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Coup double à Sorgues avec l’inauguration de la Passerelle de l’Oiselay et celle de l’Etable Cowork

De gauche à droite Ludwig Ferren et Thierry Lagneau

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Ce 4 octobre, une journée à marquer d’une pierre blanche pour Thierry Lagneau, le maire de Sorgues. Dans l’après-midi, il se trouvait sur la passerelle entre l’Oiselay et Sauveterre, dernière étape du projet global de la Via Rhona qui permet, sur 200 mètres, de marcher et de rouler sur l’eau, celle du Rhône grâce à cet ouvrage de 3 mètres de large qui accueille piétons et cyclistes. Cette section de mobilité douce a coûté 4,17M€ co-financés par l’Europe et les collectivités locales.

2ème inauguration, en centre-ville cette fois,
à 18h 30, celle de « L’Etable Cowork, dans l’ancienne antenne du Trésor Public. Trait d’humour : l’hygiaphone qui permettait aux agents du fisc de se protéger d’éventuelles colères et postillons de contribuables exsangues a été maintenu.

« Avec ses 410m2, c’est le plus grand espace de co-working de Vaucluse
après ceux de Pertuis, Avignon et l’immeuble Pixel. Il est à côté de l’autoroute A7, de la poste, à 100 mètres de la gare, en face de 185 places de parking gratuit » explique Ludwig Ferren, le concepteur pernois.

Le mobilier a été construit en palettes recyclées

Thierry Lagneau prend alors la parole :
« Quelle journée! Après la passerelle de l’Oiselay qui est un chaînon majeur de la Via Rhona, du Lac Léman à la Mer Méditerranée et un axe incontournable déjà fréquenté par 2,6 millions de cyclistes, cet espace de coworking est la marque du dynamisme et de la réussite de Sorgues. Il va permettre d’attirer de nouveaux talents, des étudiants, des entrepreneurs et de transformer une faiblesse – la fermeture de l’antenne du Trésor Public – en atout en aménageant ces bureaux privés, espaces de travail partagés ou salles de réunion. Tout est fait pour accueillir les personnes à mobilité réduite au rez-de chaussée avec wifi et ordinateurs. A l’étage, espace détente, billard, bar, cuisine, terrasse. On peut se parler, échanger, chacun apporte son expertise et peut donner un coup de main à l’autre ».

Ludwig Ferren précise :
« On a juste refait l’électricité, rafraîchi les peintures, refait le sol et les meubles sont conçus à partir de palettes recyclées ». De 150 à 500€ par mois, de l’open space modulable au bureau privatif avec réseau internet 24h/24, ouvert 7J/7 grâce à un badge pour entrer même le dimanche, ceux qui loueront cette « Etable » pourront y domicilier leur siège administrtif et commercial et s’enrichir des différences des autres.

Contacts : www.etable-cowork.com contact@etable-cowork.com 04 84 85 50 84

L’Etable Cowork
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