité. En temps réel, les consommateurs peuvent consulter le niveau d’électricité disponible et ils ont à leur disposition des conseils afin d’adopter les bons gestes au quotidien et d’adapter leur consommation.

En signant la charte EcoWatt, la CCI de Vaucluse s’engage elle aussi à surveiller sa consommation d’électricité. L’organisme a également décidé de sensibiliser ses collaborateurs, mais aussi les entreprises qu’elle accompagne, aux écogestes dans une volonté de mettre en place plusieurs actions de sobriété énergétique.

V.A.


Le premier parc photovoltaïque linéaire sur véloroute sort de terre le long du Rhône

Les autocars Raoux, filiale du groupe Galéo depuis 2018, viennent d’inaugurer leur nouvelle station de recharge GNV (Gaz naturel véhicule) sur son site de Caumont-sur-Durance. La station dispose de 4 bornes à charge lente et une borne à charge rapide permettant de faire le plein en 25 minutes (contre 5 à 10h en charge lente) d’un véhicule roulant au gaz naturel.
En effet, le GNV est un gaz naturel utilisé comme carburant afin de se substituer au diesel – 1 kilo de gaz permet de parcourir la même distance que 1 litre de gasoil. Tous les véhicules roulant au GNV (ou BioGNV dans sa version renouvelable) bénéficient de la vignette ‘Crit’Air 1’, un certificat qualité de l’air qui leur permettra de circuler lors des pics de pollution et dans les zones à faible émission (ZFE). Pour cela, ces autocars affichent des taux de pollution relativement bas : -95% de particules fines par rapport à la norme Euro VI, -50% d’émission de NOx et une réduction de moitié des nuisances sonores.
D’une capacité de réapprovisionnement en gaz naturel de 20 bus, ce dispositif, mis en place en partenariat avec l’ADEME (Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie), le Conseil régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur et GRDF (Gaz Réseau Distribution France) dans le cadre de l’appel à projets ‘Mobigaz’ lancé en septembre 2020, permet aux autocars Raoux de faire circuler 4 nouveaux bus sur le réseau régional Zou ainsi que sur le réseau d’Apt. En tout, Raoux dispose d’une cinquantaine de véhicules sur ses sites de Caumont et Eyragues.

Le GNV à la place du diesel
Pour l’Ademe et GRDF, c’est le 3e projet de stations inauguré dans la région – le premier dans la Vaucluse – puisque deux stations sont déjà ouvertes dans le Var. L’objectif est de s’engager sur la voie d’une mobilité plus respectueuse de l’environnement en utilisant notamment comme source d’énergie le biométhane, un gaz renouvelable produit localement grâce aux boues d’épuration ou aux déchets verts. En France, le potentiel de production de ce ‘gaz vert’ est équivalent au volume actuel des exportations provenant de Russie.
« C’est très bien, il faut qu’on remplace le diesel, confirme Yves Plessis, PDG de Galéo. Cette activité énergétique doit même aller sur le Biogaz. C’est la future étape à atteindre, notamment pour être plus indépendant de l’Est. » Pour l’entreprise Raoux, cette nouvelle station est également en accord avec son projet de labellisation RSE (Responsabilité sociétale des entreprises) que la société entend obtenir d’ici février 2023.

Réflexion sur les politiques de transport publique
« Ce passage à des sources d’énergie plus propres, c’est le sens de l’histoire », complète Jean-Pierre Serrus viceprésident en charge des transports et de la mobilité durable de la Région Sud.
« Prendre la décision de convertir le parc de véhicules demande cependant une réflexion en profondeur des perspectives économiques en matière de politique des transports publiques », prévient toutefois Jean-Paul Lieutaud, président de la FNTV Paca (Fédération nationale des transports de voyageurs).
C’est pourquoi Mobigaz entend notamment soutenir le déploiement de nouvelles stations GNV sur le territoire régional. Le but étant d’en compter une dizaine au total en Paca d’ici la fin de l’année prochaine.

A.D. & L.G.


Le premier parc photovoltaïque linéaire sur véloroute sort de terre le long du Rhône

Créée en 2015, Extracthive est une PME française spécialisée dans le recyclage de déchets industriels avec pour mission de «développer des solutions de recyclage là où elles n’existent pas». Son usine est située 1637 Chemin de la Montagne à Sorgues.

Depuis 2016, l’équipe innovation d’Extracthive travaille au développement de la technologie PHYre® de recyclage des matériaux composites par solvolyse. Après une première augmentation de capital en 2019, Extracthive finalise une nouvelle levée de fonds de 4,6M€ auprès de ses actionnaires historiques (IRDI Soridec, Citizen Capital et CEA Investissement) et de nouveaux investisseurs professionnels aux profils variés et complémentaires que sont Colam Impact et Éric Bergé en qualité d’investisseur individuel.

Augmentation de capital

Cette augmentation de capital permet à la société de franchir une nouvelle étape de son développement, avec la construction et la mise en service de la tête de série industrielle de cette technologie d’une capacité de 400 tonnes par an. À horizon 2023, Extracthive déploiera son offre innovante à l’échelle européenne.

La fibre de carbone, légère et solide

La fibre de carbone intervient dans toutes les applications requérant légèreté et tenue mécanique. C’est pourquoi on retrouve les composites à base de fibres de carbone dans des secteurs de pointe comme l’aéronautique, avec une croissance de l’ordre de 11% prévue sur les 10 prochaines années. Par ailleurs, ces matériaux jouent un rôle clef dans le secteur des énergies renouvelables comme l’éolien ou la mobilité hydrogène. Cependant la production de fibre de carbone vierge a un fort impact environnemental -de l’ordre de 40 tonnes de CO2 par tonne de fibre vierge, d’après la Base impacts de l’Adème (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) et son recyclage à grande échelle reste un défi.

Une technologie brevetée

La technologie PHYre®, brevetée par Extracthive, entend répondre à cette problématique. L’optimisation du procédé, notamment via un réemploi poussé des solvants, a permis de réduire au maximum son empreinte environnementale, si bien qu’aujourd’hui la fibre récupérée par Extracthive émet de l’ordre de 10 fois moins de gaz à effet de serre que la fibre vierge, selon l’étude d’analyse de cycle de vie (ACV) menée par le cabinet Quantis.

Unité de démonstrateur industriel

Après avoir validé avec succès cette technologie à l’échelle pilote, Extracthive se lance, avec le soutien de l’Union Européenne (via l’EIT Raw Materials) et de ses actionnaires, dans la conception, la construction et la mise en service d’un démonstrateur industriel. Cette unité, dont la mise en service est prévue pour le premier trimestre 2023, aura une capacité de traitement de 400 tonnes de composite par an. La réplication de cette unité permettra d’ici 2025 à Extracthive de doubler sa capacité de recyclage de composites et de pouvoir répondre à la demande à l’échelle européenne.

Innovation

Extracthive travaille également à la mise au point d’autres innovations dans le domaine du recyclage d’autres matériaux high-tech tels que le lithium ou le carbure de silicium, dont la production actuelle est également très polluante et le recyclage reste peu développé. Cette ambition a récemment été saluée par le site spécialisé Startups Insights qui a classé Extracthive dans le top 5 mondial des Scale-ups au service de l’économie circulaire dans le secteur « Mines et Métaux ».

En savoir plus

Extracthive est une PME dédiée à l’économie circulaire. Sa mission est de produire des matières premières secondaires à partir de déchets industriels. Cela permet à ses clients d’accéder à des matières première meilleur marché et présentant une emprunte CO2 réduite tout en réduisant leur risque d’approvisionnement. Un process rendu possible grâce à une équipe d’experts et de chercheurs de haut niveau. Ces équipes développent actuellement plusieurs procédés de recyclage innovants qui seront industrialisés dans les deux années qui viennent. Pour plus d’informations ici.
MH

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