24 novembre 2024 |

Ecrit par le 24 novembre 2024

Parentalité en entreprise : Mininoo propose une solution clé en main

Si la parentalité peut être une source de changement et donc de stress au sein d’une entreprise, elle peut également entraîner une nouvelle dynamique des équipes et même être une source de performance quand elle est bien accompagnée. C’est ce que propose Mininoo, fondée par Cécile Georges à Sauveterre.

Après avoir passé plusieurs années dans le domaine du recrutement, Cécile Georges a pu constater les difficultés que rencontraient les futures mères à vivre sereinement leur maternité dans le monde de l’entreprise. C’est pourquoi la Gardoise a décidé, en 2020, de fonder Mininoo, une société de l’économie sociale et solidaire qui accompagne les entreprises dans la parentalité. « L’idée était de créer le lien entre la personne qui souhaite une parentalité, qu’elle soit maman ou coparent, et le manager ou l’entreprise », explique Cécile.

Chaque année en France, près de 500 000 femmes conjuguent grossesse et vie professionnelle. Leur peur d’être remplacée est forte, tout comme la peur de ne pas être attendue de retour de congé maternité. « Ce qui ressortait majoritairement lors de la création de Mininoo, et ce qui ressort encore aujourd’hui, c’est que ces femmes se sont surinvesties pour une entreprise, mais elles n’ont pas eu la reconnaissance escomptée à leur retour », ajoute la fondatrice.

Une solution clé en main

Aujourd’hui, nombreuses sont les entreprises qui ne savent pas comment gérer l’annonce d’une grossesse et le futur départ en congé parental, notamment les petites structures. Elles font face à de nombreuses interrogations telles que : comment accueillir l’annonce d’une grossesse ? Comment la gérer ? Que dit la loi ? Qu’est-ce que l’entreprise propose ? Quels changements cela va-t-il engendrer ? Comment continuer d’accompagner les salariés au mieux ?

C’est là qu’intervient Mininoo, en proposant une solution clé en main pour l’entreprise avec un accompagnement qui peut être global, mais aussi sur-mesure pour la personne qui souhaite être accompagnée. Il peut s’agir de la future mère, du futur coparent, ou bien du manager.

Trois formes d’accompagnement

Ainsi, pour accompagner au mieux chaque entreprise, Mininoo propose trois formules : Mininoo Maternité, Mininoo Coparent et Mininoo Manager. La première formule concerne la future mère et propose un accompagnement mensuel de 9 mois offert par l’entreprise dans laquelle elle travaille. Élaborée par une équipe d’experts qualifiés (coach, sage-femme, kinésithérapeute, ostéopathe, nutritionniste, psychanalyste), cette formule propose un suivi physique et digital du troisième mois de grossesse au deuxième mois postpartum, avec une box dans laquelle il y a un contenu de 24 pages avec des conseils santé, des conseils coaching, parentalité et carrière, et des produits qui sont adaptés au mois de la grossesse en cours, mais aussi avec un accès privilégié à des podcasts et des webinaires.

En France, 67% des coparents ont recours au congé parental, mais beaucoup craignent des répercussions professionnelles. La formule Mininoo Coparent leur donne accès à un coaching webinaire et trois ateliers coaching de codéveloppement sur divers sujets comme l’optimisation du temps avec l’arrivée d’un enfant, le traitement des croyances limitantes, ou encore le retour en entreprise, afin de trouver le bon équilibre entre vie privée et vie professionnelle.

La formule Mininoo Manager, quant à elle, comprend trois séances de coaching avant le congé du salarié ou de la salariée avec un premier rendez-vous entre le manager et la coach, un deuxième entre le futur parent et la coach et un troisième avec les trois. « Aujourd’hui, on a trois accompagnements, mais on voit que les entreprises nous sollicitent aussi pour élargir notre offre et pouvoir répondre à des demandes sur-mesure en particulier », explique Cécile Georges.

Déjà plusieurs entreprises accompagnées

Depuis sa création en 2020, plusieurs entreprises ont décidé d’accorder leur confiance à Mininoo. Il y a notamment Veolia Eau en Provence pour laquelle Mininoo a réalisé des webinaires ainsi que deux ateliers : un sur le sommeil de l’enfant et un sur les écrans. « On espère pouvoir aller plus loin et accompagner Veolia Eau France, voire Veolia Groupe », s’enthousiasme Cécile. Le Service de Santé au Travail AIST 84, lui aussi, fait confiance à Mininoo, et lui a demandé de travailler sur le sujet de la fausse couche pour accompagner au mieux celles qui vivent ce drame qui touche près de 200 000 femmes chaque année en France.

« On a plusieurs structures qui nous ont fait confiance et qui, aujourd’hui, réenclenche un accompagnement dès qu’une nouvelle parentalité se présente. »

Cécile Georges

Mininoo accompagne aussi le groupe BIC avec les formules Mininoo Maternité et Mininoo Manager. « On fait partie des acteurs qui ont permis à BIC de gagner le trophée QVCT (Qualité de Vie et des Conditions de Travail) de la parentalité 360 », affirme Cécile avec fierté. Parmi les clients de l’entreprise Sauveterroise, on compte aussi Motul, qui fait les huiles de moteur en région parisienne, ou encore le cabinet de Management de Transition Cahra.

La parentalité : source de performance pour l’entreprise ?

Alors que la parentalité peut souvent engendrer des questionnements et des incertitudes au sein de l’entreprise, elle peut surtout être vectrice de performance et de renouveau. « Quand on a une personne qui part en congé maternité, il va falloir qu’elle fasse une bonne passation, soit auprès des équipes, soit auprès de la personne qui va la remplacer, ajoute Cécile Georges. Et quoi qu’il arrive, il va y avoir une nécessité d’être davantage dans la communication et dans la transmission. C’est toute l’équipe qui va en sortir grandie et en cohésion. »

« La réorganisation au sein d’une entreprise est une véritable source de performance économique. »

Cécile Georges

Ainsi, certains collaborateurs pourront s’engager sur des sujets auxquels ils n’auraient pas pensé auparavant ou s’investir dans un projet auquel il n’aurait pas forcément pris parti s’il n’y avait pas eu cette parentalité qui impliquait une réorganisation. Au retour de congé parental, la personne va revenir dans l’entreprise avec un nouvel équilibre des temps de vie qui va permettre d’apporter du renouveau dans le milieu professionnel. « Il y a une forte dose hormonale sur les six premiers mois de vie de l’enfant, et il y a pas mal de cheminement qui se passe dans le corps d’une femme, donc elle a cette empathie nouvelle qui va lui permettre de visualiser les choses différemment et de proposer des solutions différentes pour l’équipe », développe Cécile. Ainsi, Mininoo permet non seulement aux entreprises de vivre sereinement la parentalité, mais aussi d’en tirer profit.

Cécile Georges, fondatrice de Mininoo. DR

Parentalité en entreprise : Mininoo propose une solution clé en main

Au tout début, Catherine Bugeon vient d’une famille plutôt nombreuse, où, forcément la place de l’autre importe parfois plus que la sienne. Et ces autres, elle les aime. Tout d’abord infirmière puis cadre de santé, engagée en politique, sa vie s’est déroulée au contact de multiples personnalités des plus humbles aux plus connues et au cœur des collectivités où elle a exercé ses talents de manager et de médiatrice.

Et c’est ce talent du discernement de la relation à l’autre qu’elle propose désormais à tous ceux qui veulent reprendre en main, leur vie et leur destin. Sa technique ? L’écoute, l’analyse, et la recherche de solutions. On vous raconte.

Elle est celle qui désamorce les conflits,
et pacifie les terrains minés. De ceux aussi que l’on renferme parfois, au plus profond de soi. Elle éclaire d’une lumière tactique, l’épaisse ombre tapie, au cours d’un voyage intérieur où les pieds demeurent fermement sur terre et où la tête tutoie les étoiles. Alors le doute s’efface et l’on prend enfin son élan. La vie est un trésor très personnel qui requiert toute notre attention si l’on ne veut pas que d’autres s’en saisisse pour nous la ravir.

Expérience de vie
«J’ai toujours préféré la médiation qui fédère au combat qui divise. C’est ainsi que durant l’ensemble de ma vie professionnelle j’ai accompagné des équipes dans la santé comme les institutions publiques, des dirigeants d’entreprises, culturels et cultuels. J’ai ainsi été formée à de nombreuses techniques complémentaires émanant de l’Université du symbole avec Luc Bigé, l’Ecole du coaching en France avec Vincent Lenhart, au langage du tarot de Marseille avec Dora Bertini…»

Ce que je propose 
«Le coaching permet l’accomplissement de sa vie et sa propre évolution vers un nouvel équilibre grâce à un accompagnement, comme un voyage, à la découverte de soi. Cela passe par ses perceptions, ressentis, intuitions pour reconnaître et décrypter les situations que nous vivons. Je préconise cinq à six séances de coaching associées à la symbolique du tarot et sur un suivi de trois mois. La première séance, offerte, a pour objectif de définir attentes, besoins et d’examiner les résultats attendus.»

L’interview
«J’exerce dans cette région du Sud-est où je vis depuis presque 25 ans maintenant, parce que j’adore cette Provence qui m’inspire beaucoup. J’ai pendant des années œuvré, travaillé auprès d’entreprises, de cadres de direction, d’équipes de santé, d’acteurs culturels et également dans la sphère publique, dans ce qu’on appelle une démarche d’accompagnement, c’est-à-dire de coaching.»

Le coaching
«J’ai eu la chance d’être certifiée coach à Montréal, au Canada, un pays très féru de nouvelles techniques de connaissance de soi, en avance dans le monde du leadership et de la dynamique d’équipe. Le coaching est une démarche qui va permettre à quelqu’un ou à des équipes de se concentrer sur un objectif de vie, un objectif professionnel, d’en repérer les blocages, les potentiels que l’on sent en nous, trop souvent enfouis.»

La grande idée ?
«C’est d’accéder à notre créativité, comme lorsque nous étions tout petits et que nous nous souvenions encore de l’imaginaire que généraient nos livres d’images, les marionnettes, tout ce que l’on nous présentait, mais qui dans le temps a été un peu atténué par un mental et un contrôle de plus en plus prégnants.»

Aujourd’hui
«Le coaching que je propose a aussi été nourri par mes passions, comme le travail des symboles qui relie des univers, au départ étrangers les uns aux autres comme la symbolique, la mythologie, la philosophie, la psychologie de Jung qui cependant fusionnent à merveille. Ainsi, le coaching que je propose est associé au langage symbolique du Tarot de Marseille.»

A la découverte de soi
«Le coaching c’est aussi ouvrir les portes de l’inconscient, des potentiels et des possibles, repérant les répétitions de scénario de vie, et pourquoi, de générations en génération, dans une même famille, l’on rencontre les mêmes difficultés ou échecs.»

Un choix inconscient prédominant
«C’est souvent le résultat d’un inconscient prédominant dans notre cerveau. Pourtant c’est au travers de nos rêves, ces images qui se succèdent, que nous pouvons recréer notre vie. Et c’est grâce à l’imagerie du tarot de Marseille, puissant outil d’introspection, que l’on va y chercher du sens.»

Mon travail
«Mon travail aujourd’hui c’est un peu comme d’ouvrir une poupée russe, une matriochka, qui contient plusieurs versions d’elle de plus en plus petites. Celle qui m’intéresse est d’ailleurs la plus petite. C’est notre enfant intérieur car c’est à partir de lui que tout provient et que tout peut encore être transformé.»

Comprendre le tarot
«Le tarot est né de l’envie de riches marchands,les Médicis, à l’époque de la Renaissance italienne, durant le siècle des lumières, de fréquenter et d’accueillir chez eux des philosophes, alchimistes, scientifiques, artistes peintres, musiciens, artisans, maîtres graveurs, voyageurs… Ceux-ci créèrent, ensemble, un livre d’images à la symbolique immense, subtile et cachée. Un livre qui n’aurait pas la forme d’un livre de connaissances, ce qui le préserverait d’être un jour brûlé comme cela aurait pu se produire au moment de l’inquisition. Le tarot de Marseille est donc cet immense livre, composé de 78 chapitres -78 cartes-, dont nous sommes nombreux à ne travailler que les 22 arcanes majeures. Arcane qui signifie ‘secret’.»

Comment l’on va travailler
«Je n’utilise pas le tarot de Marseille comme un outil de voyance, mais comme support à nos entretiens autour d’un questionnement pour clarifier les attentes et les objectifs de la personne qui consulte. Il s’en suit un ou plusieurs tirages de cartes avec une lecture, qui va permettre d’entrer en résonance avec la problématique de l’instant présent. »

Pas de conseils mais une compréhension de l’instant
«Je ne donne pas de conseils, je décode avec la personne ce que nous avons appris arcane par arcane, la vibration que cela vient apporter, chaque arcane délivrant ses propres messages. Évidemment, beaucoup de cartes nous disent à quel point nous sommes reliés et connectés à notre inconscient. En effet, les consultants arrivent toujours à un moment de leur vie où ils prennent des décisions importantes, abordent un nouveau chemin, sachant ce qu’ils veulent vivre et surtout ne plus vivre.»

Avec les cartes,
«nous travaillons, ensemble, des situations du quotidien, comment ouvrir des potentiels, à lâcher le mental, faire confiance à son intuition et à sa créativité. Les rendez-vous s’échelonnent de quinze jours à trois semaines pour prendre le temps de penser, d’intégrer ce qui a été dit, de traverser les obstacles, enfin, d’étudier des choix personnels, professionnels et, surtout, vivre des moments de joie.»

Se centrer sur soi, et toujours apprendre
«C’est aussi se centrer sur soi, oser s’affirmer en paroles et en actes. Je réfléchis également à répondre à une demande forte des gens, enthousiastes à étudier et à mieux décrypter les cartes du Tarot de Marseille, lors de cours dispensés en individuel ou en collectif. Cette transmission de toute une vie d’étude des tarots pourrait prendre la forme de stages de deux jours, comme un clin d’œil à ceux qui auraient, chez eux, un tarot de Marseille.»

Les infos pratiques
Coaching et langage de la symbolique du tarot de Marseille. Catherine Bugeon. 06 08 50 64 62. 30 bis, rue du Général Leclerc à Villeneuve-Lès-Avignon.


Parentalité en entreprise : Mininoo propose une solution clé en main

Créer, booster ou pérenniser l’emploi, c’est l’ADN du Réseau Entreprendre Rhône-Durance. L’association imaginée en 1986 par André Mulliez, (le créateur des hypermarchés Auchan) dans le Nord de la France, a essaimé dans 10 pays, avec 135 implantations. En Vaucluse, elle est hébergée par la Chambre de Commerce et d’Industrie, Cours Jean-Jaurès à Avignon avec comme président Emmanuel Sertain et comme directrice, Brigitte Borel.

Et mardi soir, elle tenait son assemblée générale dans un havre de verdure, entre oliviers, cerisiers et platanes centenaires au Domaine du Petit Roulet entre les Vignières et Cavaillon.

« Le but de notre réseau, c’est d’accompagner les entrepreneurs vers la réussite! » clame haut et fort Brigitte Borel. « Sa raison d’être : redonner une chance aux personnes éloignées de l’emploi, restaurer la confiance en soi, aider à l’élaboration d’un projet professionnel pérenne. Aucun entrepreneur ne doit rester seul ».

Aujourd’hui Rhône-Durance compte 94 membres, d’anciens chefs d’entreprises ravis de transmettre leur expérience, de donner un coup de pouce aux plus jeunes, de les faire profiter de leur carnet d’adresses. En plus de leur cotisation (1695€ / an), ils donnent de leur temps sans compter pour accompagner les jeunes entrepreneurs bénévolement. Tous partagent les mêmes valeurs : gratuité, solidarité, confiance, partage, audace, bienveillance, passion et réciprocité puisque les lauréats s’engagent à renvoyer l’ascenseur en créant au moins 5 emplois au bout de 3 ans.

12 lauréats ont été récompensés mardi.

Fleur Masson pour sa biscuiterie « Le beau geste » au Thor, une gamme sucrée et salée à base de légumineuses bio, riches en fibre pour pause gourmande.

Thomas Fattore et Guilain Yvon pour « Lium« , une start-up dont la mission est de sécuriser les sites industriels sensibles, contre les risques d’intrusions dans les centrales nucléaires ou de fuite dans les barrages grâce à des ballons dirigeables novateurs autonomes pendant 2 mois.

Laurent Marteel qui a créé au Pontet « Yaka Chanter » un karaoké décomplexé qui permet à ses clients de privatiser le lieu pour une fête ou un anniversaire et de chanter à tue-tête grâce à une sono d’enfer sans déranger les voisins.

Jean-Baptiste Petricoul, lui est à la tête de « Virgomove » où il a mis au point un casque adapté aux déplacements urbains (vélo, trotinette, roller) qui offre une protection maximale tout en étant connecté.

Christophe Bazin a repris « Clarys, Côté poêles » et propose des poêles à bois, à granulés et à pellets sur deux sites, à Orange et à Pernes.

Charles Desombre est à l’Isle-sur-La Sorgue avec « AVM Miroiterie » des vitrages isolants mais aussi des pare-douches, des dalles et des escaliers de verre.

Sébastien Tamagno, un ancien informaticien installé à Lourmarin a changé son fusil d’épaule pour « Kaukani » (qui signifie gingembre en hawaïen). Il commercialise un concentré de gingembre et de citron sans additif ni conservateur pour des apéros 100% nature qui requinquent. Sa PME créée en 2022 a engagé 7 salariés et le chiffre d’affaires a doublé en 2 ans.

Le couple Catherine et Edouard Baccar a repris à Arles et Saint-Martin-de-Crau 2 garages « BestDrive » spécialisés dans les pneumatiques avec les services qui leur sont liés : montage, équilibrage, géométrie.

Enfin Marine Stopin et Patrick Abbal ont été récompensés pour « CIT Formation » qui propose des prestations de formation professionnelle en informatique et management à Avignon.

En tout, 300 000€ de prêts d’honneur ont été octroyés à cette promotion, 102 emplois sauvegardés ou créés grâce au Réseau-Entreprendre Rhône Durance, à ses membres, ses experts-comptables, ses avocats, ses chefs d’entreprises, l’an dernier. Le taux de pérennité des entreprises aidées par Rhône-Durance est de 93% alors qu’en moyenne il est de 50% pour celles qui ne bénéficient pas d’un tel coup de main. Pour Emmanuel Sertain qui se définit lui-même comme « Un président heureux, il faut continuer à développer le réseau, qui est le coeur du réacteur avec de nouvelles adhésions, des ambassadeurs et des partenaires supplémentaires, amplifier sa notoriété, innover, faire rayonner ce mouvement pour booster l’emploi » dans un département où le chômage flirte avec les 10%.

Une 1ère « Fête de l’Entrepreneur » sera d’ailleurs initiée le 18 septembre prochain à Sorgues avec comme thème « Le dépassement de soi » et un invité d’honneur hors-pair, Philippe Croizon. Un exemple : amputé de ses 4 membres après avoir été électrocuté, à force de pugnacité, de courage et de détermination, il a réussi à traverser la Manche à la nage. Le handicap, il ne connaît pas.

Contact : 04 90 86 45 59
rhone-durance@reseau-entreprendre.org


Parentalité en entreprise : Mininoo propose une solution clé en main

La CCI de Vaucluse vient d’agrandir ses équipes afin de maîtriser de nouvelles compétences dans le but d’anticiper davantage les besoins des entreprises du territoire et de les accompagner au mieux.

À l’initiative de son président Gilbert Marcelli et de son directeur général Tomas Redondo, la CCI de Vaucluse recrute de nouveaux talents. Services aux entreprises et aux territoires, emploi et formation, compétitivité industrielle, commercial, digital, informatique ou encore RH, de nouvelles compétences viennent s’ajouter aux équipes de la CCI pour accompagner au mieux les entreprises du territoire.

Ces nouveaux talents participeront au développement de nouvelles filières sur le campus de la CCI, au développement de l’alternance, à la valorisation des commerces et des filières d’excellence du territoire, à la compétitivité des entreprises industrielles, et à leur promotion. De nouveaux services devraient bientôt voir le jour tels que : ingénierie financière en fonds et financements publics, médiation d’entreprise, et prévention des risques et cyberprotection.

V.A.


Parentalité en entreprise : Mininoo propose une solution clé en main

Dans le cadre la mise en œuvre du « Plan Eau » annoncé par le Président de la République le 30 mars dernier, 50 sites industriels à forts enjeux eau vont bénéficier d’un dispositif d’accompagnement pour une gestion plus sobre de l’eau, dont Eurenco, à Sorgues, et le site de Seqens à Aramon.

Les projections scientifiques indiquent jusqu’à -70% des débits des cours d’eau en été dans certains territoires dans les prochaines années, ainsi qu’une intensification des épisodes de sécheresse. Avec le Plan Eau, Emmanuel Macron a annoncé un objectif de réduction de 10% des prélèvements en eau d’ici 2030. Pour ce faire, le gouvernement s’appuie à la fois sur la mobilisation des principales filières économiques et sur l’accompagnement des plus gros consommateurs d’eau dans la réduction de leur empreinte.

Si l’eau représente un enjeu essentiel de performance économique et environnementale pour l’industrie, celle-ci a tout de même baissé de 17% ses prélèvements en eau grâce à l’adaptation de ses outils productifs depuis 2018. Mais le gouvernement souhaite viser plus loin avec notamment un dispositif d’accompagnement ciblé de 50 sites industriels à forts enjeux eau.

Les premiers sites industriels sélectionnés

Afin de choisir les sites industriels qui pourront bénéficier d’un accompagnement pour une gestion plus sobre de l’eau, le gouvernement a pris en compte trois critères : les plus consommateurs en eau, situés dans des zones en tension hydrique, et qui ont un potentiel important de réduction de leurs consommations. Cet accompagnement permettra d’approfondir le diagnostic sur leurs besoins en eau, d’identifier les leviers d’amélioration et de mettre en œuvre des optimisations pour une meilleure sobriété hydrique, avec un possible appui financier des Agences de l’eau.

À ce jour, 12 sites industriels ont été choisis pour être accompagnés, dont Eurenco, fabricant d’explosifs et d’additifs pour carburants destinés aux marchés civils et de la défense à Sorgues, et le site d’Aramon du groupe pharmaceutique Seqens.

V.A.


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Ce vendredi 28 juillet, le ministre de la Justice, Eric Dupont-Moretti, a inauguré la structure d’accompagnement vers la sortie (SAS) d’Avignon-Le Pontet. L’objectif de ce lieu est double : désengorger les prisons et préparer la réinsertion des détenus.

Construite à côté du centre pénitentiaire du Pontet, la structure d’accompagnement vers la sortie (SAS) d’Avignon-Le Pontet dispose d’une capacité de 120 places pour accueillir, sous le régime de la semi-liberté, des détenus qui purgent de courtes peines ou à qui il reste moins de deux ans de détention. L’objectif du lieu est d’améliorer la réinsertion des détenus, mais l’établissement n’est pas réservé aux seules personnes avec un projet professionnel. Les détenus en fin de droits sociaux ou ayant des problèmes d’addiction à l’alcool ou la drogue peuvent aussi être orientés vers cette structure.

Le centre pénitentiaire du Comtat Venaissin ouvrira en 2026

L’objectif est de mieux accompagner la sortie, mais aussi de désencombrer les prisons. Conçu pour accueillir 650 personnes, le centre pénitentiaire du Pontet héberge actuellement plus de 800 détenues. Ces derniers mois, via leurs syndicats, les agents de la pénitentiaire n’ont cessé d’alerter sur cette surpopulation carcérale et sur les violences à répétition commises entre détenus, mais aussi envers les agents. La création du futur centre pénitentiaire du Comtat Venaissin, à Entraigues-sur-la-Sorgue, devrait également permettre de soulager la prison du Pontet. D’une capacité de 400 places, l’établissement devrait être opérationnel début 2026.

Le ministre de la Justice, Eric Dupont-Moretti, inaugure la structure d’accompagnement vers la sortie d’Avignon-Le Pontet © Jérôme Renaud
Discours d’inauguration de la SAS d’Avignon-Le Pontet par le ministre de la Justice, Eric Dupont-Moretti © Jérôme Renaud 
Session de questions-réponses avec le ministre de la Justice, Eric Dupont-Moretti © Jérôme Renaud

Parentalité en entreprise : Mininoo propose une solution clé en main

Le 20 juin, la communauté de communes Vaison Ventoux a accueilli la réunion de présentation de ‘Sud entreprises’, un ensemble de dispositifs d’accompagnement et de financement pour le développement des entreprises en Vaucluse avec la Région Sud-Provence-Alpes-Côte d’Azur, la CCI de Vaucluse et la CMA Provence-Alpes-Côte d’Azur.

Pour cette présentation, une quinzaine d’entreprises étaient au rendez-vous telles que Demeures en Provence, Boyer Jardin et piscine, Menuiserie RMS, Association Cédants et repreneurs d’affaires, ou encore Lou Bouscatié.

Les dispositifs d’accompagnement et de financement pour le développement des entreprises en Vaucluse s’inscrivent dans le cadre du Schéma régional de développement économique, d’internationalisation et d’innovation de la Région Sud.

Qu’est-ce que ‘Sud entreprises’ ?

‘Sud entreprises’ est une gamme d’aides régionales, financières et de conseil, pour être accompagné. Elle s’adresse aux commerçants, artisans, dirigeants de TPE, de PME, d’ETI ou de start-up, ou encore à ceux qui sont au stade de l’idée, ou en phase de création ou de reprise, quel que soit le secteur d’activité.

Avec ‘Sud entreprises’, la Région Sud ambitionne de mobiliser plus de 400 millions d’euros au bénéfice des entreprises et d’accompagner et/ou financer 50 000 entreprises d’ici 2028. Les dispositifs s’adressent à toute sorte d’entreprise, mais la Région a tenu à mettre en avant le respect environnement. Ainsi, les projets à impact significativement négatif sur le climat et sans intégration de la portée climatique ne sont pas éligibles aux dispositifs, les montants d’aides seront bonifiés pour les projets exemplaires en matière de préservation de l’environnement, et des contreparties environnementales seront attendues et précisées dans la convention financière pour les grandes entreprises.

Neuf dispositifs différents

Afin de pouvoir d’être la plus large possible en termes d’accompagnement, la Région Sud propose donc neuf dispositifs qui visent chacun des entreprises différentes :

  • ‘Mon projet de rénovation’ accompagne les entreprises en création ou en développement. Son objectif principal est la redynamisation des centres-villes. La Région Sud prend en charge jusqu’à 5000€ de dépenses.
  • ‘Mon projet d’entreprise’ accompagne la création, la reprise, le développement, le redressement, ou encore la transmission d’entreprise. La Région Sud et 13 professionnels de terrain prennent en charge le conseil et le financement nécessaire, gratuitement ou à un coût réduit.
  • ‘Soutien à l’hébergement touristique’ accompagne les TPE et PME du tourisme et les Sociétés Civiles Immobilières afin de moderniser l’hébergement, d’améliorer l’impact environnemental et l’accessibilité pour les personnes handicapées, et d’accroitre ou d’améliorer l’accueil des saisonniers. La Région Sud peut accorder une subvention d’investissement pour un montant maximum de 100 000€.
  • ‘Investour’ accompagne les TPE du tourisme ayant des salariés ou ayant prévu de créer des emplois et les PME du tourisme. L’objectif est d’aider à la diversification de l’activité, la rénovation ou l’extension, la modernisation, l’investissement pour un développement durable ou pour un projet d’innovation. La Région Sud pourra intervenir en quasi-fonds propres avec un prêt participatif de 50 000€ à 350 000€.
  • ‘Cedre’ s’adresse aux entreprises de moins de 5 millions d’euros de chiffre d’affaires et aux entreprises de moins de 250 salariés, d’au moins 2 ans d’existence. Le dispositif peut permettre aux entreprise se faire accompagner par un expert, pour la mise en œuvre de leurs toutes premières actions de transition écologique, avec une subvention forfaitaire de 3 000€ sur un minimum de dépenses de 3 750€. Il permet également de bénéficier d’un accompagnement personnalisé et complet sur trois ans, du diagnostic au plan d’action. Certaines entreprises pourront obtenir une subvention pouvant aller jusqu’à 100 000€ pour les projets d’investissements écologique.
  • ‘Parcours Sud industrie 4.0 carbone’ concerne les TPE ou PME avec un effectif inférieur à 250 personnes et un chiffre d’affaires de moins de 50 millions d’euros, et les ETI de moins de 500 salariés en fonction de leur projet. L’objectif est d’accompagner la transformation des entreprises industrielles, pour une industrie du futur durable à l’horizon 2028, grâce à une première phase de diagnostic financée entièrement par la Région.
  • ‘France 2030 régionalisé – Projets d’innovation’ accompagne les PME et ETI dans leurs projets de Recherche et Développement concernant les filières : naturalité, transition énergétique/écologique, aérospatial/sécurité/défense, économie bleue, santé/silver économie, tourisme/culture, chimie verte et matériaux avancés, technologies intelligentes/communicantes/sécurisées, optique/photonique. Ce dispositif propose une subvention ou une avance remboursable pouvant aller jusqu’à 500 000€.
  • ‘Région Sud Investissement’ accompagne les PME et TPE de moins de 250 salariés et 50 millions d’euros de chiffre d’affaires pour soutenir des projets qui concourent à la souveraineté, la résilience et la réindustrialisation de l’économie régionale mais aussi à l’émergence d’innovations de rupture. Le dispositif intervient pour accélérer la levée de fonds et augmenter votre capacité en fonds propres.
  • ‘Sud Développement’ concerne les PME et ETI concourant au Plan Climat. La Région Sud aide à financer les investissements productifs et toutes les transitions, numérique, énergétique et écologique, avec une subvention comprise entre 100 000€ et 500 000€.

Pour obtenir plus de détails sur chaque dispositif, cliquez ici.

V.A.


Parentalité en entreprise : Mininoo propose une solution clé en main

Pour la Saison 5 du programme Femmes Entrepreneuses, Orange accompagne 104 nouvelles créatrices d’entreprises, dont Sonia Fiquet, basée à Morières-lès-Avignon, qui a créé l’entreprise Kiffersavie.

Kiffersavie, créée par Sonia Fiquet, est une entreprise de formation à distance qui propose un programme d’accompagnement en communication relationnelle dédiés aux personnes porteuses d’un trouble du spectre de l’autisme (TSA) et d’un haut potentiel intellectuel (HPI). Elle rejoint la saison 5 du programme Femmes Entrepreneuses.

Ce programme, créé par l’opérateur de télécommunication Orange, est un dispositif d’accompagnement gratuit de 10 mois pour les créatrices d’entreprises dans tout le pays. L’objectif est d’encourager et de soutenir l’entrepreneuriat féminin au cœur des territoires. Depuis sa création en 2018, 420 femmes ont pu en bénéficier.

L’accompagnement des entrepreneures peut prendre différentes formes : visibilité dans la presse et sur internet pour développer le business, renforcement de la culture business et impact positif, développement du leadership de la créatrice, ou encore accès aux réseaux de financement.

V.A.


Parentalité en entreprise : Mininoo propose une solution clé en main

La Chambre de commerce et d’industrie (CCI) de Vaucluse organise une conférence ‘Aides et dispositifs d’accompagnement face à la crise énergétique’ ce jeudi 2 mars en partenariat avec la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Vaucluse, la Direction régionale de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités (DREETS), la Direction départementale des finances publiques (DDFIP) et l’Urssaf.

Au cours de cette rencontre seront abordés plusieurs sujets tels que : les dispositifs de l’Etat (bouclier tarifaire, amortisseur électricité, etc) et les relations avec les fournisseurs d’énergie, le guichet d’aide au paiement des factures de gaz et d’électricité et les dispositifs d’accompagnement des entreprises en difficultés, les dispositifs d’accompagnement des entreprises, les cellules de crise dédiées aux entreprises (référent énergie, chèque énergie, numéro vert, etc) mises en place par la CCI et la Chambre de Métiers et de l’Artisanat. La conférence se terminera par une session d’échanges.

Jeudi 2 mars. De 17h30 à 19h30. Inscription en ligne gratuite. Amphithéâtre du Campus de la CCI de Vaucluse. Allée des Fenaisons. Avignon.

V.A.

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