25 novembre 2024 |

Ecrit par le 25 novembre 2024

Université d’Avignon : journée autour de l’égalité ce mercredi

Dans le cadre de son plan d’action pour l’égalité entre femmes et hommes, Avignon Université organise sa troisième journée sur la thématique de la prévention et l’accompagnement des violences sexuelles et sexistes, ce mercredi 15 février.

Organisée à l’attention de l’ensemble de la communauté universitaire (personnels, étudiantes et étudiants), cette journée, qui se déroulera de 11h30 à 19h30, sera également l’occasion de lancer la plateforme de signalement www.signalement.uni-avignon.fr

Déroulé de la journée
11h30-14h : Stands d’exposition et d’informationsHall du bâtiment sud.
Participation des associations : Planning familial 84, Centre d’information sur les droits des femmes et familles (CIDFF84) et InterAsso Avignon.

14h-16h : Ateliers thématiquesEspace cafétéria du Crous.

  • « Etre une femme à l’université, c’est être à sa place » animé par Jessica Sainty et Christèle Lagier, maîtresses de conférences.
  • « Dispositifs, mesures de prévention et accompagnement contre les VSS dans l’encadrement des travaux de recherche » animé par Sabrina Royer, maîtresse de conférences.
  • « Respecte ! » animé par InterAsso Avignon.

16h-17h15 : Projection du film Briser le silence des amphisAmphi AT01.
Introduction par Alice Béja, coproductrice (Sciences po Lille) – visioconférence.

17h15-19h30 : Table-rondeAmphiAT01.
Participation d’Avignon Université, d’Alice Béja, de l’association de médiation et d’aide aux victimes (AMAV Avignon), du Centre d’information sur les droits des femmes et familles (CIDFF84), du Planning familial 84 et des animatrices des ateliers de l’après-midi.

Mercredi 15 février de 11h30 à 19h30 à l’université d’Avignon Campus Hannah Arendt, bâtiment sud.

N.S.


Université d’Avignon : journée autour de l’égalité ce mercredi

Demain, le vendredi 25 novembre, la French Tech Grande Provence organise sa Matinale ‘Accompagnement et financement de l’innovation’ dans le cadre la Semaine de l’Industrie organisée par la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) de Vaucluse.

Demain matin, l’ensemble des acteurs de l’accompagnement et du financement sera réuni sur le stand de la French Tech Grande Provence dans les locaux de la CCI. Au programme : tables rondes, conférences et ateliers.

Startups, très petites entreprises, petites et moyennes entreprises, mais aussi porteurs de projet sont invités à venir poser toutes les questions qu’ils souhaitent, quelle que soit leur étape de développement.

Le programme de la Matinale

L’ouverture de la Matinale se fera à 9h, en présence de Gilbert Marcelli, président de la CCI de Vaucluse, Paul Hermelin, président de l’entreprise de services du numérique Capgemini, Audrey Brun, directrice de l’agence de développement économique RisingSud, mais aussi Carole Loget, chargée d’Affaires innovation chez Bpifrance. Dès 9h30, tous participeront à une table ronde, animée par Christophe Leininger, Coordinateur Général de la French Tech, qui abordera 3 questions : ‘Le Vaucluse est reconnu pour l’excellence des filières du tourisme, de l’agriculture et de l’agroalimentaire. Qu’en est-il pour celles du numérique et de l’industrie ? Quelles forces d’innovation ces deux filières portent-elles ? Quelles sont les stratégies à mettre en place pour les accompagner durablement ?’

À 10h30, Nicolas Chéhanne, responsable Europe à risingSUD, présentera les programmes européens pour accompagner les entreprises dans leur projet d’innovation. Pierre Aumont, ingénieur développement économique et responsable partenariats et relations entreprises à Avignon Université, quant à lui, évoquera les dispositifs CIR et du CICO à 11h. S’ensuivra une explication de la cotation des startups, par Gilles Duquénois, Directeur de la Banque de France Vaucluse. Cette matinale sera suivie d’un buffet de 12h30 à 13h30.

Les animations se poursuivront dans l’après-midi avec un atelier ‘Jeu Aventure Entrepreneur’ à 13h30, animé par la Banque de France Vaucluse pour comprendre les notions comptables et financières de base. À 14h30, il y aura un atelier ‘Des premiers clients à la levée de fonds’ pour lequel il faut s’inscrire en ligne, animé par Isabelle Dao, responsable communauté Les Premières Sud.

Vendredi 25 novembre. De 9h à 15h30. Entrée libre et gratuite. CCI de Vaucluse. 46 cours Jean Jaurès. Avignon.

V.A.


Université d’Avignon : journée autour de l’égalité ce mercredi

La CCI de Vaucluse annonce l’ouverture d’une permanence de la Chambre de Commerce Italienne pour la France, dans ses locaux. Ce partenariat va notamment permettre d’accompagner les entreprises du département souhaitant développer leurs échanges avec l’Italie.

Gilbert Marcelli, président de la CCI de Vaucluse, et Domenico Basciano, président de la Chambre de Commerce Italienne pour la France de Marseille (CCIFM) ont signé une convention de partenariat prévoyant la mise à disposition d’un bureau dans les locaux de la CCI de Vaucluse, à destination des entreprises du département souhaitant développer leurs échanges avec l’Italie.

A travers l’ouverture de cette permanence, la CCI de Vaucluse et la CCIFM, via son rôle de facilitateur, entendent mener des actions en commun et favoriser les passerelles entre les deux territoires.

Assuré par Antonella Donadio, secrétaire générale de la CCIFM, et son staff dédié à l’ « assistance et conseil aux entreprises », un accompagnement sur rendez-vous est désormais proposé aux entreprises vauclusiennes au sein de la CCI de Vaucluse, à Avignon.

Les entreprises intéressées par le marché italien, qu’elles soient issues du secteur du commerce, des services ou de l’industrie, pourront venir s’informer : développement commercial, recherche de partenaires, participation à des évènements professionnels, implantation, B to C, B to B, etc. Cette permanence va permettre une proximité dans l’accompagnement des entrepreneurs vauclusiens intéressés par le marché Italien.

Inversement, en bilatéral, tout dirigeant italien désireux de se développer dans le Vaucluse a désormais la possibilité de bénéficier d’un accompagnement sur mesure, grâce à cette porte d’entrée sur le territoire.

CCI Vaucluse, 46 cours Jean Jaurès, Avignon – ouverte du lundi au vendredi de 8h30 à 12h30 et de 13h30 à 17h.

J.R.


Université d’Avignon : journée autour de l’égalité ce mercredi

Forts des coopérations locales qui ont fait leurs preuves auprès des adhérents
de l’ordre des experts comptables. Pôle emploi, l’ordre des experts comptables
Provence-Alpes-Côte d’Azur et la Compagnie Régionale des Commissaires aux
Comptes Aix-Bastia, signent un accord pour accompagner les recruteurs et les
porteurs de projet ce 8 juillet 2022, à Cannes à l’occasion du congrès national
des experts comptables.

L’ordre des experts comptables et Pôle emploi coopèrent régulièrement en faveur de la
création d’entreprise et de la promotion des aides et mesures pour l’emploi.
« Les experts comptables sont très proches des entreprises au quotidien. Il est important
qu’ils connaissent tous les services de Pôle emploi afin de conseiller leurs clients et
élargir leur palette d’intervention », déclare Colette Weizman, Présidente de l’Ordre des
Experts Comptables Provence-Alpes-Côte d’Azur.

Par exemple, Pôle emploi accueille des experts comptables en agence et lors
d’événements comme la semaine nationale Restart organisée chaque année en
septembre pour conseiller les porteurs de projet dans leur création ou reprise
d’entreprise. Parallèlement, dans le cadre des opérations « business story création »,
menées par l’Ordre, Pôle emploi intervient sur les droits et les devoirs du porteur de
projet.

« L’expertise des experts comptables en termes de création d’entreprise est
incontournable et nécessaire aux porteurs de projet. Notre accord va amplifier leur
accompagnement dans l’ensemble de la région. Parallèlement leur information sur
l’évolution des aides et services de Pôle emploi compte pour leurs clients. Ces derniers,
comme tous les recruteurs, peuvent par exemple bénéficier des mesures du Plan
d’investissement dans les compétences que nous gérons pour le compte de l’Etat »,
déclare Pascal Blain, directeur régional Pôle emploi Provence-Alpes-Côte d’Azur.

La coopération sera développée sur les thèmes suivants :
– L’information commune à destination des porteurs de projet de création/reprise
d’entreprises,
– La communication sur les aides et mesures, les évolutions règlementaires, utiles
aux experts comptables, aux commissaires aux comptes et à leurs adhérents,
– L’identification des besoins de recrutement des adhérents des deux organismes,
en vue de les accompagner pour faciliter leurs recrutements,
– La mise en œuvre des actions de formation propices à répondre à leurs besoins en
ressources humaines.


Université d’Avignon : journée autour de l’égalité ce mercredi

Corinne Murat et son fils Romain reprennent en octobre 2020 le Caderoussier. Situé à Caderousse, ce bureau de tabac qui n’a jamais été rénové, se fait vieux et nécessite un petit coup de jeune. Corinne et Romain font donc une demande pour bénéficier du ‘fonds de transformation’ national, mis en place par la Fédération des buralistes en 2018. Pour ce faire, ils font appel à la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) de Vaucluse qui réalise un audit global de leur activité.

Ainsi, l’audit du point de vente est réalisé en début d’année par Patricia Herrera, conseillère entreprises et territoires de la CCI, qui permet de montrer la nécessité de moderniser et de repenser l’aménagement du bureau de tabac. Ensuite, l’audit de la zone de chalandise est réalisé afin de confirmer l’intérêt pour ce commerce de proposer une gamme de produits diversifiée. Le dossier est monté par la CCI et puis validé par la Direction nationale des douanes.

Les travaux de rénovation du Caderoussier, qui ont eu lieu pendant la semaine du 20 au 26 juin, ont donc été pris en charge à hauteur de 30% par le fonds de transformation des buralistes. « Nous avions le sentiment qu’il fallait repenser notre boutique, ce que l’audit nous a permis de confirmer. Et le financement d’une partie des travaux a été un véritable coup de pouce ! », s’enthousiasme Corinne Murat. Ces travaux sont également bénéfiques pour l’attractivité et de dynamisme de Caderousse, selon Christophe Reynier-Duval, maire de la commune, et son adjoint Mariel Martin, en charge du développement économique.

V.A.


Université d’Avignon : journée autour de l’égalité ce mercredi

Après avoir passé 25 ans en entreprise en tant que manager ou dirigeante, Sandra Guiliani a décidé de réorienter sa carrière professionnelle. Aujourd’hui installée à Maubec, elle est devenue coach et sophrologue. A ce titre, elle a lancé son activité de conseil et partage son expérience des relations humaines auprès des entrepreneurs, des particuliers ou bien encore des sportifs. Et entre les incertitudes liées à la crise sanitaire du Covid, la solitude du chef d’entreprise, le stress du salarié, les difficultés de communication entre générations ou la pression du quotidien le travail d’accompagnement ne manque pas.

Casino, Galeries Lafayette, La poste, Alain Afflelou… La pression des grands groupes, Sandra Guiliani elle connaît. Mais c’est aussi là que, pendant 25 ans en tant que manager ou dirigeante, elle a acquis son expérience dans le domaine des ressources humaines.
« J’ai toujours été passionnée par l’humain et la compréhension des relations humaines, explique celle qui est désormais installée à Maubec. Tout mon parcours en entreprise a été riche d’enseignements et très épanouissant. Pour autant j’ai pu y observer les maux et les conséquences du stress sur l’état physique et émotionnel de mes équipes pour lesquelles il n’était pas toujours facile de concilier la vie personnelle et professionnelle. »
Lassée du stress du travail sur Paris, Sandra Guiliani décide de revenir dans le Vaucluse où elle suit deux formations l’une au métier de coach (ICF) et l’autre au métier de sophrologue (CFSD sur Avignon en 2 ans avec Sylvie Bertrand).

De quoi ensuite proposer un accompagnement personnalisé synthétisant ces différentes formations (médecine traditionnelle chinoise en 2012, coaching en 2019 et sophrologie en 2021) à des particuliers mais surtout à des chefs d’entreprise, des managers et même des sportifs.

Prendre en compte toute les dimensions de l’être
« Ma vision de l’accompagnement est qu’elle doit prendre en compte l’ensemble des dimensions de l’être. Nous sommes sur-sollicités au niveau mental et oublions souvent d’écouter nos émotions et notre corps », insiste celle qui collabore régulièrement avec Véronique Daniel, une autre sophrologue et hypnothérapeute, au sein de GD accompagnement ainsi qu’avec l’organisme de formation Nove concept.

S’appuyant notamment sur les principes de base de la sophrologie visant à harmoniser les 3 dimensions de l’être (mental, émotionnel et corporel) la coach intervient régulièrement auprès des chefs d’entreprise.

« Beaucoup d’entrepreneurs se sentent seuls, constate Sandra Guiliani. Ils sont accaparés par le quotidien, doivent absorber la pression liée la bonne marche de leur entreprise, par les contraintes de leur activité ou les problématiques de ressources humaines et souvent ils s’oublient. Les dirigeants sont tournés vers l’action, vers le « faire » et ne vont pas être attentifs aux signaux d’épuisement et souvent leur réponse sera « je n’ai pas le choix ». Pour cela il faut parfois leur proposer de ralentir, de ré-apprendre la lenteur. Car même si l’on est passionné parce que l’on fait, il faut aussi savoir ralentir. C’est là que nous intervenons en essayant de leur faire prendre conscience de ‘Comment prendre du temps pour soi ?’. Et ce n’est pas facile car, pour eux, c’est une manière de se remettre en cause. »

Ce sont eux qui trouvent les solutions
Si l’accompagnement des dirigeants est plus personnalisé et individualisé, pour les managers les interventions de Sandra Guiliani se déroulent plus généralement en groupe.
« Plus d’une personne sur deux désignées pour être manager n’a pas été formé pour cela, rappelle la coach. Ils manquent d’outils pour mener à bien leur mission. Par ailleurs, un manager doit aussi bien se connaître afin d’être en capacité de faire passer les bons messages à ses équipes. »
Mais que ce soit avec les chefs d’entreprises, les managers et même les particuliers ou les sportifs qu’elle coache, l’objectif de Sandra Guiliani est de les accompagner vers l’autonomie et la conscience de leurs ressources et leurs capacités.
Cela passe notamment par la mise à disposition d’outils au quotidien afin de prévenir ou maintenir un état d’équilibre intégrant de multiples facettes personnelles et professionnelles comme son rythme de vie, la qualité de son sommeil ou bien encore la gestion de son stress.
« Dans tous les cas, il est important de les écouter car ce sont eux-mêmes qui trouvent bien souvent les solutions », insiste Sandra Guiliani.
Au final, il s’agit de se positionner dans un renforcement positif de l’individu. « Nous sommes là pour lui apporter du ‘mieux-être’, pas pour le juger. J’accompagne la personne en fonction de là où elle en est. »

Surmonter le choc des générations
Le management intergénérationnel est également l’un des domaines d’intervention qui a le vent en poupe actuellement.
« Qui n’a pas déjà entendu : ‘Les jeunes ne veulent pas bosser et de toutes les façons ils ne restent pas en entreprise ?’, questionne Sandra Guiliani. Mais cantonner les difficultés managériales au fait des générations est réducteur, au contraire toutes ces générations les Baby-boomer, génération X, génération Y, génération Z… doivent cohabiter et apprendre à fonctionner ensemble dans le monde du travail. Le monde du travail se ré-invente sous l’impulsion des nouvelles générations et il existe des moyens pour le manager de développer sa capacité à communiquer vers chacune de ces générations. »
Il serait trop facile de tomber dans la caricature des seniors que l’on considère dépassés dans le domaine du digital ou des jeunes perçus comme peu fiables.
« Ces 4 générations ont une relation différente au temps, à l’organisation et à l’autorité, insiste la coach vauclusienne. Elles présentent de nombreuses différences de motivations au travail et de réactivité au management, mais aussi de compétences détenues et déployées. Dans ces conditions, le management intergénérationnel devient une nécessité malgré les difficultés de mise en place et les différences de pratique entre les organisations. L’objectif du management intergénérationnel sera alors d’identifier les apports mutuels entre les différentes générations en vue de les mettre au service d’un but commun et ainsi éviter les conflits. Cependant, pour tirer le meilleur de chaque génération et favoriser la collaboration entre elles, les organisations doivent donc d’abord reconnaître cette diversité. »
Des rapports au sein de l’entreprise qui devraient encore se complexifier et s’enrichir avec l’arrivée de la génération Alpha (ndlr : ceux qui sont nés après 2010) dans le monde du travail.
« Elle sera la première génération à passer toute sa vie pleinement immergée dans la technologie, insiste Sandra Guiliani. Cette génération sera également façonnée par l’expérience de l’intelligence artificielle. »

Covid : le monde d’après ?
« Les chefs d’entreprises n’aiment pas l’incertitude. Avec le Covid, ils ont traversé une période particulièrement difficile durant laquelle ils se sont demandés comment payer les salaires, comment faire face à leurs difficultés financières ou tout simplement est-ce que mon entreprise va continuer à exister ? C’est aussi une période où les individus ont été coupés de leurs émotions avec le port du masque et coupés du lien social avec le télétravail. »
« Après cette période chahutante, nous devons intégrer l’impermanence des choses, nous avons pris conscience de notre fragilité, et j’observe dans mes accompagnements un grand besoin d’être écouté ou plus grande réceptivité des managers sur la capacité d’être à l‘écoute de soi et des autres. Cette crise a rappelé que nous devions nous adapter et apprendre à mieux vivre avec nos émotions pour être en lien avec les autres, s’agissant ainsi d’intégrer de nouveaux styles de management, d’autres types de communication à mettre en place pour avoir un meilleur développement, une meilleure croissance. »


Université d’Avignon : journée autour de l’égalité ce mercredi

« Pouvoir transmettre à ses enfants, matériellement ou non, est un enjeu intemporel qui a pris de nombreuses formes au cours des siècles, explique Patrimoine store, plateforme spécialisée dans l’investissement immobilier. L’immobilier constitue le patrimoine préféré à transmettre des Français. Loger ses enfants ou bien leur permettre de pouvoir épargner est et restera une aide précieuse. Le gouvernement français veut faciliter cette transmission à l’aide de mise en place de dispositifs et projets de lois. Les aléas de la vie et les imprévus doivent également être considérés et anticipés pour minimiser au mieux les risques. »

Constituer le patrimoine de ses enfants en investissant dans l’immobilier
Que ce soit en période de crise ou non, l’immobilier reste et restera une demande de la part des Français. Le besoin de se loger justifie un placement sûr qui ne pourra pas être impacté comme les autres industries. Un investissement qui permet par ailleurs de faire fructifier son épargne en mettant par exemple son bien en location. Autant de facteurs qui font de l’investissement immobilier la solution d’investissement préférée des Français. Environ 25%1 de la population française privilégierait ce type de placements.

Le besoin et la possibilité de transmettre son patrimoine
La conjoncture économique et sanitaire qui s’installe depuis des années maintenant, a accentué ce besoin de constituer son patrimoine mais également de pouvoir le transmettre en cas d’évènement tragique. Le gouvernement prévoit donc ces situations avec la « donation simple », la « donation- partage », afin d’éviter à ces successeurs l’impossibilité d’accès au bien de leurs familles à cause d’un coût trop onéreux. Au-delà de ces dispositifs de donation, des solutions alternatives existent comme la SCI, le démembrement… Les aléas de la vie restent des facteurs imprévisibles qui se doivent d’être anticipés malgré des dispositions tels que le testament.

Se faire accompagner
« Patrimoine Store rassure donc les particuliers qu’elle accompagne en étant présente auprès de ses clients en cas de problème, assure la plateforme créée en 2015 par Arnaud Groussac. Dès le début du projet, l’entreprise prend en compte l’ensemble des éléments du dossier et analyse la fiscalité du client afin de proposer le montage le plus adapté à l’objectif comme la création éventuelle d’une société (SCI, SCPI,…) De plus, c’est à la demande du particulier que l’offre de Patrimoine Store se dessinera, avec un niveau d’accompagnement proportionnel au besoin de l’investisseur. Un pari permettant de dégager du pouvoir d’achat renforcé par une politique 0% de commission promoteur. Les particuliers peuvent ainsi investir en confiance sans soucier de leurs générations futures. »


Université d’Avignon : journée autour de l’égalité ce mercredi

Il y a quelques jours avait lieu l’inauguration du nouvel incubateur de la French tech Grande Provence. Son doux nom ? ‘Start tech’. Les candidatures pour bénéficier de l’accompagnement courent jusqu’au 31 octobre prochain.

La French tech Grande Provence, avec son équipe d’experts, a conçu un programme complet et accessible pour aider les startups et entrepreneurs à augmenter leurs chances de réussite, puis obtenir plus facilement des financements publics et privés. En d’autres termes : les aider à rentrer dans les 10% des créations d’entreprise qui réussissent sur la durée.

1er incubateur généraliste en Grande Provence

« Nous aidons les startups à se lancer avec succès grâce à notre expertise, notre accompagnement et notre réseau. 90% des startups échouent, passez dans les 10% ! » déclare la French tech Grande Provence. Augmenter significativement le taux de pérennité et la création d’emploi pour les startups qui se lancent sur le territoire de la Grande Provence, telle est la mission de l’incubateur Start tech.

« Etienne Laffaire nous a fait part de son rêve le 12 mars et nous avons immédiatement transformé cette envie en boule d’énergie créative avec Bertrand Ventadour. Dans notre atelier de co-création, nous avons utilisé mes techniques rodées pour trouver le bon positionnement : le 1er incubateur pour tester et optimiser la viabilité de son projet en Grande Provence ! Le nom ‘Start tech’ est alors sorti facilement avec également Laure Baudouin. Etienne a conçu un programme de qualité avec des experts complémentaires pour chaque étape, de l’idée au lancement », explique Odile Desbruères, spécialiste en accompagnement marketing et communication des PME et TPE.

La vocation de l’incubateur ? Sécuriser le parcours du porteur de projet, de l’idée à la commercialisation, en s’appuyant sur les outils no-code, le réseau d’experts et un savoir-faire en matière d’accompagnement des startups et des entreprises innovantes.

Crédit photo: French tech Grande Provence

Qui peut participer ?

Les publics sont variés. Vous êtes étudiant, entrepreneur, demandeur d’emploi et porteur d’un projet entrepreneurial innovant ? Vous souhaitez l’implanter sur le territoire de la French Tech Grande Provence (Vaucluse, Nord des Bouches du Rhône, Gard Rhodanien) ? Vous avez une ambition de croissance et de création d’emplois, ou vous êtes une entreprise et vous souhaitez lancer un nouveau projet innovant ou technologique ? Vous êtes inscrit comme demandeur d’emploi à Pôle Emploi Vaucluse ? Les frais de l’incubation peuvent être co-financés via le CPF (compte personnel de formation) par Pôle emploi.

Synergie des partenaires

Pôle emploi Vaucluse, partenaire de la French tech Grande Provence, a souhaité sécuriser le parcours des demandeurs d’emploi se dirigeant vers la reprise ou la création d’entreprise tech ou innovante. À ce titre, le programme d’incubation peut être co-financé par Pôle Emploi. Le Grand Avignon, aux côtés de l’association depuis sa création, met son bel espace le Living Lab le 9 à la disposition des sessions d’incubation. Ces soutiens sont précieux et les porteurs de projets en sont les bénéficiaires directs.

La French tech et sa puissance

La French tech Grande Provence fondée en 2014 et basée à Avignon opère le label French Tech initié par le ministère de l’Économie et des Finances. Elle porte trois missions principales : soutenir et accompagner le développement des startups et des entreprises innovantes jusqu’à l’internationalisation, animer et fédérer l’écosystème autour des entreprises et diffuser l’innovation. Les chiffres donnent le tournis : +140 startups accompagnées, +400 emplois créés grâce aux startups, +20M€ de fonds levés, +40 experts et intervenants et +15 mentors grands comptes et ETI (Entreprise de taille intermédiaire).

Pour en savoir plus et candidater : https://start-tech.fr/


Université d’Avignon : journée autour de l’égalité ce mercredi

Enedis et le Châtaigner oeuvrent ensemble pour une société plus juste

Enedis, gestionnaire de réseau de distribution d’électricité (ex ERDF) et le Châtaigner, entreprise adaptée pour le travail des personnes handicapées située à Cavaillon ont renouvelé leur partenariat acté en 2019. En 2020, l’entreprise d’électricité a investi 14M€ dans les entreprises du secteur protégé et adapté et 2,80M€ dans l’insertion par l’activité économique.

Les personnes employées par le Châtaigner œuvreront à réparation et au changement de portes de coffrets électriques ainsi qu’au débroussaillage de postes de distribution publique d’électricité. Dans la foulée la société Enedis s’est engagée dans l’achat solidaire, responsable et de proximité en Vaucluse.

Dans le détail

La convention de partenariat, établie entre Enedis et le Châtaigner, d’une durée d’un an, consiste en la professionnalisation de personnes handicapées –volets sécurité et environnement- pour la réparation de 600 portes de coffrets. La société d’électricité versera également 10 000€ au Châtaigner, hors fourniture de matériel et selon les interventions réalisées et dans le cadre de l’accord Handicap 2021-2023. Enedis s’est également engagée à organiser des visites à caractère industriel dans le cadre du projet pédagogique de découverte des métiers.

La RSE en pratique

«Les enjeux de développement durable sont au centre de la démarche RSE (Responsabilité sociétale des entreprises), a souligné Emilie Blondel, adjoint au directeur Enedis en Vaucluse dans le cadre du Projet Industriel et Humain 2020-2025, qui vise à concilier performance industrielle et approche durable, au plus près des territoires et des clients, en faveur de la transition écologique. Cette démarche responsable et solidaire est une action concrète qui contribue, aux travers de nos achats, à faire changer les regards sur la question du handicap, ainsi qu’à inclure les personnes en situation de handicap dans un véritable projet professionnel. D’autre part, nous dédions certains de nos marchés au secteur protégé. Par exemple, le recyclage des compteurs Linky et le nettoyage de vêtements ‘image de marque’. Enfin, 3 marchés d’élagages sur les 17 dernièrement passés sont dévolus au secteur protégé, les travaux débuteront le 1er janvier 2022.»

Le Châtaigner

L’entreprise adaptée le Châtaigner, ancien atelier autonome, a été créée par l’association Vauclusienne d’entraide aux personnes handicapées. C’est une société par action simplifiée unipersonnelle (Sasu). Elle est agréée Entreprise solidaire et sociale. Elle salarie et accompagne les travailleurs handicapés en facilitant leur adaptation et leur apprentissage au poste de travail tant en terme de savoir être que de savoir-faire ; La production de biens ou de services dans le souci de la satisfaction des clients -délai et qualité- ; L’accompagnement lié à la santé et à la sécurité du personnel et socio-professionnel dans le respect de la personne. Les salariés interviennent dans la sphère du multi services en second œuvre bâtiment : peinture, électricité, plomberie, maçonnerie, carrelage, climatisation ; en espace vert ; dans la prestation en atelier et en entreprises. L’entreprise adaptée se situe 199, route de Cavaillon à Robion.

https://echodumardi.com/tag/accompagnement/page/2/   1/1