Egide : un chiffre d’affaires de 8,6M€ au premier semestre 2023
Egide, spécialiste des boîtiers hermétiques dont le siège social se situe à Bollène, vient de dévoiler son chiffre d’affaires semestriel au 30 juin 2023.
Au premier semestre 2023, Egide SA a réalisé un chiffre d’affaires de 8,6M€ en progression de 13% par rapport au premier semestre 2022 (7,6M€) et en hausse de 10% par rapport au second semestre 2022. Cette croissance est essentiellement nourrie par un traitement plus rapide des commandes et la volonté affichée de raccourcir les délais de fabrication et d’améliorer la qualité de service.
Tous les segments de marché sont en croissance à l’exception de l’Hyperfréquence, dont les chiffres en valeur absolue restent assez faibles, nuançant l’analyse de tendance. La croissance de l’activité d’Egide SA provient essentiellement des marchés de l’Imagerie thermique (+1M€).
La croissance de l’activité d’Egide SA est portée par l’essor en Europe (+0,9M€) avec une hausse de l’activité de plusieurs clients en France et aux USA (+0,3M€). Le Moyen-Orient reste très bien orienté.
Croissance de 26% de l’activité des filiales américaines mises en vente.
Au premier semestre 2023, les filiales américaines mises en vente ont réalisé un chiffre d’affaires de 10,6M€, en progression de 26% par rapport au premier semestre 2022 (8,4M€). A taux de change constant, la croissance de l’activité est de 24%, l’effet de change favorable s’élevant à 2%.
Cette hausse de l’activité des filiales américaines du Groupe Egide au premier semestre 2023 par rapport à celui de 2022 est d’autant plus significative que les filiales US l’année précédente perdaient 9,8% de chiffre d’affaires au premier semestre par rapport à 2021.
La hausse de l’activité d’Egide USA est d’abord liée à l’amélioration des performances opérationnelles. L’usine a retrouvé un rythme de croisière après toutes les difficultés de personnel, formation, qualification et qualité qu’elle rencontrait. D’autre part, l’activité commerciale reste soutenue par un bon carnet de commandes.
L’activité de Santier reste, quant à elle toujours stable : 4,13M€ au premier semestre 2022 et 4,22M€ en 2023.
Tous les segments de marché sont en croissance. La hausse du chiffre d’affaires de 2,2M€ provient essentiellement des marchés de l’optronique (+0,7M€), de la Puissance (+0,6M€) et de l’Imagerie thermique (+0,6M€).
La croissance de l’activité des filiales américaines est portée par l’essor du marché américain (+2,6M€).
Perspectives 2023
Porté par la bonne dynamique commerciale observée sur l’ensemble des produits au 1er semestre, Egide SA espère maintenir un niveau d’activité à peu près identique au second semestre 2023.
J.R.
Egide : un chiffre d’affaires de 8,6M€ au premier semestre 2023
Chaque année le Vaucluse propose aux collèges du département l’opération Campus sécurité routière.
Depuis 1996, ces journées de prévention et d’éducation offrent aux élèves une sensibilisation aux règles de bonne conduite. En 27 ans, ce sont plus de 128 000 jeunes vauclusiens qui en ont bénéficié, dont 3 055 en 2022-2023.
Des perspectives pour l’année scolaire 2023-2024
8 campus prévus à partir de novembre 2023.
Un nouvel atelier de l’association France Handicap intègre l’équipe de partenaires campus à la rentrée prochaine pour sensibiliser les élèves au quotidien des personnes en situation de handicap.
Un fil conducteur : la sécurité des déplacements pour les personnes en situation de handicap.
Egide : un chiffre d’affaires de 8,6M€ au premier semestre 2023
Une estimation préliminaire de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) pour l’année 2022 montre que les subventions mondiales à la consommation de combustibles fossiles ont dépassé les mille milliards de dollars, de loin le montant annuel le plus élevé jamais enregistré. Dans l’ensemble, les subventions pour les combustibles fossiles ont doublé par rapport à l’année précédente, comme le montre le graphique ci-dessus. Les aides à la consommation de gaz et d’électricité ont doublé, tandis que les aides à la consommation de pétrole ont augmenté d’environ 85%.
Face à la déstabilisation des marchés de l’énergie liée à la guerre en Ukraine et aux prix « extraordinairement élevés et volatils », les gouvernements ont préféré protéger les consommateurs et les entreprises, selon l’AIE. Des mesures qui pourraient avoir un impact important sur les finances publiques et qui pourraient également réduire l’incitation à utiliser l’énergie de manière efficace ou à passer à une énergie propre, explique l’AIE.
Le pacte de Glasgow sur le climat se retrouve également en contradiction avec ces subventions record : la suppression des subventions aux combustibles fossiles étant considérée comme une étape fondamentale pour une transition réussie vers les énergies propres.
L’AIE souligne qu’il serait préférable d’investir dans des changements structurels plutôt que dans de l’aide d’urgence, et de mieux calibrer les subventions afin qu’elles ciblent principalement les couches les plus pauvres de la population, qui souffrent le plus des coûts engendrés par la hausse des prix de l’énergie.
Vous avez la possibilité de le consulter et le télécharger en cliquant sur l’image ci dessous
Egide : un chiffre d’affaires de 8,6M€ au premier semestre 2023
Jeudi 16 mars à Cadenet s’est tenu la 25ème Assemblée Générale de Vélo Loisir Provence. L’occasion pour les adhérents et les partenaires de l’association de se réunir et présenter les actions réalisées en 2022, les projets en cours et à venir.
La journée a commencé par une mobilisation des élus avec les interventions de M. Brabant, maire de Cadenet et conseiller communautaire de Cotelub, M. Courtecuisse, vice-président Agriculture et Tourisme Durable du parc naturel régional du Luberon, ainsi que Mme Samat, vice-présidente conseil départemental du Var. André Berger, président de Vélo Loisir Provence a confirmé l’intérêt croissant des collectivités et des usagers à la pratique du vélo, tant pour un usage touristique que pour les déplacements au quotidien, nécessitant une adaptation des territoires traversés pour mieux servir sa population. Des discours qui marquent l’ambition de continuer à développer et structurer l’offre vélo sur les territoires du Luberon et du Verdon.
Un nombre d’adhérents en augmentation
Lors de la présentation du bilan des actions menées en 2022, on retiendra que l’association œuvre au développement et à l’entretien des itinéraires cyclables sur les territoires des parcs naturel régionaux du Luberon et Verdon, en collaboration avec de nombreuses collectivités. L’association a vu également son nombre d’adhérents croître, composant ainsi un réseau de professionnels du tourisme de plus de 220 structures.
L’année a aussi été marquée par une participation de l’association à plus de 40 évènements, au niveau local ou national, afin de promouvoir un mode de déplacement doux dans le Luberon et le Verdon, dans trois types de discipline : le vélo en mode loisir, le VTT, mais aussi le Gravel. Enfin, des missions d’accompagnement et de coordination ont été réalisées dans le but de développer des itinéraires cyclables en région Sud. Des projets qui confirment les 25 ans d’expertise de l’association dans le domaine du développement de la mobilité douce.
La volonté de continuer à promouvoir un tourisme durable
En 2023, de grands projets se dessinent pour l’association Vélo Loisir Provence, comme la création d’un lieu dédié au vélo en Luberon pour sensibiliser les populations locales à la pratique du vélo ou encore la réalisation d’un vélo reportage dans les parcs naturels régionaux du Luberon et du Verdon avec Jérôme Zindy, vélo-reporter.
De nombreux évènements sont aussi attendus pour les professionnels du réseau et le grand public (animations, ateliers réparation, salons, forums…) cette année avec toujours la volonté de continuer à promouvoir un tourisme durable autour de la pratique du vélo.
J.R.
Egide : un chiffre d’affaires de 8,6M€ au premier semestre 2023
Afin de préparer nos prochains week-ends, escapades et vacances, le Petit Futé, poursuit sa mission de prescripteur de voyage, de découvertes, de bons plans et de loisirs et nous invite à parcourir, hors des sentiers battus, l’hexagone avec la collection France -63 titres annuels- et plus particulièrement le département du Vaucluse dont la nouvelle édition vient de sortir.
Le Vaucluse, riche de deux Parcs naturels régionaux, de 7 ‘Plus beaux villages de France’, offre un paysage diversifié, avec son patchwork de collines, de plateaux où poussent des oliviers, des chênes, de la vigne, des arbres fruitiers, du maraîchage, de la lavande.
Vous avez dit héliotropisme ? Ici c’est l’ensoleillement qui prédomine conférant l’ambiance et la qualité de vie qui se déploient sur le territoire. Ce qu’on aime ? La richesse de son patrimoine culturel ; l’élégance de ses villages perchés comme Gordes, Roussillon, Bonnieux, Ménerbes et Lacoste ; ses belles tables gourmandes et gastronomiques ; ses crus prestigieux labellisés – les AOC Côtes-du-Rhône, Ventoux et Luberon, et, bien sûr, sa douceur de vie. En outre Avignon, Orange, Vaison-la-Romaine et Carpentras renferment des sites historiques uniques, associés à des manifestations culturelles mondialement connues.
Vous êtes sportifs ? Du Luberon au Pays des Sorgues en passant par la plaine du Comtat Venaissin et le mont Ventoux, vous avez le choix de la discipline : randonner dans de formidables sites naturels, escalader les parois des Dentelles de Montmirail, pédaler jusqu’au sommet du mont Ventoux, ou le long des gorges de la Nesque, faire du canoé sur la Sorgue, vous baigner dans la vallée du Toulourenc ou encore skier sur les pentes du Mont Serein. Le Vaucluse vit toute l’année.
Les infos pratiques Vaucluse 2022. Le Petit Futé – Coll. France – Version numérique offerte. 336 pages quadri – Format : 120 L x 205 H. Prix public : version print : 11,95€ – version numérique : 5,99€. Disponible sur : https://boutique.petitfute.com & Retrouvez le Vaucluse sur Internet, votre smartphone et votre tablette : www.petitfute.com MH
Egide : un chiffre d’affaires de 8,6M€ au premier semestre 2023
Où en est le marché immobilier ? Qui vend ? Qui achète ? Où et Combien ? Que s’est-il passé depuis 2019 et vers quoi allons-nous en 2022 ? Philippe Boulet, directeur grands comptes, membre du Comité directeur du groupe Emile Garcin et directeur Alpilles et Saint Tropez fait le point.
Quelle a été l’activité en 2019, 2020, 2021 ? «Dès les premiers jours de confinement –à partir de mi-mars 2021-, nous recevions très peu d’appels puis s’est allé crescendo puisque nous avions continué à faire de la publicité. Nous nous disions que les gens, chez eux, continueraient à s’informer, à rêver de Provence et, pourquoi pas, souhaiteraient s’y installer pour y télétravailler. Nous avons reçu de plus en plus d’appels mais le problème était de pouvoir visiter, or les propriétaires, du fait du confinement occupaient leur maison, certains, même, ne souhaitaient plus ni louer ni vendre.»
Ré-amorçage «Puis lorsque l’activité a commencé à se développer, nous ne pouvions pas toujours visiter, en raison des interdictions sanitaires. Les étrangers ne pouvant plus venir en France, le marché est devenu franco-français. Dans le marché immobilier, en dessous des 2M€ 70% des acquéreurs sont français, les 30% restant étant étrangers. C’est ainsi que, durant le Covid, et pour des raisons d’impossibilité de voyager, nous avons frisé un marché immobilier 100% français.»
Les vendeurs «Le turn-over, en Provence est très lent, un phénomène dû à la qualité de vie. Les temps de détention d’un bien varient de 15 à 25 ans. Je viens de vendre une propriété à Saint-Etienne-du-Grès détenue par la même famille depuis 150 ans. La décision a été prise par les héritiers qui ne souhaitaient pas revenir dans la région.»
L’autofinancement «Nous venons de vendre une très belle propriété dans les Alpilles ‘Le mas de la rose’, où un couple avait créé et géré, durant 15 ans, plus d’une dizaine de chambres d’hôtes de luxe, avec salles de réunion et de banquet, piscine et jacuzzi, dans un bel et immense parc… C’est un jeune couple, en reconversion professionnelle, désireux de changer de vie, qui a racheté. Pourtant, au départ, ce jeune couple ne pensait pas aller sur ce budget qu’il considérait comme trop élevé mais les revenus générés par le commerce étaient tellement conséquents qu’ils ont pu se lancer dans un autofinancement et aller au-delà du budget fixé au départ.»
Le bon prix «Je suivais cette propriété qui était à vendre depuis 3, 4 ans, chez des confrères. Je la trouvais ‘hors marché’, pour moi le prix affiché n’était pas le bon. Puis j’ai rencontré les propriétaires et ai discuté avec eux du prix juste. Nous avons mis le bien à la vente et celle-ci s’est faite.»
L’effet Brexit «Je pense que ça a été vraiment une surprise pour nous mais aussi pour les Anglais ! Les gens qui habitaient autour de Londres étaient vraiment contre le Brexit et ne se sont pas rendu compte que les anglais qui vivaient aux alentours, c’est-à-dire à la campagne étaient pour. Je connais un couple d’Australiens qui vit près de Londres depuis très longtemps. Ils devaient acheter vers Saint-Rémy-de-Provence. Ça se passait juste avant le Brexit. Dans le doute, ils ont différé de deux semaines leur achat. Ils m’ont appelé dès l’annonce du résultat du vote, ils étaient choqués ! Ils se sont retirés de la vente pour, 6 mois après, acheter cette même propriété. Ils y vivent désormais.»
Avant-après «Il y a eu l’effet Brexit et après-Brexit. Depuis j’ai remarqué que la clientèle avait rajeuni. Ils ont désormais entre 30 et 40 ans et n’ont pas peur de l’avenir. Je suis actuellement en lien avec un couple de trentenaire Français qui vit à Londres et va sans doute acheter à Saint-Etienne-du-Grès.»
Les acquéreurs, une clientèle très diversifiée «Dans les années 2 000 les Américains achetaient beaucoup dans le Sud de la France puis ça s’est tari. En cause ? La baisse du dollar, les relations franco-américaines, désormais depuis 2 ans, ils reviennent. Entre-temps nous avons eu beaucoup d’Anglais jusqu’au Brexit, puis, de nouveau, nous observons leur retour. Actuellement ? Les Anglais, les Allemands, les Belges, les Suisses, des Américains avec d’importants budgets –au-delà de 10M€, qui font partie des plus grande fortunes mondiales, entre 50 et 80 ans- s’intéressent à la région.»
La négociation ? «Peut-on négocier actuellement ? S’il s’agit d’un bon mandat –un bien entré au bon prix- la négociation n’est pas importante. Le marché étant en tension, il y a des agents immobiliers qui entrent des biens à tout prix, ce qui est une erreur, mais nous sommes confrontés à cela. Si le marché est bon, il est nécessaire de conserver des prix cohérents car les gens n’achètent pas à n’importe quel prix.»
Les banques jouent-elles le jeu ? «Les rapports avec les banques sont complexes, elles sont frileuses et ouvrent les parapluies. Il vaut mieux présenter de très bons dossiers. Les établissements bancaires ont du mal à financer les Américains, alors ce sont des banques américaines qui le font sur le territoire Français. Ce qui pousse le marché immobilier ? L’envie d’habiter à la campagne –effet confinement-, des taux d’intérêt très bas et l’inflation qui remonte car avec elle, les taux risquent également de remonter.»
Quel regard pour l’investissement ? «Oui, indubitablement les gens cherchent à diversifier leur portefeuille. Au lieu de tout mettre en Bourse, de se laisser aller à l’euphorie des Bitcoins, certains pensent à l’investissement locatif, même si les prix ont récemment augmenté, ceux-ci sont encore raisonnables par rapport à certaines régions : pour le prix d’un appartement à Paris vous avez une très jolie propriété ici. C’est un bien que vous pouvez habiter et avec lequel vous pouvez faire de la location saisonnière. D’ailleurs cela peut-être un outil de rentabilité qui va au-delà de payer les faux-frais du bien : entretien du jardin, gardiennage car aujourd’hui la demande de location est plus forte, surtout depuis la crise du Covid, et peut générer des revenus importants. Du coup, les investisseurs sont prêts à acheter plus et mieux.»
De la location hôtelière «J’ai l’exemple de clients qui ont acheté à plus de 5M€ à Saint-Rémy-de-Provence. C’aurait pu être à Megève, Méribel ou Courchevel, le bien propose de très belles chambres et salles –dans l’objectif de faire du Corporate –louer à des entreprises pour de séminaires- avec un service Hassle free (sans embêtements)-, ce qui permet d’absorber une partie importante du financement du bien. A ce propos, le Groupe Emile Garcin a monté une entité de ce type pour répondre à la demande des locations saisonnières. Notre rôle ? Accueillir les locataires et répondre à leur demande en leur indiquant des professionnels certifiés par nos soins : professeur de fitness, yoga, tennis, sport, chef cuisinier à domicile…»
Les ventes de maison avec les meubles ? «Oui cela se fait de plus en plus. C’est très américain et c’est toujours très délicat car les clients achètent avant tout le bien et ne veulent des meubles que pour un effet de transition, le temps de s’installer et d’opter pour sa propre décoration. Le prix d’achat des meubles est alors anecdotique et ne vaut que pour éviter un déménagement aux anciens propriétaires. Un ou deux ans après, la plupart du temps, ces meubles auront disparu, sauf lorsque les nouveaux acheteurs acquièrent un vrai concept ‘clef en main’ où maison et décoration soignée font corps, il y a désormais des professionnels de ce ‘tout en un’, souvent il s’agit de décoration ultra-moderne comportant des pièces de designers connus.»
Impressions sur le marché 2022 ? «2021 est déjà une excellente année en nombre de transactions, en valeur et en chiffre d’affaires. L’année 2021 s’est révélée largement supérieure à 2020 qui elle-même l’a été à 2019 et malgré le Covid. Le bureau des Alpilles a fait +50% de volume d’affaires entre 2019 et 2020 ! Pour rappel, 2019 était déjà une excellente année. Nous avons des transactions en cours dont certaines aux montants très importants seront traitées en 2022. Le risque ? Trouver des propriétés intéressantes. Il ne faudrait pas que le marché s’emballe ce qui déboucherait sur une bulle immobilière ce qui n’est pas très sain. Cependant les gens ne sont pas fous et connaissent le prix du marché, je ne les vois pas s’emballer. Les clients ne veulent pas surpayer. Pourquoi ? Parce que dans l’inconscient collectif il y a ce risque de crise économique.»
Le Mécénat Emile Garcin spécialiste de l’immobilier de caractère depuis 1963, cultive en famille l’éthique d’un métier et le goût du patrimoine bâti comme un art de vivre. C’est pour cette raison que depuis plusieurs années Emile Garcin s’investit dans le mécénat, afin de protéger, restaurer, redonner une vie, un sens, une âme à une chapelle, à une abbaye, à un château ou à une œuvre en péril tout en soutenant de nouvelles expositions comme au Musée Angladon ou la Collection Lambert. Il souhaite, ainsi, encourager la détermination et les initiatives de jeunes couples s’investissant dans la sauvegarde du patrimoine français. Des opérations que le groupe assure reconduire d’années en années, dans un partenariat actif.
Dans le détail Le groupe Emile Garcin intervient de façon importante en Provence, notamment auprès de l’Abbaye Saint-André à Villeneuve-lès-Avignon, pour la 3e année en partenariat avec les propriétaires MM. Viennet ; au Musée Angladon à Avignon également pour la 3e année auprès de la directrice Lauren Laz ; à la Collection Lambert à Avignon 3e année) en lien avec Pierre Vialle ; auprès de l’Abbaye Saint-Hilaire à Ménerbes, pour la 4e année en partenariat avec la propriétaire Anne Bride ; Auprès de l’association de l’Uzège – pour la 2e année avec Henri de Cazotte. Au chapitres des nouveaux mécénats au Château du Barroux, en lien avec le propriétaire Jean-Baptiste Vayson ; à l’Hôtel d’Agar à Cavaillon en partenariat avec les propriétaires de la famille Morand.