Dans sa dernière vidéo, le professeur Didier Raoult met un point d’honneur à rappeler que désormais, « le débat sur la toxicité de l’hydroxychloroquine est maintenant terminé. »
« Plus personne ne dis que l’hydroxychloroquine tue ou qu’elle rend fou, poursuit le patron de l’Institut hospitalo-universitaire (IHU) de Marseille. En revanche, nous avons aujourd’hui toutes les études qui montrent l’efficacité de l’hydroxychloroquine dans le traitement de la maladie et dans la diminution de la persistance du virus chez les gens. » Selon lui, ces travaux démontrent que ce traitement peut prévenir de la mortalité à hauteur de 50 %.
« Il ne suffit pas de parler pour avoir raison, il faut avoir des chiffres. »
Evoquant jusqu’alors la censure des publications scientifiques alors que les publications en train d’être publiées actuellement vont désormais dans son sens, Didier Raoult se pose la question de savoir si « dans ce monde il suffit d’avoir la parole pour que cela soit la vérité. La vérité ce n’est pourtant pas cela, c’est des études, c’est des chiffres, c’est la mortalité. Et ça, on ne peut pas tricher ! On peut faire de très mauvaises études, mais il y a des gens qui savent les décrypter. »
« La prochaine fois, je l’attaquerai en diffamation. »
Prenant l’exemple du directeur (ndlr : Martin Hirsch) de l’AP-HP (Assistance publique – Hôpitaux de Paris) qui affirmait que Didier Raoult mentait et qu’il n’y avait pas 40 % de mortalité dans ses services de réanimation, le directeur de IHU phocéen assure que « ces chiffres provenait de son propre institut et de ses propres données. Il ne connaissait pas les vrais chiffres. Il faut faire très attention car la prochaine fois, je l’attaquerai en diffamation. Il ne suffit donc pas de parler pour avoir raison, il faut avoir des chiffres. »